Salement blessé par le carreau envoyé par l'elfe folle, Horiadoc choisit de se replier vers l'étage et de s'abriter aux côtés de son ami Grigan. Kar'Uz, quant à lui, fit un pas de côté et se prépara à frapper à l'aide de sa fronde. (Tu aurais pu faire un jet d'attaque et de dégâts à l'avance ! )

Abbaër se déplaça à quatre pattes le long du mur de la maison pour se diriger vers les fenêtres qui n'avaient pas encore été examinées jusqu'à présent. Il fallait aussi connaître le nombre de zombis qui leur resteraient à affronter pour savoir si le groupe pouvait se mettre à poursuivre la disciple elfe de Rolth.

Le nain n'avait pas besoin de rester au côté de l'inquisiteur, le but était de blesser leur adversaire dans un premier temps pour pouvoir la pister et connaître sa position lorsqu'elle était invisible.

Modifié par un utilisateur vendredi 7 octobre 2011 07:07:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Mais par tous les dieux, qu'est-ce que tu fabriques, Abbaër ? C'est maintenant et en bas, qu'on a besoin de tout le monde. S'il reste des zombis, jen fais mon petit déjeuner... Euh, quand même pas, mais il faut foncer, c'est la meilleure tactique. Merci, Fergus, c'est reparti ! »

Et Horidoc dégusta la potion non sans émettre un petit rôt gentillet, puis se lança en avant, espérant ainsi montrer l'exemple et que tous se samis suivent, au lieu de se carapater comme des froussards. C'était la première fois qu'il était autant furieux après Abbaër. Mais aussi, c'était peut-être parce que lui, Horiadoc, en reculant, n'avait pas su assez donner l'exemple.

Il fonça donc en bas, sus à l'ennemi encore invisible.

Déplacement en K9

• Guérison : 2d8+5 donne [13] + 5 = 18

Même de l’extérieur, Théobald entendait ses compagnons réagir et même pester contre leur initiative ! Il regarda le nain pour voir ce qu'il faisait, et il pouvait le remercier, il l'avait suivit ! L'inquisiteur se posa et attendit Abbaër, il devait maintenant coordonner leur action pour se préparer et repérer l'elfe.

En attendant, il pouvait peut être par le bruit éviter qu'elle ne passe dans la salle du banquet. L'inquisiteur ouvrit un peu plus le volet et brisa la vitre. Enlevant son couvre chef il essaya de se tapir dans l'ombre de manière à se positionner pour tenter de la surprendre si elle passait par là!

Action rapide:Jugement de guérison: +2PV/Rd
Un pas sur le coté pour se positionner en I15.

• Discrétion : 1d20+10 donne [2] + 10 = 12

Modifié par un utilisateur lundi 10 octobre 2011 13:17:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

Théobald fit un pas vers la première fenêtre du mur incurvé qui donnait sur la salle à manger et en écarta le volet. La fenêtre ne s'ouvrait pas, du moins pas de l'intérieur, mais il avait désormais une vue dégagée sur l'intérieur de la salle. Quatre des étranges convives qu'ils avaient aperçus plus tôt se tenaient toujours, immobiles, autour de la table. Il était facile de comprendre que les quatre autres étaient sortis par la porte ouverte qui donnait sur la salle centrale pour rejoindre le combat. Les quatre invités déguisés qui se trouvaient encore dans la salle à manger se fixaient mutuellement sans bouger… il était difficile de dire s'ils étaient simplement morts ou morts, réanimés, et immobiles.

Pendant ce temps, là, Horiadoc parvint à la fois à pester contre ceux qui étaient descendus par l'extérieur, à enjamber la balustrade, à atterrir sur les escaliers, à avaler le liquide de la décoction que Fergus lui avait confiée (ce qui lui provoqua des chatouillis tout en refermant la plupart de ses plaies, et entre autres la dangereuse blessure que le trait décoché par l'elfe folle lui avait occasionnée au cou), à descendre les escaliers et à avancer sur quelques mètres (Théobald le vit passer en coup de vent par l'ouverture de la porte).

Le halfling se retrouva dans une petite pièce jouxtant la salle principale. Du coin de l'œil, il aperçut une table basse posée contre le mur, avec un vase renversé dans lequel se trouvait encore un bouquet de fleurs fanées. Sur sa gauche se trouvait une porte fermée ; en face de lui, il y avait une autre porte, ouverte celle-ci, qui donnait sur l'auditorium où il avait aperçu les zombis musiciens silencieux quelques instants plus tôt (les musiciens n'étaient plus là mais les spectateurs immobiles, quant à eux, étaient encore assis sur les chaises, occupés à observer une estrade désormais déserte). Plus loin, sur sa droite, il devina un court couloir qui menait à une porte ouverte donnant sur une autre pièce ressemblant à une cuisine.

Kar'Uz, quant à lui, resta immobile à l'étage, prêt à envoyer une bille de fronde sur toute elfe folle qu'il apercevrait. Grigan, lui, décida de ne pas laisser son ami halfling seul. Il descendit à sa suite et s'avança jusqu'à l'entrée du couloir qui donnait dans la cuisine. Il aperçut un feu ouvert, une table où pourrissaient les restes de plusieurs plateaux de nourriture et, dans le fond, une porte qui devait permettre de rejoindre la salle à manger. Deux individus en tenue de servants étaient attablés autour des plats avec, en main, de grands couteaux de cuisine. Lorsqu'ils entendirent le rôdeur arriver, ils se relevèrent bruyamment en repoussant leur chaise.

Abbaër termina de se laisser glisser contre le mur pour descendre du balcon vers le jardin et rejoindre ainsi Théobald à son poste d'observation, de sorte qu'il put, lui aussi, se rendre compte que la moitié des convives qu'il avait repérés plus tôt avaient quitté la table.

À son tour, Fergus descendit les escaliers et traversa la salle de danse macabre jusqu'à atteindre l'ouverture donnant sur la partie nord de la maison. Il se rendit rapidement compte que la salle de bal et la pièce qui la jouxtait n'étaient séparées que par un épais mur garni d'un large antre. Du côté nord, on pouvait apercevoir deux fauteuils confortables installés face à l'antre vide avec, entre eux, une table basse sur laquelle reposait un plateau d'argent et deux coupes remplies d'un liquide, du vin peut-être.

La salle nord était déserte. Deux portes permettaient d'y accéder ; celle de l'ouest était fermée mais celle de l'est, elle, était ouverte. Sans doute était-ce par là que l'étrange elfe était passée au cours du combat précédent.



Suite après le test de Perception d'Horiadoc (voir fil Perception & Init)

Modifié par un utilisateur mercredi 12 octobre 2011 22:34:52(UTC)  | Raison: Non indiquée

Grigan avait déjà tourné son attention vers les deux nouveaux zombis qui se dirigeaient lentement vers lui. Contrairement aux autres, ces deux-ci portaient des habits de serviteurs, bien moins "chics" que les parures des invités morbides rencontrés précédemment.

Horiadoc, quant à lui, avait repéré les deux morts-vivants mais, peut-être moins préoccupé par leur approche que son compagnon humain, il avait également repéré un mouvement étrange dans le fond de la "cuisine", derrière le large antre dans lequel pendait une marmite de fonte aux formes généreuses. Il se pencha pour mieux voir et se rendit compte qu'un coup de vent… ou quelque chose… ou quelqu'un avait ouvert la porte (en L13 sur le plan)

Quelques secondes plus tard, ce fut au tour des deux observateurs situés à l'extérieur, Abbaër et Théobald, de voir l'une des portes donnant dans la salle à manger (en I13 sur le plan) s'ouvrir légèrement (suffisamment pour qu'une personne assez svelte puisse entrer ou sortir de la pièce) puis se refermer.



Suite après le test de Perception d'Horiadoc (voir fil Perception & Init)

Théobald avait vu son compagnon nain ouvrir le volet sur le coté pour pénétrer dans la maison, c'était une bonne chose, mais par contre lui l'inquisiteur n'avait pour le moment pas besoin de cette ouverture, il avait déjà son plan dans la tête, celui où il invoquerait l'arme spirituelle de Iomédae à travers la fenêtre mais fallait il encore pouvoir entrapercevoir l'elfe encore une fois !
Pour le moment le piège qu'il pensait mettre en place semblait marcher. Il avait vu la porte de la pièce qu'ils s'étaient mis à surveiller lui et Abbaër, s'ouvrir. Pour le moment c'était sùr, elle était en face d'eux mais ou ??

Ça il le verrait, mais pas de suite, il fallait encore l'enfermer et la prendre au piège dans cette pièce. Il avait crue entendre ses compagnons descendre au rez de chaussée, ce qui voulait dire qu'il n'était pas loin de la porte d'entrée de cette salle de banquet.
Il fallait tenter le tout pour le tout « Abbaër, il faut qu'on bloque toutes les portes de cette salles, je vais crier et prévenir les autres, toi bloques la porte ouest ! Eh les gars! Elle est ici dans la salle du banquet, il faut la bloquer venez vous mettre à chaque issue !!! »

Théobald ne bouge pas et prépare son action, dés que l'elfe apparaît j'incante arme spirituelle sur elle !!
Donc quand j'agirais:
Action rapide:Jugement de guérison: +2PV/Rd
Action préparé:Arme spirituelle
Je ferais les jets si tout ce passe comme prévu!

Modifié par un utilisateur jeudi 13 octobre 2011 22:19:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

La tentative de persuasion avait avorté, l'elfe n'était pas si mentalement atteinte que ça, elle se moquait plutôt d'eux qu'autre chose. A l'appel extérieur de Théobald, le shoanti abandonna l"idée de la fronde pour se précipiter vers le bas de l'escalier. S'il n'était pas armé pour combattre au corps à corps, il pouvait la gêner et pourquoi pas l'empêcher de tirer s'il était à son contact. La salle à manger était certainement l'endroit vers le sud. Il avisa la porte du rez au bas de l'escalier, c'était pour lui la plus proche et il avait des chances de l'atteindre avant qu'il ne soit trop tard.

Double déplacement vers I9 (si j'ai bien compris...).

L'éducation reçue par Grigan ne le portait certes pas en temps normal à frapper une femme, à moins que cette dernière ne soit une combattante. Mais là, il se trouvait un autre cas de figure.
Il du tout de même se remémorer que ce n'était plus une simple cuisinière, mais un zombi sans âme qui voulait lui ôter la vie dont elle était elle-même privée.

Fort de ce raisonnement, il se décida à l'éliminer, sûr que ce second trépas de son corps physique, avec l'aide de la déesse de Kar'Uz, permettrait ainsi à l'âme de ce qui avait été cette femme pourrait enfin trouver le repos qu'elle méritait.



Malus de -2 compté