«  Oui je suis d'accord, frappons à quelques portes avant de tenter de rentrer. »

Voit-on à travers la vitrine l'intérieur ? y a-t-il des fenêtres ?

On demande aux voisins s'ils connaissent un peu son histoire, depuis quand elle est là, pourquoi elle est si riche, s'ils lui connaissent de la famille, des clients réguliers, des personnes inhabituels qui viendraient chez elle, s'ils savent qui a déposé des fleurs sur son perron, qui a découvert le corps, qui a la clé du magasin maintenant, s'ils ont vu ou entendu quelque chose de particulier le jour du meurtre et s'ils lui connaissent un lien particulier avec l'Eglise d'Asmodéus ?

• Jet de psychologie pour savoir s'ils essayent de cacher quelque chose : 1d20+9 donne [12] + 9 = 21

Oups j'ai que +8 en psychologie je me suis trompé... Du coup le résultat c'est 20 et pas 21...

Alors qu'Emi continuait à interroger les voisins elle se retourna vers Aaron et lui demanda en souriant:

« Pensez-vous que vous pourriez nous trouver une voie pour entrer discrètement au cas où notre enquête auprès de ces braves gens se révèle infructueuse ? »

Modifié par un utilisateur mercredi 14 décembre 2016 17:37:36(UTC)  | Raison: Non indiquée

«  Il y a souvent une entrée de l'autre côté, pour permettre la livraison de marchandises notamment, on devrait y être plus tranquille. Je vais vérifier si c'est le cas »

Avant de vérifier cela, Aaron se retourna vers Emi le sourire au lèvre

« Par contre, faut pas comptez sur moi pour forcer une porte, j'ai plus de chance de la bloquer qu'autre chose »

Je fait le tour de la boutique voir s'il y a une autre entrée, ou éventuellement une fenêtre à porter d'escalade dans un endroit plus discret que la route principale.

Modifié par un utilisateur mercredi 14 décembre 2016 21:45:14(UTC)  | Raison: Non indiquée

Aaron retourna voir ses collègues.
«  Il y a un accès à l’abri des regards par derrière. Ça pourrait nous permettre d’entrer et étudier rapidement la scène de crime »

Aaron cacha difficilement un rictus nerveux quand Emi les as décrit comme "d'honnêtes défenseurs de la loi". Puis il se tourna vers ses deux camarades rester un peu plus en retrait.

«  Un de nos collègues pourrait nous surprendre. Et si ce n'est pas le cas, on peut toujours envisager de passer par une fenêtre en cassant une vitre »

Modifié par un utilisateur jeudi 15 décembre 2016 20:28:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Slycent tente d'ouvrir la porte et ... s'aperçoit qu'elle est effectivement verrouillée.

Col arrive au détour d'une rue quelque peu essoufflé :
"Milles excuses ... je devais faire une petite course pour ma femme ..."
Voyant ses compagnons en pleine discussion.
"Si vous me laissez le temps d'aller chercher quelques outils adéquats, je pense qu'on peut ouvrir cette porte puis la refermer sans que personne ne s'en aperçoive après notre passage."

Modifié par un utilisateur vendredi 16 décembre 2016 19:20:32(UTC)  | Raison: Non indiquée

Col alla dans une boutique "spécialisée" qu'il connaissait bien et s'acheta des outils de cambrioleur.
Peu de gens étaient dans les rues lorsqu'il rejoignit ses collègues : la plupart des tavernes étaient pleines et les odeurs alléchantes des repas embaumait la ville.

L'homme d'âge mur essaya son talent sur la porte. Celle-ci s'ouvrit dans un déclic métallique.

L'arrière boutique donnait sur une réserve de terre glaise et de certains œuvres non peintes. Il y avait de nombreux pigments.
Une porte menait vers la cuisine et l'autre vers la pièce principale qui servait de lieu d'exposition et de commerce. On pouvait encore voir des traces brunes sur le sol ainsi que deux chaises non loin.

Dans la cuisine, peu de choses de valeur. Cela semblait constraster avec le luxe apparent de la boutique.

A l'étage, le groupe eut cette confirmation : une pièce servant de salon avait un petit canapé rehaussé de napperons en dentelle. Un joli tableau dans un cadre surplombait la salle. Tout était bien rangé et propre.

Dans la chambre cependant, aucun luxe : un lit spartiate, une commode avec peu de vêtements mais tous de bonne qualité. Un symbole d'Asmodeus était gravé sur un miroir.

Modifié par un utilisateur lundi 19 décembre 2016 14:36:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

Sur le sol, Aaron reconnait bien du sang.

Les liens sont encore présents : de la corde qui servait à empaqueter les morceaux d'argiles.
Il se rappela que sur les cadavres, aucune trace de marque au niveau des poignets étaient présentes.

Les victimes avaient donc dû être tuées avant puis mises en scène après leur mort.

Toutefois, aucune trace pouvant expliquer qui était l'assassin et pourquoi il faisait cela.

Il n'y a aucun passage secret.