RetourUn soir alors que l’on prie entre nous, après la prière commune, Ingrid viens nous voir car la vieille Berthe arrive. Les hommes sont tous chez eux, les femmes amènent leurs filles en âge d’être apprentie. Ingrid les y a poussé un peu.
Soeur Livia part dans la forêt pour surveiller les environs.
Magnar Grifaldson parle des sorcières : ce sont des sous-mages mais uqi au moins pratiquent la bonne forme de magie.
Ermentrude l'adepte des sciences occultes parle des sorcières : c’est de la magie folklorique, basse magie plutôt que haute.
Nous sortons à notre tour pour rejoindre les femmes du village, Soeurs Aliénor et Béonia avec leurs épées. Il y a une quinzaines d’enfants et une dizaine de femmes. Elles ont toutes les yeux vers le sol et semblent résignées. Certaines petites filles parlent entre elles et se font grondés. Elles sont surtout excitées mais d’autres sont terrifiées.
Soeur Lumina explique à Ingrid qu’elles ont eu une révélation mystique : la vieille Berthe doit trouver une apprentie, c’est important. Ingrid lui dit qu’aucune sœur ne doiit être dans le cercle du rituel quand la vieille Berthe va arriver.
Soeur Prudence essaie de rassurer les petites filles et leur conseille de prier. Elle apprend qu ce rituel est grac et très vieux. Elles se sentent mal de faire ce rituel devant les étrangères que nous sommes.
Au moment où Soeur Prudence sort du cercle, une forme apparaît dans l’eau. Une luciole, puis trois autres (sort de lumière dansante) : une voix vieille et pleine d’autorité parle dans une version antique mais abatardie du tarque « maudites soient les puissantes et loué soit le dieu noyé ».
En commun : « Je viens voir les enfants de ceux qui ont mangé sa terre et bu son eau. »
D’après sœur Béonia, les anges sont des potentats, sans doute ce que la vieille Berthe entend par « puissance ». Sainte Varonaèl en est sans doute une aussi.
La vielle Berthe sort de l’eau, habillée d’algues, de fruits de mer et d’autres choses encore. Elle est très voutée et marche avec un bâton. Elle est très mince. Elle tourne autour du cercle.
Elle prononce d’autres paroles en « grac ancien » qui ont l’air très déformées.
« Que les puissances soient maudites, que le dieu noyé, celui qui ne peut être tué, reste à jamais dans son sommeil. »
La vieille Berthe rentre dans le cercle, Soeur Lumina incante une détection de la magie.
« Nous sommes les Bikivik : nous avons bu son eau et mangé sa terre : bénis et maudits à la fois. Il nous a envoyé ses créatuezs car nous sommes partis »
Soeur Prudence prie avec sœur Mélodie et al soutient mentalement.
Soeur Aliénor voit que la vieille Berthe est maléfique : elle surveille, se met sur la défensives
Détection de la magie de Soeur Lumina : cinq auras magiques sur elles, effets actifs,, 4 auras modérées (3 transmutation, 1 divination) et 1 aura puissante (transmutation)
LA vielle Berthe continue : elle a été sacrifiée « pour » le vieux noyé, « pour » ici signifie « pour satisfaire les dieu », un sacrifice que l’on fait car on n’a pas le choix. D’autres devront être sacrifiées aussi, car ce qui ne peut être rué doit être maintenu en sommeil.
Les osselets vont parler (Soeur Lumina ne voit aucune aura magique dessus), les plus jeunes en premier car le dieu noyé aime prendre la jeunesse pour augmenter le désespoir. Une jeune fille est choisie. Ingrid rentre dans le cercle.
« Loués soient les descendant des Bikivik, car le cycle va continuer et nous continuerons de le tenir en échec. »
La vieille Berthe trouve une seconde fillette. Ingrid a l’air surprise mais heureuse de ça.
La vieille Berthe choisit une troisième fille qui a 13 ans : la vieille Berthe est en colère car elle aurait dû voir cette fille il y a 5 ans. Elle dit que ceux qui trichent face au Dieu Noyé meurent noyés, mais ce n’est pas une menace, plus ce qu’elle sait être vrai. Soeur Aliénor repère la tricheuse pour tenter d’agir sur elle plus tard. Soeur Béonia se prépare à intercepter la vieille Berthe quand elle sortira du cercle.
Elle reviendra chercher les 3 filles dans 1 lune, les familles ont ce temps-là pour s’y préparer.
Les trois petites restent avec la vieille Berthe et sont terrifiées. Les autres femmes partent, et Ingrid prend la mère tricheuse – qui est paralysée – et la met sur une barque. Soeur Lumina panique : on en vient pas de lui dire qu’elle va mourir noyée, la pauvre. Soeur Aliénor saute sur sa barque, la rejoint et la ramène chez elle.
Maintenant, la vieille Berthe parle de manière plus douce et chaleureuse.
Soeur Mélodie arrête de prier et explique qu’elle a sentit comme une présence contre laquelle elle devait se protéger.
Soeur Aliénor revient quand la vieille Berthe commence à nous parler : elle n’est plus maléfique. Mélodie reste à l’écart, Ingrid est montée sur une barque avec les trois filles.
Soeur béonia veut savoir à quoi s’attendre pour les 3 filles, la vieille Berthe refuse de lui répondre. Elle semble nous connaître et savoir ce que l’on fait. Elle nous dit quand même que les filles vont avoir une vie pénible, un enseignement dur, et elle vont être confrontées à des horreurs. Béonia veut quand même savoir si elles vont être des esclaves sans âme.
Soeur Lumina se présente et demande si on peut mettre de la lumière. La vieille Barthe répond que les lumière de Celui Dont Les Yeux Ont Été Arrachés sont suffisantes.
Soeur prudence demande à qui appartiendra leurs âmes à leurs morts. La vieille Berthe rie et dit que leurs âmes seront libres, contrairement aux nôtres. Elle semble méprisante envers toutes les puissances quelles qu’elles soient et envers ceux et celles qui les prient.
Soeur Aliénor demande si le vieux Karl et les autres pêcheurs doivent continuer les sacrifices tels quels. La vieille Berthe raconte une histoire. Un ancien empereur grac qui voulait conquérir toutes les mers, alors que els puissances étaient encore dans les brumes. Lui est ses descendants ont cherché une puissance qui pourrait les y aider. À la cinquième génération, un descendant a trouvé et est parti loin de toute côte connue et trouva la puissance, qui lui offrit une terre et la maîtrise de toutes eaux. Il réduisit en esclavage tous ceux qui y habitaient avant. Puis il parti là où les rois sont noirs et là où les forêts sont habitées de non humains.
La puissance devint de plus en plus gourmande : le descendant dû sacrifier de plus en plus d’esclaves, jusqu’à ce qu’il trouve que ça fasse trop. Alors il chercha d’autres puissances, mais se rendit compte qu’il fallait payer, toujours payer. Sauf quand elle ne demandaient rien, et alors il fallait payer par soi-même.
Alors les descendants cherchèrent à duper la puissance. L’un avait un grand projet : il étudia les cercles et les sphères, pour duper la puissance. Il trouva un moyen, dans des écrits plus vieux que les brumes des puissances (lien avent le cataclysme des sylvestres?). Il commença à pratiquer els rituels et réussit. Son pouvoir s’imposa à la puissance, mais elle se rendit compte qu’on essayait de la contraindre : elle reprit ce qu’elle avant donné et la terre donnée coula. Le Dieu Noyé fut magré tou plongé dans une forme de léthargie. Les survivants fuirent et furent appelés les bikiviks.
Mais le rituel ne sera jamais terminé.
La vieille Berthe n’a besoin que d’une personne pour prendre la relève et préfère avoir plusieurs apprenties.
Soeur Béonia demande si on peur aider à préparer les 3 fillettes, Soeur Lumina explique ce qu’elle comprends des différents praticiens de la magie : les zélotes et les doctes, les savants et les agents. Seule soeur Prudence comprend. Soeur Béonia veut quand même empêcher la vieille Berthe traumatiser les trois fillettes. Soeur Lumina et Aliénor sont d’un avis contraire : on n’a pas d’autres moyens de maintenir le Dieu Noyé en sommeil.
Soeur Prudence veut demander aux anges si c’est une bonne idée de laisser Berthe prendre les fillettes. Tout le monde est d’accord.
Soeur Aliénor propose de parler à Ingrid : tout le monde est d’accord.
À la fin de la prière, Mélodie ouvre les yeux. Elle a l’air déterminée et sûre d’elle et veut leur enseigner ses psaumes. Soeur Lumina est d’accord (Mélodie n’est ni docte ni zélote donc es psaume ne se reposent pas sur la magie liée aux puissances) et voudrait y assister, Mélodie pense que c’est une mauvaise idée. Soeur Lumina fait confiance à sa sœur.
Soeur Livia revient : elle a vu deux hommes bizarres, mauvais garçons, déformés, la quarantaine. Les 2 fils de la vieille Berthe ? Ils avaient l’air d’être imprégnés par le mal, par tendances personnelles, mais avaient aussi comme des tâches de mal venus d’une contamination extérieure.
Le lendemain, on va aller parler à Ingrid. On lui dit qu’on veut aider à préparer les 3 fillettes. Ingrid pense qu’elles doivent passer un maximum de temps avec leurs familles. Si Ingrid n’a pas pu compléter son apprentissage, c’est parce que son étincelle est très faible, presque inexistante.
La vieille Berthe est très vieille et n’a plus de temps : elle ne pourra pas prendre de gants avec les 3 fillettes. Elles vont vivre avec 2 hommes méchants qui vont lui pourrir la vie et ne vont pas beaucoup dormir la nuit.
Soeur Mélodie perd peu à peu le fil de la conversation : Soeur Prudence la fait sortir et Mélodie lui parle de ses tâches d’hier comme si c’était aujourd’hui. Elle se recale rapidement.
Soeur Béonia veut protéger les fillettes mais s’en remet à notre sagesse.
Soeur Prudence insiste pour laisser les fillettes un maximum dans leurs familles. Et quand la vieille Berthe pourra, il faudra protéger les trois filles de ses fils.
Soeur Mélodie va sans doute leur enseigner les psaumes, et les réconforter par sa musique et ses prières.
Soeur Lumina propose, si les fillettes sont intéressées, de leur apprendre un peu à méditer (pour mieux tenir mentalement).
Soeur Aliénor propose d’aller parler de notre enfance tout de même dure aux parents des fillettes, pour leur expliquer que c’est dur mais ça va aller, qu’il faut penser au bien commun et que leurs filles ne seront pas si loin.
Soeur Livia : à confirmer avec Sandrine mais elle va sans doute aller au monastère pour poser des questions à Mère Célestina.
Théorie de Soeur Lumina : le Dieu Noyé est un diable, voire un archidiable, et il est possible qu'il ai un lien avec l'entité enfermée sous le monastère, que soeur Mélodie a perçu à travers le puis. C'est peut-être même la même entité.