RetourConnaissances mystères :
Dragons : les « maîtres » sont les chromatiques, les métallisues sont des serviteurs sans cervelle.
Dans les collines de la barbe du lion
Dans les montagnes entre le Tiril et le Taral, il y a un royaume draconique noir
Sylphrena m’explique comment la garder auprès de lui. Ils peuvent se lier à certains humains pour rester sur ce plan. On doit faire un rituel pour passer un pacte. Lumina doit répéter ce que dit Sylphrena et modifier le sort de convoc Monstres 3. Lumina doit faire passer le lien de convocation directement par elle.
Sylphrena parle en céleste, en tout cas celui que les anges utilisaient avec les humains de l’époque, « que l’Unique ne puisse pas désunir ce qui a été uni ». Lumina, grâce à ses connaissances, comprend en partie la nature des familiers et des liens qui les unissent à leurs lanceurs de sorts, qui sont leurs ancres matérielles. C’est possible parce que Sylphrena est faible : plus une entité est forte, plus elle est contrainte par l’unique.
Prudence ne sais pas monter, du coup Aliénor guide son cheval à la longe. Le relai de poste, le soir, porte les armes de Clyster. Il est tenus par 2 nobles sans serviteurs, assez cultivés.
Le lendemain, nous dormons dans une motte castrale. En repartant, nous sommes accompagnés par des chevaliers allant à Froidelune. Le lendemain, ils réquisitionnent des cogues pour remonter la Séquenne jusqu’à Froidelune. D’autres personnes montent avec nous.
Tout le long du trajet, les nouvelles que nous apportons de la croisade sont très appréciées.
Froidelune est une ville écclésiastique : pas de châteaux mais beaucoup d’églises fortifiées. On passe en-dessous d’un très grand pont enjambant la Séquenne.
Un sénéchal nous arrête et lance un sort pour vérifier l’authenticité du sceau.
La première enceinte abrite surtout des laboratores, mais au-delà de l’enceinte extérieure, la ville est purement ecclésiastique.
On nous amène dans une chapelle avec une flamme très haute mais qui ne réchauffe pas. Il y a deux aura, une sur la flamme et une sur le braséro.
Flamme basée sur l’invocation et non l’évocation.
Aucune lumière ne peut être invoquée dans ce lieu, il ne peut y avoir d’invisibilité, de dissimulation ou de mensonge.
Le braséro est un objet magique : objet puissant, c’est un portail qui ne peut être porté que par certaines personnes, avoir été choisi par ce qui est de l’autre côté du portail. Un texte sur le côté donne des informations en plus : c’est la flamme de Kyrion Magister Angelus.
Nous nous mettons à prier devant sa flamme.
Pendant notre prière, le prêtre qui dormait dans la chapelle se réveille et nous amène dans une salle pour nous restaurer.
Un prêtre nous fait patienter en on parle théologie avec lui. Les religieux proches de Kyrion semblent assez proches des centres d’intérêt des mages, et qui s’intéresse beaucoup à l’astrologie et aux sphères extérieures. Il parle aussi d’un ordre exhumant et de l’abbé Alister, qui s’intéresse à des saint dont Sainte Varonaël. Il a suivi les traces de la sainte en allant chercher des écrits saints dans les royaumes du sud.
On participe à une messe chantée le soir même.
Observatoire : sphères extérieur, sphère des esprit avec le dragon rêveur, sphère de l’eau avec le corps du Dieu Poisson, sphère du feu dont vient l’énergie qui permet aux tablettes de la loi de séparer les mondes, sphère du ciel infini où se battent les anges et les dragons. Sphère des ombres : ceux qui se cachent. Sphère de l’énergie négative : les traîtres qui ont pris le contrepied.