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Offline Eleuther  
#221 Envoyé le : vendredi 15 juin 2012 20:13:10(UTC)
eleuther
Rang : Habitué
Inscrit le : 10/02/2011(UTC)
Messages : 902
Localisation : Montréal
Malheureusement, il n’est normalement pas possible de « faire 10 ou mieux » Smile Le joueurs doit choisir de « faire 10 » ou d’effectuer un jet.

Dans le cas des actions à plus « long terme », il n’est pas possible de « faire 10 » (puisque de toute manière, il vous suffirait alors de « faire 20 » dans la mesure où vous disposez de tout le temps voulu. La raison en est que ce jet ne représente pas une tâche précise sur laquelle vous pouvez vous concentrer plus ou moins longtemps, mais un ensemble de tâches effectuées dans le contexte d’un but particulier. Il représente tout autant la tâche elle-même que les « impondérables » qui ne dépendent pas (entièrement du moins) du personnage (jour de pluie, découragement, bris d’équipement, etc.). Un peu comme ce jet de 2 que je décrirai dans le bilan de vos action à « long terme » quoi ;)

Il nous reste Roélia et Vlad pour les actions générales et je ferai le bilan du printemps

Modifié par un utilisateur vendredi 15 juin 2012 20:55:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Offline Vlad  
#222 Envoyé le : samedi 16 juin 2012 20:43:02(UTC)
Vlad
Rang : Habitué
Inscrit le : 10/06/2010(UTC)
Messages : 4,394
Localisation : Château de Véretz
Suite à ce dernier incident, le petit groupe avait enfin pu souffler.
Enfin souffler était un grand mot... Tout restait à faire.
Planter de quoi se nourrir, construire des habitations, explorer les environs...

Maekar tenta d'assigner à chacun la tâche pour laquelle il était le plus doué, les conditions imposants aux membres de l'expédition d'être rapides et efficaces...

Pour Maekar les prorités sont :

1) l'approvisionnement en nourriture et en eau potable
2) la création d'abris pour les hommes et les animaux
3) la sécurité par l'instauration de tours de gardes et l'exploration des environs (ce qui peut permettre de trouver certaines ressources par la même occasion)

N'étant pas très doué pour l'agriculture, Maekar va explorer les environs en compagnie d'un garde (s'il s'avère qu'un d'entre eux sera gênant pour l'établissement de la colonie ou s'il n'a pas de talent particulier en dehors de celui des armes) ou seul. Le noble sera en armure avec son destrier et prêt à combattre. Le but est de s'assurer que rien dans la proximité immédiate ne menace le campement et d'éventuellement trouver d'où viennent les hommes de mousse afin d'estimer la menace qu'ils représentent pour peut-être la neutraliser par la suite.
Un des hommes d'armes restera toujours auprès des serfs afin de pouvoir les protéger (le plus discipliné des deux ou celui qui a quelques connaissances qui pourraient être utiles à l'installation du groupe).
En son absence, Maekar délègue la responsabilité de la gestion de la colonie à Réolia (à part lui, elle est la seule à savoir lire, écrire et compter...)

Quand il est présent, il s'appuie sur la jeune fille pour diriger et mets à profit sa connaissance de l'art de la guerre pour que le groupe fasse des tours de garde et que toute personne apprenne un minimum à manier une arme.

Le jeune seigneur n'est pas particulièrement chiant (si un paysan lui dit que le mieux pour les cultures c'est de procéder d'une certaine façon, il se rangera à son avis). Par contre il est exigeant sur la vitesse à laquelle avancent les travaux (il veut que le groupe soit à l'abri et autonome le plus vite possible) et il est impitoyable avec les éventuels tire-au-flancs.
Si les choses avancent comme il le désire, il n'hésitera pas à récompenser les hommes en puissant plus généreusement dans les stocks pour améliorer leur ordinaire ou en leur faisant distribuer des choses provenant de ses stocks personnels (vin, fruits et autres denrées "de luxe" qu'il pourrait avoir).
Sa psychologie peut se résumer à "quand il faut punir, punit tout de suite et quand il faut récompenser, récompense tout de suite".
Offline Ionisa  
#223 Envoyé le : lundi 18 juin 2012 18:10:27(UTC)
Ionisa
Rang : Sage d'honneur
Inscrit le : 14/11/2010(UTC)
Messages : 1,844

Roélia

Pommeroug

Roélia était contente d'avoir pu sauver la vie du jeune homme, elle profita des jours suivants pour vérifier l'état des personnes à la santé faible en leur prodiguant des conseils remplis de statistiques. En journée elle aida à la construction de la colonie en donnant des avis et toute fière que Maekar est demandé qu'elle l'assiste, elle propose pleins d'idées et tente de dessiner dans la boue des plans avec des côtes qu'elle efface souvent pour proposer une idée encore "meilleur".

La soirée, la jeune fille se plonge dans son livre jusqu'à ce que la fatigue la gagne, elle s'endort alors dessus. Sa première action en se levant est de trouver un lac, une cascade, enfin un point d'eau bien caché où elle peut se laver tranquillement.

  • Survie pour trouver un coin d'eau tranquille et sur : 1d20+4 donne [4] + 4 = 8
  • Art de la Magie pour étudier son livre : 1d20+6 donne [19] + 6 = 25
  • Premiers soins pour aider les personnes blessées et leur donner des conseils : 1d20+4 donne [14] + 4 = 18
  • Connaissance ingénierie pour aider à la construction du camp : 1d20+4 donne [16] + 4 = 20


S'il faut ajouter des jets de dés, pas de soucis.
Offline Eleuther  
#224 Envoyé le : lundi 18 juin 2012 22:30:30(UTC)
eleuther
Rang : Habitué
Inscrit le : 10/02/2011(UTC)
Messages : 902
Localisation : Montréal
Roélia eut tôt fait d’établir une règle de base : les hommes au lac, les filles à la rivière… comme c’était Lucie qui travaillait au champ sur le bord de la rivière, les hommes n’utiliseraient pas ce prétexte pour débarquer pendant le bain des filles. La fille aux cheveux étranges était suffisamment utile et impliquée pour gagner le respect de tous. La consigne fut donc suivie. Le mystère qui l’entourait depuis son intervention au gué aidait certainement à ce que ce soit le cas.

Neyrion et Athanase restèrent comme ils l’avaient dit, patrouillant parfois avec Guilhem lorsqu’il s’éloignait dans la vallée. Neyrion accompagna aussi son seigneur lors de ses explorations. À l’ouest, ils se rendirent ensemble jusqu’au pic aux corbeaux. Ils nommèrent ainsi cette montagne en raison de l’impressionnante quantité de volatiles de cette espèce qui y croassaient sans cesse dès qu’un intrus s’en approchait. Vers le nord, ils contournèrent Grand mont, qui atteignait tout de même les six cents mètres, et découvrirent un plateau de quelques kilomètres, sur lequel se trouvait un lac dominé par une énorme moraine, le lac du rocher. Ils appelèrent cet endroit le « plateau des lynx » en raison de la découverte de traces de ces fauves, dont la fourrure était par ailleurs prisée par la haute société prospère, en bordure du lac.

Maekar découvrit que le bois aux loutres comptait bon nombre de rivières qui se déversaient dans les Terretraîtres, nourrissant ainsi l’immense marécage. Il y récupéra au passage un bocal de sangsues, en espérant que quelqu’un saurait en utiliser les vertus médicinales.
Au cours de ses explorations, le noble retrouva aussi quelques carcasses d’animaux. Il était difficile de dire si cela était le fait de prédateurs naturels ou d’une force étrange, dans la mesure où même morts, les cadavres avaient été soumis aux charognards. Certains des corps contenaient de la mousse semblable à celle des créatures qui étaient surgies du sol. Maekar ne prit pas de risques et les brûla comme le lui avait conseillé Guilhem.

Arthemus et Gildor s’affairèrent pendant ce temps à construire l’enclos pour les deux cochons, qui avait grandement besoin de se dégourdir les jambes. Gildor s’en occupa ensuite pendant qu’Arthemus commençait à abattre et à équarrir les premiers arbres désignés par Antoine.
De son côté, le charpentier sentait que ce lieu portait une énergie particulière, avec laquelle son être semblait en résonnance. Il avait souvent eu des visions ou ressentit cette énergie que diffusait le monde, mais jamais autant qu’à cet endroit. Y avait-il moins d’interférences ici? Son esprit avait-il mûri? Antoine ne savait pas pourquoi il ressentait mieux et avec plus de précision en ces jours ce qu’il avait soupçonné en lui toute sa vie… mais il le ressentait. Et il avait plus que jamais l’impression qu’il pourrait exercer un contrôle sur cette force.

Saïos n’avait cependant pas l’intention de se faire oublier et ne laisserait pas à Orgar le bonheur de contempler ainsi les colons à l’ouvrage. Ces derniers eurent à affronter pendant sept jours de violentes averses nocturnes. Si cela ne ralentit pas pour autant les ardeurs de chacun à la tâche, cela eut tout de même pour effet de gorger le sol d’eau.
Rendu spongieux, le terrain fut beaucoup plus difficile à travailler que ne l’avait espéré Lucie. Le dérochage se déroula relativement bien, mais quand vint le temps de retourner la terre, la petite Lucie réalisa pourquoi cette tâche était habituellement confiée à ses frères plus âgés : la terre était lourde, et l’eau n’arrangeait pas les choses, alourdissant indûment l’humus. Mais Lucie était entêtée et y investit tout son cœur. C’est les pieds boueux et les mains pleines d’ampoules qu’elle rentrait le soir dans le pavillon.

De son côté, Guilhem remarqua que la vallée était giboyeuse. Le lac avait un évident pouvoir d’attractions sur les animaux. Non seulement était-il possible d’y pêcher, mais ses berges regorgeait aussi de sources de nourriture qui n’attendait qu’à être cueillit (ou capturer). Les flancs de la colline nord-ouest et le bois de l’ouest comptaient aussi de nombreux terriers de toutes tailles. Guilhem captura de nombreux lièvres lors de ses chasses de fin de saison, et même un habbibit.

Chacun s’était attelé à sa tâche et nul n’avait rechigné à aider un camarade dans le besoin lorsque cela s’avérait nécessaire. Maekar fut satisfait : il semblait que tous avaient compris que la survie du groupe dépendait des efforts individuels et collectifs. Au 90e jour de Gaïa, il ouvrit une des bouteilles prises dans la cave paternelle et offrit à chacun un verre de vin. Ils fêtèrent ainsi, avec mesure, la fin de la saison. Neyrion et Athanase avertirent toutefois qu’ils devraient reprendre la route et revenir à Shaus comme cela leur avait été commandé. Ils promirent toutefois de parler de la situation au baron, dans l’espoir qu’il accepterait d’envoyer des renforts…

Vous consommez 7 bouffes en tout et 1 Bois pour la construction de l’enclos et le chauffage.

La chasse de Guilhem rapporte 3 Bouffes
Arthemus rapporte 1 Bois
L’identification des bonnes essences par Antoine vous donnera un bonus de production de +1 sur la prochaine action d’abattage.

L’enclos des cochons a été installé en H9 (5,5) et le champ de Lucie a été labouré en K8 (5,3) il n’est pas encore semé.

La distribution des xp et les cartes ont été mis à jour

Si vous avez encore des détails à ajouter pour la fin du printemps, vous pouvez encore le faire ici (dans la limite du raisonnable bien sûrLaugh

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