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C'est par une chaude nuit d'été dans une des nombreuses tavernes des quais de la capitale des Entraves qu'un groupe se retrouva à la même tablée. Forcés de partager l'espace car la Vierge Farouche contenait plus de clients ce soir là qu'elle n'avait de places pour s'assoir. Port Péril était la capitale des pirates, scélérats et pires bougres que Golarion pouvait compter. L'air marin entrait par les fenêtres maintenues ouverte offrant un peu de fraîcheur dans cette chaude nuit alcoolisée. La tenancière répondait au doux nom de Berta, une humaine aussi grande que grasse qui jurait être une ancienne dame du Cheliax à qui voulait bien l'entendre. Ses trois filles faisaient le service au milieu des mains baladeuses et des promesses de marins joyeux. Il était de notoriété que si on leur glissait la pièce sous la jupe elles montaient vous réchauffer pour une heure ou deux... L'air était saturée de rires gras, de chansons paillardes de marins que jouait un homme avec sa mandoline levant aussi souvent son instrument que sa chope. L'odeur du ragoût de morue, d'autres plats exotiques indéterminables, du rhum et des alcools épicées finissait de donner le tournis à la tablée. Deux jolies jeunes femmes l'une demie-elfe aux cheveux bleus, l'autre humaine à la chevelure rousse se trouvaient serrées et assises avec le reste du groupe. Elles avaient reboutés plusieurs fois dans la longue soirée arrosée des marins leur sautant au cou et tentant de glisser des mains en même temps que des avances on ne peut plus douteuses. La rousse levait le plus souvent sa chope à l'appel de Besmara. L'autre n'avait guère besoin d'un quelconque mot pour boire. Un humain assez âgé et plutôt imposant de part la largueur de ses bras lançait à toute la taverne qu'il partait bientôt et qu'il avait besoin d'un équipage. Il se jurait capitaine, LE capitaine Idriss Finnegan fils du grand capitaine libre Edgar Finnegan ! Tous ceux autour de la table furent saoulé en plus de l'alcool par les incessantes promesses de richesses et de gloire s'ils acceptaient de se joindre à son équipage. Un colosse se trouvait à la table portant une hache énorme dans son dos. Ses bras étaient encore plus grands que ceux du capitaine malgré une taille respectable. Mais l'homme était imposant et c'est grâce à son intervention que les marins de la Vierge Farouche avaient vite abandonné les deux femmes quand un type eut le nez cassé pour avoir bousculé l'humain. Restait deux types atypiques : un demi orque portant quasi rien et n'étant vraiment pas un canon de beauté même pour les critères orques aux vêtements sales. Certains à la table se demandaient même s'il avait de quoi payer... Enfin la "chose" la plus étrange de la taverne et peut être même de Port Péril quoique cela était très discutable : un homme-corbeau était là. Il parlait, mangeait, fut l'objet de pas mal de moqueries de la taverne et avant qu'il se sorte les armes c'était Berta qui avait menacé de mettre tout ceux qui étaient pas content dehors ! Du moment qu'on payait quelque soit ce que vous pouviez être la tenancière s'en fichait royalement. Le corbeau portait plusieurs lames sur lui de l'épée bâtarde en passant par la dague mais s'avérait au final être un "homme" comme les autres. Chacun avait eut ses raisons pour arriver à Port Péril : échapper au quotidien, vendre ses rêves de partir en mer, trouver un boulot, trouver un navire ou revenir chercher un embarquement et à défaut tuer la soirée dans l'alcool. Puis tard dans la soirée le noir se fit progressivement, le monde semblait perdre ses couleurs, la tête tournait et les compagnons de tablée d'un soir sombrèrent dans l'inconscience... Pour ceux qui ont leur personnage de prêt je vous laisse un peu de lecture et une petite description de votre personnage à faire au reste du groupe tel qu'il était le soir à la Vierge Farouche.Modifié par un utilisateur vendredi 5 octobre 2012 14:01:09(UTC)
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 Uktaho Le jeune sauvage, à la peau tellement burinée qu'on aurait pu la croire de couleur noire, portait une longue chevelure brune et ondulée laissée à l'abandon dans le vent, enfin quand il y en a bien sur ! Il ne portait pour tout vêtement qu'une sorte de pagne large. Dans son dos pendait une hache tellement grande qu'il devait la poser à ses cotés pour pouvoir s'asseoir. Taillé comme une montagne mais pas inutilement agressif, Uktaho n'était pas un inconnu pour ceux qui fréquentaient les docks et la Vierge. On l'y croisait chaque soir et souvent, il accompagnait les "envolées lyriques" des marins du coin à coups de guimbarde ou d'harmonica. Une soirée presque comme les autres ! Agglutinés à une table entre inconnus, rien de très original pour le mwangis. Enfin pas tous aussi inconnus que ça comme le vieux Finn et la rouquine. Mais il n'arrivait qu'au prix d'un énorme effort à ne pas dévisager la tronche de piaf qui lui faisait face. De toute sa courte vie, jamais il n'avait croisé une telle monstruosité, à part un ogre ou deux. Même les grands singes à quatre bras des forêts du nord étaient plus harmonieusement faits ! En fait, il y avait bien autre chose qui avait aidé le barbare à détourner le regard. Deux superbes créatures complètement différentes l'une de l'autre mais fort agréables à contempler. Ils avaient tous bien bu, trop surement ! Il se souvenait avoir joué le grand jeu du protecteur en plaçant un bourre pif de ci de là pour écarter la concurrence. De plus, ses chances de succès au sein de la tablée étaient plus que bonnes. Une fois écartés le héron, l'orque et le vioque, faudrait vraiment que les damoiselles aient des goûts pervers pour qu'il dorme seul ce soir là ! Et c'est pourtant ce qui se passa ! Avant même d'ouvrir un œil, Uktaho ressentit le balancement régulier du sol et l'odeur douce de poison pourri caractéristiques d'un fond de cale. Il ressentit aussi le casque qu'on avait du lui placer sur la tête ou était-ce le présent offert par les matins qui suivent les soirées trop alcoolisées ? Modifié par un utilisateur vendredi 5 octobre 2012 15:34:44(UTC)
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Franchissant le pas de la Vierge Farouche, Nausicaä fut tout de suite agressée par les effluves d'alcool rance, de vieille sueur et de sang qui régnait à l'intérieur. Au moins l'air marin en chasserait un peu l'odeur par les fenêtres ouverte. Fraichement débarquée de son ancien navire, la Belle des Champs, elle entrait dans la taverne avec juste son sac à dos. Certains regards se tournèrent vers elle, certains plus insistant que d'autres, vers la demi-elfe aux cheveux bleus. Ah, ça ne devait pas être courant d'arborer une pareille coiffe, surtout qu'elle savait depuis quelques temps, que les hommes n'étaient pas indifférents à sa beauté exotique. Elle traversa l'établissement, esquivant les quelques mains baladeuses et autres ivrognes, pour s'adresser à la tenancière, une certaine Berta. D'un commun accord, pour peu que la clientèle soit des plus consommatrice qu'a l'habitude, elle autorisa la demi-elfe à conter quelques histoires, d'autres chants marin ou aventures. Elle ne tarda pas à avoir un petit auditoire, mais elle n'était pas dupe : Ce n'était pour les histoires qu'ils étaient là mais savourer les courbes généreuses de son corps et, si possible d'avoir un petit "entretien" en tête à tête avec elle, où les mots sont superflus. Ca me rappelle mon enfance au bordelElle balayait régulièrement la salle du regard, cherchant d'autres "clients" généreux avec elle. Certains étaient atypique et imposait un respect naturel, comme ce demi-orque quasi-nu; d'autres carrément sortis des contes et légendes, comme cet homme-corbeau armé jusqu'au... bec ? Ses spectateurs n'étaient pas avare, loin de là : tantôt payant tournées sur tournées à la table, tantôt quémandant de quoi manger, tantôt ne payant qu'un verre à Nausicaä, elle continuait à raconter ses histoires. L'alcool lui tournait peu à peu la tête, certaines boissons étant plus fortes que d'autre... Puis, lentement, vint l'obscurité. | Quand la vie te fait trébucher, il ne suffit pas de se relever : Il faut lui péter les rotules.
~Cave Johnson~ |
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C'était le grand soir ! Ce soir, il allait tous les convaincre ! Il avait tout préparé. Sa nouvelle coiffe ne pouvait pas passer inaperçue ! Il l'avait payée une fortune, certes, mais cette magnifique plume blanche valait vraiment le coup ! Peu importe qu'il n'ait plus d'économies. Avec son nouvel équipage, rien ne pourrait l'arrêter ! Le vieux marin se déplaçait de table en table, le buste droit, l’embonpoint en avant, halant les manants, payant des coups aux plus prometteurs. Il portait des vêtements noirs et une armure en bois, montrant déjà par-ci par-là quelques entailles du temps passé. A son flanc trônait un magnifique fouet ainsi qu'une dague de cuivre usée. Sa carrure et son attirail lui garantissaient l'attention des tablées. Le marché était simple : qu'ils le rejoignent et ils leur apporteraient gloire et richesse. Après tout, c'était dans son sang ! La soirée avançait et les succès se multipliaient ! Il avait déjà convaincu deux personnes ! Un homme d'expérience, complètement dégarni, reposant sur sa canne, une arme magnifique c'était certain ! Bon, il avait une petite toux et crachait parfois un peu de sang, et il n'était jamais monté sur un navire, mais il n'est jamais trop tard, n'est-ce pas ? L'air marin lui ferait un grand bien, ça le décrasserait de l'intérieur ! Et la deuxième recrue ! Quelle carrure ! Il était aussi haut que large ! Pas très grand certes. Mais il aimait l'alcool, c'est important sur un bateau ! D'ailleurs il n'avait pas tout à fait réussi à obtenir de réponse de sa part. Mais c'était certain, le lendemain ou peut-être le surlendemain, lorsqu'il aurait complètement décuvé, il viendrait à sa rencontre avec enthousiasme ! Il se dirigea vers une nouvelle table. Il y avait là des gens remarquables... et un bien bel oiseau ! Il commença son speech, maintenant totalement maîtrisé, lorsque soudain... Noir.
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 Amandine
Amandine était allée une nouvelle fois dans sa taverne préférée. Il s'y passait toujours quelque chose. Et cette soirée commençait fort bien. Il y avait un être étrange à tête d'oiseau. Amandine n'avait vu ce genre de créature et se demandait bien d'ou elle pouvait provenir. Mais son attention fut tout de même détournée par cette "concurrente" qui tentait de lui voler la vedette. Amandine redoubla d'effort pour conserver cette petite longueur d'avance face à sa rivale. Elle festoyait de plus belle en buvant, dansant et tripotant quelques marins. Lorsqu’Amandine fut satisfaite de sa prestation, elle se concentra de nouveau sur cet oiseau humanisé. L'interrogation était forte, peut être forte au vu de la quantité d'alcool ingurgitée, Amandine s'écroula sur la table dès que la taverne commença à se vider légèrement. Modifié par un modérateur samedi 6 octobre 2012 07:33:33(UTC)
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 Sarin Marchecume Le jeune orque au visage grossier couvert de fines arabesques franchit l’entrée de la taverne de la vierge farouche un franc sourire aux lèvres. S’il existait une telle femme dans cet endroit Sarin espérait pouvoir la déflorer, rien de mieux qu’un druide pour cela non ? Mais ses pensées lubriques furent vite repoussées au fond de son esprit, une terrible nausée l’assaillit quelques dizaines de secondes après être entré dans ce lieu. Souvent son odorat sur-développé était un atout pour lui mais en cet instant précis c’était un véritable handicap : des odeurs de transpiration, d’urine et de tabac saturaient son nez écrasé. Il lui fallu toute sa concentration pour ne pas vomir sur le sol et certainement s’attirer une attention d’où il se passerait volontiers. Quelques regards goguenards se tournèrent vers lui : voir un demi orque vêtu d’amples loques par-dessous laquelle on pouvait par moment discerner du bois ainsi qu’une garde métallique dépasser au niveau de la nuque était un spectacle assez inhabituel surtout lorsque la dite créature semblait lutter pour ne pas gerber. Non l’odeur était bien trop forte …. Sa mère avait raison ces citadins n’étaient que des porcs qui aiment rester dans leur fange bien trop peureux pour vivre au milieu de la nature. Oui Sarin n’avait aucune raison de rester la dedans, il fallait mie… Son attention fut attirée par une femelle aux courbes magnifiques, à la peau laiteuse et à la chevelure d’un bleu si profond qu’elle lui rappelait l’Océan et ses mystères. Sarin était comme hypnotisé par la profondeur de son regard du même bleu que ses cheveux rehaussé par un magnifique tatouage. C’était une perle dans un tas d’immondice : qui avait osé arracher cette femme à l’Océan pour la jeter sur cette terre indigne d’être foulée par ses pas ? Il tenta d’humer son odeur pour s’en imprégner et ainsi la converser parmi ses souvenirs mais il y aurait d’abord fallu chasser ce remugle parasite. Peu être pouvait-il tenter de l’approcher ? Mais elle était occupée à raconter des histoires idiotes à cette bande de porcs. De plus jamais Sarin n’oserait une approche sauf s’il se donnait un peu plus de courage et la bière était le meilleur moyen qu’il connaissait. Sarin bu encore et encore mais le courage le fuyait…Même si à force de jouer des coudes et de grognements sauvages il finit par s’attabler non loin de la belle. Sarin bu tant et tant qu’il finit par ne plus voir sa sirène et que l’obscurité finit par l’étreindre en son noir linceul. Modifié par un modérateur dimanche 7 octobre 2012 09:24:05(UTC)
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 Gus A l'abordage... Lorsqu'il pénétra dans la taverne, Gus "Je suis Gus aujourd'hui, Gus le dixième, Gus, boutade ;>" fut quelque peu surpris par l'attention que tous les clients lui accordèrent immédiatement. Race rare ici.... Mais la tenancière comprit vite qu'il était là pour boire, elle fit taire rapidement les blagues qui ne manquèrent pas de voler :> D'autant que l'homme-corbeau ne cachait pas qu'il était sérieusement armé et dangereux : une épée bâtarde pour sa main gauche, ce qui en imposait doublement, une dague attachée à sa main droite, une dans le dos - elles brillaient tant il en prenait soin, encore une épée courte attachée à son sac, un arc court. Des serres bien sûr, et surtout un bec, « que dis-je, c'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap ! »Une armure de cuir, des attaches pour les lames, enfin des plumes d'un roux si sombre que noires... Berta installa ce drôle d'oiseau à une table pour le moins intéressante. S'il n'était pas là d'abord pour l'alcool, il aurait dépouillé la plupart des clients tant une fois leur curiosité pour le tengu retombée, les regards lubriques des humains se concentraient exclusivement sur les demoiselles. Un capitaine qui recrute, comme le hasard fait bien les choses, il va falloir que je négocie mon rôle dans l'équipage.« Pour souder une nouvelle équipe, rien de tel qu'une mascotte, j'absorbe en plus le mauvais oeil et porte chance, tout le monde vous le dira, pour ne rien gâcher je suis un bretteur hors pair, une vigie digne de ce nom, un pirate né je vous l'affirme, polyglotte de surcroît ! »
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... Les rires qui résonnaient dans la nuit agitée, la joie et l'ivresse qui les habitaient, les excès, l'odeur de la viande cuite, de la morue, des épices chatouillant leur palais tout ça leur revenait en tête au fur et à mesure que le groupe se réveillait. Un horrible mal de tête fut la première chose qu'ils ressentirent dans les ténèbres où ils étaient puis vint un sale goût des divers alcools dont ils avaient abusés dans leurs bouches pâteuses, le sol dur qui les faisait souffrir de mille douleurs et un balancement régulier qu'ils prirent au début pour leur abus d'alcool mais qui s'avéra au final être autre chose... Ils avaient froids et se rendirent compte qu'ils étaient à demi-nus tout ce qu'ils pouvaient réussir à faire en l'état actuel était au mieux de s'assoir...bouger plus leur était physiquement impossible. Si certains avaient déjà connu des réveils difficile celui-là se plaçait en haut de la liste... Message secret pour Heresiarque :... Vous êtes actuellement incapable de bouger ou faire de la magie dans le noir et collés les uns aux autres. Les plus intrépides sont assis.
Vous pouvez me faire un jet de Perception DD10 associé à un jet de d'Artisanat (Alchimie) ou Connaissance (Nature).
Ah oui j'oubliais : vous avez plus rien sur vous sauf Gus qui a quelques bijoux dissimulés dans ses plumes ou bottes d'une valeur de 50 po.
Ephan peut me faire un test d'escamotage pour voir comment était dissimulée la dague dans sa botte s'il te plait.Modifié par un utilisateur dimanche 7 octobre 2012 09:58:11(UTC)
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Pouah ! Vision des peaux glabres ou pour le moins dénués de plumes.« Hey ! Notre très cher capitaine Finn, vous avez une bien drôle manière d'embarquer vos recrues ! Et... où est mon équipement ? »Le roublard vérifia aussitôt s'il portait toujours sur lui sa dague de secours et ce faisant constata qu'il n'avait pas été complètement dépouillé. Il jeta un oeil ensuite plus appuyé sur l'endroit où ils se trouvaient. Je fais "20"+8 = 28 en perception sachant que j'ai la vision nocturne.- Escamotage de la dague : 1d20+7 donne [10] + 7 = 17
- Perception (sensation de son corps) : 1d20+8 donne [17] + 8 = 25
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Le Tengu porta l'attention sur la chose qui lui semblait la plus vitale dès son réveil et qu'il comprit ce que le voleur avait été volé : sa dague. Avec elle il se sentait capable d'affronter n'importe quelle situation. Malheureusement dans sa botte ne se trouvait plus rien... La dague n'était plus là...
J'attends que tout le monde réagisse pour vous donner d'éventuelle information. Il fait noir et la vision nocturne ne vous aide pas il n'y a pas de source de lumière.
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Nausicaä ouvrit les yeux, ou tout du moins pensa les ouvrir. Ses cheveux lui donnait l'impression qu'ils poussaient vers l'intérieur et le goût désagréable dans sa bouche fournissaient l'indication qu'elle avait abusé de l'alcool. Elle senti le contact du fer sur ses poignets et ses chevilles. La voix stridente de son compagnon à ses cotés révéla que l'homme-corbeau se trouvait également dans cette... Quoi au juste ? Oubliette ? Geôle ? « Par Besmara, où sommes-nous ? Il y a eu quelconque bagarre d'ivrogne que nous soyons aux fers ? »Sa position était inconfortable et, en tentant de se redresser ou du moins, de s'asseoir, elle senti le contact d'une autre personne à ses cotés. - Perception (j'ai vision nocturne) : 1d20+2 donne [6] + 2 = 8
| Quand la vie te fait trébucher, il ne suffit pas de se relever : Il faut lui péter les rotules.
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Uktaho Le jeune barbare n'y voyait rien mais il entendait les voix d'autres personnes. Sans doute celles contre lesquelles il était actuellement. Sa tête, dans laquelle résonnait une trompette, se trouvait collée contre la peau douce qui devait être l'elfe à la chevelure bleue et qui jurait par Besama. Le bras gauche plaqué contre un autre corps qui, une fois tâté, devait appartenir à la rouquine, semblait atteint d'une paralysie, comme le reste de son corps d’ailleurs. Il avait donc eu les deux ! Un rêve ! Pourtant, il n'avait aucun souvenir de tout ça et c'était bien dommage. A quoi bon avoir une partie de jambes en l'air avec deux beautés en même temps pour ne plus s'en souvenir ? Mais là ou ça virait au cauchemar, c'est quand il entendit la voix de la gueule de piaf. j'ai quand même pas ! Ah mais quelle horreur ! Puis le roulis lui rappela qu'ils n'étaient plus sur la terre ferme, ça au moins il en aurait donner la tête de l'emplumé à couper. Ils avaient du finir cette foutue soirée dans un rafio. Mais lequel ? - Perception : 1d20+2 donne [20] + 2 = 22
- Voisin de droite (ordre wiki) : 1d5+0 donne [2] + 0 = 2
- voisin de gauche (ordre wiki-voisin de droite) : 1d4+0 donne [2] + 0 = 2
Ca c'est du bol !Modifié par un utilisateur dimanche 7 octobre 2012 13:12:56(UTC)
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Amandine
Amandine est encore en train de sortir doucement de sa torpeur. Elle ouvre les yeux, mais aucune lumière ne lui permet de déceler un indice. Son ouie lui permet d'entendre plusieurs personnes à proximité, ce qui est confirmé par bras posé négligemment sur son ventre. Elle ne se souvient plus de rien, mais cela lui arrive entre 1 à 2 fois par semaine, il n'y a rien d'alarmant. La seule question est : Mais avec qui (au pluriel) a-t-elle finit la soirée ? - perception : 1d20+8 donne [2] + 8 = 10
Modifié par un utilisateur dimanche 7 octobre 2012 15:49:43(UTC)
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Sarin Marchecume Sarin porta un regard mauvais autour de lui, de toute évidence il était à fond de cale et au sentir du tangage en mer. Au moins les barils et autres objets dangereux était encordés à la coque et ne risquaient pas de les écraser. Oui de les écraser car visiblement d'autres personnes étaient tout comme lui prisonniers dans ce bâtiment. .deux voix distinctes s’élevèrent une voix croassant et une autre plus féminine et familière. Une colère sourde s’empara du demi orque car visiblement on l'avait dépouillé après l'avoir drogué. 'Par les couilles de Gozreh qui est le fils de catin qui m'a foutu à fond de cale et dépouillé ! Viens la que je t'arrache les burnes pour te les faire bouffer !' Beugla le demi orque comme un forcené. Modifié par un utilisateur lundi 8 octobre 2012 08:36:40(UTC)
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Le tengu ajouta, pensif : « Laisse-moi les globes oculaires, poêlés dans du miel avec des oignons c'est excellent. »
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Uktaho Entendant les doux murmures rappelant ceux d'un ex taureau à l'instant de son changement de status, Uktaho compris que toute la tablée devait être là. « C'est toi, longues dents ? Il ne nous manque plus que l’aïeul et on est tous là ! »Après s'être étiré un long moment, le Mwangis se redressa dans une position assise, en vérifiant avec les mains que la hauteur de cale le lui permettait. « Quelqu'un sait dans quel radeau on est et comment on a finit ici ? »Modifié par un utilisateur dimanche 7 octobre 2012 19:54:06(UTC)
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Nausicaä écoutait plus ou moins ses "camarades" d'infortunes. « Ce qu'ils comptent faire de nous, j'en ai une vague idée : esclavage, composant pour un quelconque sortilège. Sacrifice peut-être ? Je ne sais pas où nous sommes, ni comment on a fini ici, mais je ne compte pas rester les bras ballant en attendant qu'ils se décident quoi faire de nous ! »Modifié par un utilisateur dimanche 7 octobre 2012 20:51:17(UTC)
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Gus croassa : « Le problème avec une boussole, c'est qu'elle n'indique que les directions, pas l'endroit où nous sommes ! De toute façon, je ne l'ai plus, plumé je suis ! »
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Plusieurs personnes sentirent comme un arrière goût amer dans leur bouche pâteuse. Un goût indéfinissable qu'ils ne connaissaient pas. Pas celui des alcool épicés ou des divers plats qu'ils avaient mangés se dit Uktaho...comme un arrière goût d'huile de noix de muscade sur sa langue... C'est dans les ténèbres que le groupe se rendit à l'évidence : le léger tangage, le craquement régulier des planches, une très légère odeur d'iode... Ils étaient à bord d'un navire... Tout en finissant de reprendre ses esprits et récupérer leurs capacités tout doucement ils comprirent qu'ils étaient tous à la même tablée la veille à la Vierge Farouche. Mais avant qu'ils puissent faire quoique ce soit d'autre, plusieurs bruits de pas lourds entrèrent dans la pièce. Peut être le bruit qu'ils avaient fait avait ramené du monde ? Une douloureuse lumière agressa les yeux des captifs, une lanterne sourde. La salle était assez vaste. De ce qu'ils pouvaient voir il y avait deux escaliers un montant et un s'enfonçant vers un niveau inférieur. Le pont inférieur était quasi vide excepté quelques barils et caisses arrimés sur les murs incurvés de la coque du navire, des hamacs posés en tas près d'une série de petites cantines fermées. Le groupe d'infortunés se trouvait encerclé six brutes portant des vêtements amples et colorés armés de matraques. Il se tenaient prêts à s'en servir au moindre faux mouvement... Un septième homme dénotait des autres : il était grand et mince, portant un bandeau sur le crâne, de lourdes bottes, un pantalon ample de couleur foncé et un long imperméable noir recouvrant une armure de cuir. A sa ceinture une hachette dépassait et il avait à la main un fouet finissant en trois petites lanières renforcées de fer promettant de cinglantes douleurs à qui en serait la cible. L'homme portait une barbe tressée d'un pied de long. Juste au dessus de celle-ci un sourire sadique laissant apparaitre des dents en or se dessina sur le visage alors le fouet claqua sur les planches à deux doigts du groupe : « Encore au lit alors que le soleil arrive au grand mât ?
Debout bande de moussaillons crasseux et paresseux !
Montez sur le pont pour le service avant que le Capitaine Harrigan écorche votre peau pour faire de la chair à saucisse avec vous et que Tripes de Poisson vous fasse frire pour le déjeuner ! » Modifié par un utilisateur dimanche 7 octobre 2012 21:14:48(UTC)
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La demi-elfe se releva tranquillement, épousseta le peu de vêtement qu'il lui restait, avant de fixer le nouveau venu dans les yeux. Elle ignorait volontairement les 6 autres autour d'elle, bien que la menace était réelle. « Nous ne bougerons pas sans connaitre la raison de notre présence ici ! »Elle croisa fièrement ses bras sur sa poitrine et défia le maitre-fouet du regard, s'attendant d'un instant à l'autre à sentir la cuisson du fouet sur sa peau. | Quand la vie te fait trébucher, il ne suffit pas de se relever : Il faut lui péter les rotules.
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