RetourLes traces arrivent des montagnes et de l’amont de la rivière, toutes repartent vers la mer. Le charnier sur lequel on est tombé a été nettoyé, aucun cadavre, pas le moindre membre coupé → nécromancie.
Soeur Aliénor retente de parler aux nains, il répond « Trung » d’une voix plus fluette ou rocailleuse que ce à quoi on s’attend. « Trung » : formation défensive, mur de bouclier, endurance, Faestir (serviteur)
Je ressens soudain la pensée « tous les nains doivent mourir » et j’incante un projectile magique qui est absorbé par une rune sur l’armure du nain.
Mon invocation « Ternesch Arcanis » (pluie magique). J’entends « Vraks levetik » (sorcier enfant). Je suis persuadée d’être une sale merde pour une journée. Aliéonr réalise que je suis sous l’effet d’un sort.
A priori le nain a compris ce qu’il s’est passé, et il smeble parler de dragon.
Mélodie m’enseigne une prière qui invoque la puissance de Desmetor Magister Angélus, Draco Debellator (un loyal mauvais, l’archange qui bat / vainc / conquiert les dragons).
L’effet est interrompu un peu après que la nuit tombe.
Ce qui m’a frappé est un effet difus qui traine dans l’espace astrale et que j’ai déclenché.
Mélodie dit que parmi les ennemis, il y a les anges noirs, le dieu noyé, le dragon dormeur, les démons et leur horde.
Les nains apparaissent dans des contes très anciens, souvent en mode « told you so » sans aider.
Il habitent en seigneurie de Déol, d’autres enclaves dans les montagnes. Il y a une communauté naine à Tharvalon, et ailleurs. Historiquement, ils apparaissent dans quelques querelles de territoires. La forteresse de Déol est réputée imprenable, et largement souteraine.
Ils utilisent une magie de la rune, donc de l’écrit, mais ils ne lancent pas réellement de sort a priori, pas de communauté naine près des mages (alors qu’il y a des mages arkoniens ou à la peau noire, des demin-dragons, des demi-démon). Ils n’apparaissent dans aucune vita, aucun psaume, aucun élément du culte, alors que les elfes oui (le chevalier Sinople a souvent des elfes comme conseillers).
Dans les myhtes Lothériens (arthuriens), dans le pays mythique, 2 types de peuples protèges des trésors : les nains et les dragons, que les chevaliers vont taper. Le dragon est chaotisue, les nains constants.
Au petit jour, on tombe sur une autre bataille, et cette fois-ci il y a des corps : gobelins, orques, humains, ettins…
En bordure, les éclaireurs prennent une attaque de Warlocks mais les mettent en déroute.
Détcetion de la magie sur les crânes : aura de divination faible, sort que je ne connaît pas, magie qui me répugne.
Une attaque dans le charnier : quand on arrive, les morts se lèvent : animation des morts à retardement qui nous attaquent. Zombies qui encaissent le contondant. La quarantaine de corps était déjà animée, le sort était comme en suspend.
On les identifie comme des serviteurs des ogres-mages.
Je repère une arme magique alignée sur le mal dans le charnier, abjuration, faible, un genre de fauchard à 1 main avec beaucoup de traces de rouille.
Des corps un peu plus loin ont été égorgés, ils n’attirent pas les mouches.
La naine veut poursuivre vers les montagnes, car tels sont nos ordres. Lorsqu’elle reprononce le mot « Drak Dum », je repense à « Faestir » et le sort fait à nouveau effet, mais j’arrive à résister grâce à la prière.
« Rin Kit » → il faut obéir.
On suit les traces : ils se sont dispersés partout sauf dans la montagne.
On est de retour à Felis Entiflus. On fait notre rapport au QG de l’ordre de la Barde. Soeur Béonia a un nom de guerre « Le manteau de la foi ».