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Voyant que les personnes allongées reprenaient conscience lentement et que leurs jours n’étaient apparemment plus en dangers, Azurhan retourna vers le tas d’objets. Comme l’avait fait d’autres auparavant, il chercha dans ce bric à brac ses maigres affaires : son armure, sa morgenstern et son sac. La première chose qu’il fit ensuite fut de vérifier l’état de ce que contenait son paquetage et tout particulièrement l’urne de céramique qu’il transportait depuis plusieurs mois. Ensuite le jeune homme enfila son armure et l’ajusta au mieux. Ce n’est qu’après cela qu’il observa réellement le lieu où il avait étés abandonnés. Commençant par la vue sur l’océan, il fit un lent tour sur lui-même, observant les falaises, puis la plage et la jungle derrière, puis à nouveau la falaise et finalement l’épave du navire qu’un des deux chauves, avait repéré. Il fit alors quelques pas dans leur direction. Je me serais bien porté volontaire, mais je ne suis pas un athlète pour deux sous. Mais je pense qu’il faudrait tout de même s’y rendre. Si nous sommes naufragés, nous auront besoin de vivres ou encore de bois et de matériel pour survivre ici… Bref, tout ce que ce rafiot peut encore contenir nous sera certainement plus qu’utile ! - Connaissance Nature : 1d20+4 donne [15] + 4 = 19
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« Allons y alors. »Dit Zao en faisant signes à ses deux compagnons.
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Depuis l'endroit où ils avaient été amenés, il ne semblait pas y avoir de passage plus adapté qu'un autre pour descendre la falaise vers le bateau ; ceci dit, l'épave était à plusieurs centaines de mètres d'où ils se trouvaient et la végétation qui recouvrait le sommet des falaises ne permettait pas de savoir si le terrain était dangereux ou pas, ni même facile à traverser ou pas.
La corde amenée par Hogo mesurait tout au plus 15 mètres… elle permettrait sans doute de faciliter une partie de la descente, mais elle ne suffirait pas à atteindre l'épave, et encore moins à aider au voyage inverse si d'aventure les explorateurs trouvaient sur place quelque chose à ramener.
Dans un environnement hostile, il ne suffisait peut-être pas de partir au petit bonheur la chance sans prévoir la plupart des détails. Azhuran se rappela ce que son mentor lui avait dit au sujet de la région : à la belle saison, c'était suicidaire de faire le moindre effort pendant les heures les plus chaudes de la journée. Hors, justement… vu la position du soleil, ces heures approchaient ; il s'agissait de la période entre midi et 15 heures. Pendant ce moment, il pouvait même être dangereux de simplement se tenir au soleil !
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Azurhan était plongé dans ses pensées alors qu’il observait ce paysage sauvage et presque vierge, il se remémora les longues veillées qu’il avait passé avec Arbassam, son ami et il se rappela des quelques règles et conseils à suivre sous ces latitudes. Azurhan, couru alors vers les naufragés qui s’apprêtaient à partir vers l’épave… les interpellant de loin : « HEY !!! N’y allez pas maintenant… Le soleil est presque à son zénith, et croyez-moi, dans quelques heures, ici, il fera une chaleur que même un habitant du Nessus se saurait supporter. Pour le moment, il vaut mieux, mettre tout le monde en sécurité… Je pense que les ombres des premiers arbres de la jungle suffiront à nous offrir suffisamment de fraicheur pour résister. »Modifié par un utilisateur lundi 20 décembre 2010 19:27:50(UTC)
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« Je viens aussi » intervient Sokiba dans un commun où perçait un fort accent Mwangi. « Mais avant, il faut soigner les blessés. Vous n'êtes pas de mon peuple mais il faut s'entraider si on veut sortir de là. »Elle fit signe aux deux blessés de s'approcher d'elle puis empoigna le pendentif en bois sombre pendu à son cou qui représentait une feuille où coulait une goutte d'eau. « Shimye-Magalla, accorde-nous ta lumière ! » cria-t-elle en brandissant le symbole qui émit aussitôt une douce lumière dorée. Les blessés virent leurs blessures disparaître et les autres ressentirent un bien être provisoire mais qui malheureusement ne guérit pas leur état nauséeux. - canalisation d'énergie : 1d6 donne [3] = 3
Modifié par un utilisateur lundi 20 décembre 2010 19:31:25(UTC)
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Une fois son geste clérical effectué, la prêtresse Mwangi se tourna vers le nain nommé Grimm Forgefeu, un air de soupçon sur le visage. « Qui t'a donné ce symbole semi-homme ? Es-tu aussi un fidèle de la déesse de la Nature, la déesse de mon peuple ? »
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Localisation : Millau
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Tiriji fouilla dans les affaires entassées sur le sable pour en extraire celles qui lui appartenaient, ce qui ne fût pas trop difficile, leurs tailles les distinguant de celles des humains. Après un coup d'oeil jeté aux restes des crustacés, elle choisit d'enfiler l'habit de cuir souple la protégeant lorsqu'elle travaillait les métaux, puis elle glissa dans sa ceinture sa dague et sa rapière. Elle laissa arbalète et carreaux sur son sac à dos - non sans avoir vérifié que le contenu de ce dernier était intact - et pris dans son sac de ceinture un petit miroir à fin de réarranger sa coiffure. Certains des passagers semblaient penser qu'avec le soleil allait venir la chaleur et qu'il était préférable d'aller se mettre à l'abri sous l'ombre de la forêt proche, mais Tiriji attendit que tous soient sur pied avant de se mettre en route.
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Rang : Habitué
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Écoutant la voix de la sagesse, Zao suivit le groupe et aida à transporter les blessés à l'ombre des premiers arbres.
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Rang : Staff
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Localisation : Millau
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« Que fait on des deux passagers encore inconscients? » Demanda inquiète Tiriji.
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Rang : Sage d'honneur
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Localisation : Toulon (83)
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Hogo remercia Sokiba pour ses soins avec un hochement de tête. Puis, alors qu'ils se dirigeaient vers la falaise et qu'il entendit Azurhan les prévenir des dangers de la chaleur, il déclara à contre-cœur « Bien, attendons alors. Mettons tout l'équipement et ceux qui n'ont pas repris conscience à l'abri également. » Tout en allant se cacher du soleil, Hogo regarda s'il n'était pas possible d'escalader la falaise juste au-dessus de l'eau pour atteindre la carcasse de la Jenivère. Ceci éviterait une nage ou une descente dangereuse. Modifié par un utilisateur mardi 21 décembre 2010 22:55:08(UTC)
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D'après ce que Hogo pouvait voir, la falaise était toute aussi dangereuse à parcourir horizontalement que verticalement. La distance était à peu près équivalente et, en cas de chute, le risque restait le même : se retrouver dans les flots agités…
Il restait encore à déterminer où s'abriter, où traîner l'équipement et où amener les cinq autres survivants (les trois qu'ils avaient pris la peine d'examiner ainsi que les deux autres sans doute). Au fur et à mesure qu'on s'éloignait de l'eau, le sable de la plage cédait peu à peu la place à une végétation rare et basse d'abord, puis à une végétation luxuriante et dense où tous les dangers pouvaient se tapir.
L'ombre de l'orée de la jungle suffirait sans doute pour l'instant… mais le groupe allait certainement devoir s'organiser sérieusement pour pouvoir survivre dans cet environnement. Bien sûr, il restait l'espoir de rencontrer rapidement la civilisation : peut-être avaient-ils fait naufrage sur la côte du Mwangi et étaient-ils en fait proches d'Éléder ? Mais, d'un autre côté, peut-être pas. Ils avaient déjà failli se séparer et partir vers l'épave sur un coup de tête ce qui, aux dires d'Azhuran, aurait été une erreur… puis il y avait ces nausées qui les handicapaient. Et, bien sûr, les nombreuses questions qui restaient en suspens.
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Inscrit le : 29/08/2010(UTC)
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Grimm Forgefeu se retourna vers la prêtresse piqué au vif. Dans ses yeux dansait une flamme dangereuse. Il s'adressa à elle dans un Mwangi parfait et d'un ton sec « Déjà j'ai un nom prêtresse et ce n'est pas semi-homme. Si tu ne veux pas que je t'appelle femme utilise le ! Quant à ce symbole, c'est mon mentor, Magwi Vent d'Ouest, homme médecine du village du Fleuve qui me l'a remis après mon séjour dans la jungle Mwangi. La déesse elle même m'a parlée à travers les vents et la mer. Elle m'a amené jusqu'au village, m'a soignée et m'a ouvert les yeux.
Depuis j'en suis un des protecteurs et seul sa Volonté m'a fait partir de cette Terre pour dire une dernière fois adieu à mon ancien Clan. »Puis il repris en commun, d'un ton adouci « Je te remercie de m'avoir donné la bénédiction de la Déesse, sa douce caresse a guéri mes blessures. »Puis il se détourna sans un autre mot et vint porter secours aux survivants encore inconscients. L'enquête attendrait que tout le monde soit en sécurité. Semi-homme, semi-homme j'ten foutrait moi du semi-homme, je suis un NAIN, un NAIN !Modifié par un utilisateur mardi 21 décembre 2010 12:33:25(UTC)
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Rang : Habitué
Inscrit le : 17/02/2010(UTC)
Messages : 216
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Azurhan, fut satisfait de voir que les explorateurs aient changés d’avis, c’était mieux ainsi. Le jeune homme retourna alors vers les personnes encore allongées et s’attela à aider à les transporter à l’abri sous les frondaisons. Message secret pour Mass,Dalvyn :... Modifié par un modérateur mardi 21 décembre 2010 11:19:43(UTC)
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Rang : Sage d'honneur
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Localisation : Toulon (83)
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« Pour cette fois-ci,je pense que nous n'avons pas d'autre choix de trouver refuge dans la jungle. Nous sommes affaiblis et la question de la nourriture va très vite se poser. Je pense que dans un premier temps on peut se reposer pour éviter la chaleur qui arrive. Ensuite, nous devons savoir où nous sommes et ce qu'il y a autour de nous. Il faudrait que nous trouvions un endroit d'où nous pourrons apercevoir les environs. Peut-être en allant en haut des falaises ? Avec de la chance on verra de la fumée ou un signe indiquant qu'un village ne se trouve pas très loin. Si ce n'est pas le cas, il nous faudra partir à la cueillette et à la chasse pour nourrir tout le monde. Mais, trouvons d'abord une place dans cette jungle où nous reposer, ça ne risque de ne pas être facile. » déclara Hogo en sortant son épée et en avançant vers la jungle. - Survie : 1d20+5 donne [20] + 5 = 25
- Perception : 1d20+4 donne [10] + 4 = 14
Modifié par un utilisateur mardi 21 décembre 2010 13:35:02(UTC)
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Hogo n'était pas très sur que le meilleur endroit pour faire une espèce de campement était, les profondeurs de la jungle, la lisière de la plage serait surement un meilleur endroit pour se protéger des prédateurs par exemple. Et les feuilles des premiers arbres pourrait les protéger du soleil, qui commençait d'ailleurs à frapper fort sur les naufragés.
Il fallait dire qu'après l'adrénaline fournit par leur corps, pendant la courte confrontation avec les eurypterids, avait cessé de faire effet et toutes les personnes conscientes ne se sentait vraiment pas très en forme, mal de tête, envie de vomir. De plus la chaleur commençait à devenir insupportable, même avec le proximité de la mer.
S'aventurer dans la jungle dans leur état, aller multiplier les difficultés.
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Hogo avait la tête qui tournait et ses idées s'embrouillaient dans sa tête. Avant de chercher un refuge dans le jungle, il inspecta cette zone de végétation que l'on trouvait à l'orée de celle-ci. Peut-être trouveraient-ils un endroit où établir un camp provisoire sans rentrer dans la jungle ? Modifié par un utilisateur mardi 21 décembre 2010 13:38:54(UTC)
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Hogo se rapprocha de la jungle ; celle-ci commençait vraiment à quelque 250 mètres de l'eau. Il préféra ne pas s'aventurer trop loin et garder le contact visuel avec le reste du groupe. Il trouva un endroit en bord de plage où poussaient plusieurs palmiers aux larges et longues feuilles. C'était sans doute le meilleur lieu pour prendre le temps de se reposer et discuter du futur : les larges feuilles offriraient une bonne protection contre le soleil, voire même contre la pluie.
Outre Hogo le marin et les cinq voyageurs qui avaient participé au combat, il y avait cinq autres personnes de plus sur la plage. La demi-elfe qui avait vomi et le gnome s'étaient relevés désormais ; la première examinait les alentours d'un regard froid dans lequel transparaissait une certaine appréhension, alors que le second marmonnait « Mais que s'est-il passé ? Où sommes-nous ? » sans vraiment s'adresser à qui que ce soit en particulier. Le prisonnier garundais, quant à lui, avait toujours les mains attachées derrière le dos et s'était simplement assis sur le sable ; dans son état, il aurait eu du mal à se lever tout seul (et encore plus de mal s'il était atteint des mêmes nausées que les autres). Les deux autres corps allongés, auxquels personne ne s'était encore intéressé jusqu'ici, eux, n'avaient pas bougé d'un iota.
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Zao alla vers les deux corps et le tira tant bien que mal vers l'ombre des arbres qu'Hogo avait désigné comme un des endroits les mieux à même de protéger le groupe des rayons mordant du soleil. Il n'eut aucun mal à porter la fille rousse, il eut un peu plus de mal avec son compatriote Tiannais.
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Une fois les deux personnes allongés à l'ombre, Zao tenta de leur faire récupérer leurs esprits. J'ose espérer que le fait de les avoir déplacé alors qu'ils n'étaient pas conscient ne nuira pas à leur santé. Ce mal de tête m'empêche de réfléchir sainement. On peut être intelligent toute sa vie et stupide un instant ! Il faut s'en souvenir surtout quand cet instant est le plus important d'une vie !- Premiers secours sur fille rousse : 1d20+2 donne [18] + 2 = 20
- Premiers secours sur Tiannais : 1d20+2 donne [9] + 2 = 11
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Pendant que ses compagnons ramenaient le matériel vers l'endroit désigné par Hogo, Zao s'occupa des deux dernières personnes inconscientes. La première était une jeune fille athlétique, une rousse aux yeux verts. Il se plaça derrière elle et glissa ses bras sous les siens pour la tirer vers l'ombre. C'est à ce moment-là qu'il remarqua un étrange tatouage dessiné sur l'omoplate de la jeune femme. Il n'y avait pas de temps à perdre cependant ; il fallait s'occuper de l'autre inconscient. Dès qu'il arriva à l'ombre, ses compagnons l'aidèrent à installer la femme le plus confortablement possible sur le sol. C'est là que le tianais remarqua une autre chose : la rousse n'avait plus que quatre doigts à la main gauche ; son petit doigt était manquant. Zao retourna vers la plage pour s'occuper du dernier survivant. Comme lui, c'était un tianais et, comme lui, l'homme dont les cheveux grisonnants indiquaient qu'il avait un certain âge, semblait avoir vécu des événements difficiles. Zao ne put cependant pas mettre le doigt sur ce qui lui fit penser cela. Les cheveux du tianais étaient rassemblés vers l'arrière en une queue de cheval et son menton était orné d'une barbe hirsute et irrégulière. L'homme se réveilla peu de temps après qu'il soit arrivé à l'ombre. Il regarda tout autour de lui en fronçant les sourcils (c'était difficile de savoir si c'était à cause de la nausée ou pour une autre raison) puis il fila vers le tas d'équipement et en extrait un katana qu'il plaça rapidement dans une boucle de sa ceinture. Visiblement, il tenait beaucoup à l'objet. Tout le petit monde, ainsi que l'équipement, était désormais à l'ombre. Les cinq individus qui n'avaient pas du combattre les euryptérides étaient visiblement assez inquiets de la situation. Malgré tout, les uns après les autres, ils vinrent récupérer eux aussi leurs possessions au sein du tas d'équipement rapporté sur place. Pour la plupart d'entre eux, cela revenait à dire une arme, une armure et un sac contenant divers effets ; ce n'était pas le cas de la demi-elfe qui, elle, portait son armure sur elle depuis le début, ni bien sûr du prisonnier garundais qui, lui, resta immobile.
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