Profitant de la diversion créée par la tentative de séduction d'Elisabeth, Valyra, toujours proche des barreaux de sa cellule en profitant pour tenter une nouvelle fois de crocheter son verrou en toute discrétion.
Il était plus que temps de se tirer de cette situation qui sentait le roussi un peu plus à chaque minute qui s'écoulait.

Alors que Valyra sent qu'elle est proche de faire céder la serrure, Elisabeth essaie d hypnotiser le garde avec deux gros atouts



« Non, je... Je ne peux pas, pas pendant mon service du moins. Désolé  »
Malgré qu'il soit subjugué par le décolleté d'Elisabeth et aimerait y plonger, il refuse sans vraiment savoir pourquoi. Sans doutes qu'il ressent qu'Elisabeth n'est pas totalement sincère ou pour une autre raison qu'il ne serait expliquer.

Modifié par un utilisateur mercredi 16 novembre 2016 12:09:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le sort de Vesta semble faire effet sur le garde qui considère avec intérêts sa proposition.

« C'est pas faux... Il y a pas de mal à cela et vous avez raison, Meneldil ne s'est pas privé d'emmener votre camarade.
Désolé d'avoir refusé demoiselle, je ne sait pas ce qu'il m'est passé par la tête de me refuser à une dame aussi charmante que vous.  »

Le garde commence à fouiller dans son sac, sort un petit trousseau de clé et déverouille la serrure de la cellule d'Elisabeth.
« Si vous voulez bien me suivre, allez y passez devant, par contre soyons discret, j'aimerais éviter d'avoir à rendre des comptes au chef sur cette petite escapade.  »

Modifié par un utilisateur mercredi 16 novembre 2016 18:37:08(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le garde est d'abord surpris par l'initiative, mais il se laisse facilement prendre au jeu et finit pas faire son affaire avec Elisabeth en la bloquant contre le mur.

« Doucement ma belle avec tes ongles, tu me griffes un peu trop le dos  »
Prévient le garde en continuant son affaire, sans réellement comprendre ce qu'il se passe.

Mais lorsque cette dernière vient le mordre violemment au cou, lui arrachant un gros morceaux, son visage de plaisir se mue en terreur et il se dégage d'un geste brusque tombant à terre à cause de son pantalon sur ses genoux.

Une main sur son cou dégoulinant de sang, l'autre en protection d'Elisabeth et commence à l'implorer en reculant comme il pouvait sur les fesses.

« Mais... mais vous êtes quoi, qui?
J'ai rien fait, je suis qu'un simple garde, je ne mérite pas de mourir... Laisser moi vivre, je ne dirais rien, je vous le promet »



Vous pouvez tous agir avant que le garde puisse le faire.

Modifié par un utilisateur mercredi 16 novembre 2016 20:57:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

« mais mais, je... euh...  »

Sa blessure et la peur vis à vis d'Elisabeth diminue clairement les moyens du garde et il hésite clairement après avoir déjà été berné

« vous partirez en me laissant sauf?  »

Pendant que le garde s’échinait à besogner Elisabeth, la serrure de la cellule de Valyra s'ouvrit discrètement tandis qu'elle dégainait sa dague, ne se donnant même plus la peine de dissimuler qu'elle avait les mains libres.

Coupant court à la discussion, elle se plaça dans le dos du garde qui négociait pitoyablement sa vie avec Vesta et l'égorgea sans pré-avis. Sa lame ouvrit une longue ligne sous le menton du garde, presque d'une oreille à l'autre, traçant un affreux sourire écarlate qui se déversait en giclant alentour.

Comme souvent, le garde porta ses mains à sa gorge - déjà entamée par les crocs d'Elisabeth - d'un air surpris. Il était déjà mort avant de toucher le sol.

« Inutile de perdre du temps avec ce faible. J'espère que t'as pris ton pied Liza » Lâcha Valyra d'un air détaché. Elle ne montrait aucune émotion, ni plaisir, ni dégoût. Ce qui devait être fait, devait être fait, ni plus ni moins. Elle était là pour faciliter les récalcitrants à subir leur destin.

« On prend ses clefs, on vous ouvre et on se tire, sauf si certaines veulent rester là ?  » fini-t-elle en jetant un regard en direction de la cinquième prisonnière.

Je suppose qu'il est inutile de faire un jet de dès vu la situation ? Pendant l'acte Valyra ouvre sa porte silencieusement (quoique vu le bruit, ce ne soit même pas forcément nécessaire) et elle égorge le garde qui lui tourne le dos pendant qu'il discute).

Vesta est complètement dépitée par l'action de Valyra...
« Mais oui bien sur, maintenant nous ne pouvons plus du tout prouver notre innocence. Superbe. Et maintenant ton plan c'est d'affronter tous les gardes que nous trouverons pour partir c'est ça ? Nous avons déjà une option de moins....Et maintenant ? »
Vesta fouille quand même le garde avant de patiemment attendre ce que les autres comptent faire à partir de la.

Elisabeth semblait assez satisfaite alors que l’homme se vidait de son sang. Elle se nettoya avec un chiffon ses parties intimes, embrassa le garde mort. «  Merci pour ton aide.  »

Elle regarda alors ses copines d’aventure. «  C’est pas malin de l’avoir tué, il n’était pas un mauvais coup, je suis certaine que notre maître saura le remercier.  »

Elle haussa les épaules devant le refus de la femme à les suivre… [dit=darkred] Bien allons régler son compte à Meneldil, il devrait être toujours avec Vanilia.

Sauf si on lui dit le contraire Lise avance devant en toute discrétion, le visage recouvert de sang, mais heureusement le corset intact… L’idée est d’écouter à chaque porte et voir si Vanilia se trouve quelque part…
Après chaque avancée sécurisée, elle fait signe aux autres de la rejoindre…



L’image de la BM ne s’affiche pas chez moi, elle doit être sur un site/support qui est interdit depuis mon boulot :s

La réaction de Vesta amusa Valyra. Garder le garde en vie n'aurait créé des soucis supplémentaires. De toute façon une fois qu'Elisabeth lui avait sauté dessus, leur culpabilité était toute prouvée.

« Oh, mais rien ne prouve que tu as pris part à ça Vesta. D'ailleurs ce n'était pas le cas. M'enfin je vois mal de quelle innocence tu veux parler. A partir du moment ou Liza a tenté de l'égorger avec ses crocs, c'était foutu pour cette option et j'ai aucune envie de jouer la nounou avec des otages.
Ce type n'avait rien d'un saint et il est mort après avoir tirer son coup. Ya pire comme façon de tirer sa révérence.
 »

La remarque de Elisabeth l'interpela : « Quel maître ? »

Sans attendre de réponse, elle s'engagea à la suite de ses deux compagnes d'un pas souple et agile.

Elisabeth semblait ennuyée, où diable pouvaient-ils bien être ? Elle s’approcha alors près des autres… «  Tantôt j’ai pas entendu qu’ils passaient devant les autres gardes, donc ils sont forcément dans une de ces pièces… On fait quoi, elles semblent toutes vides. On ouvre l’une après l’autre ?  »

Elle attendit alors une réponse avant d’ouvrir chaque pièce, laissant la question de Valyra en suspend...