Tiriji était rentré dans la pièce après Grimm et l'avait laissé examiner les blessures, s'intéressant pour sa part à l'épée courte du second. Avait il réussit à blesser son agresseur? Sa lame portait elle des traces de sang?

Puis, l'entendant parler d'une blessure faite à l'aide d'une rapière sans plus de précision, elle s'intéressa à la blessure proprement dite. Était elle bien le fait d'une rapière? Avait elle été porté par un droitier ou un gaucher? L'agresseur était il plus grand ou plus petit que le marin? Tiriji ne savait pas si les réponses à ces questions serait un jour utiles, mais elle savait que ce n'était que maintenant qu'elle les obtiendrait.

Modifié par un utilisateur vendredi 31 décembre 2010 15:12:15(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Regardez la façon dont la lame à pénétré l'armure, la lame est rentré comme ça », dit elle en indiquant de la main la trajectoire qu'avait, selon elle, suivi la lame, « ce qui signifie que l'agresseur était plus grand que le Second, et qu'il tenait sa lame de la main droite. Maintenant, si l'on regarde son arme, on peut voir qu'il n'y a pas de sang. Malheureusement, comme ce tissu l'indique, la blessure à été soigné, et donc cela ne permet pas de dire s'il a blessé ou non son agresseur. Par contre ce que l'on peut déduire de tout cela, c'est qu'après avoir été blessé et s'être soigné, il a été attaqué et touché par la créature que Hogo a tué, et s'est ensuite barricadé dans cette pièce où il est ensuite mort des suites du venin injecté par cette seconde blessure. »

« Maintenant, autre chose, je n'aime pas prendre aux morts ce qui leurs appartenaient, mais nous sommes coincé à cet endroit sans accès à un marchand d'armes ou d'armures, et l'armure et l'arme que portait cet homme sont de bonne, que dis je, d'excellente qualité et pourrait nous être fort utile si nous ne trouvons pas d'accès rapidement à la civilisation. » Ou peut être même si nous trouvons accès à la civilisation...

La pièce était sens dessus dessous, sans doute un résultat du choc consécutif au naufrage, mais tout semblait être resté au sec. L'eau ne semblait pas avoir atteint cette partie du bateau. Hogo jeta un coup d'œil autour de lui et fit une liste mentale des divers objets qui pourraient encore servir. Il y avait là des fagots de bois utilisés pour allumer le feu en cuisine ; la réserve de bûches était également sur place, mais celles-ci s'étaient éparpillées dans tout le compartiment. Dans le fond, il trouva une petite caisse de bois avec divers outils de construction et de réparation (marteaux, scies, clous, rabots et couteaux à bois,…) ; tout cela pourra s'avérer très utile s'ils décidaient de construire un abri. Il y avait également, en vrac, deux grands filets de pèches, un grappin, deux lanternes sourdes qui, protégées dans une caisse rembourrée de paille, avaient résisté aux chocs, 12 fioles d'huile de lanterne, 45 mètres de corde de chanvre, cinq pelles, trois grandes voiles repliées et maintenues en place avec de l'épaisse ficelle ainsi qu'un palan permettant de soulever et transporter les choses lourdes.

« Nous devrions essayer de voir si d'autres pièces et donc matériels ont survécus. »

Zao essaye de voir si d'autres pièces du navire sont accessibles.

Modifié par un utilisateur dimanche 2 janvier 2011 16:35:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

Sokiba avait jeté un œil sur la pièce et sur le cadavre tout en écoutant les constatations de ses camarades sur les causes de la mort de l'infortuné second.

L'homme avait donc reçu une première blessure d'une rapière qu'il avait plus ou moins réussit à soigner mais n'avait pas résisté au poison du crabe-scorpion.

Qui avait bien pu essayer de le tuer ? Cela avait-il un rapport avec leur débarquement forcé ?

La prêtresse s'approcha du corps, enleva la partie de l'armure qui cachait la blessure par lame et l'examina, non sans avoir fait une prière à sa déesse pour éclairer son jugement.



En même temps, elle essaya de se souvenir qui était plus grand que le second et portait une rapière parmi les passagers.


Assistance divine pour gagner +1 au jet
Sokiba essaye de se rappeler qui portait une rapière pendant le voyage et était plus grand que le second

Modifié par un utilisateur samedi 1 janvier 2011 20:55:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

En découvrant l'état de la cuisine puis le corps du cuisinier, Hogo appela les autres « Venez voir par là ! Il y a un autre corps, c'est le cuisinier. » Le shoanti préféra laisser l'examen du corps à ceux qui en avaient les talents, il se contenta de commencer à fouiller la pièce pour voir ce qu'il pourrait récupérer et commencer à mettre dans des sacs.

Modifié par un utilisateur lundi 3 janvier 2011 21:55:36(UTC)  | Raison: Non indiquée

« VROUMmmmmm!!! »

Un éclair explosa dans le ciel, qui éclaira le visage blafard du cadavre du cuisinier, les vagues redoublaient et ce qui restait du Jenivere était de plus en plus balloté par la mer déchainée.

Grimm s'intéressa à la dépouille du cuisinier. Le nain remarqua des traces de blessures sur son cou et ses épaules. (Test de Premiers secours pour essayer d'en savoir plus pour les autres) Contrairement au corps du second, celui du cuisinier avait commencé à se putréfier ; ce n'était pas encore apparent, mais c'était tout à fait notable de manière olfactive ! Hogo, quant à lui, examina plutôt les réserves… il n'y avait que des aliments de première nécessité. Il aperçut la demi-elfe qui cherchait elle aussi dans la réserve, elle avait l'air contrarié. Il y avait de quoi se nourrir pendant quelques jours. Hogo précisa que la plus grande partie des réserves de nourriture et de boissons était conservée dans la cale.


Hogo se mit à faire l'inventaire des denrées encore consommables. Il y avait un peu de sel, oui, mais également des barils de farine, des pots de légumes et de fruits macérés dans du vinaigre, un sac de poissons fumés, et quelques gousses d'oignons qui pendaient encore au plafond. Au total, la prêtresse estima qu'il y avait assez pour nourrir 1 personne pendant 24 jours. Bien sûr, vu la taille de leur groupe, la nourriture ne tiendrait pas aussi longtemps. Grimm scruta la pièce à la recherche d'une autre bestiole, mais il ne vit absolument rien.

Modifié par un utilisateur dimanche 2 janvier 2011 15:02:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

La pluie frappait la surface du Jenivere avec violence. Tiriji se pencha sur le corps du cuisinier, qui montrait un aspect peu avenant, l'odeur de pourriture commençait déjà à emplir l'atmosphère de la réserve. Le cuisinier avait bien deux choses qui pouvaient s'apparenter à des blessures sur le cou et l'épaule, mais la gnome était sur que ce n'étaient pas des armes, qui avaient fait cela.

Modifié par un utilisateur dimanche 2 janvier 2011 15:28:20(UTC)  | Raison: Non indiquée

Pendant que ses camarades visitaient la réserve, il décida d'ouvrir la porte de la cuisine.



Si la porte s'ouvre j'essaye rapidement de voir si du matériel intéressant est récupérable.

Modifié par un utilisateur dimanche 2 janvier 2011 16:39:52(UTC)  | Raison: Non indiquée

Azurhan suivait le groupe, dans sa lente exploration de l’épave. Il regardait le moindre objet encore intact afin d’évaluer si celui-ci pourrait leur être utile ou non. Puis lorsque le corps du second fut découvert, il se pencha à son tour quelques longues secondes dessus, afin de voir si lui-même pouvait en déduire quelque chose, ensuite il en fit de même avec le cadavre du cuisinier. Tout comme les autres, il regardait dans le moindre coin restant attentif à toute anomalie.



« Je suis de l'avis de Tiriji... Certains devraient d'ores et déjà transporter ce qui peut l'être.... » A ces mots, Azurhan hissant l'une des voile pliée et ficelée sur son dos, tentant de l'amarrer au mieux grâce aux ficelles, puis s'il le pouvait il en accrocherait une seconde avant, de ressortir de l'épave, pour amener le matériel vers les autres naufragés restés sur la plage.

Modifié par un utilisateur lundi 3 janvier 2011 06:56:11(UTC)  | Raison: Non indiquée