e capitaine était tombé sous les coups de Champion d'Erastil. Un ennemi de valeur, mais qui se devait d'être détruit; La tâche avait été accomplie, même si ils en avaient souffert.

Il était hors de question qu'un autre camarade tombe à nouveau, il se précipita sur Frédérigo et fit appel au pouvoir curatif du vieux Borgne. Il indiqua à Ferréol

« Je m'occupe de lui. Cours derrière la donzelle, ramène la nous.. En vie »




AC actuelle 29 / 31 contre les mauvais
Sorts actifs :
- Bouclier : +4 AC,
- Protection contre le mal : +2 AC
- Rapidité : +1 AC

Imposition sur
Attaque à outrance sur Capitaine...

Imposition : 4/4

ans doute galvanisé par la chute du Sieur Tampoli, Beorten redoubla de ferveur pour venir à bout du capitaine pirate naufrageur et dévot de l’immonde Déesse Pâle. Grâce à la rapidité magique insufflée par l’ensorceleur, les attaques du Champion du Dieu Borgne devenaient plus vives et difficiles à esquiver. Ajouté à cela une nouvelle motivation de vaincre, la grande lame du Paladin trouva par deux fois le chemin d’une faille dans la défense adverse et un premier coup de taille trancha les chairs de l’épaule à la base du cou tandis que le second fut d’estoc et la pointa transperça la cage thoracique pour ressortir de l’autre côté dans une gerbe de sang et un craquement de chair et d’os putride. Shtooghn poussa un râle de douleur, le souffle soudain coupé par la violence des coups. Un gargouillis de sang se forma dans sa gorge et éructa de sa bouche tandis qu’il expirait. Il regarda droit dans les yeux celui qui avait réussi à le vaincre, un sourire légèrement dessiné sur ce visage dur. Une forme de respect, de reconnaissance, de délivrance, Beorten ne le saura jamais, lorsqu’il retira son épée, son ennemi s’effondra sans un bruit, la vie l’ayant quitté avant qu’il n’ait touché le sol…

Le combat venait enfin de s’achever. Aussitôt Beorten imposa ses mains sur les blessures de Frédrigo agonisant, insufflant la puissance divine de guérison. Mais l’ensorceleur ne bougeait toujours pas, inconscient, mais stabilisé. Il était passé vraiment très près de la mort et si le Paladin n’avait pas réagi aussitôt, il serait probablement passé de vie à trépas, comme Vesalius à l’étage en-dessous… Sauvé mais pas encore remis sur pieds. Il faudrait sans doute encore quelques miracles avant que ce ne soit le cas, en espérant qu’il n’y ait pas trop de séquelles…

La MAP

Fredrigo regarda les yeux de braise qui le dévisageaient, encadrés par une chevelure flamboyante qui ondoyait sur des épaules délicates et hâlées.

« Pourvu que votre père nous laisse suffisamment de temps.
J'espère également qu'il n'apprendra rien de ma petite escapade dans votre chambre à coucher... »

La jeune femme avança alors ses lèvres vers les siennes, et Fredrigo l'embrassa fougueusement en l'enlaçant.

Il commença à faire glisser les bretelles de la robe légère des épaules de la jeune femme.
Le vêtement galbait le corps parfait de la jeune femme qui semblait ne rien porter d'autre.

La vigueur de ce jeune corps nu qui s'offrait à lui, les reflets de la clarté lunaire dans les cheveux, les mésanges qui pépiaient dans les arbres du jardin, le grand lit recouvert d'un dais, aux draps satinés, tout contribuait à rendre cette nuit mémorable.

La jeune femme s'allongea languide, et Fredigo commença à ôter ses vêtements en se rapprochant du lit...

C'est alors qu'il sentit un léger souffle dans sa tignasse, et la dureté du bois toucher son épaule avant de sentir une douce chaleur envahir son corps.

Il regarda autour de lui et vit l'intérieur décoré avec soin certes, mais bien plus spartiate, celui de la chambre du chef des pirates qui gisait à ses côtés.
Le tourbillon Ferrèol se trouvait au-dessus de lui, et une baguette disparut rapidement dans le tourbillon.

Il vit le sang autour de lui, et les cicatrices que son corps arborer en train de se suturer.

« Ferrèol, tu viens d'interrompre une séquence fascinante : j'allais passer la nuit avec Vlana, la fille du capitaine de la garde de Magnimar !

C'était à la fois extrêmement sensuel, et particulièrement intéressant de damner le pion à ce vulgaire officier qui n'apprécie guère la présence de personnes telles que moi !

Bon, je ne suis pas certain de savoir si je dois te remercier, ou t'injurier.

J'arrivais au moments les plus croustillants !  »

Il se releva difficilement et se massa le corps pour en faire disparaître les raideurs.

« Et la charmante jeune femme, elle a fui depuis longtemps ?
Nous la prenons en chasse ? »



Rapidité : +1 CA et saves réflexe, double de mvt (max 6 cases), et une attaque supp si attaque à outrance.

Encore actifs :
- armure de mage : CA 19 / contact 18 / surprise 16
- détection de l'invisibilité.


Reste à identifier, venant de Phvarthaart (sorcier de feu) :

• 1ère baguette =>
  
• 1 parchemins (7) =>

Trouvés dans la chambre "dédié" à Urgathoa :
- tiroir secret dans un renfoncement du bureau ;
- petit livre type "journal intime" avec fermoir à la couverture de cuir souple brun terne (ou peau humaine) ;
- deux tenues de meilleure facture (beau tissus, broderies et incrustations de poussière de pierre précieuse formant le symbole d'Urgathoa) ;
- crâne en onyx ;
- bâtonnets d’encens ;
- baguette magique (animation des morts, NLS5, 30 charges)

ans vraiment écouter la recommandation de Beorten, Ferrèol se revoyait des années en arrière, lorsqu'ils étaient enfants et qu'il voulait suivre les traces de sa mère, une guérisseuse. Il avait même appris les préceptes de Sarenraé, enseignés par le père Olwyn Rafenor, le chapelain aujourd'hui décédé , aussi il ne lâcha pas sa baguette et vint instinctivement au secours de Frédrigo, l'autre rescapé de Khelgür. Par deux fois la baguette accomplit son miracle avant de voir le Sieur Tampoli sortir de son coma avec cet air abruti du joli cœur dans les bras de sa chère galante. Même aux portes de la mort, Frédrigo était dans les bras d'une femme et lorsque ce n'était pas une épouse délaissée, c'était la fille d'un puissant qui aurait pu le massacrer ou le faire exécuter d'un simple claquement de doigts. Mais s'il n'y avait pas cette once de danger qui planait sur la tête de l'ensorceler, prendrait-il autant de plaisir avec les femmes ?

Quoi qu'il en soit, Beorten et Frédrigo étaient maintenant dans le monde des vivants, même s'ils en payaient pas de mine avec les sérieuses blessures qui les accablaient. Mais visiblement leur vie n'était plus en danger, quoique... Plusieurs bruits sourds se firent entendre, comme des explosions. Des bruits qui se répercutaient depuis quelques salles ou cavernes situées ailleurs et dont le bruit se répercutait dans les galeries et probablement dans l'escalier en colimaçon d'où venait les aventuriers et qui poursuivait sa course vers un ou des étages supérieurs. Comme l'avait signalé Beorten, la donzelle qui avait mis à mal Frédrigo s'était enfuie par là. Quel mauvais coup était-elle entrain de préparer pour couvrir sa fuite ou pour anéantir les envahisseurs ?

La MAP

Fredrigo eut à peine le temps de remercier le druide que déjà Ferrèol prenait la fille de l'air.
Ou plutôt prenait, en l'air, la fille en chasse.

Il avisa les deux flacons déposés par le druide, les prit et en tendit un à Beorten.

« Eh bien trinquons à notre bonne santé !

Puis après nous fouillerons cette chambrée pour savoir quelles étaient les machinations ourdies par cette troupe pirate. »

Il déboucha le flacon et le but d'un trait.

« Un bureau, une table, un coffre, un lit, et cette espèce de bassin.
Voilà de quoi nous occuper !
Nous fouillerons ce cadavre après. Mais désarmons-le d'abord ! »

Fredrigo dépouilla la cadavre du capitaine de ses armes apparentes qui avaient fait tant souffrir les deux aventuriers.

« Bon, je te propose de commencer par le bureau et la table, cela me paraît plus aisé à fouiller. »

Fredrigo s'approcha alors du bureau adossé à ce qui lui semblait être le côté nord, près de la cage.
Il invoqua ses pouvoirs de détection des flux arcaniques pour tâcher de savoir quels objets pouvaient révéler une nature magique.
Il observa d'abord les armes du pirate.

Puis il commença à retourner le bureau avec minutie, en étudiant d'abord les papiers sur l'écritoire, l'encre qui se trouvait là pour savoir lesquels des documents pouvaient avoir été écrits ici-même, avant de se préparer à s'agenouiller pour tâter les pieds et le dessous du meuble à la recherche d'une cavité cachée ou d'un mécanisme permettant d'ouvrir un tiroir dérobé.




Je lance détection de la magie.
Rapidité est en passe de se dissiper, j'enlève les infos.

Encore actifs :
- armure de mage : CA 19 / contact 18 / surprise 16
- détection de l'invisibilité.


Reste à identifier, venant de Phvarthaart (sorcier de feu) :

• 1ère baguette =>
  
• 1 parchemins (7) =>

Trouvés dans la chambre "dédié" à Urgathoa :
- tiroir secret dans un renfoncement du bureau ;
- petit livre type "journal intime" avec fermoir à la couverture de cuir souple brun terne (ou peau humaine) ;
- deux tenues de meilleure facture (beau tissus, broderies et incrustations de poussière de pierre précieuse formant le symbole d'Urgathoa) ;
- crâne en onyx ;
- bâtonnets d’encens ;
- baguette magique (animation des morts, NLS5, 30 charges)

Modifié par un utilisateur jeudi 3 mai 2018 09:53:48(UTC)  | Raison: oubli de mots

ans la chambre du capitaine, Frédrigo commença à méticuleusement explorer chaque zone qui pouvait être digne d’intérêt, à commencer par leur ennemi lui-même. Après quelques secondes, le Sieur Tampoli repéra des émanations magiques provenant d’objets porté par le guerrier maintenant vaincu. Il y en avait plusieurs qui se mêlaient les unes aux autres, ce qui pouvait signifier qu’il portait plusieurs objets magiques et il lui faudrait un peu de temps avant de les séparer, puis de déterminer leur niveau de puissance et leur école et pourquoi pas de tenter de les identifier. Mais avant de s’adonner à cette tâche, Frédrigo se dirigea vers le bureau de travail adossé à la paroi Nord. Le meuble en lui-même était un fort bel ouvrage en bois massif ouvragé et sculpté par la main d’un maître artisan. Ses moulures et ses ornements étaient dignes d’un bureau de gouverneur voire même d’un grand seigneur. Le capitaine Shtoorghn se donnait les moyens de sa folie des grandeurs et se prenait déjà sans doute pour le roi des pirates. Dessus, on pouvait trouver quantité de parchemins roulés ou dépliés entassés signes d’une activité de recherche et de calculs intensifs. On pouvait distinguer une carte de la région mentionnant des symboles à des endroits comme les archipels, la ville de Port-Enigme ou encore Baie-de-Rodéric et enfin quelques symboles qui redescendaient tout le long de la côte de la Baie de Varisie jusqu’à Magnimar même. Difficile d’interpréter les symboles si on n’avait pas la légende qui allait avec, mais pour le capitaine, cela avait certainement une signification claire. Peut-être qu’ne y passant du temps et via des suppositions, Frédrigo arriverait-il à déterminer une sorte de logique par rapport à la répétition de certains symboles et des hypothèses plausibles et logiques. Mais là encore il faudrait y passer du temps à étudier tout ceci.

Toujours dans sa quête de magie et d’objets, le charmeur de ces Dames de Magnimar ouvrir le moindre tiroir et retourna les papiers dans tous les sens. Nul doute que le capitaine s’était constitué un petit trésor de connaissances en termes de cartes de navigation à plus ou moins grande échelle qui redescendaient jusqu’aux lointaines terres du Sud du Garund vers Les Entraves. Puis quelque chose attira son attention, quelques fissures autour d’une moulure d’un des pieds du bureau. Celle-ci semblait pouvoir pivoter sans doute pour révéler une cache secrète dans le pied lui-même. N’ayant rien trouvé d’inquiétant, Frédrigo tournilla dans tous les sens avant de parvenir à faire pivoter la moulure qui révéla une cache à peine plus grande que le livre qu’elle contenait. Il était couvert d’un cuir sombre ancien mais entretenu. N’y décelant aucune magie, l’ensorceleur l’extirpa de son emplacement avec précaution, s’attendant à voir le ciel lui tomber sur la tête. Il s’agissait du livre de bord du capitaine… Les prémices d’une longue lecture qui allait sans doute lui révéler nombre de secrets et peut-être même des indices concernant les symboles sur les cartes régionales.

De son côté, Beorten montait la garde, le regard tourné vers l’entrée de la chambre, de là où était parti Ferrèol. Il pouvait le passage secret d’où était sortie la jeune femme traitresse qu’il recherchait. Le passage s’était ouvert sur une petite caverne fermée et sans autre ouverture et était plus grande que le rapide aperçu qu’il en avait eu initialement. Dedans, deux ou trois personnes pouvaient s’y tenir malgré la présence des deux coffres caractéristiques de ceux qu’on trouvait sur les navires ou dans les chambres secrètes à trésors. L’un était plutôt grand, l’autre plus petit. Ils étaient en bois renforcé de métal ouvragé avec des couvercles arrondis et bien-sûr sans doute avec des serrures complexes. Il fallait vraiment savoir que cette caverne existait sinon on pouvait facilement passer à côté de ce trésor qui comme tout bon trésor de pirate était bien caché selon leur paranoïa permanente de se faire voler son trésor même par les membres de son propre équipage… Le passage finit par se refermer tout seul après quelques minutes, tandis que Frédrigo était en train de trouver un compartiment secret dans le pied du bureau.

La MAP

eorten haussa un sourcil en entendant la demande ed Federigo. Avait-il pris un coup plus violent que l'épée du Capitaine en tombant ? L'Ulfe fit une moue dubitative, et finit par répondre doucement

« Non je ne sais pas faire cela. Je n'ai pas peur des pièges car ma déesse me protège de ces vils entourloupes posées par ces ennemis de la foi... »



AC actuelle 29 / 31 contre les mauvais
Sorts actifs :
- Bouclier : +4 AC,
- Protection contre le mal : +2 AC
- Rapidité : +1 AC

Imposition : 4/4

Fredrigo avait les yeux écarquillés.

Il siffla entre ses dents.
« Ce type était bardé d'objets puissants, probablement de ses rapines !

Tiens, regarde moi ce beau harnois particulièrement renforcé de magie, cette cape protégeant contre les dangers, et cet anneau qui favorise la parade de mauvais coups ! »

Il soupesa de nouveau l'épée en l'observant davantage.





Je lance détection de la magie. Je vois encore l'invisible.

Encore actifs :
- armure de mage : CA 19 / contact 18 / surprise 16
- détection de l'invisibilité.

Capitaine :
- épée magique (test de noblesse, religion, mystères, arts de la magie ou histoire) ;
- ceinturon magique
- harnois +2
- cape de résistance +2
- anneau de protection +1


Reste à identifier, venant de Phvarthaart (sorcier de feu) :

• 1ère baguette =>
  
• 1 parchemins (7) =>

Trouvés dans la chambre "dédié" à Urgathoa :
- tiroir secret dans un renfoncement du bureau ;
- petit livre type "journal intime" avec fermoir à la couverture de cuir souple brun terne (ou peau humaine) ;
- deux tenues de meilleure facture (beau tissus, broderies et incrustations de poussière de pierre précieuse formant le symbole d'Urgathoa) ;
- crâne en onyx ;
- bâtonnets d’encens ;
- baguette magique (animation des morts, NLS5, 30 charges)

isiblement l'étude des objets portés par le capitaine allait prendre plus de temps que prévu. Les rounds s'égrenaient les uns après les autres, combien depuis que Ferrèol état parti ? Probablement quelques minutes, le temps de fouiller le bureau puis de dépouiller le capitaine de ses objets les plus précieux, objets qui passaient entre les mains du Sieur Tempoli pour une étude plus poussée pour découvrir leurs capacités particulières si elles en avaient. La ceinture resta une énigme visiblement, quant à l'épée, elle n'avait rien révélé et Frédrigo insista sur elle. Lorsqu'il s'en saisit pour la soupeser, il ressentit une vive douleur se propager tout du long de son bras, comme si l'arme se défendait contre ce nouvel assaillant, à moins que ce soit le prix à payer pour manier une telle arme. Au moment où il avait saisit l'arme pour la soupeser, la lame d'acier s'était décoloré pour devenir presque blanche. Elle était sans conteste puissante, si bien que l'ensorceleur n'était pas parvenu à démêler les filaments de magie qui s'entortillaient autour comme pour former un solide cocon opaque qui ne laisserai pas facilement passer sa perception. L'arme paraissait très ancienne, le manche, la garde, la lame étaient extrêmement bien travaillés et semblaient appartenir à une autre époque. Il y avait comme des symboles ciselés dans la gouttière, tout du long jusqu'à l'arête centrale. Lorsqu'il regarda le fourreau doré orné de symboles héraldiques, Frédrigo acquit la certitude que cette arme avait appartenu à quelqu'un de puissant dans le passé et que la magie qu'elle renfermait était extrêmement complexe. Il lui faudrait probablement faire des recherches au sujet de cette lame afin d'en percer tous les secrets.



De son côté, Beorten commençait à trouver le temps long et surtout celui pendant lequel Ferrèol ne revenait pas. Il se rapprocha du seuil de la porte pour voir si ans le petit vestibule ou du côté de la caverne où se trouvait l'escalier, il percevrait quelque chose de significatif. Ce ne fut pas le cas. S'il y avait quelques bruits que ce soient, cela devait sans doute se situer au moins au niveau supérieur et celui-ci était hors de portée pour le champion d'Érastil.

La MAP

Fredrigo regarda Beorten.

« Je suis prêt à t'accompagner pour retrouver Ferrèol, mais regarde-nous : nous tenons à peine debout, nous avons encore le souffle court et des plaies et bosses partout.

Crois-tu vraiment que nous pourrons faire quoi que ce soit si Ferrèol est aux prises avec des pirates ?

N'aurais-tu pas une petite potion pour toi, voire une pour moi ?

Après cela, je te suis jusqu'en enfer !
C'est le nom d'une maison de plaisirs à Magnimar... »

Il emboîte alors le pas du combattant, non sans rester sur ses gardes : un coup mal placé pourrait lui être fatal.


Je lance détection de la magie. Je vois encore l'invisible.

Encore actifs :
- armure de mage : CA 19 / contact 18 / surprise 16
- détection de l'invisibilité.

Capitaine :
- épée magique (test de noblesse, religion, mystères, arts de la magie ou histoire) : épée étincelante "Maledorn" qui a des pouvoirs que son porteur peut libérer ;
- ceinturon magique
- harnois +2
- cape de résistance +2
- anneau de protection +1
- amulette d'armure naturelle +1
- gantelets magiques


Reste à identifier, venant de Phvarthaart (sorcier de feu) :

• 1ère baguette =>
  
• 1 parchemins (7) =>

Trouvés dans la chambre "dédié" à Urgathoa :
- tiroir secret dans un renfoncement du bureau ;
- petit livre type "journal intime" avec fermoir à la couverture de cuir souple brun terne (ou peau humaine) ;
- deux tenues de meilleure facture (beau tissus, broderies et incrustations de poussière de pierre précieuse formant le symbole d'Urgathoa) ;
- crâne en onyx ;
- bâtonnets d’encens ;
- baguette magique (animation des morts, NLS5, 30 charges)

Modifié par un utilisateur dimanche 17 juin 2018 21:54:44(UTC)  | Raison: -3 PV par l'épée - oubli