Kriss rangea son arc et regarda autour de lui. la pupart de ses compagnons étaient blessés. Seuls Syrius et Annabeth semblaient intacts, mais cette dernière avait été en première ligne. Cette fille avait du chien et il devait se l'avouer, il aimait ça. Il fit le tour de la pièce, donnant de violents coup de pieds sur les cadavres des créatures maléfiques afin de s'assurer qu'ils étaient bien morts.

« Une bonne chose de faites. La démone et ses sbires ne sont plus un danger. Il ne reste plus que les gobelins. »

Modifié par un utilisateur dimanche 30 octobre 2016 10:06:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Alors qu'elle s’apprêtait à recommencer à faire usage de son outil de force, elle vit passer l'éclair qui fit disparaître en un rien la créature. Finalement, sa stratégie avait fonctionné. Pas comme elle le voulait mais c'était quand même un succès. Trop occupé avec ses injures, la démone n'avait pas vu le carreau. De là, le problème n'en était plus un. Elle souffla un grand coup avant de ranger sa baguette et de rengainer son arme. La baguette lui avait plu en tous cas. Assez violente pour un sort mineur, elle notait surtout que l'arme était bien plus précise qu'un arc. A l'occasion, peut être qu'en acheter une lui permettrait de se débarrasser de cette arc encombrant. Mais ce n'était pas à l'ordre du jour. Son œil entraîné par les leçons paternels nota immédiatement la petite dague. Aussi petite qu'elle était, l'arme semblait lucrative et vaudrait largement son poids en or. Si ce n'est plus...

Elle effectua alors un tour sur elle même pour juger de la situation. Ses companions avaient bien encaissés. Elle arrêta son regard sur son compatriote et le détaillât de haut en bas. Un sourire apparu au coin de sa bouche alors qu'elle lâchait sa petite pique «  T'es sacrément appétissant dans cet état, mon grand. Tu va en faire tomber plus d'une avec cette tenue. » L'elfe faisait en effet pitié à voir : couvert de sang, entaillé sur tout le corps et les vêtements déchirés, il avait perdu un brin de son charme. Elle ajouta cependant en elfique


Elle s'approcha du tas d'objets laissé par la quasit et après concentration, Pouvoir magique de lecture de la magie étudia les parchemins qu'elle tendit ensuite au mage « Si tu veux les recopier dans ton grimoire. Je suis pas une adoratrice de la convocation de créature. Par contre, ça te dérange si je recopie ensuite sur toi celui de rayon affaiblissant ? Ça m'intéresse. » Elle leva alors l'arme de la quasit et annonça «  Même si elle est minuscule, cette arme vaut un paquet d'argent, environ 8000 pièces d'or. Si vous voulez, je peux essayer de négocier pour qu'on s'en débarrasse, j'ai quelques bases en négoce. Sinon, elle ne nous sera d'aucune utilité. Par contre, une idée de où on peut la vendre ? »

Estimation du prix de l'arme

Modifié par un utilisateur mardi 1 novembre 2016 10:59:08(UTC)  | Raison: Non indiquée

es prévôts encore un peu étourdis de la fureur du combat et de leurs blessures étaient maîtres des lieux. Prospéro resta un instant interdit, comme abasourdi par la puissance qu'il venait de déchainer contre la quasit. Mais, en bon disciple de son Dieu, il se ressaisit vite

« Rassemblez-vous près de moi », souffla le prêtre tandis qu'il prenait à pleine mais le symbôle sacré du Dieu de la civilisation qui arborait tout le temps sur la poitrine. Levant haut ledit symbôle, presque à hauteur d'épaule de Krajazyk, le halfelin en appela à la toute puissance d'Adabar :
« Père de la civilisation, apporte tes bienfaits à ceux qui viennent de défaire les suppôts du chaos, soigne nos corps et purifie nos âmes de la souillure des êtres méprisables qui tentèrent de corrompre ses lieux.  »

Une vague de chaleur de répandit autour et à travers des prévôts tandis que leurs blessures se refermaient. Le prêtre maintint ce déferlement de puissance divine bienfaitrice pendant de longues secondes, les chairs se ressoudaient, les bleus disparaissaient. Le bras du halfelin commença à trembler sous l'afflux de puissance et il finit par le baisser, relevant la tête avec une vigueur et un allant nouveau, bien que des cernes fussent apparus sous ses yeux.


Lyod remercia le halfeline d'un signe de la tête, sur laquelle la fatigue se lisait également. Il avait rengainé sa lame et retrouvé sa silhouette habituelle, mais du sang maculait son bel habit vert : son sang ainsi que celui du démon qu'il avait combattu.

A la remarque d'Adhuzal, il indiqua : « Qui sait ce qu'il adviendra si nous laissons ce puit sans surveillance ? Sa malveillance ne pourrait-elle attirer à lui des créatures qu'il nous faudra affronter pour pouvoir accéder à ce puit à nouveau ? Est-il conscient ou n'est-ce qu'un artéfact sans volonté ? Si nous avons une idée intelligente, autant l'exploiter tout de suite et en finir une bonne fois pour toute avec cette menace. Qu'ell »

Syrius qui avait retrouvé de sa superbe et qui s'était assuré que tous allaient bien releva la tête des objets pris sur la démone pour prendre à son tour la parole :
« Certes, laisser ce puit sans surveillance ne m'enchante guère non plus, mais il est peu probable que quiconque puisse accéder à ce puit en notre absence, et nous avons des devoirs envers Pointesable et son Conseil. Ils doivent être informés et pouvons-nous vraiment prendre le risque de jouer aux apprentis sorciers et de faire des expériences sur un artéfact qui manifestement dépasse complètement notre entendement ? Adhuzal souhaite prendre des avis plus éclairés et je crois qu'il fait preuve de sagesse sur ce point... Et puis celà nous permettrait de proposer l'achat de cette arme magique exceptionnelle à quelques riches nobles ou marchands de Pointesable ou à ce gnome fantasque au nom en "lili" »

Le regard des deux hommes fit le tour de leurs compagnons, ils allaient devoir prendre une décision tous ensembles.

Modifié par un utilisateur vendredi 4 novembre 2016 15:53:18(UTC)  | Raison: Non indiquée

A la demande du prêtre, Annabeth s'était approché, curieuse de savoir ce qu'il voulait. La décharge d'énergie la fouetta de toute ses forces néanmoins, ce n'était pas ce qu'il lui fallait. Nul plaie à recoudre et nul bleu à effacer. Elle profita cependant de ce souffle de vie pour récupérer un instant. Un gout de caramel passa dans sa bouche alors que l'apaisement et le réconfort neutralisait l’adrénaline et évitaient le sentiment de manque qui aurait suivit. Ce repos dura pendant toute la canalisation.

Une fois cette dernière achevé, elle remis de l'ordre dans ses vêtements et rattacha ses cheveux. Elle aperçu de coin de l’œil Kriss se débattre avec ses taches de sang. Souriant du coin de la lèvre, elle incanta un bref instant. Les taches de sang disparurent en un court instant. « C'est mieux ? » Prestidigitation

A l'information du ménestrel, Annabeth réagis au quart de tour. «  Djimilili est à Pointesable ? Je le connais, on a déjà eu a faire affaire avec lui. Si vous voulez, je peux essayer de lui vendre l'arme pendant que vous gérez le problème de ce puits. De toute façon, on devrait pas avoir une entité maléfique qui vienne de suite ici, y a quand même la garde de la ville qui veille un peu. »

Dos au mur, Krajazik lance des regard inquiets alentour en espérant ne pas avoir à prendre la parole en public. En entendant les dernières nouvelles de la ville, son esprit s'évade et soudain il s'inquiète pour Mama et aussi, dans une moindre mesure, pour Grigniak, qu'il espère revoir bientôt. Pourvu que les paroles du prévôt Syrius aient portées auprès du conseil. Pourvu que Mama soit à l'abri et bien traitée ...

Pourvu qu'il sorte rapidement d'ici !

Trop heureux de pouvoir aller prendre l'air, Krajazik, désireux de ne pas trahir son besoin de fuite, se contenta de grogner son assentiment avant de saluer respectueusement de la tête Gnosim.

Une fois à l’extérieur, le poids qui pesait sur ses épaules s'envola et presque guilleret il interrogea le magicien « Alors, qu'est-ce qu'on va faire ? Moi j'voudrais aller voir M'ame Mvashti, pis p'tet Grignak et même aller voir l'forgeron j'voudrai essayer que'que chose ... Et toi alors ? »

Modifié par un utilisateur jeudi 10 novembre 2016 13:47:20(UTC)  | Raison: Non indiquée

ors qu'Adhuzal et Krajazik sortaient pour aller quérir les éminences magiques de la ville, Annabeth déclara à son tour qu'elle avait à faire.

Gnosim hocha la tête et indiqua néanmoins : « Très bien, je vais suivre nos deux amis pour aller parler à Maître Gandhétus, je vous propose que nous nous retrouvions ce soir afin de préparer le conseil municipal de crise de demain matin. Nous aurons d'importantes décisions à prendre lors de ce conseil et je crains des résistances de certains nobles. Certains voient cette crise comme une opportunité... je ne sais s'ils ont pleinement conscience des enjeux ou s'ils sont simplement trop opportunistes... »

Prospéro salua ses compagnons et indiqua qu'il allait se recueillir à la cathédrâle et chercher Dame Korvaski qui lui avait remis les objets magiques ayant permis de terrasser la démone.

Quant à Kriss, il se retrouva désoeuvré tandis que les autres partaient, Annabeth en dernier



La gracile elfe trouva le gnome magnimarien au Dragon Rouillé en pleine conversation avec le beau Morton Valdemar, qui l'a salua lorsqu'elle s'approcha d'eux.
« Ma dame, si la beauté de vos armes est stupéfiante, elle n'égale pas celle de vos charmes. Morton Valdemar, pour vous servir/ »dit l'homme en se levant et en s'inclinant galamment. « Je n'ai pas le bonheur de vous connaître, nous arrivez-vous de la merveilleuse forêt de Mériani ? » l'homme la détailla et sembla noter quelques incohérences avec une telle provenance puisqu'il se corrigea « Non, bien sur, le raffinement de votre mise plaide pour Korsova, ou Magnimar... L'une de ces deux cités a assurément perdu l'une des perles de sa couronne »indiqua-t'il d'un ton de connivence galante.

Maître Jimillili, le gnome aux cheveux bleus pâles et aux vêtements extravagants, resta assis levant un sourcil en guise d'interrogation tandis qu'il avisait l'équipement guerrier d'Annabeth et sembla froid aux assauts de galanterie de Messire Morton Valdemar à destination d'Annabeth, l'étiquette des nobles le laissant manifestement totalement indifférent.



Adhuzal, suivi de Krajazyk et Gnosim n'eut aucun mal à trouver Ilsoari Gandhétus, qui veillait à la sécurité de son Académie pleine de réfugiés varisiens tandis que deux enfants lavaient un graffiti malveillant inscrit sur la façade.
A la vue du jeune mage et du sorcier, la vieux magicien sourit : « Ah, je suis fort aise de vous voir. Les tensions me semblent s'intensifier en nos murs... j'en viens à souhaiter un assaut des gobelins qui nous donneraient un ennemi commun concret contre lequel nous liguer en faisant fi de nos différences.
L'une de mes nouvelles pensionnaires, une jeune varisienne de 14 ans accuse deux séides des Scarnetti d'avoir tenté de la violer et trois varisiens m'ont indiqué avoir été ni plus ni moins que rackettés par des miliciens volontaires... Les choses pourraient dégénérer avant même l'attaque des gobelins » soupira le vieil homme. « J'espère que les haines et le ressentiment pourront être mis de côté lorsqu'il faudra lutter pour nos vies... Mais vous ne venez pas ici pour celà n'est-ce pas ? qu'est-ce qui vous amène » demanda le mage avec un légère crainte dans la voix.

Modifié par un utilisateur jeudi 17 novembre 2016 11:40:54(UTC)  | Raison: Non indiquée

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Modifié par un utilisateur mercredi 23 novembre 2016 15:34:55(UTC)  | Raison: Non indiquée

Une fois l'arme reçu des mains de Kriss, Annabeth quitta la pièce. Chance ou malchance, elle ne vit pas le regard de son compagnon se déporter. Contrairement à Estheban qui s'il l'avait pu, n'aurait pas sût retenir un sourire...

La route qui la mena à la taverne se révéla calme mais surtout, courte. Elle n'eut en effet pas grand mal à savoir où se trouvait ce gnome et c'est donc devant la porte du dragon rouillé qu'elle se trouvait. Pestant contre la vitesse des événements, elle regretta de ne s'être ni changé, ni lavé depuis qu'elle était arrivé. A son goût, le trajet et surtout la caverne, avaient laissaient leurs traces sur son corps. Tans pis, elle n'avait pas le choix. Un petit sort pour se nettoyer un brin, quelques retouches à sa coiffure et à son chemisier dont elle défie volontairement un bouton (il ne fallait rien laisser au hasard) et la voilà qui entrait dans la pièce enfumé.

Regard circulaire, posture de conquérante, elle cherchait son objectif. Trouvé. Elle commença à s'avancer vers le gnome de son pas léger, le visage aimable. Il était accompagné. Mauvaise nouvelle, ils étaient plus nombreux qu'elle. Néanmoins, l'avantage sembla tourner au vu du comportement du nobliaux. Annabeth savait ce qu'elle voulait du gnome et ce que voulait l'humain. En jouant bien, il y avait peut être moyen de le mettre sur la touche voir de le mettre de son coté. Elle lui sourit.

« Magnimar en effet. Mais ma famille vient cependant de la forêt de Mérianie comme vous le supposez Monsieur. En tous les cas, je vous remercie de ses charmants compliments et vous les retourne car je fait bien pâle figure en compagnie d'un gentilhomme aussi aimables que vous. »

Elle se tournât alors vers Jimilllili et continua : « Mais je ne suis pas là pour conter fleurette » Elle ajouta cependant rapidement à l'attention du noble avec un regard charmeur « Même si le prince charmant peut arriver n'importe où. » Se reprenant, elle continua pour le gnome « En fait, je suis ici pour affaire. J'ai ouïe dire que vous résidiez temporairement ici et pour être franche, je vous connait de nom. Je sais que vous possédez une sublime collection d'armes diverses et variés de grande qualité et je suis prête à vous aider à l’étoffer en vous en proposant une, contre monnaie trébuchante bien sûr. Il s'agit d'une arme riche de sa qualité et de son histoire. Cela vous intéresse t il d'en savoir plus ? »

Tout en parlant, elle s'était assise à la table sans en demander l'autorisation et avait adopté une position ni trop strict, ni trop lascive : elle était là pour affaire mais comptait en profiter pour échauffer l'esprit du nobliaux.

aître Gandhétus leva un sourcil à la remarque d'Adhuzal, interrogeant du regard Krajazyk, Kriss et Gnosim. Ce dernier indiqua qu'ils devaient parler au calme et le responsable de l'Académie de la Turandok les emmena dans son bureau où il écouta les explications du sorcier aux épaules voutées.

Le vieux mage se leva du fauteuil dans lequel il s'était assis pour écouter les prévôts temporaires et tritura nerveusement sa ceinture.
« Un tel artéfact est très certainement dangereux. Vous avez été bien inspirés de ne pas avoir réalisé des expériences hasardeuses sans aide, mais la magie de cette époque est pour le moins complexe et puissante... Je ne sais si j'aurai les compétences nécessaires pour vous apporter mon aide...

Je dois le voir en tout cas...

Pensez-vous qu'il puisse avoir des effets au-delà de l'invocation de créatures de cauchemard ? Avez-vous analysé son aura en profondeur ? Il va me falloir réunir un peu de matériel. Attendez-moi.  »

Le mage prit un trousseau de clefs dans son bureau et s'absenta un instant, laissant les prévôts seuls dans ce vieux bureau plutôt spartiate qui ne comportait pour seul objet de valeur qu'une très gracieuse statuette de balerine elfe en métaux précieux.

Curieux, Krajazyk la renifla et l'effleura et aussitôt une douce musique emplit la pièce tandis que la ballerine prenait soudainement vie et exécutait sur son socle des mouvements d'une fluidité et d'une grâce surnaturelle. Elle semblait une véritable créature vivante tant sa peau métallique ne laissait voir aucune imperfection.

Gandhétus entra à nouveau dans la pièce peu avant que la ballerine ne se fige à nouveau. Loin de prendre ombrage de la liberté, bien involontaire, prise par les prévôts, il sourit : « Ah, elle est bouleversante n'est-ce pas ? un pur éclat de grâce et de beauté... elle me rappelle... enfin, bref, nous avons à faire.  »

Le vieux mage était revenu avec une lourde saccoche, des étuis à parchemins à deux baguettes de bois gravées de runes étranges.

« Avez-vous pensé à un plan ou une procédure pour étudier cet artéfact ? une idée quelconque ? » demanda-t'il à Gnosim et Adhuzal.



Morton Valdemar, salua gracieusement Annabeth tandis qu'elle se tournait vers le gnome et il se retira en ajoutant : « Je ne voudrais pas me montrer envahissant. Je vous laisse parler affaire, mais... j'espère avoir bientôt le plaisir de vous recroiser Mademoiselle.
 »


Maître Jimillili manifesta un geste d'impatience et répondit à Annabeth : « Oui, je possède de nombreuses armes de qualités exceptionnelles, mais avant tout je les vends. Parlez moi donc et surtout montrez moi cette merveilleuse arme que vous souhaitez vendre, nous pourrions peut-être faire affaire, mais je dois vous prévenir, mes fonds sont limités pour l'instant. J'ai offert une forte récompense à qui reprendrai des mains des gobelins le chargement d'armes que j'avais fait convoyer jusqu'ici et qui fut attaqué par ces satanées créatures du chaos et je compte bien honorer mon engagement. Mais peut-être accepterez-vous un billet à ordre garanti par la Ligue commerciale de Pointesable en gage de paiement si cette arme est effectivement intéressante.  »



De son côté, Prospéro rallia la toute nouvelle cathédrâle de Pointesable, remplie de réfugiés varisiens au milieu desquels le Père Zantus, Madame Korvaski et le difforme Naffer évoluaient, rassurant les uns, distribuant de maigres vivres aux autres et jouant avec les enfants à des jeux idiots pour les occuper. Une bande de chiens maigrichons commença à le suivre, gênant ses mouvements, mais ils furent rapidement rappelés à l'ordre par une varisienne ventripotente qui les siffla sèchement.

Prospéro put expliquer discrètement aux autorités spirituelles de la ville la situation et la présence de l'artéfact dans les catacombes. Confiant à la cathédrâle à Madame Korvaski et à Naffer Abstalar Zantus le suivit et tous deux se dirigèrent vers l'Académie de la Turandok : Nous devons nous assurer que ce temple impie et la monstruosité qu'il abrîte soient hors d'état de nuire.