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« Maintenant que tous le monde à récupéré ses affaires, il ne reste pas la clef des menottes, par hasard? On ne peut quand même pas laisser le prisonnier comme ça ? On ne sait même pas ce qu'il a fait ! »Modifié par un utilisateur mercredi 22 décembre 2010 00:32:45(UTC)
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Sokiba regarda le nain avec des yeux ronds. Elle n'avait pas voulu l'insulter, juste le nommer par un raccourci car ils ne se connaissaient pas et n'avaient pas établi de relation de confiance. Ça avait surement du lui arriver d'être qualifié comme ça s'il avait été chez les Bonuwat, du moins au début. Et elle avait parfois été appelée "femme" sans qu'elle s'en offusque. Ce nain était susceptible et elle garda dans un coin de sa mémoire de ne plus l'appeler "semi-homme". - Psychologie : 1d20+1 donne [4] + 1 = 5
Ceci dit, son histoire avait l'air plausible et ses accents étaient sincères. Elle connaissait de nom le village du fleuve et son shaman et elle se rappelait même avoir entendu une histoire à ce sujet, un étranger de petite taille et à la barbe fournie qui avait entendu l'appel de Shimye-Magalla et avait reçu les sacrements. Elle finit par s'approcher du nain et posa sa main sur son épaule. « Pardonne mes soupçons, Grimm Forgefeu, » elle appuya bien sur les syllabes de son nom, « mais je n'avais jamais vu de non-Mwangi servir notre déesse auparavant. Je pense que tu dis vrai et si la déesse t'a choisi, alors je m'incline devant sa décision. Je t'appellerai par ton nom désormais et je te reconnais comme un fidèle serviteur de Shimye-Magalla. »Ceci dit, elle vint s'asseoir à l'ombre et se mit à réfléchir à la situation. Modifié par un utilisateur mardi 21 décembre 2010 22:57:30(UTC)
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« Ces menottes sont très solides et il ne nous sera pas facile d'en venir à bout. Mais si quelqu'un a les capacités de les ouvrir, je veux bien prendre le risque... Pour l'instant, profitons de ce moment de repos forcé pour reprendre nos esprits. Je n'ai aucun souvenir de ce qui s'est passé et je n'ai aucune idée de l'endroit où nous sommes. Avons-nous été récupérés sur l'épave du Jenivère avant d'être amenés sur cette plage ? Dans ce cas pourquoi notre ou nos sauveurs ne se montrent-ils pas ? Quelqu'un parmi nous a-t-il le moindre souvenir de ce qui s'est passé ? Il y a beaucoup de questions sans réponse... Pour le moment, je pense que le plus important est que nous nous reposions. Ensuite, comme je l'ai déjà dit, si nous pouvons trouver un endroit d'où nous pouvons voir les environs peut-être cela pourra-t-il nous donner quelques indications ? Je pensais aller au sommet de ces falaises ou grimper à un arbre mais pour cela il faudrait rentrer dans la jungle... », le shoanti termina sa phrase en regardant la jungle avec appréhension. Modifié par un utilisateur mercredi 22 décembre 2010 23:26:15(UTC)
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La prêtresse médita un moment les paroles du Shoanti. « Si nous avions été récupérés sur l'épave du bateau, nous devrions être mouillés non ? Et aurait-on eu le temps de nous enlever nos armures et rassembler nos affaires ?
J'ai plutôt l'impression que l'on nous a drogué pour nous rendre inconscients et nous déposer sur cette plage. Rappelez-vous cette soupe très épicée. Et rappelez-vous aussi ce petit homme qui est descendu à Senghor et qui a dit un soir quelque chose comme quoi il était un expert dans le domaine et que la soupe n'était pas empoisonnée. Je parie que c'est lui qui a drogué la soupe avec la complicité du cuisinier.
Pourquoi a-t-on fait ça et pourquoi le bateau s'est échoué, je n'en ai aucune idée par contre. Peut-être l'exploration de l'épave pourrait nous en dire plus. »Modifié par un utilisateur mardi 21 décembre 2010 23:58:52(UTC)
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Tiriji fouilla dans son sac en grommelant « Bon, ben si personne ne sait où se trouve cette clef, il va falloir procéder autrement. Je doit bien avoir dans les outils de mon art quelques chose qui me permettra d'ouvrir ça. » La gnominette commença à sortir soigneusement les outils qu'ils l'avaient probablement - où pas - vu utiliser, quand la mer n'était pas trop agité, pour orner de fines gravures ses armes et, ils faut le dire, vers la fin du voyage un peu tous les objets qui lui tombaient sous la main. Après avoir sélectionné dans ses outils quelques limes et crochets parmi les plus fins elle se dirigea vers le prisonnier et elle lui dit « Tourne toi et reste immobile, je ne vais pas te faire de mal. » Puis elle commença à s'affairer sur les serrures. S'il y a moyen de prendre 10 ou 20, sinon : - Désamorçage/Sabotage : 1d20+7 donne [16] + 7 = 23
Modifié par un utilisateur mercredi 22 décembre 2010 00:33:56(UTC)
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La gnomette se mit derrière le Garundais qui n'avait dit mot, elle commença à tripatouiller les menottes mais au bout d'un petit moment elle du se rendre à l'évidence, le mécanisme était au de là de ses possibilité. Elle n'arriverait à rien, surtout que l'effort de concentration, la chaleur et les nausées et le mal de tête n'arrangeaient rien, maintenant elle avait la tête qui tournait à force d'effort. Le Garundais se tourna vers Tiriji, « Merci d'avoir essayé. Petit dame. » dit-il du voix calme. C'était les premières paroles que l'on pouvait entendre du Garundais depuis le début du voyage. Modifié par un modérateur mercredi 22 décembre 2010 18:39:49(UTC)
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Les naufragés s'étaient donc rassemblés près de l'orée de la jungle afin de pouvoir profiter de l'ombre pendant ce qui devait sans nulle doute être les heures les plus chaudes de la journée. Même immobiles et protégés du soleil, ils se sentaient quand même écrasés par la terrible chaleur qui régnait à l'endroit mystérieux où ils se trouvaient. Éprouvés par les nausées, le combat et les efforts, certains étaient même parvenus à s'endormir quelques minutes malgré la moiteur et l'humidité ambiante. Quoi qu'il en soit, ce moment de calme (plus que de repos) leur fit du bien à tous, de sorte que, une bonne heure plus tard, la plupart des nausées avaient disparus. Jusqu'ici, certains avaient émis quelques hypothèses et commencé à échafauder des plans alors que d'autres, comme le gnome à la langue bien pendue, le tianais grisonnant, la demi-elfe distante, le prisonnier garundais et la rousse à l'air maussade, s'étaient contentés de se laisser "porter" par le reste du groupe. Il en allait souvent ainsi : certains avaient une âme de meneurs et pouvaient facilement reprendre le dessus quelle que soit la situation alors que d'autres, au contraire, ne parvenaient pas à vaincre leurs peurs et se muraient dans un mutisme sinistre. Finalement, au bout de cette heure de repos et de silence, c'est le gnome qui reprit la parole, continuant une conversation qui s'était terminée plusieurs minutes plus tôt. « Cet homme dont vous parlez — oh, à mon avis, c'était certainement un espion des pirates, » commença-t-il avant d'ajouter en un murmure de comploteur « ou peut-être même un assassin… il est monté à bord à Ilizmagorti, après tout ; ne dit-on pas que c'est là-bas que se trouvent la forteresse des Mantes Rouges ? » Le gnome se tut tout à coup et déglutit bruyamment en croisant le regard d'Ephrem. Il décida de ne pas continuer à développer cette hypothèse et préféra revenir au principal sujet. « Oui, enfin… » — il se racla la gorge — « cet homme est descendu à Senghor. Hors, ça fait quoi ? Trois jours, quatre au moins, que nous avons quitté le port. Comment aurait-il pu nous empoisonner à retardement ? »Toutefois, comme s'il avait trouvé la réponse à sa question lui-même, il s'interrompit et ajouta à voix basse « À moins qu'il ne possède un poison qui fonctionne très très lentement… ou peut-être un poison qui n'agit que quand une condition précise se produit, quelque chose de magique ! » Sur ce, absorbé dans ces pensées, le gnome sortit un petit journal et un encrier du sac qu'il avait récupéré parmi les objets déposés sur la plage et il se mit à y gratter quelques notes. S'il fallait croire les spécialistes de la nature, la chaleur écrasante allait encore persister pendant au moins deux bonnes heures… a priori, les naufragés avaient donc tout le temps qu'il voulait pour aborder les sujets les plus divers ou mettre au point des plans pour la suite.
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Azurhan, aida de son mieux à déplacer les naufragés encore inconscient et à les installés à l’abri de la chaleur. Puis il passa de l’un à l’autre afin de les faire boire régulièrement à son outre. Une fois que tous eurent bien bu, le jeune homme en profita pour essayer de se reposer un peu, il s’installa à demi-allongé, adossé contre le tronc d’un palmier, la capuche rabattu sur la tête, il ferma les yeux… tout en étant à l’écoute des conversations. Lorsque le gnome aborda le sujet de l’homme qui avait débarqué à Senghor, Azurhan se redressa vivement afin de s'asseoir : « Les suspicions ne mènent à rien ! Nous ne savons pour le moment rien, sur ce qu’il nous est arrivé. Il serait temps que vous réfléchissiez un peu, monsieur, au lieu de d’affabuler sur le dos des gens. C’est à cause de gens de votre espèce que des rumeurs destructrices naissent, n’avez-vous jamais songé qu’à colporter des ragots vous semiez la zizanie et le doute dans l’esprit des gens ? Et que cela pouvait avoir de lourdes répercussions ? Vous feriez donc mieux de garder votre langue de vipère dans votre bouche et user de votre cervelle à des choses plus utiles ! »Durant tout le temps qu’il avait parlé Azurhan avait plongé son regard noir dans celui du gnome, ne sourcillant pas un seul instant. Modifié par un utilisateur mercredi 22 décembre 2010 19:50:06(UTC)
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Le gnome ne releva pas son nez du journal dans lequel il était penché. Toutefois, il murmura assez distinctement « Mouais, mouais, mouais… et quand on n'a pas assez de cervelle et d'imagination pour dire autre chose que des platitudes idiotes, on ne devrait pas utiliser sa langue non plus. »Puis il se remit à écrire dans son calepin, calmement et lentement.
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Sokiba regarda Azurhan d'un air surpris, étonnée par la virulence de ses propos. « Hey, du calme l'ami, on essaye juste de savoir ce qui nous est arrivé. C'est normal d'être soupçonneux, on a quand-même été drogué et abandonné sur une plage déserte. »Elle sonda un instant le gnome puis reprit la discussion là où celui-ci l'avait laissée. - Psychologie sur le gnome pour savoir s'il est sérieux ou s'il plaisante : 1d20+3 donne [17] + 3 = 20
D'ailleurs, je pense que tout l'équipage était complice, enfin sauf ceux qui sont ici » dit-elle avec un coup d'œil à Hogo. « Autrement, je ne vois pas comment endormir et déplacer une bonne dizaine de personnes sans qu'un seul membre de l'équipage ne soit pas au courant. »Elle fronça les sourcils. « Mais, je ne comprends pas le motif. Nous n'avons pas été dépouillés, nous avons toujours notre argent, nos armes...
On dirait qu'on a été déposé là dans un but bien précis. »Modifié par un utilisateur jeudi 23 décembre 2010 09:32:10(UTC)
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Grimm répondit d'un ton plus calme aux excuses de la prêtresse. « Mouais, c'est bon Sokuba. Sache simplement que je me considère autant un Mwangi qu'un Nain. L'apparence ne fait pas tout, le coeur et l'esprit sont aussi l'essence de toute créature. »Il reprit ses activités et aida à transporter les inconscients jusqu'à la protection des grands arbres de la Jungle. (...) Grimm s'interrogeait lui aussi sur le pourquoi de leur présence et l'étrangeté de leur arrivée. Leur navire était bien là, fracassé sur le côte découpée, mais eux étaient secs et l'entièreté de leur équipement présent ce qui était d'autant plus étrange. Une fois leur fièvre passée, les esprits commencèrent à s'échauffer et une vive passe d'arme eu lieu entre deux des survivants. Sokuba essaya de calmer les esprits, Grimm repris à sa suite « Je pense qu'une visite de l'épave nous sera nécessaire pour en savoir plus, mais je ne suis pas vraiment un spécialiste de la nage ou de l'escalade, mais j'ai une corde qui devrait pouvoir aider. Parmi nous, il doit bien y avoir quelques gens doués pour l'une ou l'autre chose ?
»Modifié par un utilisateur mercredi 22 décembre 2010 22:22:56(UTC)
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Tiriji observa un moment la direction où se trouvait l'épave avant de répondre. « J'ai bien peur que cette falaise ne soit trop haute pour qu'une seule corde ne suffise. D'ici, je dirai qu'il en faudrait bien trois ou quatre attaché bout à bout pour réussir à descendre jusqu'au navire. Mais peut être qu'en allant au dessus des falaises il est possible de trouver un passage qui faciliterai la descente ? Bien sur, pour ce faire il nous faudra attendre qu'il fasse un peu moins chaud. »Modifié par un utilisateur mercredi 22 décembre 2010 23:23:16(UTC)
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« J'ai embarqué sur le Jenivère juste avant le départ. Ils avaient besoin d'un nouveau marin. Je ne connaissais aucun membre de l'équipage.... Pour ce qui est de l'escalade ou de la natation, j'ai quelques compétences. Mais d'abord, j'aimerais vérifier s'il y a des signes de civilisation autour de nous. Si on peut trouver un village avec des gens qui ont une embarcation près d'ici, ce serait vraiment stupide de se noyer ou de chuter en allant vers l'épave. » déclara Hogo. Modifié par un utilisateur jeudi 23 décembre 2010 19:45:54(UTC)
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« Avec les étoiles, je pourrais me repérer et savoir, à peu près, où nous nous trouvons. Je connais relativement bien les environs et si j'arrive à trouver où nous sommes je pense pouvoir nous mener à un village. »Grimm regarda les survivants et vérifia qu'aucun membre de l'équipage, excepté Hogo, n'en faisait parti. « Humm, vous souvenez vous que l'humeur du Capitaine et son comportement ont brusquement changé après l'une des escales ? Quelque chose a du se passer à ce moment là et peut être lié à ce qui nous arrive. Qu'en pensez vous ? »Modifié par un utilisateur mercredi 22 décembre 2010 23:30:44(UTC)
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« Il a peut-être changé à cause de son amante varisienne, je suis sur qu'elle et l'homme descendu en Senghor sont l'allié du cuisinier pour nous empoissonner, mais un truc a dû clocher dans leur plan, si l'épave là bas est bien le Jenivere » dit le gnome toujours pensif, il écrivit une phrase dans son carnet tout en regardant méchamment Azurhan. « Mais peut-être que ce jeune homme a un autre commentaire à faire?! »continua-t-il avec un ton hautain. « Si vous allez au bateau je vous accompagne! » C'était la demi-elfe qui avait parlé. Modifié par un modérateur jeudi 23 décembre 2010 13:21:43(UTC)
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Azurhan, soutint le regard du gnome lorsque ce dernier lança sa pique verbale. Mais ne cilla pas à sa remarque. « Peut-être, trouverons-nous des lianes suffisamment solides pour être tressées… » Dit Azurhan en regardant les palmiers autour du groupe… « Ah moins qu’il ne suffise d’attendre marée basse pour avoir accès aux restes du navire. »A ces mots Azurhan se leva et fit quelques pas en direction du bateau, puis il observa longuement l’océan et les marques sur les falaises à l’endroit où s’arrêtaient de s’accrocher algues et coquillages, afin d’essayer de savoir si la mer était montante ou descendante et si le cas échéant elle laisserait un passage suffisant pour accéder à l’épave en gardant les pieds au sec. Les maux de tête et les nausées ayant cessés, il était plus facile de se concentrer. - Connaissance nature : 1d20+6 donne [5] + 6 = 11
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La marée ! Mais bon sang, pourquoi je n'y est pas pensé tout seul !Le nain se leva, tel un diable sortant de sa boîte, aux paroles d'Azurhan sur la marée et observa à son tour les eaux afin de savoir si il était possible d'atteindre le navire une fois la marée en position basse. - Conn. Nature : 1d20+4 donne [2] + 4 = 6
- Perception : 1d20+8 donne [20] + 8 = 28
Même si il ne se souvenait pas de la possibilité d'une marée, il remarqua cependant que l'eau avait bougé depuis leur réveil. Il devait donc avoir une possibilité d'atteindre le Jenivère plus facilement une fois que l'eau se serait retirée en partie des bords de la falaise. Mais il n'en était pas complètement certain. « C'est une possibilité Azurhan, bien vu ! »Modifié par un utilisateur jeudi 23 décembre 2010 10:25:21(UTC)
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Zao écouta toutes les remarques faites par chacun, n'ayant rien à ajouter il se tut. En effet, si la marée est descendante, on pourra peut être s'approcher plus facilement de l'épave, et sinon, en plus des cordes que nous avons à disposition, nous pourrons si nécessaire essayer de trouver des lianes.
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Quelque part, un jour, vers 13h
Il y avait deux choses qui sautaient désormais aux yeux de tous comme une évidence : tout d'abord, le niveau de l'eau avait légèrement baissé depuis qu'ils s'étaient retirés à l'ombre et qu'ils y avaient passé une bonne heure de repos. Midi et minuit correspondaient plus ou moins aux marées hautes et, tout naturellement, c'était à l'aube et en fin d'après-midi qu'on trouvait la marée basse. Au cours des cinq ou six heures qui suivraient, le niveau de l'eau allait descendre. Cela rallongerait effectivement la hauteur de la falaise à descendre pour atteindre le bateau, mais peut-être cela raccourcira également la distance à parcourir à la nage en laissant apparaître une plage plus grande.
L'autre évidence, c'est que c'était suicidaire de tenter quoi que ce soit dans les deux heures qui suivaient tant la chaleur et l'humidité étaient écrasantes. Par contre, il était bien sûr possible de se préparer à ce qui allait suivre et d'échafauder des plans… ou tout simplement à profiter du délai pour se reposer.
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En fouillant plus attentivement le tas d'équipement, Grimm s'aperçu que la majorité de ses possession n'étaient pas présente dont la corde qu'il espérait utiliser pour leur future exploration. « Par les Vents, quelle poisse ! Je retrouverai les voleurs, parole de Forgefeu. »De très mauvaise humeur, Grimm se leva, enfila sa mince armure de cuir afin d'avoir un minimum de protection. Accrocha les quelques armes qu'il avait pu retrouver à sa ceinture et dit. « Bon, je n'aime pas rester inactif et il nous faut trouver de la nourriture et de l'eau. Les maigres rations en notre possession ne seront pas suffisantes pour rester ici plus d'une journée. Je me propose de faire une expédition plus à l'intérieur des terres. Peut-être trouverons nous un point haut afin d'avoir une meilleure vue d'où nous sommes. De plus cela nous permettra, je l'espère, de trouver une source d'eau potable et quelques baies ou racines pour nous sustenter. Quant à ceux qui restent ici, il faudrait "fortifier" le camp : creuser un fossé, construire un ou plusieurs abri. Je n'ai aucune compétence pour cela alors je laisse les architectes en herbe et les charpentiers expert s'en charger.
Quant à moi, si deux d'entre vous veulent me suivre, c'est maintenant. »Grimm n'attendit pas de réponse de la part de ses camarades et s'enfonça plus en avant dans la jungle. - Survie : 1d20+8 donne [4] + 8 = 12
- Perception : 1d20+8 donne [14] + 8 = 22
- Conn. Nature(Jungle) : 1d20+5 donne [19] + 5 = 24
Modifié par un modérateur jeudi 23 décembre 2010 16:39:13(UTC)
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