J'aime beaucoup ton titre surtout que j'avais déjà pensé à faire ce clin d'oeil !!

Modifié par un utilisateur mercredi 20 novembre 2013 10:38:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Il ne me reste plus qu'à trouver une femme sabreuse pour faire honneur à la bd!

Merci de préciser car je pensais moi aussi que c'était moi qui l'avais nommé comme yojimbo...

Avec tout le respect que je peux avoir pour Doji sama, je lui demande de pouvoir retourner sur les terres du clan du Lièvre.

Je dois marcher sur les traces de mes prédécesseurs afin de redonner au clan du Lièvre la place qui lui incombe , c'est la raison que je donne en privé à Doji sama afin de justifier mon absence à son service. Je lui en serai très reconnaissant (pour de vrai, j'ai déjà une idée de mariage ou un truc dans le genre...).

Si mon voyage est validé, je fais en sorte de m’incruster avec un groupe de voyageur qui part en direction des anciennes terres du clan du Lièvre. Mon mot d'ordre est la discrétion (et non pas la furtivité pour ne pas perdre d'honneur). Je demande l'autorisation de porter le mone de Doji sama afin de ne pas éveiller les soupçons, je ne voudrais pas passer pour un ronin du clan du Lièvre .

Une fois sur place, je me présente auprès de certains chefs de village et je les teste rapidement pour connaître leur loyauté. Une fois trouvé le chef digne de confiance, je lui demande de m'aider à retrouver un ancien membre du clan qui serait capable de parfaire ma technique.

J'en profite pour découvrir qui occupe Shiro Usagi pour mieux comprendre à qui à profiter la disparition du clan.

Que deviennent les jumeaux Usagi?

Je tente de m'informer au sujet de Kitsune Yumiko, au cas où j'entendrai parler d'elle...

Modifié par un utilisateur jeudi 21 novembre 2013 02:36:22(UTC)  | Raison: Non indiquée

En route pour rejoindre l'ancien senseï du clan du Lièvre, Usagi Miyamoto se remémore les heures passées à s'entrainer avec son père.

L'homme exigeait toujours plus de lui que des autres, surtout depuis cet entrainement nocturne où il avait réussi à glisser la lame d'un katana sous la gorge de son père pendant un jeu de traque d'espion en pleine forêt.
La surprise avait atteint les deux hommes au même instant et Miyamoto, qui ne doutait aucunement des capacités d'Usagi Seimon, s'était étonné d'avoir pu le surprendre.

Son père paraissait décontenancé au moment de sa capture mais bien sûr, il n'avait rien laissé paraître sur le chemin de retour et prétendait même que l'entrainement était déjà terminé au moment où son fils l'avait attrapé. Pourtant son regard trahissait une intense réflexion ainsi qu'une impression de tristesse.

Depuis ce jour, Usagi Seimon exigeait de son fils qu'il courre plus longtemps que les autres. Au combat à main nue, Miyamoto devait se battre contre plus d'adversaires que les autres. Au katana, seul son père s'entrainait avec lui et il ne faisait preuve d'aucune pitié à l'égard de son fils.

Miyamoto ne s'en était jamais plaint. Il pense toujours que son père avait de grands projets pour lui mais maintenant...

A ces pensées, au cœur même de sa terre natale, Usagi Miyamoto sent une vague de fierté l'envahir. Si son père avait de grands projets pour lui alors il ferait tout pour les réaliser. Et dans ce but, il doit absolument parfaire sa technique afin d’honorer et perpétrer le style du clan du Lièvre.

Au fil de ses réflexions, Miyamoto arrive enfin au lieu de rendez-vous avec l'ancien senseï. Abrité sous un arbre, un homme d'environ quarante ans patiente. Il est vêtu sobrement et relève la tête à la vue du jeune rônin. Les deux hommes se font face un instant, chacun essayant de sonder l'autre puis Usagi Miyamoto s'incline comme il se doit devant un senseï à qui on vient demander d'apprendre.

On s'enrichit toujours de l'expérience des Anciens.

L'homme s'incline respectueusement comme de coutume devant un membre d'une famille importante dans la région. Les membres du clan se reconnaissent et se respectent entre eux.

"Te voici donc jeune ronin..."

Usagi Miyamoto reste incliné et d'une voix profonde et régulière déclame:

Senseï, je souhaite poursuivre mon enseignement dans la voie de ceux qui représentent le sens de ma vie.

Vous me demandez de vous prouver ma dignité alors même que vous savez comme moi que la dignité d'un être se mesure à l'impression extérieure qu'il donne.

Miyamoto se redresse alors et regarde l'homme face à lui.

Quand je regarde quelqu'un, je perçois de la dignité dans l'effort et l'assiduité; dans la sérénité et la discrétion. L'homme digne observe les règles de conduite et de droiture. L'homme digne serre les dents et garde les yeux ouverts. Ce qui est capital, c'est de toujours agir avec dignité et sincérité.

Sur ces mots, Miyamoto se tait, soucieux de préserver le silence, seul maître du jugement.

Miyamoto écoute avec attention les paroles du senseï.

Il a remarqué le daisho que portait l'homme, ce qui renforça ses motivations et après quelques respirations...

Ce n'est pas tant l'art mais l'esprit qui en découle que je suis venu chercher. Je ne peux rien faire contre ces fantômes mais je veux rendre hommage par mes actes futures à l'état d'esprit dans lequel mais jeunesse fut forgée.
Je veux dédier ma vie à l’œuvre portée par mes aïeux et mes ancêtres à savoir servir l'Empereur au travers des forces et des savoirs que sont celles de notre famille. Je veux redonner à cette famille la place qui lui incombe.


Miyamoto laisse passer un moment comme si les mots prononcés l'avaient surpris tant il reflétait sa plus intime conviction.

Modifié par un utilisateur jeudi 5 décembre 2013 20:14:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

Miyamoto tendit la main et marqua une pause avant d'attraper le ruban.

Je ne vous décevrai pas Soïchirô Senseï.

D'un geste précis, il attrapa le ruban et l'accrocha solidement dans ses cheveux (3 augmentations ).

Puis sans plus attendre, Miyamoto s'élança dans la forêt qui l'avait accueillit pendant maints entrainements. Il savait qu'elle serait de son côté...

Alors tout d'abord, je cours en mode sprint (1 augmentation) pendant au moins 10 minutes. Arrivée en pleine forêt, je ralentis en mode course (1 augmentation). Pendant tout le trajet, je fais attention à ne pas laisser de trace (branches cassées, traces sur sol trop mou,...).

Si je ne suis pas trop loin de Shiro Usagi, je tente de rejoindre l'ancienne cité du clan (connaissance géographie) et j’emprunte le passage secret découvert lors des investigations avec Bayushi dono pour me cacher dans le terrier. Je sais que Soïchirô remontera mes traces jusqu'à Shiro Usagi mais connait-il le passage?

Je prends bien sûr de quoi m'éclairer (si possible) afin de me frayer un chemin dans le dédale sombre jusqu'à la salle où nous avions retrouvé le saya de la lame ancestrale. Je fais en sorte d'éclairer la zone où se trouve l'autel et je glisse un morceau de tunique que j'ai préalablement déchirer que je place sur l'autel. Je fais en sorte que le morceau soit de la même couleur (si possible) et de la même longueur / largeur (facile).

Mon but est de peaufiner la mise en scène afin de surprendre Soïchirô dans ce lieu emprunt de mystique et de grandeur pour mieux le troubler dans sa chasse... pendant ce temps, j'emprunte l'un des nombreux dédales qui m’emmènera, j'en suis sûr, vers une autre sortie dans la forêt. Puis je procède comme si j'étais trop loin de la cité.

Si je suis trop loin de Shiro Usagi (ou après avoir quitter le terrier), je tente de trouver un cours d'eau dans la forêt (il doit bien y en avoir au moins un!) et je marche dans le cours d'eau dans la direction du point de rendez-vous de départ. Arrivée non loin du point de rendez-vous, je cherche un arbre non loin du cours d'eau afin d'y grimper par le biais d'une branche (jet athlétisme 2 augmentations) et si c'est possible, je m’efforce de me déplacer d'arbre en arbre et de rejoindre le point de rendez-vous. Tout proche du point, je descends de l'arbre et je m'installe au même endroit où Soïchirô Senseï était assis.

Je patiente jusqu'à l'arrivée du maître.

Si je me fais rattraper pendant ma course, je me sers de Kenjutsu ou Jiujutsu (selon le type d'attaque du senseï) afin de me défendre. J'utilise des feintes afin de cumuler des augmentations jusqu'à pouvoir porter le geste fatale à la tête (3 augmentations)et la défense (1 à 2 augmentations) afin qu'il n'attrape pas le ruban. Avec le katana je m'arrête juste avant de la blesser / avec mes poings de pierre, je lui porte un coup sur la nuque qui l'étourdiera (on peut toujours rêver ).

Cela te convient-il? aurais-je oublié quelque chose?

Modifié par un modérateur dimanche 8 décembre 2013 23:01:38(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ben si tu acceptes de devenir un Bayushi , il va de soit que tu va devoir te plier à leur coutume , et donc porter le masque.
De plus, il faut savoir que si tu est accepter au sein de la famille Bayushi, il faut savoir que la famille Bayushi accorde beaucoup de valeur à la loyauté de ses membres, encore bien plus de les autres clans ...
Devenir membre d'une famille te permettra de ne plus être un ronin, mais une fois accepter, il est pratiquement impossible de les quitter( on n'entre pas dans une famille pour en changer , c'est un choix irréversible ).
Bien sûre le jour ou le clan du lièvre sera ( ou non ) réhabilité, tu pourras demander de le rejoindre ( et on pourra refuser ta requête )...

Concernant Doji-sama, il te dis que chacun peut faire des erreurs, et que de ne plus être magistrat impérial va lui permettre de se consacrer entièrement à sa charge de gouverneur .
Il ne s'étant pas plus sur les conditions ayant occasionné son "renvoi" . Il souhaite que tu puisses continuer à évoluer dans la branche qu'il te plaiera , sachant que devenir Yoriki de Bayushi-sama ou Hida-sama ne serai qu'un plus pour toi . Il te laisse donc le choix de faire comme il te plaiera, rester Yojimbo à son service, ou devenir Yoriki impérial

Modifié par un utilisateur mercredi 11 décembre 2013 19:43:36(UTC)  | Raison: Non indiquée

Juste une précision (my two cents) : le masque est une coutume Bayushi mais il n'est en aucun cas obligatoire !
Certains (rares mais présents) n'en portent pas.

C'est un peu comme la décoloration des cheveux pour les Daidoji. C'est très courant mais pas une règle stricte !

Pour ce qui est des changements de famille, cela dépend beaucoup de la personne dont tu dépend : ton seigneur mais aussi celui qui "t'adopte". C'est plus une affaire de politique...

Modifié par un utilisateur mercredi 11 décembre 2013 19:55:12(UTC)  | Raison: Non indiquée