Kar'Uz resta un moment muet écoutant Abbaër tout en regardant Grau dans les yeux. Il poussa un soupir à fendre l'âme d'un mort et il posa sa main sur l'épaule du soldat - « Ce n'est pas grave, Grau. Je comprends ton point de vue... Même si je n'approuve pas. Mais je comprends. Nous faisons la sale besogne depuis trop longtemps, nous risquons nos vies là-dessous et parfois un coup de main ne serait pas superflu. Tout ça pour sauver cette ville de la misère et les ténèbres dans laquelle elle est plongée. Je comprends tes doutes, ta peur et je sais que tu es un soldat, fier et valeureux. Bien-sûr si toi tu n'es pas convaincu, alors Cressida le sera encore moins. Je te demande une chose alors, ce qui ne mettra pas ni ton statut de soldat, ni ta fierté, ni ton honneur et ni ta vie en péril. Apportes ces documents au Coffre et remets les à Ishani, le prêtre d'Adabar. Si jamais nous ne remontons pas, ce qui est fort probable vu ce qui nous attends en bas, alors tout ceci n'aura pas été vain et si quelqu'un un jour veut prendre la suite ou la relève, alors il aura une bonne source d'informations pour commencer. »

« Allons-y Abbaër. Il reste ces énormes tonneaux de Voile Sanglant à détruire, la chose démoniaque à tête de cheval et la grande prêtresse du temple d'Urgathoa. Un combat difficile nous attend, économisons nos forces. » - Il se tourna vers Grau - « J'ai été honoré de faire ta connaissance. Tu pourras dire que tu as vu le dernier des shoantis dans cette ville. Je sais... que je ne remonterai pas. » - Il retourna vers l'ascenseur et attendit Abbaër pour descendre sans plus jamais regarder en arrière. Il faisait l'inventaire mental des ressources qui lui restaient, se demandant de quelle manière il pourrait venir en aide aux ultimes défenseurs du peuple. Le Corbeau aura encore quelques âmes à guider vers l'Ossuaire. Il commença à marmonner, un raclement de gorge rythmé et ayant des consonances musicales, le bruit du bourdon. La concentration commençait. Sa première action en arrivant en bas fut d'aller dans la salle des fûts. Il commença à étudier les containers, se demandant s'il pouvait les éventrer à coup de masse d'armes...

Arlandeth était resté complètement silencieux jusque là. Il accusait le coup physiquement et moralement. Il écouta tout de même attentivement le discours de Grau. Il ne pouvait être que d'accord avec ce qu'il venait d'entendre. Il ne se sentait pas capable personnellement d'aller plus loin et en voyant ses autres compagnons tout aussi épuisés que lui; il pensa qu'il en était de même pour eux.

« Ce qu'il dit est plein de bon sens. Affronter la prêtresse n'est pas une bonne idée, mais nous ne pouvons pas laisser ce temple intact non plus. Il faudrait le purifier d'une manière ou d'une autre. »

Avec le même air détaché comme si la vie n'avait plus d'importance, Kar'Uz se tourna vers Abbaër - « Nous en avons déjà parlé. Finissons le travail maintenant et vous vous reposerez après. Théobald nous attend et ce leukodaémon va finir par briser sa prison de verre. Je vais aller détruire les fûts de Voile Sanglant et après on trouve la prêtresse et après on lui lâche dessus le monstre. Quelque soit le vainqueur il sera affaibli et nous aurons une chance de le vaincre. Si nous nous reposons, c'est sur nous qu'elle va lâcher le monstre et on a y lâcher toutes nos ressources. Elle n'aura plus qu'à nous achever puis par après à remonter un nouveau clergé de la maladie et de la mort-vivance. Si tu veux rester là à te reposer, je ne peux pas t'en empêcher. Chacun est libre de suivre sa voie.la mienne est en bas. »

Il descendit et entama les fûts à la masse d'armes pour les éventrer en prenant soins de ne pas se faire éclabousser.

Théobald avait fait le tour plusieurs fois de la pièce, essayant de trouver le moindre indice, de comment était arrivé ici ces cylindres?
Ses compagnons commençaient à se faire attendre!

C’est le bruit dans la salle aux réservoirs de la maladie, qui le tira de ses observations. Il y découvrit un Kar’Uz qui se déchainait sur ces réservoirs ce qui lui donna une idée ?

L’inquisiteur retourna dans la salle au cylindre puis en choisi un ou le Leukadémon n’était pas encore formé, puis ramassa une des faux des prêtres défunt, puis frappa de toute ses forces contre le cylindre.

Fergus s'était mis à l'écart du bruit depuis un petit moment pour pouvoir se concentrer sur la lecture du grimoire de Rolth. Il était un peu déçu lorsqu'il le referma. S'il y avait trouvé quelques sorts qu'il pourrait transformer en formules, la plupart d'entre eux ne pouvaient être reproduits à l'aide d'ingrédients naturels. Néanmoins, cet objet avait quelque valeur - à minima de preuve de la défaite du nécromant - et il le replaça dans son sac.

Il passa ensuite sur son crâne le bandeau qu'Abbaër lui avait donné. Par chance, il s'adapta correctement à son tour de tête et certains effets s'en firent tout de suite sentir. Il comprenait mieux certaines choses. Il se rendit notamment compte qu'il pouvait fabriquer plus de ses bombes et qu'elles seraient plus efficaces.

Il sortit du bureau lorsqu'il aperçut Kar'Uz s'échiner à vouloir détruire les cuves contenant le virus. Effrayé par cet acte qui risquait de contaminer tout le monde - on ne savait pas encore si la maladie ne pouvait pas se transmettre par contact avec la souche virale, d'autant plus hautement concentrée comme elle devait l'être ici - et le risque de le faire était trop important aux yeux de l'alchimiste. « Arrête Kar'Uz ! Nous ne savons pas ce que pourrait provoquer une telle destruction. Le remède sera peut-être pire que le mal... »

Ces autres compagnons l'avaient finalement rejoint et il se mit au courant des dernières informations, notamment de l'échange avec Grau à l'étage supérieur. La conclusion à laquelle était arrivé le soldat n'était pas très éloignée de celle à laquelle le chirurgien était arrivé. Le groupe s'était épuisé à combattre les producteurs réels du virus. Et si la - ou les - commanditaires étaient encore en vie, il ne leur serait pas aisé de continuer leurs recherches sans artisans capables. Pour l'alchimiste, la priorité était bien de donner des soins à ceux qui en avaient besoin. Et il œuvrerait en ce sens pour refaire de ce centre ce qu'il aurait toujours dû être, un hôpital destiné à soigner et non plus à trouver un moyen de faire mourir.

D'autre part, rien ne disait que "Dame Andiaisin" se trouvait effectivement dans le complexe. Et si tel était le cas, il vaudrait mieux surveiller cet étage et s'assurer qu'elle n'y pénètre pas plutôt que d'aller à se recherche maintenant. D'autant que la plupart des membres du groupe auraient besoin d'un bon repos avant d'aller plus loin. Ils avaient souffert dans leur double affrontement avec Davaulus et Rolth et épuisé la plupart de leurs ressources. Si leur nouvel adversaire était aussi coriace que ces deux-là, ils auraient besoin toutes leurs capacité pour en venir à bout. D'autant plus qu'elle ne devait pas être seule puisque Rolth avait fait part de la présence de Mantes Rouges...

Bombes : 9/10

Le fait qu’il vit comme un sort qui se dissipait mis légèrement le doute à Théobald, puis le cylindre fracassé, il put voir le liquide qui se déversa à ses pieds. Instinctivement il fit un pas sur le côté. Etait-ce un sort de défense, ou d’emprisonnement, ou encore pour la transformation ??
L’inquisiteur se déplaça vers un autre cylindre, puis se concentra pour détecter s’il y avait une éventuelle magie, et surtout tenta de deviner son domaine.

Valéria, qui se tenait jusque là derrière Grau en tentant de ne pas se faire remarquer plus ça (à part pour les quelques remarques qu'elle n'avait pas pu s'empêcher d'émettre), avait bien observé les lieux et écouté avec attention le débat qui avait agité les membres d'un groupe fort hétéroclite qui parlait de complots derrière lesquels se cachaient des forces obscures qui seraient à l'origine du fléau qui continuait à semer la mort parmi la population de Korvosa. Dans un autre contexte, tout cela lui aurait paru bien fantasque. Mais il fallait bien avouer à la vue du groupe d'anciens prisonniers malades et du carnage qui s'était déclenché ici que la situation était bien réelle. Le message d'Orsini, le guet avec le sergent Grau qui paraissait bien anxieux, puis... tout cela ! Le goût amer du tabac de piètre qualité qu'elle avait fumé quelques heures plus tôt se remémora soudainement à son palais, comme pour lui susurrer de doux regrets quant au confort qu'elle aurait pu conserver si elle n'avait pas répondu à la missive. Un confort tout relatif, vu le marasme dans lequel elle s'embourbait depuis quelque temps. Les dernières paroles du nain aux gestes agiles et au regard vigilant mirent son cerveau en ébullition : elle tenait enfin une occasion d'infléchir les événements. Et si ces curieux personnages avaient réussi à faire tout ce chemin... Après avoir aidé à la remontée et à la mise en sécurité des malades, elle s'avança au côté du sergent Grau :

« Sergent Grau, si vous me le permettez... Maintenant que ce Grigan est là pour vous seconder, j'aimerais descendre proposer à vos amis mes services. Cela fait un moment que je cherche à me montrer utile et il ne sied pas à mon épée de rester dans son fourreau à rouiller telle une vieille femme auprès de ses fourneaux. »

Sortant un parchemin cacheté de son sac à dos, elle le tendit à Soldado :

« Si vous voulez bien transmettre ce parchemin à la famille... Bromathan, au cas où je ne reviendrais pas de cette mission : dites-leur juste que je pensais fort à eux. Bonne chance à vous également sergent : je crois que tout le monde va en avoir besoin. Et n'oubliez pas de répartir entre mes compagnons de dortoir ma dernière solde. Au plaisir maître Soldado. »

Elle descendit alors, prenant l'ascenseur, organisant ses pensées en vue de la discussion qui allait suivre. Ces aventuriers étaient sur es dents et ce n'était pas le moment de jeter de l'huile sur le feu. Et ce Shoanti ne verrait sûrement pas son arrivée sous le meilleur angle. Elle découvrit en tout premier lieu, dans la salle des fûts, Abbaër, Fergus et Arlandeth. Abaissant le capuchon de sa cape pour découvrir son visage, elle s'inclina légèrement, la main droite sur le coeur, et prit la parole d'une voix douce, mais pleine de conviction :

« Messieurs, je me nomme Valéria et, en tant que membre de la garde, bien que cela ne date que de quelques semaines, je ne saurais trop vous conseiller, tout comme certains d'entre vous l'ont déjà exprimé, la prudence. Il me revient ce vieil adage que je tiens d'un vieux caravanier késhite : patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. À moins que cela ne me vienne d'une veille mystique varisienne édentée... Paix à son âme. Bref, pour faire court, il me semble qu'il convient parfaitement à la situation. Quand aux bruits qui viennent de... du sieur Théobald, et bien cela ne paraît pas très fort à propos au vu des circonstances actuelles. Cela pourrait alerter votre... notre ennemi si vous me passez l'expression. Si vous voulez transmettre ce vieux proverbe à votre descendance, ne tentez pas le sort. Et si vous souhaitez prendre repos et courir sus par la suite aux puissances ténébreuses qui résident ici même, il faudrait mieux le faire au plus vite. Le temps ne raccourcit pas comme on dit, et l'aube verra pointer les Vierges Grises s'il faut en croire ce que vous déclarez avec une conviction tout admirable. Ne voyez pas dans mon intervention une quelconque leçon de morale messieurs, mais la fatigue et le courroux épuisent le bon sens aussi sûrement que les courtisanes de la rue de la Joie viennent à bout des énergies les plus vigoureuses. »

Soudain souriante, la jeune Chélaxienne aux accents indéniablement aristocratiques effectua une révérence avant de continuer sur sa lancée :

« Étant moi-même fort mécontente de découvrir les méfaits qui se sont déroulés en ce lieu, je vous propose également de vous offrir mes services. Je sais de-ci de-là placer quelques bottes avec cette rapière que je porte au côté quand il m'en vient l'envie. Et le coeur qui bat dans cette poitrine vous est tout acquis pour combattre les engeances et les embûches qui ne manqueront pas de se dresser sur le chemin de justes tels que vous. Quand à mon esprit et à ma langue bien pendue, j'espère qu'ils continueront longtemps à agrémenter les quelques moments de détente que vous pourrez vous accorder. Puisse Shélyn bénir nos pas ! »

Son visage et son corps changeant subitement d'attitude, elle reprit d'une voix très différente, plus pataude et masculine :

« Comme l'dit souvent not bon vieux sergent : quand on veut faire quelque chose, y a pas de y faut qui tienne. Y a qu'à ! Et là, ben y a qu'à ! »

Une fois ce flot de paroles qui semblait devoir ne jamais s'arrêter interrompu, le sourire sur son visage s'estompa peu à peu, pour laisser apparaître la morgue habituelle qui caractérisait les membres de son peuple.

La garde qui jusque-là n'avait participé que peu ou prou aux discussions depuis son arrivée avec le sergent Soldado est en réalité une belle jeune femme, assurément une Chélaxienne. Son uniforme de la Garde est soigné et son équipement semble de qualité : la vieille rapière à sa senestre ne laisse aucun doute sur ce dernier point. Elle porte un vieux sac à dos qui a vu du pays si l'on en juge son état. Sa silhouette élancée dégage l'aura partagée par ceux pour qui le combat est un vieux compagnon. Son visage à la peau diaphane, aux pommettes étroites et au nez aquilin la distinguent du commun : son visage est empreint de noblesse. Elle porte une fine cicatrice sur le sourcil droit : sûrement un souvenir de quelque passe d'armes. Un autre fait notable est la petite tâche de naissance en forme d'oiseau dessinée sur son cou, côté gauche. Et ses oreilles en forme de pointe sont vraiment étranges pour une humaine. Enfin, son visage est presque constamment légèrement incliné sur le côté, ses yeux semblant regarder en elle-même : son regard n'est jamais vraiment entrain de vous fixer.

• Jet de diplomatie pour le discours : 1d20+6 donne [8] + 6 = 14
• Jet de représentation pour le soldat type : 1d20+8 donne [3] + 8 = 11

Modifié par un utilisateur lundi 18 février 2013 09:45:40(UTC)  | Raison: Discussion avec Arlandeth et Fergus

[Abbaër entra à la suite de Kar'uz dans la pièce des leukodaemons laissant le soins à plus diplomate que lui de répondre aux interrogations de la garde qui après leur petite discussion à l'étage s'assurait certainement que le groupe ne faisait pas n'importe quoi... Mais Arlandeth s'occuperait très bien d'elle et de toute manière ils allaient bientôt tous remonter... Le nain ne lui avait pas adressé un regard mais il était vrai qu'elle n'avait pas tors ! Le roublard avait demandé à ce que le groupe ne se sépare pas et l'inquisiteur était parti au plus près du danger tout comme Kar'Uz d'ailleurs. Ceux là étaient prêt à en découdre c'était certain. Le shoanti venait de tuer un homme de sang-froid et avait la rage au ventre suite à l’incompréhension et aux remontrances de Grau. Le second voulait inconsciemment sans doute attirer la prêtresse d'Urgathoa et faire justice... Le nain n'avait même pas fait attention à comment l'inquisiteur avait fait pour ré-ouvrir la porte qu'il avait refermé à clef, sans doute avait-il récupéré un trousseau sur le corps d'un prêtre décapité.

Dans la pièce, le nain jeta un coup d’œil inquiet à la porte qui n'était pas ouverte. Qu'est-ce qu'il pouvait bien y avoir derrière ? Abbaër y posa une main, puis colla son oreille pour tenter d'entendre quelque chose par delà en faisant abstraction des coups distribués au grand tube de verre... Si la prêtresse ne débarquait pas maintenant c'était soit qu'elle avait filé d'une manière ou d'une autre ou soit que comme l'avait dit Rolth, elle était maintenant seule, acculée et sans défense. Il fallait se servir de cela...

Le roublard mit un doigt sur sa bouche pour faire comprendre aux autres qu'il fallait en dire le moins possible sur leurs plans pour ne pas avertir les ennemis qui pourraient les entendre. Il alla ramasser les deux dernières potions sur les cadavres coupa les attaches des cuirasses à la dague pour pouvoir les prendre plus tard.

Modifié par un utilisateur dimanche 17 février 2013 20:16:56(UTC)  | Raison: Non indiquée

La bretteuse, quelques instants troublée par l'attitude ostentatoire d'ignorance de sa personne de la part du nain, répondit au Varisien d'un petit hochement de tête, recouvrant le sourire :

« Croyez-moi, je connais les Arkonas de réputation, et si je suis surprise par l'ampleur de ce complot, je ne le serai pas si l'on découvre quelque preuve de leur participation à cette vile machination : c'est dans leur mode opératoire ce genre de tour. »

Valéria s'essaya une fois de plus à une imitation :

« Oh, mais vous savez Capitaine, cet entrepôt ne nous appartient plus depuis fort longtemps ! Si nous devions porter la responsabilité de tout ce qui se déroule dans nos anciennes propriétés... Bien, je ne vous retiens pas Capitaine. Le sénéchal de la Reine m'attend au salon, et vous savez à quel point il a horreur d'attendre : vous pouvez disposer. »

Reprenant son sérieux :

« Et je le serai encore moins si je dois périr dans cette entreprise. Mais rester assise à fumer du mauvais tabac en espérant que le Voile Sanglant nous épargne moi et ma famille, sans parler des nombreux amis que j'ai en ville, cela me met les nerfs en pelote. De plus, je vois dans votre entreprise un moyen efficace de trouver un remède à ce fléau. Ce qui n'est pas le cas quand je suis à la caserne à passer mon temps à cirer mes bottes. Je vous remercie pour votre accueil, Messire Arlandeth : ceux qui se permettent de dire que les Varisiens n'ont aucun sens des civilités auront fort à faire désormais pour se défendre de mes piques. Et que vous soyez un représentant de la Fleur de l'Aube me réchauffe le coeur : nos ennemis n'ont qu'à bien se tenir. »

Elle termina sa tirade sur un petit sourire de défi et, tout en attendant poliment une réponse éventuelle de la part du prêtre ou une intervention de celui qui se prénommait Fergus, se mit à examiner la salle dans laquelle elle se trouvait, la main droite nonchalamment posée sur la garde de sa rapière. Lorsqu'elle s'aperçut de la présence de Théobald, elle répondit à son salut d'un petit hochement de tête, n'osant trop bouger pour le moment : s'immiscer trop vite dans leurs affaires risquait plus de lui nuire qu'autre chose. Et elle n'avait pas encore pris la mesure de chacun.

• Jet de représentation (mime) du seigneur Arkona : 1d20+8 donne [13] + 8 = 21

Modifié par un utilisateur lundi 18 février 2013 09:46:33(UTC)  | Raison: orthographe + discussion avec Arlandeth et Fergus+ salut de Théobald

L’inquisiteur avait presque été surpris par l’intrusion du chaman, plongé dans ses réflexions, il ne l’avait pas entendu venir. Ce qui le fit douter sur sa vigilance, il aurait pu se faire surprendre comme un novice si la prêtresse avait voulu venir sauver les dons de sa déesse !!
Kar’Uz l’avait aidé à finir le travail, tous les deux en accord pour ne pas détruire le quatrième cylindre celui qui l’avait tellement nargué pendant le combat avec les deux prêtres !!!

L’arrivé du nain, l’avait rassuré, mais également informé sur leur intention de continuer. Théobald n’avait pas trop suivie leur conversation, lui-même persuadé qu’il fallait coute que coute finir le travail sur une même lancée !! Mais lorsqu’il s’était posé lors de l’effondrement du troisième cylindre, il avait cru entendre une voix féminine, il se rapprocha de la salle aux futs, pour discerner la garde qui accompagnait Grau !
Il écouta ses dernières paroles, et lorsque celle-ci tourna la tête dans sa direction, il lui fit un salut avant de retourner au près du nain. « Alors tu entends quelques choses ???
Y va falloir y aller, hein !!! »