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 Soraël Sorael Lonrow est née dans la forêt de Miéranie, en Varisie. Plus précisément, dans l'ancienne cité de Celwynvian. Elle a toujours montré de réelles capacités pour la magie, et on l'a préparée et entraînée à son utilisation durant toute son enfance. La personne la plus proche de Sorael a toujours été sa sœur, Imdlara. Son aînée de dix ans n'a jamais montré de talents particuliers pour quoi que ce soit, mais pourtant Sorael en a toujours été un peu jalouse. Plus jolie, plus mâture, et surtout dotée d'une voix à faire cambrer les cieux. Un jour, sa sœur ne revint pas d'un voyage. Elle était partie avec un humain du nom de Zstellian, et avait choisi de partager sa vie plutôt que de revenir vers sa famille. La première réaction de Sorael fut de lui en vouloir profondément. Elle ne voulut plus en entendre parler, et elle se réfugia au plus profond de Miéranie, afin d'aider les siens de son mieux contre les multiples dangers que recèle cette forêt. Mais elle finit par s'en aller elle aussi, à la recherche de sa sœur. Ce n'était qu'un au revoir contrairement à son aînée. Mais elle avait besoin de la voir et de lui parler. Accompagnée de Nimiel, une grive jacasseuse dont elle était étrangement proche et qui avait le don de parole, elle s'en alla donc de Miéranie. Profitons-en pour faire une petite parenthèse sur Nimiel. Le lien noué entre l'elfe et l'oiseau ressemble étrangement à celui qu'elle avait avec sa sœur. Nimiel a une voix mélodieuse, et une humeur qui est très souvent excellente. Et puis, Sorael l'a rencontré juste après le départ de sa sœur. Il n'est pas difficile de comprendre à quel point elle tient à cet oiseau. Elle retrouva sa sœur à Nybor, un petit village un peu perdu au bord des lacs de braise, après une année entière de recherches laborieuses. Sorael pense toujours qu'Imdlara a fait une énorme erreur en abandonnant la Miéranie et sa famille, mais elle aime trop sa sœur pour la détester. Elle ne reste jamais longtemps à Nybor, mais elle y revient régulièrement pour la rencontrer. Elle reste quelques jours, parfois une semaine voire deux, et puis elle s'en retourne vers Celwynvian. Sans jamais réussir à ramener sa sœur avec elle .. ; Modifié par un utilisateur samedi 14 septembre 2013 20:55:13(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Eric s'ennuyait ferme sur les bancs de l'Académie de magie . Il se disait qu'il avait fait le tour de ce qu'il pouvait apprendre, et ne voulait pas se consacrer totalement aux études . Il n'était pas le moins beau, et il pouvait draguer assez sans trop de soucis . Distraction qui ne plaisait pas vraiment aux professeurs, mais il les a devancés en annonçant lui-même son départ, expliquant qu'il voulait voir d'autres choses . Il a voyagé dans toute la Varisie et se dit qu'il n'a pas perdu au change, il a vu des choses qu'il n'aurait pas forcément vues fessier vissé sur une chaise . Il s'est aussi exercé au combat physique par nécessité, une mauvaise rencontre pouvant arriver . Il est revenu à Nybor pour pensait-il se reposer pendant des vacances afin de couper avec l'apprentissage et se reposer pendant quelques temps, pour mieux attaquer le prochain bachotage . S'entraîner à l'épée tout en buvant un peu de vin, ou étudier en ronflant . Mêler l'agréable à l'utile ne lui semble pas un grand luxe . Il veut en profiter parce qu'il sait que tôt ou tard la fête sera finie et qu'il va devoir étudier pour assurer son avenir .  Eric Sorts niv 1 : 2/2 Modifié par un utilisateur dimanche 15 septembre 2013 11:18:22(UTC)
| Raison: Non indiquée | *Les convictions par rapport au jeu de rôle sont faites pour être bousculées, n'en déplaise à certains vivant encore dans les années 80 . L'inverse est vrai, le rollplay n'est pas intéressant* |
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Inscrit le : 23/06/2013(UTC)
Messages : 17
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Elentir est ce que tu pourrais me créer un jeton avec cette image? Merci.  Destan Description: on voit dès le premier coup d’œil que Destan est un guerrier et qu’il ne mise pas tout sur la subtilité. Si aux combats il joue au maximum sur sa force il n’en est pas pour autant une brute qui fonce inconsciemment dans l’action. Il est bien conscient que les risques doivent être mesurés et pris en compte. Plutôt grand, massif, solide c’est un imposant gaillard qui donne à réfléchir. Ses longs entrainements ont profondément marqué son corps en plus de son esprit. Il est doté d’un aspect sec et dur, particulièrement aux niveaux du visage. C’est une personne posé, qui sait prendre du recul et le temps de réfléchir. Sérieux il reste capable de prendre du temps pour rire et s’amuser. Histoire : Né dans une famille dirigeant une importante exploitation agricole. Quelque peu turbulent et agité dès son plus jeune âge, cela atteint une phase critique lorsqu’il s’approcha de ses douze printemps. Ses parents s’efforcèrent alors de lui donner de quoi s’occuper en permanence. Au début il fut donc mit bien plus largement à contribution pour les travaux de ferme. Cette période dura presque deux ans. Cependant ces activités n’enthousiasmer pas franchement le jeune Destan, ce dernier essaya donc d’échapper aux maximum a ses activités pour passer du temps avec un groupe du village qui se considérer comme la milice local. Devant ce manque de discipline et craignant une mauvaise influence les parents de Destan trouvèrent une solution qui arrangeait parfaitement les deux parties. Destan irait dans une académie militaire, il y subirait donc une formation martial ce qu’il l’enchantait aux plus haut point et ses parents espérer qu’il apprenne ainsi le sens de l’ordre et du devoir. Personne ne fut déçu par rapport à ses attentes. De retour dans son village Destan retrouva avec joie sa vie précédente. Fort de sa nouvelle formation il prit la tête de la milice avec ses nouveaux amis. Cependant Destan avait beaucoup changé et il s’en suivit de nombreuses dispute autour de la manière de gérer la milice. Ma tension montant progressivement vint la crise. Quelque anciens amis qui diriger avec plaisir cette milice officieuse tentèrent d’intimider Destan pour que ce derniers s’écarte et les laisse continuer comme avant. Cette intimidation dégénéra et Destan tua pour la première fois cette fois-là. Reculant sous les coups de poings de ses adversaires il passa à proximité d’une faux, s’en saisit et frappa comme on lui avait appris. C’est-à-dire fort. A la vue de leur compagnons mort les autres adversaires s’enfuirent, appelèrent aux secours et accusèrent Destan d’être entièrement responsable. De cet épisode Destan garderas toujours une préférence pour une faux comme arme. Le procès n’eut jamais lieu pour décider de la vérité officiel, Destan préféra partir plutôt que de devoir affronter la suspicion et prendre le risque de devoir tuer quelqu’un d’autre. Il signa ainsi ses aveux et partit sur les routes, après quelque péripéties sans importance il arriva à nybor, la bourse vide et à la recherche de quoi s’occuper. Modifié par un utilisateur jeudi 26 septembre 2013 21:18:36(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Inscrit le : 14/08/2013(UTC)
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 Yorm A l'inverse des sociétés des Hommes, celles de la Nature sont si simples. Pas de coups tordus, pas de pensées qui contredisent les mots. Simplement la Nature. Sauvage, dangereuse, mais jamais cruelle ou sournoise. Si la louve meurt, les louveteaux livrés à eux même mourront, permettant ainsi aux chevreaux de grandir. Aussi loin qu'il se souvienne, Yorm a toujours vécu dans la Nature et s'y sent en sécurité. Yorm ne sait pas lui même d'où il vient, ni qui était son père. Qui cela pourrait intéresser ? Sa mère l'ayant abandonné tout jeune, il a été livré à lui-même dés son plus jeune âge. Dans son malheur il a eu la chance de ne pas aller grossir le flot des miséreux qui pullulent dans les villes; soumis aux guildes qui asservissent les mendiants. Lui a eux la chance de se retrouver dans la Nature, où il pouvait chasser sa pitance, dormir et grandir à l’abri des coupes-gorges... Au fil des années passées en montagne, Yorm a appri quels fruits pouvaient être mangés et quelles grenouilles il ne valait mieux pas lécher... Yorm a appris la nature des rochers, le bruit des loups qui chassent en meute, l'odeur de l'air avant que la foudre ne s'abatte... Pour lui la suprématie de la Nature sur toute forme de considération, est si évidente, qu'il a décidé d'y vouer son existence. Ainsi Yorm est devenu un représentant de ce Monde; soldat s'il le faut, aidé par un lynx recueilli tout jeune, qui le suit en toute circonstance. Parmi les gens, il reste discret; car à vrai dire il n'a jamais appris les codes de la vie en société. Les autres sont donc pour lui un mystère. Yorm n'a jamais compris le sens des mots "des générés", "salorc" ou "fin de rat smodite". Même si son jeune âge n'a pas encore profondément marqué son affiliation à la race orc, il garde de désagréables souvenirs de ses incursions dans la jungle urbain. Qu'il raccourcisse d'un coup de dent bien placé, la toge (peu pratique), d'un marchand qui l'embauche pour traverser les marais ou qu'il offre les abats de cheval (le meilleur morceau !) à la paysanne, il suscite la colère en pensant bien faire... Les gens sont trop complexes pour lui. Qui aurait cru que l'urine de Lynx pouvait déranger un tavernier ? Comment savoir qu’appeler un nain "lami" serait mal perçu. (Il n'avait pourtant pas détecté de haine dans la voix de celui qui l'avait affublé de ce mot la première fois...). Pourquoi ne peut-on pas chasser les animaux de la ville pour s'en nourrir... Autant d'inconnus qui rendent Yorm hésitant lorsqu'il doit se confronter aux gens... Ne sachant pas quelle attitude on attend qu'il adopte, en toute circonstance il parait au mieux distant au pire idiot. "Yorm, l'orc idiot au gros chat" Mais cette fois-ci Yorm avait besoin d'une veste de cuir bien solide, rien qu'il ne puisse fabriquer lui-même. Il était donc parti braver les innombrables danger de la ville, affronter les étrangers au langage incompréhensible pour trouver son équipement... Modifié par un modérateur dimanche 22 septembre 2013 11:09:36(UTC)
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Fredch, Mentes, Eric et Yelloow : 
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 Runar 14/14 pv BG de Rünar!! Il y a environ 17 années…… Nous étions quelques jours avant la Nuit Pâle. Cette journée était froide comme la mort, Le vent glacial balayait les contreforts des monts Malgoriens. Horeb le Tordu avait hâte de rejoindre l’abri des rondins de sa cabane de trappeur qui se trouvait dans la forêt de Sanos a quelques lieues seulement du lac de braises. La chasse avait été peu fructueuse, il ramenait seulement deux peaux de loups et son périple d’une semaine avait été harassant. Cela faisait maintenant vingt ans qu’il vivait ainsi, ne côtoyant les populations alentours que pour vendre et troquer ses peaux, il préférait vivre ainsi, les moqueries et railleries du à sa bosse l’avait fait fuir la civilisation, il était différent mais il détestait que l’on lui fasse sentir, alors il avait décidé de vivre seul, à l’abri de la forêt. Il venait de pénétrer dans les bois, il ne lui restait qu’une petite heure pour arriver et il devait relever ses pièges. Arrivant sur un lieu de piégeage il aperçut une bête au sol, un cerf…..Mais ce n’était pas la seule chose, un corps de femme était étendue le long de la bête. Il s’approcha et vit que les charognes avaient faire leur œuvre, la bête devait être morte depuis plusieurs jours, vu l’état de la carcasse quand à la femme elle avait du mourir de froid il y a peu… elle était lovée contre la bête, comme si elle l’enlaçait…. Pauvre femme... Porquoi venir mourir ici ? Horeb le compris quand il retourna la femme, elle protégeait un petit corps, vivant celui-ci, emmitouflé dans quelques fourrures et à l’abri de la carcasse du cerf…. Elle avait protégé son fils des morsures du froid mais n’avait pu y échapper… triste fin… Il prit l’enfant et le ramena dans la chaleur de sa cahute, il remarqua alors qu’il avait la vie d’un petit bâtard entre ces mains, il comprit alors la fuite de cette mère, cherchant à protéger son bâtard de la haine de certain… Le petit était différent tout comme lui… Il décida de l’élever comme son fils et lui donna le nom de Rünar l’endurant … Rünar grandit donc au milieu des bois et Horeb lui appris le métier de trappeur, Rünar faisait preuve d’une grande habileté pour repérer leurs proies et plus Rünar grandissait plus les prises étaient fréquentes, il était bon pisteur, habile à la hache et au filet et commençait à maîtriser la pose des pièges. Horeb était fier de lui.. Il l’accompagnait fréquemment lors de la vente de leurs prises aux tanneurs de Wartle, Rünar n’était pas mauvais commerçant non plus, mais parfois son sang orque attirait les railleries de la part des autres trappeurs de Wartle et il arrivait que cela en finisse aux mains… Cela plaisait à Rûnar… l’action, la compagnie des auberges, le monde extérieur…. Horeb sentit se désir de voyage, il prit son fils par ses larges épaules : « Je sais que tu n’es pas fait pour vivre en hermite dans cette forêt comme moi, tu as besoin d’aventure, je le sens ! Je ne pourrais te retenir ici, je n’en ai pas le droit, tu es libre de partir fils !! » Rünar réfléchi plusieurs semaines puis il prit sa décision : il décida de partir…. Horeb lui indiqua, qu’il pourrait se rendre dans un premier temps à Nybor, cette ville acceptait bien les sangs mêlés et qu’il pourrait séjourner quelques temps au Charig Chantant, l’auberge du village. Rünar chargea sa mule, Fria , pris son père dans ses bras et parti en direction de Nybor avec un sentiment, mélange de tristesse et d’excitation, il était sur la route…… il se sentait bien comme jamais….
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 1 utilisateur a remercié farenael pour l'utilité de ce message.
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Inscrit le : 28/11/2013(UTC)
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Localisation : troyes
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Aliandhor barbare humain
Grand, plutôt bien bâti, lorsque l'on m'aperçoit on se demande toujours ce qui va se passer car mes yeux sont noirs avec des variations de bleu en fonctions de mes sentiments, pourtant lorsque l'on me voit manier une arme que se soit au combat ou dans une forge on ressent que cette puissance canalisée et maitrisée n'est pas à son summum tant que je ne laisse pas ma rage prendre le pouvoir.
D'aussi loin donc je me souvienne je vois le visage du vieux Dolgrum veillant sur moi, il m'a trouvé errant il y a 12 ans en pleine foret avec pour seul possession une épée et une drôle de marque de naissance en forme de loup. Le vieux nain m'a appris tout de l'art de la forge et du maniement des armes que je possède, il a tenté au cours de ses années de m'apprendre a refréner ma rage qui parfois me submerge surtout lorsque je suis amené à me battre.
Il y a quelques temps mon mentor est mort me laissant seul au monde encore une fois, seul face à des questions, face à des rêves que je ne comprends pas mais qui semble me guider et qui a présent m'amène en cette contrée. Je vais essayer de suivre ses préceptes quant à la valeur des actes que l'on pose et des conséquences que cela peut avoir mais j'ai le temps après tout je n'ai que 16 ans. Pour beaucoup je suis juste un barbare incontrôlable mais au fond de moi je sais que je suis juste différent prompt à m'emporter mais enclin à aider mon prochain.
Capable de rire et de festoyer j'ai toujours pour autant mon esprit sur le qui vive, prêt à agir et à réagir à mon environnement. Certain me trouve rustre d'autres juste à la limite de l'acceptable car mes manières ne sont pas toujours adaptés aux lieux et aux circonstances mais je les laisse dire ou parler comme me l'a si bien enseigné Dolgrum. Et si cela va trop loin une démonstration de mes talents calment généralement l'assemblée.
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1 utilisateur a remercié dundarrach pour l'utilité de ce message.
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