Il va falloir que je trouve de quoi réparer mon arbalète rapidement, moi...

« Hiiiii!!! Heuh. Une bête, là. » Tiriji dégaina sa rapière tout en faisant un large tour autour de la bête.

H14->H11->I10->J10->K11 - il va me falloir un bon round pour faire le tour avant de pouvoir attaquer...

Sokiba et son compagnon avaient trouvé des fruits mais malheureusement pas de plantes pour soigner les piqures de Grimm. Sur le chemin du retour, la prêtresse avisa un groupe de trois perroquets multicolores en train de criailler sur une branche basse. Elle s'arrêta et fit signe à Zao de ne pas bouger puis s'approcha doucement et prononça quelques paroles magiques.

Elle se mit ensuite à imiter le bruit des volatiles de façon très ressemblante. Tout aussi curieusement, les oiseaux lui répondirent comme si une discussion s'était engagée entre eux.

Je jette Apaisement des animaux (JS DD 14) sur les perroquets. Je leur demande ensuite s'il y a d'autres humains ("des créatures à deux pattes comme moi") qui vivent ici et, si oui, s'il y en a beaucoup. Je leur demande aussi quelles sont les créatures qu'ils craignent le plus.

Modifié par un utilisateur samedi 29 janvier 2011 00:39:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Hogo savait qu'être blessé ou empoisonné dans un milieu aussi dangereux était un mauvais présage. Ainsi, il leva son épée et frappa avec toute sa force. Mais la chance semblait l'avoir abandonnée pour l'instant.

Modifié par un utilisateur lundi 31 janvier 2011 20:41:01(UTC)  | Raison: Non indiquée

Hogo toujours surpris par l'attaque éclair de l'animal, ne trancha que des herbes hautes la bêtes s'étant faufilait sous la lame du barbare. Mais l'animal ne pu pas éviter celle de la gnome qui planta sa rapière dans la peau visqueuse du serpent celui-ci se retourna sous l'effet de la douleur et cracha de rage.

Les crocs se plantèrent dans le bras de la jeune gnome qui hurla plus de peur que de douleur. Mais elle sentit que par les crochets du serpent un liquide brulant passait dans son sang, la plaie commençait d'ailleurs déjà à se nécroser.

Pendant ce temps, Sokiba, Zao et Jask était de retour sur la plage les mains vide, Grimm était toujours allongé sous une des voiles qui faisait comme une grande tente. Azhuran n'avait pas dit un mot depuis un bon moment. Les autres naufragés étaient chacun dans son coin, l'ambiance n'était pas au beau fixe, il fallait agir sinon, certain aller se désespérer.




JdS Con : DD13

Lien vers la battlemap.

Initiatives

Hogo
Tiriji
Serpent

Modifié par un utilisateur vendredi 28 janvier 2011 17:09:01(UTC)  | Raison: Non indiquée

Une fois de plus l'épée du shoanti arracha quelques feuilles sans toucher sa cible.

Modifié par un utilisateur vendredi 28 janvier 2011 21:51:25(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dépité, se sentant inutile, Hogo en colère donna un autre coup d'épée dans la direction qu'avait choisie le serpent pour battre en retraite. Il avait failli, il n'avait pas réussi à protéger celle qui l'accompagnait dans la jungle.

Après quelques instants, il se calma et regarda tout penaud la gnome en déclarant, « Merci à toi .... heureusement que tu étais là .... » puis après quelques secondes d'un silence pesant, il continua, « ... bien ... remettons-nous en route et essayons de trouver un emplacement pour le camp. »

Modifié par un utilisateur lundi 31 janvier 2011 22:21:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

En haut de la colline, vers 9h du matin…

Hogo et Tiriji firent une courte pause pour reprendre leur souffle et faire le point de la situation. Ils avaient apparemment atteint le sommet de la petite colline qu'ils avaient repérée depuis la plage. Ici, la végétation était un peu plus clairsemée qu'ailleurs. Cela en faisait sans doute un endroit relativement adapté à la construction d'un camp : il y avait suffisamment d'arbres pour pouvoir ancrer les toiles, obtenir du bois et construire un abri digne de ce nom.

Voir la carte mise à jour.

C'était un endroit pratique pour un camp… mais il n'avait pas vraiment d'autre avantage que le fait qu'il soit en hauteur : pas de point d'eau proche ni de ressource particulière, même si, visiblement, il y avait pas mal de singes et d'animaux dans la jungle environnante et qu'il y avait donc moyen de chasser.

Plus bas, vers la plage, vers 10h du matin…

Sokiba avait laissé Zao rentrer vers le campement et s'était attardé près d'un oiseau exotique qui, grâce à ses sorts, s'était laissé approcher par la druidesse. Quand on parlait d'une cervelle d'oiseau de manière péjorative, on ne se trompait guère… malgré tout, la druidesse parvint quand même à tirer quelques informations vagues du volatile.

Selon lui, il y avait bien quelques autres êtres à deux pattes sur l'île, mais ils se trouvaient plus loin et ne venaient guère de cette côté-ci de l'île ; ils habitaient dans une section de l'île que l'oiseau décrivait comme "mauvaise"., un mot qui pouvait aussi se traduire par hanté, maudit, sombre, contre-nature, dangereux, corrompu, perverti et toute une série d'autres qualificatifs. À la question de la chose qui lui faisait le plus peur, le volatile répondit sans hésiter qu'il s'agissait du "grand pas-oiseau qui vole"…

Tiriji était également déçu. Si le sommet de la colline était suffisamment dégager pour y construire une cabane, il y manquait l'essentiel, un point d'eau.

« Avec tout ce qu'il tombe par ici, il doit bien s'en trouver quelque part. Peut être aurons nous plus de chance en revenant. Je propose que nous redescendions du coté de la falaise. Après tout, il faut bien que l'eau se jette dans la mer... »

Elle attendit que Hogo soit redescendu de son perchoir.

En haut de la colline, vers 9h30.

Voir la carte de l'île mise à jour.

Hogo se dirigea vers l'arbre qui semblait le plus haut et grimpa au sommet. D'où il était, il ne pouvait voir que du vert partout autour de lui ; à peine pouvait-il deviner les principaux reliefs de l'île. Heureusement, le ciel était dégagé et il pouvait voir assez loin. Dans un premier temps, il prit ses repères et confirma la forme de l'île : elle correspondait bien à ce que la carte indiquait.

Dans un premier temps, il remarqua que le point le plus haut de l'île semblait être une sorte de montagne qui s'élevait au loin vers le sud-est. Vers le sud, il pouvait voir un large trou dans la verdure et apercevoir la surface de l'eau ; il s'agissait donc bien d'une sorte de grand lagon. Du côté opposé, il aperçut comme un chapelet d'îles allongées. Étrangement, la dernière de ces îles, celle qui était directement à l'ouest du lagon, avait une coloration générale grise-brune plutôt que verte.

Hogo s'intéressa ensuite au terrain proche. Vers l'ouest, le sol semblait descendre progressivement jusqu'à l'extrémité de l'île. Vers l'est, de l'autre côté de la plage, le sol montait progressivement jusqu'à atteindre le sommet d'une seconde colline à l'est. Il chercha des signes de civilisation ou quelque chose qui sorte de l'ordinaire, mais ne trouva rien.

Le Shoanti et la gnome reprirent ensuite la route vers le nord… ils ne purent pas aller bien loin cependant : ils se rendirent rapidement compte que, sur les 300 mètres qui séparaient le sommet de la colline et le bord de l'île, le sol descendait légèrement dans un premier temps puis il aboutissait à une falaise abrupte d'une bonne trentaine de mètres. Contrairement à l'endroit où ils avaient débarqué, il n'y avait pas de plage ici : la falaise plongeait directement dans la mer.

Cette structure présentait un avantage cependant : un camp établi à proximité d'une falaise permettait de se débarrasser facilement des détritus et des déchets (en les lançant simplement en contrebas). C'était une notion assez importante car l'hygiène allait sans doute être cruciale. Dès la première nuit, ils avaient été attaqués par des moustiques agressifs ; il y avait donc fort à parier que les choses iraient de pire en pire s'ils ne faisaient pas attention à ce problème.

Au campement, vers 10h30.

Tous les autres aventuriers se retrouvaient sur la plage, dans le campement de fortune qu'ils avaient monté la veille.

Jask s'était éloigné de quelques mètres pour observer le rivage et, plus particulièrement, l'endroit où l'épave du Jenivère avait disparu sous les flots. Quand il revint, il avait l'air songeur. « L'épave du fier Jenivère n'aura pas résisté longtemps… » commença-t-il avant d'ajouter « Je me demande si certains des autres navires qui ont échoué ici s'en sont mieux sortis. » Il hésita un moment puis ajouta « Je veux dire… selon la légende, de nombreux navires ont échoué sur la Lame des Contrebandiers. Sur tout le lot, peut-être certains s'en sont-ils mieux sortis que le Jenivère, non ? Ca vaudrait la peine de garder l'œil ouvert… nous pourrions peut-être découvrir une épave qui contiendrait des choses précieuses pour notre survie. »

Sokiba se tourna vers Jask. « Tu penses qu'il peut y avoir d'autres bateaux échoués sur des plages ou des récifs et qui n'auraient pas coulés ? C'est possible, oui, et dans ce cas cela vaudrait peut-être la peine d'explorer plus en avant le rivage à marée basse. »

« Mais dans ce cas, il a pu y avoir des rescapés. » Elle regarda les falaises et la jungle au-delà. « Et certains ont peut-être réussi à survivre. »

« Et s'il y a des épaves, il peut-être possible de fabriquer une embarcation pour nous ramener sur le continent. »