Le C.O.P.S. c’est un Capitaine, trois sections (A, B, C), dix unités avec chacune son lieutenant (Alpha, Beta, Gamma...) et 200 détectives d’exception qui ont pour charge d’enquêter sur les affaires les plus difficiles et les plus pourries de la ville de Los Angeles. Ce que l’on sait moins, c’est que derrière ces hommes et femmes d’exception se cachent d’autres hommes et femmes, policiers ou civils, non moins exceptionnels, grâce auxquels le service peut fonctionner et grâce auxquels les détectives peuvent accomplir leur tâche : protéger et servir !

Commençons par le commencement : à la tête du C.O.P.S., il y a bien sûr le Capitaine, qui dirige le service, comme tous les autres chefs de service, depuis son bureau situé au 30ème étage du Parker Building. Mais le Capitaine ne parviendrait pas à grand-chose sans sa précieuse assistante, le Sergent Nancy Cunningham, dont le rôle n’est pas simplement de lui frapper son courrier (chose qu’il fait bien souvent directement sur son propre PC) ou de tenir son agenda (bien qu’il s’agisse là d’un rôle clé de « Grand’ma » !) ; Nancy assure également le lien entre le Capitaine et les lieutenants du service, en transmettant instructions et informations. Vous vous rendrez peut-être compte que le Capitaine et notre armurier, Muhammad Rewhan, ont des liens particuliers, ce qui n’empêche pas Nancy d’être également souvent en contact avec lui. Enfin, elle travaille régulièrement avec les médecins qui assurent le suivi des cops, ainsi qu’avec le Sergent McClure, qui est responsable du pôle administratif de notre unité.

Comme vous pouvez le constater, la simple présentation du secrétariat du Capitaine permet d’avoir une bonne vue d’ensemble du C.O.P.S. Schématiquement, on peut donc découper ce service en cinq « pôles » :

Le pôle de commandement

Composé du Capitaine et du Sergent Cunningham, le commandement est par essence un service administratif. Bien entendu, le Capitaine ne perd jamais de vue les investigations, mais son rôle prioritaire est de permettre à ses investigateurs de mener à bien leurs enquêtes. Les tâches administratives et budgétaires sont donc son train-train quotidien, sans parler des luttes d’influence au sein du LAPD et au niveau de la municipalité. Le Sergent Cunningham le décharge grandement des démarches administratives et comptables, ce qui lui permet de se consacrer à la partie plus politique de son boulot. Elle filtre également les coups de fil et les demandes de rendez-vous ; même les lieutenants ne sont pas épargnés et ne peuvent voir le Capitaine quand ils le souhaitent. La plupart du temps, ils doivent se contenter de laisser les infos à « Grand’ma » qui fait le tri entre les affaires urgentes et le reste. Le Capitaine peut ainsi avoir un œil « en temps réel » sur les affaires d’importance tout en gérant une crise à la mairie . Et deux fois par jour, le matin en arrivant et le soir avant de partir, il a droit à un compte-rendu de toutes les affaires en cours. Grâce à ce système, le Capitaine est en capacité de réagir et de se déplacer sur le terrain lorsque cela s’avère nécessaire, pour soutenir ses détectives ou pour parler à la presse...

En terme de présence horaire, le Capitaine est sensé être là aux horaires « administratifs », c’est-à-dire entre 8h et 12h, et entre 13h et 17h. En réalité, vous aurez du mal à le trouver à son bureau, même à ces heures là, et il pourra vous arriver de le croiser dans les couloirs bien avant ou bien après. En revanche, si vous avez besoin de contacter le Capitaine, c’est dans ces plages horaires que vous pourrez aller trouver le Sergent Cunningham. Il n’est cependant pas rare que le Sergent reste un peu (beaucoup) après 17h, que ce soit à son bureau du 30ème étage, dans l’une des salles de repos du 35ème , à la machine à café ou encore au Cabanon, pour « discuter » avec l’un d’entre nous. Comme vous vous en rendrez-compte, Grand’ma est devenue en quelque sorte la confidente de bon nombre des détectives du COPS, lorsqu’ils craquent, se sentent seul, ou ont tout simplement besoin d’être écoutés avec une oreille... disons... maternelle !

Le pôle administratif

Aaaaah, le pôle administratif et son responsable, notre cher Sergent McClure !!! Oui, je sais, vous vous dites : « Qu’est-ce qu’on en a à foutre du pôle administratif ! La paperasse, tout ça, c’est pas pour nous. Laissons ce brave Sergent se démerder avec, et avec le public ! ». Et je vous comprends, car je suis le premier à dire que le Sergent McClure nous les brise sévèrement... Mais pour compenser, il y a aussi des filles sympas et plutôt bien gaulées comme Lise et Crystal !!! Bon, plus sérieusement, l’administration, c’est pas notre tasse de thé, c’est clair, mais Humphrey «mètre Cube» McClure ça peut nous servir ! Pour commencer, il faut bien qu’on ait quelqu’un assis derrière le desk d’accueil pour recevoir le public, non ? Ensuite, le pôle administratif, c’est également notre standard téléphonique à nous. A chaque fois que vous avez besoin de contacter quelqu’un au C.O.P.S. par téléphone, c’est là que votre appel aboutit. Si vous avez besoin d’appeler votre lieutenant, ça passe par le bureau de McClure ou de l’un de ses assistants. Si vous avez besoin d’un renseignement, c’est à McClure ou l’un de ses assistants que vous vous adressez. Si vous êtes malade ou que vous ne pouvez pas prendre votre poste pour une raison particulière, c’est McClure qu’il faut prévenir. En bref, le numéro de téléphone de McClure est un numéro que vous apprendrez à ne pas oublier, car il est super utile.

Bon, c’est clair que McClure... Il n’est pas dans le coin ? Non ? Bon... McClure, comme vous vous en êtes sûrement déjà rendu compte, c’est une putain de peau de vache, une vraie raclure qui se fait un malin plaisir d’appliquer le moindre alinéa du règlement à la lettre si vous le faites chier ou si votre tête ne lui revient pas. A mon avis, il a encore en travers de la gorge la décision du Capitaine de ne pas être chien avec les horaires, comme je vous disais.

Mais bon, en pratique, c’est lui qui vous assigne vos patrouilles hebdomadaires, se charge de vérifier que vous respectez votre quota de port de tenue et qui se fait un plaisir de faire un rapport au Capitaine sur le moindre manquement ; ce qu’il ne sait pas, c’est que le Capitaine se contrefout de ce dernier point, du moment qu’il voit suffisamment d’uniformes lorsqu’il passe au 35e.

Bref... Quoi qu’il en soit, McClure est le dispatcher spécifique du C.O.P.S. C’est-à dire qu’il a le pouvoir de vous appeler pour vous confier les affaires urgentes qui tombent sur son bureau. Pour que vous compreniez bien, en gros, il y a deux types d’affaires : celles qui arrivent par la voie hiérarchique, à savoir qui sont confiées au Capitaine, qui les affecte à un lieutenant, qui vous les refourgue ; et celles qui arrivent « dans l’urgence », généralement en provenance des Anges, et qui sont spécifiquement confiées au C.O.P.S. en la personne du Sergent McClure. C’est alors ce dernier qui décide des cops qui doivent traiter l’affaire, avant d’en avertir leur lieutenant. En fait, la différence entre les deux types d’affaire, c’est que tout ce qui n’est pas urgent passe par la voie hiérarchique. De même pour toutes les affaires « sensibles ». En revanche, lorsqu’on a besoin de cops IMMEDIATEMENT, on sonne McClure qui vous sonne.

Mais je vous rassure, ça ne vous tombera pas sur le coin du nez comme ça, par surprise. McClure est vicieux, mais il est organisé. A chaque roulement, il affecte une astreinte à un binôme dans chaque section. Lorsqu’une affaire urgente tombe, il la refourgue à l’un de ces binômes. Autant dire que lorsque vous êtes d’astreinte, il faut être en uniforme et présent (ou alors avoir réussi à refourguer votre astreinte à un collègue, mais en sachant que ça peut énerver McClure !!!). Ce qui est génial dans tout ça, c’est qu’on est pris en sandwich entre le lieutenant et le sergent, et que parfois, il faut composer avec le caractère des deux, surtout quand les deux veulent qu’on traite une affaire pour avant-hier !!!

Ceci dit, le pôle administratif ne vous apporte pas que des emmerdes. Je vous parlais il y a quelques instants des charmantes assistantes de McClure. Venez, je vais vous les présentez, vous constaterez par vous-même... Par ici s’il vous plaît... Voilà. Donc, derrière notre magnifique desk d’accueil placé sous la responsabilité du Sergent McClure... Bonjour Sergent ! Tenez, je vous ai apporté un donut que m’a fait ma maman ce matin ! De rien ... ! Où en étais-je ? Ah oui... Derrière ce desk se cachent de charmantes demoiselles toujours prêtes à rendre service ! N’est-ce pas Crystal ?? Messieurs, je vous présente Crystal Jennings, l’une de nos auxiliaires civiles qui accueillent le public, répondent au téléphone, et accessoirement, nous aident à lutter contre le crime ! Crystal et ses collègues... vous pouvez apercevoir là-bas Rosa Marrero, qui est justement occupée au téléphone... sont toujours prêtes à rendre service. Par exemple, si vous êtes à l’extérieur, disons en voiture, et que vous avez besoin rapidement d’un renseignement, vous appelez les Anges si c’est pour identifier le propriétaire d’une voiture, mais pour autre chose de moins « officiel », vous appelez ici, et l’une de ces charmantes personnes pourra peut-être vous dépanner.

Par exemple, si vous avez besoin de faire une recherche dans la base du LAPD à distance, quelque chose dans ce genre là. Ou bien, si vous avez besoin qu’on vous renvoie un e-mail directement sur votre téléphone portable. Des choses comme ça. Pour les deux demoiselles du fond, je vous rassure tout de suite, parmi nos officiers et auxiliaires civils se trouvent également de beaux spécimens de la gent masculine, même si l’un d’entre eux ne sera très probablement pas sensible à vos charmes. Je vous laisse découvrir lequel...

Revenons à nos moutons. Depuis quelques semaines, nous avons la chance d’avoir parmi nous l’officier Lise Harris, qui seconde le Sergent, mais qui aspire surtout à devenir détective. Et en attendant qu’à notre grand regret, elle ne décroche le concours, et qui sait, rejoigne nos rangs, il faut savoir que Lise apprécie énormément de nous épauler directement dans nos investigations. Bien sûr, elle ne peut pas sortir de son bureau pour cela, mais Lise est une très bonne analyste, et elle maîtrise les moteurs de recherches et autres outils informatiques. Lorsqu’elle est disponible (ses horaires ne sont pas extensibles, elle doit assurer le boulot au desk en priorité, et nous sommes quand même 200 cops !), elle se fera un plaisir d’effectuer des recherches pour vous !

Voila... Ah ! J’allais oublier un point non négligeable concernant le Sergent et son équipe : les geôles ! Le .O.P.S. est un service exceptionnel du LAPD par bien des aspects ; le bloc de cellules en fait partie. En effet, alors que les autres services utilisent tous le bloc de cellules central du Parker Building, situé au premier niveau du bâtiment, le C.O.P.S. dispose de son propre bloc de détention. Ainsi, nous pouvons garder sous le coude nos suspects le temps de les faire mariner entre deux interrogatoires. Ça nous donne aussi la possibilité d’avoir une certaine discrétion sur nos détenus. Je ne dis pas que je me méfie des autres services du LAPD... Quoi que, y’en a... Bref ! Mais bon, dans certains cas, c’est appréciable d’avoir des cellules à proximité de nos bureaux et de nos salles d’interrogatoire. Le problème, c’est qu’il faut également assurer la surveillance des détenus, et la sécurité dans le bloc.

Heureusement, notre bloc de détention est hyper high-tech, avec ouverture des cellules assistée électroniquement à distance, vidéo surveillance sans le moindre angle mort, détecteur de chaleur avec analyse des variations de température en temps réel au dixième de degré... J’en passe et des meilleures. Ce qui fait que nous n’avons pas besoin de personnel supplémentaire pour assurer la surveillance. Personnel que nous n’obtiendrions d’ailleurs pas, pour de bêtes problèmes budgétaires. Du coup, c’est le pôle administratif qui a le bloc de cellules en charge. Ou plus exactement, c’est l’officier de commandement ou l’officier de quart, selon le roulement, qui a en charge la surveillance des prisonniers, et qui doit assurer l’intendance des cellules. Toute la vidéo surveillance et les capteurs sont relayés sur le poste de l’officier chargé de la surveillance ; c’est également lui qui contrôle le circuit d’ouverture des cellules. Pour ceux qui s’inquiéteraient de la sécurité, je précise que ces deux systèmes sont internes, totalement indépendants de tout système global, et ne disposent que d’un seul terminal. Pour accéder à une cellule, un cops (ou un officier affecté au C.O.P.S.) doit se présenter à l’entrée de l’une des cellules, appeler l’officier de quart au moyen de l’interphone situé devant chaque cellule, et lui demander de déverrouiller la cellule concernée. Une fois que la cellule est déverrouillée, le cops (ou l’officier) dispose de 10 secondes pour appuyer sur le système d’ouverture.

Autant dire que pour arriver à libérer un prisonnier par la force, il faudrait parvenir au 35e , prendre le contrôle de l’ordinateur dédié au bloc, en forcer le code de sécurité ou l’obtenir par la force, puis envoyer un complice de l’autre côté de l’immeuble après avoir préalablement passé l’une des salles pleine de cops, puis pénétrer dans le bloc pour activer l’ouverture des portes... Tout ça sans déclencher d’alarme. Bonne chance ! Ceci dit, ce système reste lourd pour le pôle administratif, et le principe général reste qu’un prisonnier est tout d’abord sous la responsabilité des cops qui l’ont arrêté. L’officier de garde doit juste s’assurer que tout se passe bien dans les cellules ; en cas d’alerte (bagarre, tentative de suicide...), l’officier déclenche l’alerte et a autorité pour réquisitionner les cops disponibles à l’étage pour régler le problème. En aucun cas le bureau d’accueil ne doit être vidé dans ces cas là. Donc même si vous ne pouvez pas sentir le Sergent McClure, le jour où il débarque et vous hurle de le suivre aux geôles, vous le suivez sans discuter et vous obéissez à ses ordres. Bon, le cas ne s’est jamais présenté, et c’est la raison pour laquelle on évite de charger nos geôles. La plupart du temps, elles sont vides. En fait, nos cellules ne nous servent vraiment que temporairement, le temps de mettre un suspect au frais pour l’interroger. Dès qu’on a obtenu ce qu’on voulait, on le fait transférer au dépôt central. Durant le temps de présence des prisonniers dans nos geôles, il faut veiller à les alimenter convenablement. Comme le prisonnier est sous notre responsabilité, c’est à nous autres cops de décider quand il convient de leur faire servir à manger.

En effet, il peut être stratégique, dans le cadre des interrogatoires, de choisir le moment des repas. C’est donc aux cops de commander les repas. En général, il suffit de s’adresser à l’équipe de McClure, qui commandera un plateau repas à la cantine du L.A.P.D. Cependant, la cantine ne sert pas à toute heure ; en dehors des heures de repas, les cops doivent se débrouiller seuls. La plupart du temps, nous faisons alors appel à Isaac, un ado muet que vous avez déjà dû croiser.

Demandez-lui ce que vous voulez (pour un prisonnier ou pour vous-même d’ailleurs !), il se démerdera pour vous le trouver, et rapidement en plus ! Dans ce cas, pensez-bien à garder les factures pour vous faire rembourser... Voilà, je crois que je vous ai tout dit à ce sujet. Pour terminer, quelques infos pratiques : le Sergent McClure n’étant pas mobilisable 24h/24 et 7j/7, le pôle administratif effectue comme nous des rotations horaires. Cependant, ses missions ne revêtant pas toutes un caractère obligatoire en permanence, les rotations s’effectuent de manière différente des nôtres. Les différents services du LAPD, dont le C.O.P.S., ne sont en effet accessibles au public que durant les horaires « administratifs », soit entre 8h et 17h. C’est durant cette période que le pôle connaît le gros de son activité.

Néanmoins, le C.O.P.S. doit continuer à disposer d’un dispatcher ainsi que d’un accès téléphonique et d’un accueil d’urgence durant les horaires de fermeture au public. De ce fait, le pôle administratif tourne « à plein régime » entre 8h et 17h et dispose d’un service minimum de 17h à 8h. Concrètement, le personnel administratif tourne sur 3 tranches horaires : Minuit-9h, 8h-17h et 16h-1h. Une rotation dure donc 9h, mais le personnel a droit à une heure de break au cours de sa permanence pour manger, se reposer... A l’intérieur de chaque rotation, le personnel présent doit s’arranger pour qu’il y ait toujours 50% des effectifs présents au moment du break. D’où les périodes de recouvrement entre les différentes rotations qui permettent à certains de partir un peu plus tôt. De plus, cette période de recouvrement permet le passage d’informations. En termes de présence, durant les rotations du soir (16h-1h) et de la nuit l’équipe administrative n’est constituée que d’un officier de police et d’un auxiliaire civil, alors qu’en journée, l’équipe est constituée d’un officier et de trois auxiliaires.

Un point particulier : le week-end, où le Central est fermé au public. Là, nous mettons en place un système de 2x12 avec deux équipes spéciales (1 officier et 1 auxiliaire) qui récupèrent la semaine qui suit. Ce qui fait qu’en définitive, on a 5 équipes qui se relaient tout au long de la semaine. Et théoriquement, la semaine suivante, on effectue des changements dans les équipes, pour que ce ne soient pas toujours les mêmes qui se bourrent les nuits. Mais bon, il y en a toujours qui préfèrent bosser la nuit, ne serait-ce que parce que ça rapporte plus, du fait des majorations horaires ; et d’autres qui préfèrent être de journée, par exemple certaines mamans qui aiment pouvoir voir leurs mômes en rentrant le soir. Et il y a ceux qui sont contents de ne bosser que le week-end et qui ont ensuite la semaine pour eux... Mais bon, là, tout ça, c’est du ressort du Sergent, et à la limite, on s’en fout.

Voilà, je crois que je vous ai tout dis, nous pouvons passer au pôle suivant, que vous devriez apprécier à sa juste valeur : la logistique !

Le pôle logistique

Un bien joli mot derrière lequel se cachent essentiellement les trois éléments distinctifs du C.O.P.S. : nos armes, nos masques et nos uniformes ! Chacun d’entre vous a déjà reçu son paquetage, je ne vous présente donc pas le responsable du pôle, Muhammad Rewhan. Juste un détail à son sujet : l’autre jour, j’ai entendu l’un d’entre vous s’étonner que Mo’, comme on l’appelle ici, soit un cops. Hé bien oui, le responsable de l’armurerie est un cops ! C’est donc l’exception à la règle, puisque Mo’ est effectivement un civil. Il est entré au C.O.P.S. parce que le capitaine , Andrew Noone, a estimé que ce serait bien d’avoir un homme de sa trempe à nos côtés alors que la société Avers Weapons, qui a fabriqué nos armes, venait de fermer. En effet, Mo’ est tout d’abord un excellent armurier, et il nous fallait quelqu’un de sa compétence pour s’occuper de nos armes avec la disparition d’Avers. Par ailleurs, s’il n’a pas passé le concours de la police pour entrer au L.A.P.D., et s’il n’a pas de passif dans une force de police quelconque, Mo’ est tout de même un ancien militaire ; d’après ce que j’ai entendu, il était dans une unité spéciale en Colombie, et il a participé à la lutte contre les cartels.

Bref, c’est pas un rigolo. Donc même s’il n’est pas flic a proprement parler, il mérite amplement son matricule. Bref, pour en revenir au pôle logistique, c’est donc Mo’ qu’il faut aller voir dès que vous avez un problème avec votre arme. Il est également le dépositaire des quelques armes et munitions qui sont à notre disposition ; outre les Uni et Afrikaneer, nous avons également des Benelli calibre .12 en dotation, même si parfois, cela reste de l’outillage trop léger.

Mais si on a besoin d’équipement plus « lourd », il faut descendre à l’armurerie du Central après avoir rempli de la paperasse en 15 exemplaires. Mo' a la main sur la réserve de masques, de tenues, de combinés caméra, com-unit.

Enfin, Mo’ a en stock tout un tas de bricoles, comme des torches Maglite, des menottes en plastique etc. Le problème, c’est que Mo’ ne peut pas travailler 24/24 7/7. On ne peut donc le trouver, en théorie, que durant la semaine, entre 8h et 17h. Ceci dit, il n’est pas chien sur les heures, et si vous avez besoin du stand de tir ou de matos un peu après 17h, il ne refusera pas de faire un peu de rab’. Donc si vous êtes de permanence la nuit, prévoyez vos besoins en matos la semaine d’avant, ou passez le voir en dehors de vos heures. Car ce n’est pas avec les coupes budgétaires qu’on a eu ces derniers mois que le capitaine pourra recruter un assistant pour Mo’... Là où on a un problème, c’est lorsque Mo’ est en vacances. Eh ouais, il a droit à des vacances, lui aussi. C’est con, mais c’est comme ça ! Eh ben dans ce cas, pas de pot, l’armurerie est fermée ! Alors comment qu’on fait si on a besoin de matos ? Il se trouve que Mo’ s’entend très bien avec le sergent O’Flaherty, le responsable de l’armurerie du Parker Building. Et donc, lorsqu’on a besoin de matos en l’absence de Mo’, on appelle le service du sergent O’Flaherty.

Mo’ consulte toujours l’Ours, comme on l’appelle, pour prendre ses congés, et il lui confie toujours les clés de son royaume. Il n’y a donc jamais de problème pour avoir du matos. Pour la réparation et l’entretien de nos flingues, les hommes de O’Flaherty ne sont pas aussi bon que Mo’, mais vous pouvez quand même leur confier votre arme les yeux fermés.

Une dernière chose, si vous le lui demandez, Mo' vous fournira l'historique de votre arme. Souvent lorsqu'un cops la fait entretenir ou réparer, il confie à notre armurier ce qui s'est précisément passé, certains donnent des interprétations, comment dire, très personnelles et relevant du domaine mystique, ne pouvant pas figurer dans un rapport. Mo', lui, consigne tout ça et tient à jour ce qui est l'un des secrets de notre service.

Le Los Angeles Police Fundation ne fait pas partie du pôle logistique mais vous apprendrez très vite à le connaître. Contre une modique adhésion, il vous permet de faire réparer vos tenues blindées, dont vos masques. Vous pouvez aussi les faire réparer au coup par coup, mais je vous garanti que ça vous reviendra à plus cher, en plus le LAPF prend en charge les orphelins du LAPD, vous ferez donc un bon geste.

De même, l'entretien de votre spitfire ou tout autre véhicule ne dépend pas du pôle logistique mais est commun à tous les services. Vous y ferez connaissance avec la charmante Henriette qui se fera une joie non dissimulée d'accéder à tous vos désirs, si vous savez la prendre, enfin je me comprends.

Le pôle médical

Le médecin, la psychiatre et leurs secrétaires n’appartiennent pas à proprement parler au C.O.P.S. Ce sont des civils salariés du LAPD, tous services confondus, qui sont détachés auprès du C.O.P.S. pour y effectuer des consultations périodiques, et y tenir des permanences hebdomadaires.Ainsi, vous recevrez régulièrement des convocations du Docteur Jamison pour un check-up - en gros, une fois par semestre - , et vous pourrez également aller le trouver à la permanence qu’il tient une matinée tous les 15 jours, dans l’une des salles d’interrogatoire.

De même, le Docteur Anna Swain tient une permanence hebdomadaire dans nos locaux pour que vous puissiez aller la consulter ou tout simplement lui parler de tout ce qui vous passe par la tête. Oui, je sais ce que vous allez me dire ; c’est une psy, une réductrice de tête... Mais elle a un bon fond, et franchement, vu les tensions qu’on a à supporter, lorsque l’aide des collègues ou de Grand’ma Cunningham ne suffisent plus, il ne faut pas hésiter à aller la trouver, ou le Docteur Jamison qui est vraiment cool. Sans eux, je crois que le taux de burnout du service exploserait carrément ! Donc le Dr Jamison, c’est le mercredi matin, de 9h à 12h, une semaine sur deux. Et le Dr. Swain, c’est tous les jeudis, de 14h à 18h. Et si ces horaires ne vous arrangent pas, ou si vous n’avez pas envie d’être vus en train d’aller consulter, vous pouvez passer à leur bureau, au 22e étage. Leurs secrétaires se feront un plaisir de vous donner un rendez-vous. Notez que la secrétaire du Dr. Jamison, la petite Sarah Neiertz, est tout à fait charmante !!!

Le pôle investigation

On entre là dans le cœur du sujet. Il s'agit de ce à quoi tout le monde pense quand on parle du COPS. L'unité regroupe 200 détectives et est divisée en trois groupes A, B et C, chacun étant divisé en trois sections. Les sections fonctionnent selon les trois-huit.

Groupe A

  • Section Alpha : Lieutenant Tod "Ironman" Hawkins, cops 002
  • Section Beta : Lieutenant Stefano "Predator" Munez, cops 004
  • Section Gamma : Lieutenant André "Mac Lane" Silverman, cops 006

Groupe B

  • Section Delta : Lieutenant William "Collateral" Killroy, cops 005
  • Section Epsilon : Lieutenant Vanessa "Bond" Ortman, cops 007
  • Section Dzeta : Lieutenant Alexander "Wolf" Blake, cops 003

Groupe C

  • Section Eta : Lieutenant Sandra "Speed" Fuente, cops 008
  • Section Theta : Lieutenant Lorenzo "Capo" Scanzi, cops 009
  • Section Iota : Lieutenant Martin "DNA" Logan, cops 016
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