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La nuit s'écoula et le sommeil faut agité pour la plupart des survivants... C'est passablement fatigués qu'ils s'éveillèrent le lendemain matin. La journée s'annonçait chaude... trop chaude vu la température déjà élevée à l'aube. La fatigue et la chaleur matinale avaient sappé le moral des troupes et c'est sans empressement et moroses qu'ils décidèrent de lever le camp et de partir en direction du sud, en longeant la côte. Tout le monde participa à l'ouvrage et se mit en route, l'air maussade. On ne discutait que lorsque c'était vraiment nécessaire. Même Gelik; d'ordinaire si bavard, ne parlait quasiment pas. Le groupe donnait l'impression de prendre seulement maintenant la mesure de la catastrophe qui les touchait. Me'amesa ouvrait la marche et était à l'affût de tout ce qui pourrait lui sembler intéressant mais elle ne remarqua absolument rien de particulier. Aucune trace de bête sauvage en bord de mer et aucune trace de vie humaine non plus. Après environ 3 heures d'une pénible marche le long des côtes, sous une chaleur écrasante, le groupe put distinguer sur le côté une petite île à environ 250 mètres de la plage. Ishirou s'arrêta, observa la mer et puis s'écria, visiblement tout excité par ce qu'il avait vu :  Ishirou
- Asmodiarr j'ai besoin de ton jet de vigueur (vs maladie)
- Prenez en compte le temps qui passe car vous devez remonter un nouveau camp. Seuls vous y aideront les pnj amicaux à qui vous le demandez. Vous êtes partis à l'aube mais vous avez mis un moment à démonter le camp. Donc on peut considérer que vous vous êtes mis en marche à 8 heures. N'hésitez pas à consulter les règles que j'ai mises sur le wiki
Modifié par un utilisateur dimanche 13 mai 2012 20:18:09(UTC)
| Raison: Non indiquée
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 Me'amesa Sereine Me'amesa avait attaché son armure de cuir dans son dos à l'aide de lianes fines mais solides. Malgré cela, la chaleur commençait déjà à l'étourdir et elle marchait dans une sorte de stupeur abêtissante, accentuée par l'ambiance maussade du groupe. Aussi fut-elle surprise d'entendre la voix d'un compagnon la tirer de sa rêverie. Elle se tourna vers ce petit homme aux yeux si étranges : « Tu as une raison particulière de vouloir "visiter" cette épave, Ishirou ? Parce qu'il nous reste une heure avant les heures chaudes et il faut que l'on aie trouvé un abris avant ... »La jeune femme regarde le ciel et médite quelques secondes : « Je n'avais pas vu à quel point la journée est avancée. Je propose de monter le camp avec ceux qui veulent, pendant que les explorateurs volontaires se dirigent vers l'épave. »- Survie (campement) : 1d20+6 donne [4] + 6 = 10
Modifié par un utilisateur lundi 14 mai 2012 13:16:19(UTC)
| Raison: ajout test survie + 1pv après la nuit
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Aréodus n’arrêtait d’éponger son front à l’aide d’une manche de sa chemise, regardant de temps à autres le soleil qui chauffait au-dessus de sa tête. Il ne parlait pas pour ne pas se fatiguer, et surtout pour garder des forces en cas d’attaque de créature hostile qu’ils pourraient croiser. Quand le vieil homme ouvrit la bouche, il pensa en premier lieu à une hallucination dû à la chaleur, mais il vit tout de suite que ce n’était pas le cas, puis après la remarque de Me'amesa le marin prit à son tour la parole. « Elle a raison ! Pourquoi allez sur cette épave ? Nous devrions déjà faire notre campement et une fois cela fait, nous déciderons s’il faut aller explorer l’épave ! »Pendant ses paroles il réfléchissait à l’un des mots qu’avait utilisé Ishirou. Son boulot ! Quel boulot fait aller les gens sur des épaves ?- Diplomatie : 1d20 donne [1] = 1
- Profession Marin : 1d20+5 donne [14] + 5 = 19
- Survie : 1d20+5 donne [20] + 5 = 25
Modifié par un utilisateur lundi 14 mai 2012 19:20:09(UTC)
| Raison: Non indiquée | |
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 Djidane Djidane avait mal dormi à cause de la chaleur mais il se réveilla comme même de bonne humeur. Le jeune roublard aida les autres à démonter le camp, ce qui prit moins de temps que le montage, et ils partirent tôt... Mais la chaleur les rattrapa très vite au plus grand malheur de tous. Djidane marchait à son rythme et profita de leur randonnée pour graver dans sa mémoire les paysages qu'ils traversaient. Mais au bout d'une heure, le jeune halfelin se lassa de cette monotonie... Ce n'est que quand Ishirou cria que Djidane releva le menton pour tenter d'apercevoir cette fameuse épave. AAHHH!!Je commençais à m’ennuyer.Tout excité, l'halfelin proposa: « Autant se diviser en deux groupes... Un qui cherche l’abri et commence à installer le camp pendant que l'autre profite de la chaleur encore soutenable pour visiter l'épave. De plus, le bateau peut contenir des matériaux indispensables pour notre survie. Il serait dommage de louper pareille occasion... » Après une petite pause: « Je me propose comme volontaire pour être dans le groupe découverte! »Pour finir l'halfelin leur donne quelques conseils pour trouver l'emplacement du campement: « Il faut un endroit abrité du soleil mais assez près de la plage pour que l'on ait du vent... »- diplomatie : 1d20+6 donne [13] + 6 = 19
- survie (trouver la campement) : 1d20+2 donne [18] + 2 = 20
- perception : 1d20+7 donne [1] + 7 = 8
Modifié par un utilisateur lundi 21 mai 2012 17:07:25(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Message secret pour David :... Ishirou ishirou sembla quelque peu vexé par le manque d'intérêt que les autres membres du groupe portaient à sa découverte... « Et bien, n'a-t-on pas dit qu'il fallait chercher je ne sais plus quelle épave pour que notre ami Jask puisse y trouver des documents? Qui sait s'il ne s'agit pas de celle-ci? Et puis on pourrait peut êtré dénicher quelque chose d'intéressant à l'intérieur, avec un peu de chance...En tous cas, je n'ai pas peur d'y aller! »Message secret pour Asmodiarr, David :... Gelik n'avait pas quitté son carnet de toute la longue marche. Même si ce qu'il pouvait noter laissait perplexe la plupart des membres du groupe. Personne ne lui avait posé la question, de peur de le faire se remettre à parler. Au moins était il silencieux quand il griffonait. Cependant, lorsque le mât fut découvert, il sortit instantanément de son mutisme.  Gelik Jask prit alors la parole, d'un ton calme.  Jask Cette déclaration fut suivie d'un long soupir de Sasha Nevah.  Sashah La dernière à prendre la parole fut Aerys Mavato.  Aerys L'endroit désigné par Djidane semblait convenir et le groupe se scinda en deux parties. Ceux qui monteraient le camp et ceux qui partaient en direction de l'épave. On laisse Asmodiarr répondre avant d'enchainer. Ceux qui montent le camp peuvent faire les jets de survie ou donner des bonus de +2 aux autres. Sashah et Aerys donnent un bonus de +2 chacune à une personne. Ceux qui veulent aller explorer l'épave ont droit à un jet de perception, faisable dans le sujet des lancés de dés.Modifié par un utilisateur dimanche 20 mai 2012 19:31:37(UTC)
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Me'amesa Sereine
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 PILI Pili va d'abord aider sa sœur pour le camp et ensuite seulement elle ira aider pour l'épave. - Survie : 1d20+1 donne [15] + 1 = 16
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- jet de vigueur : 1d20+4 donne [6] + 4 = 10
- Jet de con nature : 1d20+3 donne [7] + 3 = 10
La chaleur ne semblait pas vraiment incommoder le chelaxien. Peut-être ses origines infernales l'en protégeait d'une manière ou d'une autre. Mais c'est bien cette satanée fièvre qui le faisait transpirer abondamment. En avançant le magus cherchait du regard une plante qui pourrait éventuellement soulager ses maux. « Quelqu'un ici n'aurait-il pas quelques connaissances en herboristerie ? J'ai certainement attrapé sur cette maudite ile une vilaine fièvre. Et je suis sur que nous pourrions trouver ici de quoi la soulager. »Le magus, distrait, n'avait que peu écouté les délires du vieillard. Mais quand il entendit le mot bateau et exploration, il se dit qu'il pourrait éventuellement y trouver un remède à ses mots de tête. Modifié par un utilisateur vendredi 25 mai 2012 06:59:11(UTC)
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Me'amesa Sereine En entendant les paroles d'Asmodiarr, Me'amesa interrompt momentanément le dressage du camp pour s'approcher du chéliaxien : « Laisse-moi examiner ça, tu veux bien ? Hmmm ... des yeux caves qui brillent et la peau moite, tu as de la fièvre on dirait, en effet. Tu ne trembles pas pour le moment, si ? Il ne faut pas laisser traîner ça en tout cas. »Elle ausculte attentivement l'homme pour tenter d'établir un diagnostic. Si elle ne voit pas, elle appelle sa soeur, inquiète pour son compagnon d'infortune et aussi soucieuse d'éviter une épidémie ... - Premiers secours (identifier la fièvre) : 1d20+6 donne [13] + 6 = 19
- Conn. nature (remède éventuelle ?) : 1d20+5 donne [7] + 5 = 12
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Djidane Djidane commençait vraiment à avoir chaud... Il décida donc d'enlever son armure pour se sentir plus à l'aise, se mettant ainsi torse nu. Le roublard fourra cette dernière dans son sac. Même les moins observateurs pourront apercevoir de nombreuses cicatrices, plus ou moins récentes, dans son dos. Le jeune halfelin remit ensuite son sac à dos, cachant ses anciennes blessures, et s'approcha de Me'amesa, intrigué par son auscultation. Il écouta le diagnostic de l'indigène puis essaya de se souvenir d'une plante qui pourrait soigner ce mal ou encore amoindrir ses effets. Mais il avait la tête qui tournait à cause de la chaleur ce qui le perturbait dans sa recherche. - connaissance nature : 1d20+7 donne [5] + 7 = 12
- perception : 1d20+7 donne [4] + 7 = 11
- psychologie : 1d20+1 donne [18] + 1 = 19
Djidane s'éloigna pour parler à d'Ishirou: « Bon, on est assez nombreux pour aller visiter cette épave. Mais aucune des filles ne semblent emballées par cette exploration... Dommage. Elles sont si difficile à comprendre. »Le jeune roublard se rappela une anecdote: « Mon maître m’envoyait porter des messages à celles qu'il courtisait... », il fit un sourire complice à Ishirou, « Si vous voulez, je peux glisser quelques mots pour vous à Aerys. De plus, j'ai remarqué qu'elle avait un certain goût pour l'alcool et j'ai trouvé une bonne bouteille de brandy sur l'épave de la Jenièvre. Je lui dirais que c'est de votre part... »Djidane fait de son mieux pour se rapprocher de lui et ainsi se faire un ami. Mais l'halfelin trouve que l’excitation qu'il avait fait preuve en voyant l'épave était louche. Il laissa passer quelques minutes avant de reprendre: « Pouvez-vous m'expliquer pourquoi vous tenez à explorer cette épave? Vous n'étiez pas aussi emballé pour visiter la Jenièvre... »Modifié par un utilisateur mercredi 20 juin 2012 15:52:56(UTC)
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PILI Si Pili est appelé par sa sœur, elle observera Asmodiarr. Elle cherchera dans sa mémoire des plantes ou des préparations qu'elle à déjà réalisé qui peuvent réduire la fièvre. - Connaissance nature : 1d20+8 donne [3] + 8 = 11
- Artisanat (alchimie - Maléfice chaudron) : 1d20+11 donne [6] + 11 = 17
- Premier secours : 1d20+1 donne [2] + 1 = 3
Ensuite si elle sait quoi faire, elle demandera l'aide de ses autres compagnon pour trouver les éléments nécessaire pour soigner le magus.
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Ishirou te regarda intensément [Djidane], comme pour juger si tu te moquais de lui ou si tu étais sérieux. Puis après un long silence il te répondit enfin. « Amener la bouteille à Aerys? Pourquoi pas? Mais elle a plutot l'air passionnée par les écrits car elle passe son temps à écrire. Seulement je ne sais pas vraiment ce qui pourrait l'intéresser d'autre. Alors va pour la bouteille. Pour l'épave, il se trouve que j'ai travaillé pour le consortium de l'Aspis pendant presque toute ma vie. Je viens juste de le quitter. Alors les fouilles d'épaves et de ruines ca me connait. »Message secret pour Asmodiarr :... Une fois que le groupe eut rejoint un abri ombragé, ils commencèrent chacun à s'affairer aux tâches qui leur avaient échoué et un semblant de camp émergea assez vite. Asmodiarr semblait plus fatigué que la normale et atteint d'une fièvre tropicale. Si Pili ne voyait pas de laquelle il pouvait s'agir, sa soeur Me'Amesa y vit l'oeuvre d'une fièvre appelée "mal rouge". Elle informa l'infortuné et ses compagnons que cette fièvre affaiblissait fortement ses victimes mais qu'il était assez facile d'en guérir sans risques vraiment importants. Par contre, elle le mit en garde contre une contagion possible... Le groupe ayant décidé d'explorer l'épave partit ensuite voir ce qu'elle recelait. Accompagnés par Ishirou ils observèrent attentivement la mer. Elle ne semblait que peu profonde, seulement quelques mètres, tout juste suffisants pour masquer l'épave, mais pas son mat. Ils se mirent à l'eau et tentèrent d'aller jeter un oeil à l'épave. Il était impossible avec la profondeur de pouvoir rester longtemps sous l'eau. Ils parvinrent cependant à lire le nom de l'épave, "les Larmes de Grog", qui fut certainement par le passé un navire de transport. Il gisait sous les flots, en très mauvais état et Ishirou leur annonça qu'il y avait bien peu de chances d'y trouver quoi que ce soit. Il proposa cependant de pousser jusqu'à la petite ile de l'autre côté du navire voir si quelque chose s'y trouve. Modifié par un utilisateur mercredi 20 juin 2012 01:00:18(UTC)
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Djidane Bien qu'il n'y avait qu'un mètre de profondeur, Djidane ne touchait pas le sol et devait nager pour suivre les autres. Mais le contact de l'eau lui fit du bien, cela le rafraîchissait. Arrivé devant l'épave, il fut déçu quand Ishirou leur annonça qu'il n'y avait sûrement rien à voir ici. Cependant, le regard du jeune halfelin se ralluma quand on leur proposa d'aller jusqu'à la petite île. « J'en suis! Allons-y vite, le temps joue contre nous... Je ne voudrait pas bouillir comme un homard dans une casserole! »Pendant qu'il nageait, le roublard essaya de se remémorer ce qu'il savait des bateaux qui passaient dans les environs. - perception : 1d20+7 donne [8] + 7 = 15
- connaissance locale (bateau) : 1d20+6 donne [5] + 6 = 11
Modifié par un utilisateur samedi 2 juin 2012 16:47:40(UTC)
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Une fois le camp établit, le mage s'écroula de fatigue. Il sentait la fièvre le gagner. Il s'installa aussi confortablement que possible et tenta de se reposer du mieux qu'il pouvait. S'économiser le temps de récupérer voila tout ce qu'il pouvait faire. Je suis maudit, me voila prisonnier sur cette maudite île et mon corps me trahis. C'est bien ma veine. Le magus s’appliquât quelques morceaux de tissu imbibé d'eau sur le front avant de sombrer dans l'inconscience. Message secret pour Rodzilla81 :...
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Me'amesa Sereine Tout en dressant le camp, Me'amesa observe de loin le manège des aventuriers en herbe partis explorer l'épave, s'assurant que tout allait bien de leur côté. Elle s'approche ensuite d'Aerys, et histoire d'engager la conversation : « Ouf ! Quelle chaleur ! ... Ishirou est bien intrépide ... J'ai cru remarquer d'ailleurs qu'il t'observait régulièrement. C'est un ami ? »Se rappelant l'odeur d'alcool qu'elle avait sentie sur elle, au fur et à mesure de la conversation, elle essaye d'apprendre si c'est un état récurrent ou pas chez elle. Et si elle semble alcoolique, la rôdeuse tente de connaître les causes à l'origine de ce problème. Elle proposera même éventuellement de l'aider pour soigner ça, connaissant sans doute, de part son savoir en matière des choses de la nature, des plantes adaptées à cet usage. Elle compatit autant que faire se peut et s'intéresse aux raisons qui l'ont menées sur ce bateau. Sans insister non plus si Aerys est hésitante à parler ... - Diplomatie : 1d20-1 donne [11] - 1 = 10
- Conn.(nature) pour un remède à l'alcoolisme : 1d20+5 donne [15] + 5 = 20
Modifié par un modérateur mercredi 20 juin 2012 00:59:13(UTC)
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PILI Après avoir vu que le camp était en place, Pili ira rejoindre le groupe en exploration histoire de pouvoir apporter ses capacités de soins si besoin.
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Message secret pour Asmodiarr :... Poulosis : Tu connais en effet une plante tropicale à même de soigner les effets de l'alcoolisme. Il s'agit de l'ortie aux vipères (cf wiki) Quand tu arrives vers elle, Aerys est en train d'écrire et de raturer sur un livre dans lequel elle a visiblement écrit de nombreuses pages. Elle semble toujours touchée par des tremblements, comme si elle était fiévreuse et tu en viens à confirmer ton premier diagnostic concernant une dépendance. Renfermée au départ, elle semble ensuite se détendre lorsqu'elle comprend que tu n'es pas là pour la juger, mais pour l'aider. Aerys Alors que la chaleur devenait de moins en moins tenable, la première partie du groupe s'installa à l'ombre des bâches dans le camp improvisé pour l'occasion. Ces quelques heures à marcher leur avaient semblé durer des jours et la plupart ne mit pas longtemps avant de somnoler, bercé par le bruit des vagues et l'air chaud. Asmodiarr sombra dans un sommeil agité. Il était brûlant et semblait délirer par moments. Le reste du groupe poursuivi sa nage et parvint de l'autre côté du navire, sur un bout de terre émergé qui semblait vide au premier abord. Mais ils découvrirent assez vite sur le côté nord une plage et ... un squelette jauni. Il semblait qu'un des passagers du navire ait finalement réussi à s'échouer ici... Modifié par un utilisateur mercredi 20 juin 2012 01:01:24(UTC)
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Aréodus c’était attelé à la mise en place du camp et la préparation d’un feu qui servirait à faire le repas du soir, quand il eut fini, il se mit à l’abri du soleil tout en restant éloigné du malade ne voulant pas attrapé cette fièvre. Il profita de ce moment pour faire une petite sieste qui ne dura pas très longtemps à cause de la chaleur, après cela il alla discuter avec ceux qui étaient resté avec lui. « Vous pensez qu’ils vont trouver quelque chose ? Mais au fait puis-je vous demander si quelqu’un vous attend, car cela pourrait faire partir des bateaux à notre recherche ! » Il espérait qu’avec cette question il en sache un peu plus sur la raison de leur voyage et surtout s’il y avait une chance pour que des recherches soient lancées pour les retrouver. - Diplomatie : 1d20 donne [12] = 12
Modifié par un utilisateur vendredi 8 juin 2012 10:05:39(UTC)
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Me'amesa Sereine , ajoute-t-elle en souriant. « Que faisais-tu, avant ? La poésie, semble importante pour toi. Je ne suis pas une grande spécialiste, mais je lirais ton recueil avec plaisir, si tu veux bien me le faire découvrir un jour. Moi, je chasse. C'est mon art à moi. Cela fait du bien à mon âme. Et les esprits sont heureux que je perpétue la tradition. Toi, tu as la poésie, tu as de la chance aussi. L'un des anciens de ma tribu disait toujours : ténacité est gage de réussite. Persévère, tu trouveras l'épanouissement. »Entendant la question d'Aréodus, Me'amesa pend un air affligé : « Hélas ! Je crois que ma soeur et moi étions les secours pour notre famille ... C'est pour cela que nous devons poursuivre au plus vite. Et toi ? Tu as quelqu'un qui t'attend ? »Modifié par un modérateur mercredi 20 juin 2012 01:02:07(UTC)
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Le jeune homme regarda la femme et lui répondit. « Comment vous expliquez, là où nous nous rendions personne ne m’attend, par contre ma mère habite à Magnimar donc d’ici quelques mois elle commencera à se poser des questions. Mais j’ai peur que si nous ne trouvions pas de solutions avant il sera trop tard ! »A cette dernière phrase Aréodus eut une pensée pour elle, qui allait peut-être encore perdre quelqu'un à cause de la mer. Il regarda ensuite les autres qui étaient resté au campement en espérant que pour eux il en était tout autre et que quelqu’un les attendait. Modifié par un utilisateur samedi 9 juin 2012 10:15:26(UTC)
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