Vladi remercia Reglar pour le repas, puis lui dit : « Nous dormirons à l'auberge ce soir si tu le propose si gentillement, nous la laisserons dans le même état que celui qu'elle était avant notre arrivé. », puis il se dirigea vers la porte ... «  Au fait, garde l'arbalète double elle pourra être utile pour défendre le village » dit-il à Reglar en lui indiquant l'arbalète laissé dans un coin.

Enguerrand acquiesça en entendant ses compagnons.
« Eh bien, cela ne m'ébaudit guère. Je suis en accord avec vous. Allons donc nous octroyer quelque repos.  »
Il se tourna vers Reglar.
« Je suis bien peiné par votre deuil. Mais soyez assuré de ma conviction quant à l'éradication de ces magiciens maléfiques.  »
Il se perdit un instant dans ses pensées avant de finir son assiette.

Ilyrana s'est levée tôt et préparé un petit déjeuner pour les autres, y compris Gripoil. Quand tout le monde est réveillé et rassemblé, elle prend la parole.

« Bon, on va nettoyez la mine des gobelins, c'est ça ? Proewyn, une idée sur ce qui nous attend là bas ? Les gobelins sont vicieux, il faudra se méfier des pièges et embuscades, ils auront l'avantage dans un milieu confiné, surtout sur la grosse boite en métal, là. »

Kalia s'était également lever tôt mais elle était rester dans sa chambre a méditer pendant un moment. Lorsqu’elle sorti de sa chambre elle vit le petit déjeuner prêt et remercia Ilyrana d'avoir préparer avant de commencer a manger.
« Oui il faudra bien faire attention, et éviter de nous séparer je pense. Au début dans la tour nous étions assez disperser et cela ne nous as pas vraiment aider d’après moi » Elle remarquât que ses compagnon n'avais pas tous vraiment récupérer d'hier « Si vous voulez je peux de nouveau soigner vos blessures pour ceux qui sont encore amoché, il me reste une potion également »

Modifié par un utilisateur jeudi 15 mars 2018 00:21:01(UTC)  | Raison: Non indiquée

Après le repas de la veille, Laurelin passa une bonne nuit. Elle se reposa comme il le fallait : physiquement à cause du combat, mentalement également à cause du combat mais aussi à cause de la découverte d'un mage en état critique. Lorsqu'elle se leva et rejoint les autres, elle vit qu'Ilyrana avait préparé le petit déjeuner. Elle la remarcia chaleureusement. Quand Vladi les rejoint, elle le prit à parti. « Tu aurais pu attendre la fin du repas avant de partir. Tu es incorrigible par moment ! » lui chuchota-t-elle.

Une fois le message passé, elle se concentra sur leur futur plan d'action. Après avoir écouté les paroles de Proewyn, elle leur expliqua ses pensées. « Je suis d'accord avec Kalia, nous avons fait une erreur dans la tour, évitons de la refaire. Pour la mine, pensez-vous que nous pouvons nous renseigner au village concernant les dernières rumeurs ? Peut-être aurons nous des infos si le mage aurait décidé de réapparaître. Ou même d'autres choses dont nous ne sommes pas au courant. Sinon, nous pouvons y aller dans l'état. Je suis sure qu'en restant groupés, nous pouvons y arriver. Je pense que nos aptitudes se complètent assez bien. » ajouta-t-elle.

Enguerrand acquiesça de la tête en entendant les proposition de ses compagnons.
« J'approuve. Quêtons des informations sur ces souterrains. Nous étions confus et désunis dans la tour, cela nous a grandement diminué. Sachons ce qui nous attends et nous serons fortifié.  »
Puis il se tourna vers Proewyn.
« Cher mage, laissez-moi vous soutenir de la puissance de Lathandre !  »
Il posa la main sur l'épaule du mage et une légère lumière illumina ses mains alors qu'un rayon de bienfaisance passait dans le corps de Proewyn.

Proewyn remercia Kalia pour les soins ainsi qu'Enguerrand qui aida là druide à guérir le mage. Ce dernier sentait ses blessures se refermer. La douleur disparu de façon quasiment instantané comme par magie. Écoutant tout le monde donner son plan, le mage donna son avis.
« Selon moi les villageois n'auront pas plus d'information que l'on en a déjà. De plus j'ai peur que le mage soit déjà au courant de votre présence ou alors il ne va pas tarder à l'être. Vous savez avec la magie, tout va très vite. Moi je suis pour aller directement au mine, tant que nous avons encore une chance de surprendre le mage avant qu'il ne se prépare à notre arrivé. Maintenant si vous voulez des infos, je suis de l'avis de Klad. Je peux partir à la mine avec lui, je serait sans doute capable de détecter des traces de magie si quelqu'un est passé par la depuis pas trop longtemps. »

Ilyrana s'amuse que le paladin ai pris la mouche.

« Vous faire montre de mes talents ? Je vous invite à retourner dans la tour, jeter un oeil au cadavre de la prêtresse de Bain, pour vous donner une meilleur idée de mes talents. Une cuirasse c'est très utile, mais dans une mine, ça peut gêner. Il faudra peut-être ramper ou escalader... vous serez assez à l'aise pour ça ? »

Puis elle donne son avis sur le plan en regardant tous ses compagnons.

« Moi je trouve qu'on s'est bien débrouillé dans la tour. La prêtresse aurait fait beaucoup plus de dégâts si on avait tous été là autour d'elle. Et puis une mine, c'est pas le genre d'endroit où on avance à quatre de front, si vous voyez ce que je veux dire. Moi je serais plutôt d'avis de demander à Reglar s'il peut nous indiquer qui sont les mineurs encore en vie, lui poser quelques questions rapides, et filer tous ensemble rapidement à la mine. Vladi a l'air du genre discret, mais, sans vouloir t'offenser Proewyn, vu comme tu as descendu l'escalier, si tu te fais courser par des gobelins, je donne pas cher de ta peau, en l'état. », conclut-elle en croquant nonchalamment dans une belle pomme.

Modifié par un utilisateur lundi 19 mars 2018 14:50:44(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le petit déjeuner, excellent au dire de certain, ce qui n'est pas pour déplaire au cuistot, le groupe se sépare. Laurelin, Kalia et Enguerrrand partent aux villages, tandis qu'Ilyrana, Vladi et Proewyn se dirige vers la mine.

Le groupe du village, en quête d'informations, prennent facilement deux bonnes heures pour interroger les villageois et Reglar. Ils apprennent que la plupart des mineurs sont encore en vie, et que l'un d'entre eux est au village, blessé par un éboulement récent. Les autres sont en train de travailler, car leurs maisons est très proche des mines et donc, ils ne sont pas au courant que le mage d'ici n'est plus. Il est soigné, mais se repose chez l'un des habitants. Les trois compères s'y dirige donc et arrive facilement à trouver la-dite demeure. C'est une bâtisse modeste, dans le même style que les autres, pas très grande donc et facilement inflammable pour peu qu'on s'en donne la peine. Une femme, d'âge mûr, leurs ouvres: « Bonjour » Elle regarde les visiteurs puis ajoute: « Vous êtes ceux qui ont tué le mage, pas vrai? Je peux faire quelque chose pour vous? Je crains de ne pouvoir vous aider... »

Pendant ce temps là, Proewyn, Vladi et Ilyrana s'en vont à la mine. Le premier prends une pelle, le second une pioche et... Il faut un peu de temps pour atteindre les premières maisonnette et entrepôt qui jouxte l'entrée, assez large pour faire passer trois ou quatre chariot, qui s'enfonce dans la montagne. D'ailleurs, la montagne, elle est très abrupte, mais un petit sentier permet de la gravir sans effort, car dans les endroits difficile, des escaliers ont été aménagé, pratique. Par contre, ne pas passer par ce chemin reviens à de gros efforts d'escalade en de nombreux endroits. Peut-être la montagne est-elle plus abordable ailleurs, mais pour le savoir, il faut aller ailleurs...

Les maisons ici sont en pierre et en terre avec des toits en bois, pareil pour l'entrepôt. Quand vous arrivez, vous ne relevez aucune activité et en déduisez que les mineurs, au vu des traces au sol récente, sont tous dans la mine.

La femme regarde Enguerrand lui parler, avec un air de... je ne sais quoi d'incompréhension. « Vous voulez parler à Gerald, c'est ça? Si c'est ça, fallait le dire simplement, au lieu de parler avec des mots bizarres là! Entrez donc... »

Elle s'écarte et vous fait entrer dans le salon/cuisine/salle à manger et vous indique l'une des deux chambres de la maison. « Il se repose là, et est assez solide pour pouvoir parler. Mais allez-y doucement, hein, ce serait bête de le casser à nouveau... »Puis elle marmonne: « Enfin, j'dis ça, je sais même pas ce que vous lui voulez au pauvre bougre... » Puis à haute voix: « Bah, je vous accompagne! »

Elle vous conduit du coup dans la chambre, petite, a peine la place pour tout vous tenir autour du lit sur lequel un homme, la peau noire, habillé de guenille, est allongé. La femme lui explique qui sont les visiteurs et qu'ils veulent lui parler. Il se redresse et dit: « Je sais pas en quoi je pourrais vous être utile, mais je suppose que vous voulez me parler du mage et des gobelins non? C'est eux qui ont provoqué l'éboulement! J'en suis certain ! J'ai eu le temps de voir ces merdes vertes passé dans un tunnel juste avant que le plafond s’effondre sur moi. C'est sûr ! C'est eux ! »