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La douce elfe s'approcha d’Améiko et d’une voix douce et rassurante elle lui dit : « Vous ne craignez plus rien maintenant, calmez-vous Dame Améiko, tout va bien, les gobelins sont mort et votre frère est sous la bonne garde de Méliandre, reprenez votre souffle, prenez votre temps. Pouvez-vous nous raconter ce qui vous est arrivée ? Souhaitez-vous voir votre frère ? »Comme les autres la jolie elfe avait ressentit la décharge d’énergie et la magicienne espérait bien retourner auprès de son fiancé, au plus vite la magie d'Iomedae fonctionnant sur nous, elle fonctionnera sur Tsuto, pourvu qu’il n’arrive rien a Méliandre. Mon amour. Je ne peux plus être loin de toi.Modifié par un utilisateur lundi 23 juillet 2012 21:15:39(UTC)
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Lors qu'Ameiko ouvrit les yeux, Orphilas poussa un soupir de soulagement. Se laissant retomber sur le coté, il pris le temps de souffler le temps que la dernière décharge d'adrénaline ne s'estompe. Son train de pensées se ralentit, et sa colère envers Tsuto reflua. Il aida ensuite Ameiko à se relever. « Allez-vous bien ? Lorsque vous avez disparu, nous avons découvert la lettre de votre frère et sommes venu ici immédiatement. Que vous ont fait ces scélérats ? Nous avons craint le pire en voyant les gobelins et ce qu'ils avaient fait à vo... » Il interrompit sa phrase, sentant qu'il risquait d'en dire trop. ...tre père. Si elle l'ignore, inutile de lui apprendre la triste nouvelle immédiatement. La trahison de son frère doit déjà être assez difficile à encaisserPuis, une fois sûr que la tavernière ne risquait plus rien, il retourna auprès de Méliandre, non sans avoir apostrophé le halfelin et le nain qui l'avait découverte avant qu'il ne soit trop tard. « Vous lui avez probablement sauvé la vie, bravo à vous deux. Auriez-vous une corde, que l'on puisse ligoter le demi-elfe ? »Modifié par un modérateur mercredi 29 février 2012 18:28:12(UTC)
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« Une corde ? Sûr que notre ami va bientôt en avoir une... Au bout d'un arbre... » grommela Méliandre en entendant Orphilas. « Comment va-t-elle ? » demanda-t-il au prêtre alors que ce dernier rentrait une nouvelle fois dans la petite pièce. Avec l'arrivée de Bido et d'Avelin, Méliandre rengaina son arme. « Je vais voir comment vont les femmes... » dit-il en laissant le prisonnier aux bons soins de ses camarades.
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« Ameiko semble aller bien, physiquement. Elle a été amochée par ces satanées créatures, mais elle n'est plus en danger. »Orphilas marqua une pause puis ajouta : « Et quelque chose me dit que toute cette affaire est bien plus qu'une histoire de rapine, j'aimerais beaucoup pouvoir interroger Tsuto avant de le livrer à la justice. Je pense que votre présence simplifiera les choses, vous semblez plus apte à l'intimider que je ne le pourrais moi-même »
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La belle elfe était restée avec Améiko, la magicienne essayait de la rassurer. « Madame Améiko, nous devrions peut-être rejoindre ces messieurs avant qu’ils ne s’inquiètent, mais si vous ne voulez pas voir votre frère nous pouvons rester ici. Rassurez-vous il ne vous fera plus aucun mal. Si vous avez besoin de parler, je serais a votre écoute. Mais je dois vous avouer que je souhaiterais savoir tout ce que signifie toute cette histoire. Mais reposez-vous. Vous nous raconterez tout ça quand vous vous sentirez prête. »La jolie elfe regarda ses haillons, Que doit penser Dame Améiko en me voyant ainsi habillée ? Et mon chevalier ? La première chose que je ferais en rentrant à l’auberge et de brûler ce qui reste de cette robe ; je rêve d’un bon bain chaud, d’un bon lit et de me blottir dans les bras de Méliandre. L’ensorceleuse c’était avancée vers la porte : « Voulez-vous que je vous aide à marcher ? »Modifié par un modérateur jeudi 1 mars 2012 22:21:20(UTC)
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Avélin rangea arme et bouclier. Il regarda Orphilas prodiguer ses soins magiques, attentif et inquiet. Au premier signe de rétablissement, il poussa un soupir de soulagement. « Ouf ! Ca a l’air d’aller mieux… » Heureusement qu’Orphilas a de la ressource.Le conflit n’était pas tout à fait fini, il fallait encore s’occuper des prisonniers. « Une corde ? Oui, j’ai ça. » Répondit-il. Il se dirigea alors vers Tsuto tout en sortant sa corde. Il le fouilla sommairement afin de voir si il avait une arme ou un outils de type couteau, dague ou autre ; si il avait la rançon sur lui aussi. Il entreprit alors de lui les mains derrière le dos, et les bras aux flans. « Va falloir répondre de ce carnage mon gars. Tu va aussi nous expliquer pour le père Tobyn ... »
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« Ca va aller je crois... » Dis Ameiko en se redressant et en se tordant de douleur en touchant son flanc. Elle devait avoir plusieurs côtes cassées. Elle s'appuya sur Qualindra pour sortir de la pièce. En entendant les aventuriers le tenancière de Dragon rouillé confirma ce que certains pensaient; elle était secoué de tout ce qui lui arrivait et la trahison de son frère : « Oui il n'est plus question de rapines mon frère est devenu complètement fou, il veut se venger des habitants de Poinsable auprès desquels il n'a jamais été accepté , il a aussi parlé de tuer notre père et de la façon dont il l'a manipulé pour arriver à ses fins et permettre aux gobelins d'attaquer la ville... Mais il n'es pas seul... Il y a une bande mercenaires avec lui, elle est dirigée par une certaine Nualia... Ce nom me dit quelque chose mais je ne me souviens plus... Lui et les autres manigancent depuis Pic chardon d'après ce que j'ai compris. Je vous raconterai tout en détail, mais il faut vite prévenir mon père qu'on risque de s'en prendre à lui ! »Avélin s'employa à désarmer Tsuto et à le ficeler solidement. Il le fouilla rapidement, pour voir s'il ne cachait pas un petit couteau dans une poche ou la tige d'une botte. Le nain avait l’œil pour repérer tout ce qui avait de la valeur, il remarqua de suite les boucle d'oreille en argent, assez grosse pour valoir une demi-bourse en monnaie. Il y avait aussi une chevalière en argent ornée d'un dragon sans ailes. Il tenait serré dans sa main droite sa bourse, elle devait à vu de nez contenir une dizaine de pièces et quelque chose qui ressemblait à une fiole. Il n'avait pas d'armes hormis un carquois de flèches dont le nain le délesta l'arc devait traîner non loin, il trouva en plus dans les poches intérieure de son mantel, une jolie petite flûte finement ouvragée, des outils de crochetage en veux-tu en voilà et un calepin relié d'une couverture en cuir. Modifié par un utilisateur lundi 5 mars 2012 11:35:35(UTC)
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Méliandre arriva au moment où Ameiko et Qualindra allaient sortir. « Laissez moi vous aider... » dit le chevalier en posant la main de la tiannaise sur son épaule. Il saisit la tenancière par la taille pour l'aider à avancer sans oublier d'adresser un regard à sa compagne pour lui faire comprendre qu'il n'y avait là rien de sexuel. « On va vous ramener au Dragon Rouillé. Vous avez besoin de repos. »
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La jeune elfe laissa son chevalier s’occuper d’Améiko, au regard de son chevalier, la belle elfe répondit par un petit sourire. L’ensorceleuse n’avait qu’une seule envie, sortir de cette usine au plus vite. La douce elfe ne put s’empêcher de regarder encore une fois le demi-elfe mais sans méchanceté, elle se demandai seulement pourquoi il haïssait les habitants de la ville. Qualindra détourna son regard pour le reposer sur son fiancé et sur la tenancière. Il me soulage un peu de prendre Améiko. Merci mon amour. Ça ne doit pas lui déplaire de la tenir tout contre lui, si je n‘avais pas confiance en lui, je pourrais être jalouse. Pensa la jeune femme avec un petit rire. Elle était sûre de l’amour que lui portait le jeune noble. La jolie elfe demanda à ses compagnons à voix basse : « Comment pouvons-nous avertir Dame Améiko, comment pouvons-nous lui dire que son papa n’est plus de ce monde ? Elle est déjà si bouleversée. »La jeune elfe était complètement épuisée plus mentalement que physiquement grâce aux bons soins du prêtre, ce qu’elle venait de voir et de vivre tournaient sans cesse dans sa tête, elle en souffrait. « Messieurs, je vais suivre Méliandre et Améiko si vous n’avez plus besoin de moi, je supporte de moins en moins cet endroit, veuillez m’excuser. Merci. » Pourvu qu’elle ne voit pas son papa en passant.Modifié par un utilisateur lundi 23 juillet 2012 21:19:29(UTC)
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Bido laissa les autres s'occuper de Dame Ameiko, il ne savait pas comment lui annonçait la mort de son père et ne comprenait toujours pas comment une personne pouvait faire cela par vengeance, qu'avait-il pu se passer pour qu'il en arrive là. Quand il fut sur que tout allait bien, il prit la décision de fouiller la verrerie de fond en comble, peut-être avait ils laissaient des indices qui pourrait leur en apprendre encore plus. il regarda le groupe et s'adressa plus particulièrement à Oprhilas et Avélin. « Je pense que je vais fouiller cet endroit de sol au plafond ! Quelqu'un veut-il me donner un coup de main ? Nous irons plus vite à plusieurs ! »D'ici que nous ayons fini ! Dame Ameiko aura surement récupéré et surtout elle sera au courant pour son père ! Il attendit de savoir si quelqu'un l'accompagnerait avant de commencer ses recherches. Mais une dernière chose lui vint à l'esprit. « Va falloir prévenir Ciguë et le maire ! Non ? »Alors pour la fouille du bâtiment je prends tout mon temps et je fais un "20" si c'est possible, si c'est non je fais un "10" et si c'est encore non je fais un lancé dé. Je fais le lancé de dé maintenant comme cela tu pourras passé ce passage en avance rapide.- Perception : 1d20+7 donne [8] + 7 = 15
Modifié par un modérateur lundi 5 mars 2012 10:47:36(UTC)
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Bido ne savait pas trop quoi rechercher donc il fouillerait tout ce qui aurait put être approché par Tsuto ou l'un des gobelins qui l'accompagnaient. Il n'y avait vraisemblablement plus de danger et donc une fois passée l'adrénaline du combat le halfelin put se mettre sérieusement à l'ouvrage. Il ramassa l'arc du demi-elfe. Beaucoup trop grand pour lui mais il était de qualité, il ne servait à rien de le laisser ici. Avec l'aide d'Avélin il ouvrit la dernière porte de la cave entrouverte d'où était sorti leur adversaire principal. Il y avait une paillasse sur un lit de camps, une odeur de vinasse flottait dans l'air, une bouteille de vin avait roulé sous la couche. Hormis cela sur un bureau rudimentaire se trouvait une petite quinzaine de sacoches. Le bureau ne révéla rien, il ne possédait pas de tiroir, les sacoches contenaient de la poudre certaines d'argent et d'autres d'or. Il y en avait pour une petite petite fortune pour les gens du commun et de quoi nourrir et loger un aventurier comme Bido pendant des mois. Avélin laissa Cornio renifler le lit, celui-ci commença à suivre une piste sous l’œil attentif de son maître. Bien vite il retourna dans le couloir puis vers le sombre tunnel qui s'enfonçait vers une destination inconnue. Il paraissait évident que la porte qui avait été négligemment posée sur le passage était régulièrement emprunté par Tsuto. Avec sa vision nocturne le nain compris que le passage était assez long et s'enfonçait profondément dans le calcaire de la falaise... « Je ne sais pas où ça mène mais nos ennemis ont emprunté ce passage récemment. »Modifié par un utilisateur mercredi 14 mars 2012 06:41:47(UTC)
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Méliandre et Qualindra étaient partis avec Ameiko, Bido et Avélin fouillaient l'endroit. Orphilas avait été laissé seul avec Tsuto, ligoté, luttant contre son plus cher désir. Ma seule envie est de t'embrocher ici et maintenant.Il vérifia les liens du demi-elfe, l'adossa en position assise au mur le plus proche, dégaina son épée et appuya la pointe de la lame sur la gorge jusqu'à sentir la résistance de la peau. Il suffirait que je m'appuie sur le pommeau. Juste un coup sec.Il se reprit et déclencha une canalisation, pour faire reprendre ses esprits à Tsuto. « Pas de geste brusque. Tu ne veux pas tester la résistance de ta gorge face à mon épée. J'ai quelques questions à te poser, et si tu y réponds, tu vivras, sans que nous ne te fassions le moindre mal. Iomédaé m'en soit témoin. »Tu vivras le temps de te livrer à la justice de la ville, salopard. Mais nous, nous ne ferons rien. « J'aimerais savoir ce que tu faisais ici, pourquoi tu as envoyé tes gobelins dans la ville. Pour qui tu travailles ? D'où vient cet étrange gobelin démoniaque qui a tué mo... » ...n père « le prêtre. Pourquoi avoir mis à mort ton propre père ? Pourquoi avoir profané la tombe du père Tobyn ? Pourquoi avoir roué de coup ta sœur ? »Les yeux du jeune homme étaient devenus plus sombres qu'il n'avaient jamais été. Un regard glacé, le regard de quelqu'un qui a perdu toute innocence, et prêt à mettre toute menace proférée à exécution, sans hésitation ni remords. fais moi ce plaisir, résiste !- canalisation (s'il est possible de limiter la puissance, je le fais pour ne soigner qu'à minima) : 1d6 donne [1] = 1
Modifié par un modérateur mardi 6 mars 2012 08:30:21(UTC)
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Bido regarda d'un air interrogateur le nain. « Que faisons-nous ? Nous allons voir ou nous retournons chercher les autres ? »le pauvre Halfelin était tiraillé entre l'envie de visiter cet endroit au cas ou il y aurait de belle chose à trouver et la peur d'y trouver d'autre gobelin. Il faudrait peut-être prévenir la ville de ces catacombes, il faudrait aussi les visiter pour s'assurer que des gobelins ne s'y cacher pas en attendant le bon moment pour en sortir et attaquer la ville. En attendant la réponse du nain l'Halfelin essayer de voir s'il n'avait rien d'autre aux alentours de l'entrée, comme des traces qui pourrait dire combien de personne étaient rentrés à l’intérieur. - Perception : 1d20+7 donne [16] + 7 = 23
Modifié par un modérateur mercredi 7 mars 2012 10:28:26(UTC)
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Il était difficile à dire combien de personnes avaient pu passer par là. Certainement beaucoup ces derniers temps dont beaucoup de gobelins. On pouvait penser que le passage descendait vers le bas de la falaise et qu'il datait depuis un moment déjà, il y avait peut-être même un véritable réseau de grottes et de tunnels creusés avant même l'arrivée des premiers colons à Pointesable. En tout cas Lonjiku le père d'Ameiko avait repéré ces passages et c'était aménagé une voie. Pourquoi ? Cela restait un mystère pour le moment mais Orphilas derrière s'apprêtait à interroger Tsuto, il saurait certainement en dire plus à ce sujet. Avélin était lui visiblement remonté pour fouiller l'étage avec son chien. Canaliser l'énergie était quelque chose d'aléatoirement compliqué à réaliser, il était impossible d'en limiter la portée ou même de savoir à l'avance l'efficacité de l'énergie divine que le prêtre allait réussir à rassembler. Cela dépendait du lieu et de la conviction de celui qui y avait recours. Orphilas avait pris beaucoup de précautions toutefois et si le demi-elfe se montrait plus vigoureux qu'il ne le voulait, il lui ferait passer l'envie de s'enfuir au moindre geste suspect. « Iomédaé... la déesse de la justice... ha, ha, ha ! Tu ne me laisseras pas partir prêtre si je réponds à tes questions... Je suis trop dangereux pour que tu me laisses ma liberté. Pourquoi je devrais te parler et risquer que notre plan soit un échec ! Tu ne me tueras pas non plus, tes principes te l'interdisent ! Je ne te dirais rien du tout... »Modifié par un utilisateur mercredi 14 mars 2012 06:43:45(UTC)
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Bido décida de remonter au prêt du prêtre, qui était resté avec Tsuto pour essayer de le faire parler. Arrivé sur place il comprit qu'Orphilas n'intimidait pas le demi-elfe. « Lui ne peut peut-être pas le faire, mais moi je ne me gênerais pas. Je ne suis pas un meurtrier de base, mais pour un homme de ton genre, je peux faire une exception. »L'Halfelin s'approcha du frère d'Ameiko et sorti sa dague, il l'approcha de sa gorge et ajouta. « Mais tu sais en prison tu peux toujours essayer de racheter et de sauver l’honneur de ta famille. Mort tu ne pourras plus rien faire et de plus avec ce que tu à fait je ne suis pas sur que tu es le droit au repos mérité. »Bido espérait que ceci suffirait à lui faire dire quelque chose, car il ne se voyait pas tuer cet homme même s'il le méritait grandement. - Intimidation : 1d20-1 donne [8] - 1 = 7
 Modifié par un modérateur lundi 12 mars 2012 06:53:48(UTC)
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Alors qu'il entendait les deux autres revenir, Orphilas se pencha vers Tsuto, l'épée toujours en appui sur sa gorge, et lui murmura à l'oreille, de sa voix la plus noire. « tu as causé la mort d'êtres chers, es-tu sûr de vouloir me provoquer ? » Puis, regardant les jambes de son adversaire, il ajouta « J'ai promis de te laisser vivre, je n'ai pas promis de te laisser vivre debout. Parles, et tu marcheras. Ce n'est pas le prêtre qui te parles ici, c'est l'homme que tu as endeuillé. »C'était un bluff, fait pour faire craquer le demi-elfe. Mais plus il prononçait ces phrases, plus il se sentait prêt à mettre ses menaces à exécution, à un point tel qui s'en effraya. Tu vaux mieux que ça ! Mais sa pensée sonna creux. L'arrivée de Bido le ramena à une forme de réalité. Le halfelin avait un trop bon fond pour tuer un homme de sang froid. Un bon modèle à suivre. - Bluff (ou intimidation, c'est le même score) : 1d20 donne [15] = 15
Modifié par un modérateur lundi 12 mars 2012 18:01:26(UTC)
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Avélin scrutait la galerie de se passage caché. Il réfléchissait : Ca mène probablement à l'extérieur de la ville...Peut-être y a-t-il tout un réseau de galeries ; et qui mène au cimetière aussi par exemple... il va falloir qu'on explore dès qu'on aura repris des forces.Puis il se ressaisit et quitta ses pensées. Il s'adressa à son chien : « Pour l'heure, allons vérifier qu'il ne reste plus personne à l'étage, de menacé ou menaçant ! Allez mon Cornio, cherche ! Cherche des gobelins ! »Le druide suivi son chien à l'étage, et ils cherchèrent ensemble d'improbables survivants. Une fois le tour fait, il alla rejoindre Orphilas qui était resté avec le prisonnier, peut-être sera-t-il plus utile. Modifié par un modérateur dimanche 18 mars 2012 09:11:25(UTC)
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« Ah, ah, ah, ah.. ». Tsuto était faible, mais les menaces des deux compagnons, le faisait rire. Ses yeux étaient fous, et il regardait tour à tour chacun de ceux qui étaient là. Il appuya sa gorge sur l'épée pour leur prouver qu'il ne craignait pas la mort. « Allez-y tuez moi si vous n'avez pas peur d'être jugé par vos dieux pour cela. Vous n'apprendrez rien de moi et même si c'était possible, notre plan est en marche et personne ne pourra arrêter celle qui a entendu parler Mashaag. Vous mourrez tous bientôt ! »
Il était évident que Bido et Orhilas n'obtiendraient rien par intimidation, le demi-elfe en avait vu d'autres et les deux compagnons étaient loin d'être rompu à cette exercice. Il leur fallait ruser plus que cela ou trouver un autre moyen de l'atteindre. En attendant ils devaient décider de ce qu'ils allaient faire de l'homme étendu à leurs pieds. | |
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Le jeune prêtre se tourna vers son ami halfelin. « Nous n'obtiendrons rien de lui. Autant le livrer immédiatement à Bélor » Alors qu'il attendait la réponse de Bido, il ressassa les paroles de Tsuto. Il a dit "celle qui a entendu parler Mashaag." Une femme dirige donc tout ça. Nualia avait dit Ameiko.Il eut une pensée par la pauvre Ameiko, qui venait en une nuit de perdre son père et de voir son frère devenu fou la faire battre par ses gobelins et... battre, pas tuer. Et il a dit "vous mourrez tous bientôt"...« Nous mourrons tous bientôt, tu crois ? Même ta sœur ? Ta sœur que tu aimes au point de l'avoir fait venir ici et d'essayer de la convertir à ta folie ? Ta sœur que, lorsqu'elle a refusé de te suivre, tu as fait battre au lieu de l'assassiner brutalement comme tu l'as fait de ton père ? » Se retournant, il prépara sa dernière flèche verbale, espérant qu'elle ferait mouche : « N'as-tu pas remarqué que le chevalier qui t'as abattu n'est plus là ? Il est reparti, et, connaissant sa fougue, il ne serait pas étonnant qu'il prépare déjà un raid contre ta chère Nualia, "celle qui bientôt n'entendra plus parler ni Mashaag ni personne." »- Connaissance Religion (ai-je la moindre chance de savoir quelque chose sur ce Mashaag ?) : 1d20 donne [6] = 6
Modifié par un modérateur mercredi 14 mars 2012 16:01:31(UTC)
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« Tu parles trop prêtre tu verras bien ! Bientôt ce ne sera plus de misérables gobelins que Nualia enverra... ce sera tout ce que tu n'as jamais osé imaginé comme horreurs même dans tes pires cauchemars tous les êtres pitoyables seront alors souillés par sa marque, tous devront s'agenouiller devant elle ou mourir dans les pires souffrances... Ameiko... Je pensais qu'elle comprendrait, elle est passée par les mêmes épreuves que moi. Mais je me suis trompé ! Comment pouvait-elle encore laisser vivre ce père qui nous battait et qui a tué notre mère !!! Que son âme soit tourmenté à jamais ! Quand à Ameiko tant pis pour elle si je ne peux la rallier elle sera sacrifiée à Lamashtu... »
La haine avait empli le visage de Tsuto alors qu'il répondait à Orphilas. Le paroxysme avait été atteint lorsqu'il avait damné par ses mots son défunt père. Il était évident que cette famille n'avait pas été heureuse sous l'égide de ce père qui faisait office de tyran pour le parricide. | |
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