es gobelins n'avaient pas encore perçu la présence d'Annabeth.
Tu as un round de surprise+l'init pour le round suivant...

nnabeth invoqua un bouclier de protection qui se matérialisa sous la forme d'un disque chatoyant et translucide qui protégeait tout son côté droit. Elle fonça alors au contact et d'un coup bien placé et puissant eviscera le gobelin qui avait à peine eu le temps de se retourner et de lever son tranchechien pour parer le coup. L'arme de mauvaise qualité vola en morceau au contact de la lame noire de l'elfe qui pénétra les chairs de la malfaisante créature avec une efficacité mortelle.

Les boyaux du gobelins se déversèrent sur le sol tandis qu'il s'écroula, mort.

Les autre gobelins couinèrent et leur chef releva la tête du cadavre dont il s'abreuvait. Manifestement, elle venait de devenir leur ennemi numéro 1.

Le gobelin le plus proche tenta de lui porter un coup de son tranchechien, mais la peur se lisait dans ses petits yeux rouges et la lame passa loin de l'elfe qui dansait et faisait danser sa lame.

Les deux autres gobelins encadrèrent rapidement l'un des hommes et leurs lames trouvèrent la faille dans la garde de celui-ci, les deux tranchechiens revinrent couverts de sang.
Leur chef leva un long tranchecheval qu'il abattit sur le blessé, qui titubait. La lame s'enfonça profondément à la base du cou et l'homme s'effondra au sol dans un râle, son sang coulant sur les pavés disjoints et à moitié recouverts de mousse de l'antique route.

Le dernier humain profita de l'intervention de l'elfe pour plonger sa fine lame dans le corps du gobelin qui lui barrait le passage, mais il trébucha sur un pavé et manqua de peu s'étaler. Sa maladresse lui permit néanmoins de se positionner un peu plus près de l'elfe.

Modifié par un utilisateur lundi 21 mars 2016 15:57:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

ontournant les gobelins, Annabeth courut avec l'agilité d'une panthère pour finalement égorger proprement sa cible.

« Mauvaise magie » couina le gobelin qui se trouvait le plus près d'elle.

Le gros gobelin armé d'un coupecheval grogna quelque chose dans sa langue incompréhensible et il s'avança d'un pas tandis que l'un de ses congénères fonçait sur l'elfe. Leurs lames fusèrent vers l'elfe qui les esquiva gracieusement, un sourire aux lèvres.

De l'autre côté, le gobelin et l'humain se battaient sans parvenir à se blesser, les coups de l'un étant systématiquement parés par l'autre, ce qui semblait énervé l'humain qui commençait à grogner, tandis que le gobelin riait d'un rire dément.

« Harpok grand duel, lui tuer toi !  »s'égosillait-til

Modifié par un utilisateur mardi 22 mars 2016 11:48:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

nnabeth poursuivit sa mortelle danse de l'acier, envoyant au sol dans une marre de sang le gobelin qui l'avait attaqué, elle se glissa juste après sous la garde du gobelin musclé armé d'un coupecheval et incanta tandis que son arme se mettait à crépiter d'énergie. L'elfe, d'un coup gracieux et puissant enfonça sa lame dans le ventre de la créature qui s'effondra, inconsciente et mourante.

Voyant le carnage commis par la combattante elfe en quelques secondes à peine, le dernier gobelin prit ses jambes à son cou avec une vitesse surprenante. L'homme masqué leva alors sa main gauche, armée d'une dague, qu'il envoya dans le dos de la créature qui s'effondra, mortellement touchée.

Fin du combat

« Bravo pour votre remarquable intervention. Vous êtes très douée. » dit-il alors avec une voix charmeuse.

Abaissant sa capuche, l'homme dévoila ses traits. C'était un jeune humain avec un visage plutôt charmant et de longs cheveux d'un blond presque blanc. Son sourire contrastait néanmoins avec la froideur de ses yeux, qui ne laissaient transparaître aucune émotion.
Il poursuivit néanmoins avec ses manières courtoises, rengainant sa rapière tandis qu'il s'approchait de l'elfe et de ses deux compagnons morts.
« Je crains que mes gardes du corps ne soient plus à même d'assurer ma protection... Dommage, ils étaient fidèles et dévoués.  »Dit-il en regardant les deux cadavres. « Il est regrettable que je ne sois pas en mesure de leur offrir une sépulture décente, mais le temps m'est compté. »
Fixant à nouveau l'elfe, il lui dit :
« Mes amis m'appellent Arty, et je suis ravi de vous rencontrer, malgré, ou plutôt dans ces circonstances. Votre arrivée fut providentielle. Mes hommes ont été blessés par des sortes de fléchettes. Empoisonnées je pense, et leur aide fut amoindrie. Bref. Voici de quoi vous remercier  » dit-il en tendant à Annabeth une bourse contenant plusieurs pièces de platine (10 pièces de platine).
« Je rentre à Magnimar et j'aurai besoin d'un escorte. Les campagnes alentour sont dangereuses et mon père ne pardonnera jamais mon oncle si je devais périr sur la route. Ma famille est riche et puissante et vous serez récompensée si vous acceptiez de m'escorter jusqu'au manoir de celle-ci. Je pourrai même vous proposer un emploi de garde-du-corps ou de conseillère si vos talents sont tous aussi développés. » acheva-t'il avec un sourire équivoque en lorgnant les courbes féminines de l'elfe.

nnabeth planta sur place l'inconnu et poursuivit son trajet, percevant que l'homme, après avoir maugréé dans sa barbe inexistante, s'était dépêché de filer.

Après plusieurs minutes de marche, elle entendit venir vers elle plusieurs personnes marchant vite.

Ses yeux d'elfe lui permirent d'apercevoir, avant qu'ils ne la voient, un groupe de quatre personnes venir dans sa direction, armes en mains. Il s'agissait manifestement de varisiens. Habillés d'habits sombres, contrairement à leurs habitudes et aux vêtements colorés qu'ils exhibaient d'ordinaire, ceux-ci portaient lances, lamétoiles et épées ouvertement et semblaient prêts à s'en servir. Une jeune femme à la longue et luxuriante chevelure noire bouclée menait la petite troupe, l'air décidé.

Les bois alentours permettaient à l'elfe de se cacher si elle le souhaitait.

nnabeth fila avec grâce et souplesse se dissimuler parmi la végétation alentour, usant d'artifices qu'elle avait lu dans les livres anciens de sa famille sur les éclaireurs elfes. La nuit aidant, elle était pratiquement invisible aux yeux des humains qui avançaient à marche forcée sur l'antique route à moitié recouverte par la végétation.

Menée par une varisienne qui semblait danser en marchant, mais dont le regard dur, et la lamétoile qu'elle tenait, rappelaient qu'elle n'était manifestement pas en représentation, la petite troupe était composée de deux hommes et deux femmes, éclairés par le fer de lance de l'un des hommes qui irradiait autant de lumière qu'une torche. Il ne fallut pas deux secondes à Annabeth pour comprendre que la troupe comprenait un lanceur de sort qui avait utilisé un sortilège de lumière de faible puissance pour leur permettre d'aller sans peine dans les ténèbres nocturnes. Annabeth observa que si les deux femmes semblaient équipées d'armure et d'armes légères, il n'en allait pas de même des hommes qui portaient de lourdes armures de maille et des lances et des lames de guerre.
La meneuse parla alors que la troupe passait à portée d'ouïe de l'elfe
« Allons, il ne faut pas mollir, ce satané fils de diablesse a réussi à nous filer entre les doigts jusqu'à présent, mais sur la route il est à nous. Si nous le rattrapons à temps. Sa famille ne pourra le protéger au milieu de nulle part... Si ce rayon de lune n'avait pas éclairé fugitivement sa barcasse nous ne l'aurions pas vu s'esquiver par la mer... Ah le maudit ! Allons, il doit payer pour ses crimes. »
La seconde varisienne se baissa à plusieurs reprises, les yeux sur la route, suivant manifestement une piste, tandis que les deux hommes jetaient des regards alentour tout en peinant à suivre le rythme imposé par leur meneuse.

La troupe passa sans s'arrêter et la route menant à Pointesable semblait désormais libre de tout danger.

e reste de la nuit se passa sans heurt, à l'exception de sons lointains de tambours de guerre gobelins et de cris de créatures qu'Annabeth crut identifier comme des chiens gobelins. Les alentours de Pointesable semblaient bien mal fréquentés. Elle arriva au petit jour aux abords de la ville, et put observer Pointesable au soleil levant.



Lorsqu'elle se rapprocha, elle s'aperçut rapidement que la ville était lourdement gardée : plusieurs hommes et femmes en armes patrouillaient les alentours des campements varisiens qui se trouvaient sur la rive orientale du fleuve qui coupait la ville des terres sur l'Est avant de la contourner au Sud et de plonger dans l'Océan. Seuls deux ponts permettaient d'entrer en ville, tandis que sur le côté Nord, Annabeth aperçu une vieille mais puissante muraille barrant l'accès à la presqu'île sur laquelle la ville était construite.



Une patrouille menée par une femme à l'air sévère et vêtue de lourdes mailles d'acier intercepta l'elfe tandis qu'elle se rapprochait du pont Sud :

« Hé la étrangère ! d'où est-ce que vous venez et vers ou allez-vous comme ça ? »

aintenant qu'elles étaient proches, Annabeth put détailler les traits agréables de la femme en armes qui lui faisait face. Ses traits fins et réguliers voyaient leur beauté gachée par l'air dur et revêche de la jeune femme dont le teint trahissait une origine étrangère à la Varisie. Seuls les chélaxiens ou les nordiques possédaient une peau si claire d'ordinaire et le feu des cheveux de la femme la désignait plutôt comme d'ascendance nordique que chelaxienne. Son équipement n'avait cependant rien d'exotique. Son armure de mailles était renforcée de quelques plaques de métal et ses armes semblaient bien entretenues quoiqu'usées. Du cuir et de la fourrure recouvrait le reste de son corps.
Le regard de la milicienne était ce qui retenait le plus l'attention : d'un froid glacial, il semblait vous condamner à n'être à ses yeux qu'un spectre hantant les jardins de Pharasma.

Celle-ci toisa quelques secondes l'elfe et reprit, sans sourire :
« Je ne crois pas vous avoir demandé votre identité pour l'instant... et j'apprécie peu le ton avec lequel vous vous adressez à moi jeu... euh... elfe.
Pointesable est sous le coup de la loi martiale et j'ai toute autorité pour disposer de votre personne si vos réponses ne me conviennent pas. Sachez que je suis Henrieth Skall, membre de la milice de Pointesable. Les gobelins sont à nos portes et nous soupçonnons divers humains et elfes d'être leurs complices... Alors je vous conseille de changer de ton.  »
Le propre ton de la milicienne n'était pas aussi agressif que les mots qu'elle employait. Elle parlait froidement.
Toisant un peu plus l'elfe elle poursuivit.
« J'ai compris que vous vous rendiez à Pointesable, mais je voudrais savoir où précisément, d'où vous venez et ce que vous cherchez en ville. Et puisque vous le dites, je voudrais connaître votre nom.  »Confiant sa lance à l'un des miliciens mal équipés qui la suivait, elle sortit un calepin de tablettes de cire et un stylet et attendit les réponses prête à noter, sans lâcher Annabeth du regard.

Quelques varisiens en armes observaient la scène de loin, depuis le premier de leur campement qui se trouvait à plus de cent mètres de là. Annabeth aperçut également un petit groupe de cavalier qui venait vers eux depuis la presqu'île située au Sud de Pointesable et sur laquelle elle avait aperçu quelques cossus manoirs.

Modifié par un utilisateur jeudi 31 mars 2016 11:38:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

enrieth Skall jaugea longuement la combattante elfe qu'elle avait face à elle. Annabeth s'aperçut que les miliciens équipés d'armures de bric et de broc et de vieilles armes qu'elle menait était très certainement des bourgeois peu habitués à jouer les gros bras. Ils tenaient leurs armes comme des outils et leur positionnement était loin d'être idéal.

Le lourd galop de la petite troupe de cavalerie se fit plus fort tandis qu'Henrieth déclara :
Et bien les auberges de la ville sont réquisitionnées en ce moment, mais vous allez me suivre jusqu'au bureau du prévôt, il trouvera sans doute une solution. Il tient à ce que tout nouvel arrivant lui soit présenté.

Elle donna des ordres à ses miliciens qui s'exécutèrent avec maladresse et incertitude lorsqu'ils se positionnèrent devant et derrière l'elfe. Henrieth se retourna alors pour faire face aux quelques cavaliers en approche. Ceux-ci, en armes, n'avaient rien de chevaliers bardés d'acier comme on en voit dans les contes ou lors des défilés, mais d'hommes d'armes solides et bien équipés.

Leur meneur s'adressa à la milicienne :
« Alors Henrieth, t'as ramené quoi dans tes filets ? Une espionne avec une aiguille ?  »s'esclaffa-t'il en voyant les miliciens en formation autour d'Annabet.

La femme ignora alors superbement les cavaliers après leur avoir jeté un regard et prit la direction de Pointesable en intimant à sa troupe l'ordre de se mettre en marche.

Le meneur des cavaliers jura et fit voleter son cheval, qui lança des projectiles boueux dans tous les sens avec ses sabots et il se plaça quelques mètres en avant, sur le chemin de la patrouille.
« Maudite pimbèche, t'as intérêt à te montrer plus respectueuse ! Je te rappelle que je commande la cavalerie de cette ville ! »

Elle répliqua : « tu ne commandes rien Reg', t'es qu'un milicien comme moi et tu n'as pas d'ordre à me donner.  »Sans manifester d'hostilité, elle s'arrêta et lorgna le cavalier et sa monture et lâcha d'un ton froid. « Tu comptes rester planter là toute la journée ? Je croyais que tu avais un poste à responsabilité ?  »

L'homme se renfrogna et fit avancer sa monture vers Annabeth pour la jauger depuis sa position surélevée. Il lâcha un :
« Peuh, à peine capable de ne pas s'embrocher avec sa lame pour sur, l'est aussi épaisse qu'une brindille. Un travail bon pour toi, femme. » dit-il à l'adresse d'Henriet. « Allez les gars on rentre.  »

Les cavaliers firent demi-tour en bon ordre et repartirent vers la presqu'île où s'élevaient les manoirs qu'Annabeth avait entraperçus. Sans doute les demeures des nobles vivants hors de la ville.
Les miliciens échangèrent entre eux quelques remarques virulentes sur la muflerie du personnage et sur le fait qu'il n'aurait pas pris le bon côté des Valdemar. « Pour sur que le vieil Ethram c'est un gars bien, poli et tout, pas comme ce Reginolt. »

La patrouille franchit le pont Sud menant à la ville, qui était gardé par plusieurs miliciens eux aussi équipés de pièces d'armes et d'armures en plus ou moins bon état et se sachant manifestement pas très bien les manier.

La ville était très peu animée, malgré un nombre importants de personnes dans les rues. La plupart des gens se livraient à de menus tâches manuelles ou discutaient en groupe plus ou moins grands de leur situation, qui se plaignant, qui encourageant les autres à se montrer braves et patients. La patrouille passa devant une auberge à l'air accueillant à l'enseigne figurant un dragon de bronze rouillé, mais dont la salle commune semblait pleine à ras-bord. De nombreux varisiens, ou plutôt de varisiennes et d'enfants varisiens, se trouvaient dans les rues, apportant une touche de couleur et de chants à l'ensemble.

Après avoir traversé une large place où un milicien appelait une petite foule à se disperser et à rentrer calmement chez eux, la patrouille prit à droite une large rue menant à deux bâtiment imposants. Celui de gauche, un bâtiment manifestement fortifié se trouva être la caserne de Pointesable où Annabeth fut menée par la patrouille.

Elle fut conduite dans une pièce spartiate où trônait un grand bureau très simple derrière lequel un jeune homme aux longs cheveux blonds filasses et au regard fatigué mais intelligent l'observa en écoutant le bref rapport de la milicienne :
« Cette elfe a été trouvée sur la partie sud de la Route, elle allait en direction de la ville et a demandé après un bain et une chambre confortable. Elle aurait affronté des gobelins plus au Sud et nie toute implication avec eux. »

Le jeune homme parla d'une voix douce :
« Je me nomme Gnosim, j'ai, avec d'autres, été récemment nommé Prévôt temporaire de cette ville. La situation est compliquée, la ville étant menacée d'une importante attaque gobeline, tout le monde est sur les dents.
Ce n'est pas vraiment le bon moment pour faire du tourisme et tous les visiteurs de Magnimar qui étaient venus pour le festival sont repartis par le dernier navire juste après une première attaque gobeline repoussée par la milice et quelques volontaires. Mais vous n'êtiez pas là pour faire du tourisme si ? Parlez moi un peu de vous et de ce combat avec des gobelins avant votre arrivée ici... »


J'ai avancé, mais tu peux interagir à tout moment (on fera des petits flash-back si besoin).

a dernière question d'Annabeth arracha un sourire à Henrieth qui répondit à l'elfe, mais également au regard interrogateur de Gnosim.
« C'est Réginolt Kagri-Valdemar, un milicien d'expérience et l'un des cousins plus ou moins éloigné de la famille Valdemar, l'une des quatre famille noble qui a fondé cette ville. Il se prends pour le nouveau protecteur de Pointesable...  »


Syrius retint à grand peine un sourire, avant qu'un pli soucieux ne lui barre le front. Il avisa le cimeterre noire comme la nuit qui pendait à la ceinture d'Annabeth et réfléchit un instant.
« Vous êtes une combattante et une de talent n'est-ce pas ? Et bien notre ville a besoin de combattants tels que vous... Je ne vous ferai pas l'injure de vous proposer un boulot de garde du corps, mais plutôt de vous demander votre aide pour notre ville. Les gobelins nous menacent, mais il y a également d'autres choses. Des humains ou des elfes sont liés aux gobelins et un groupe de prévôt mène actuellement l'enquête sur cette menace pour l'identifier et l'annihiler. Je suis coincé ici pour gérer la situation et nous sommes au bord du chaos. Toute aide est la bienvenue.
Accepteriez-vous de nous aider ?  »

Au hoquet de surprise d'Henrieth, Gnosim leva une main impérieuse pour l'empêcher de parler.
« Madame Skall ici présente crois toujours que nous devrions régler ce problème entre nous. Mais la vérité c'est que sans le plus d'aide extérieure possible notre ville risque certainement d'être rayée de la carte.
Vous avez sans doute vos propres soucis et buts, mais je crains que votre destin ne soit de toute manière au moins momentanément lié à celui de notre ville. Les gobelins infestent les alentours et je doute que vous parveniez à poursuivre votre voyage sans avoir à affronter une petite armée de ces maudites créatures. Aidez-nous et nous ferons notre mieux pour vous aider en retour.
Cela vous convient-il ? »

Modifié par un utilisateur vendredi 1 avril 2016 10:39:12(UTC)  | Raison: Non indiquée