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Le lendemain tous se levèrent avec le sentiment qu’encore une fois cette journée ne serait pas comme les autres. Était-ce parce que l’odeur du petit déjeuner ne vînt pas chatouiller leurs narines, la bonne odeur du pain qui faisait office de réveil naturel pour ceux qui n’avaient pas l’obligation de se lever avant l’aube. Pas non plus d’odeur de lait chaud, de lard grillé ou de saucisse fumé. Ni des épices Xianaises qui avaient fait la réputation du Dragon rouillé et de sa propriétaire Ameiko. Cela voulait sans doute dire que la descendante de la famille Kajitsu n’avait pas préparé le petit-déjeuner. Chose étrange car Béthana qui s’occupait de la salle jusque tard dans la nuit ne semblait pas avoir pris le relais et profitait d’un sommeil réparateur. Les quelques aventuriers qui se rassemblèrent dans la salle commune furent donc bien dépourvu. D’autant que deux ou trois autres clients devant la porte se demandait pourquoi cet établissement était fermé, alors qu’ils y voyaient des gens bouger à l’intérieur. Effectivement quelque chose n’allait pas ici et c’était à l’endroit même où ils avaient passé la nuit. Les problèmes qui touchaient les habitants de Pointesable semblait ne pas vouloir les lâcher. Était-ce là le destin que Desna avait choisi pour eux, à moins que ce fut Besmara qui éprouvait un malin plaisir à se jouer d’eux. La jolie Qualindra se réveilla une deuxième fois, mais là, elle réveilla tendrement Méliandre. « Mon coeur, réveille toi. Merci de t‘être si bien occupé de moi hier soir et grâce à ta présence j‘ai fais de beaux rêves cette nuit. »Dit la belle elfe avec une voix toute douce. L ’ensorceleuse embrassa longuement son chevalier, lorsque le jeune homme ouvrit les yeux, la magicienne continua : « Mon amour, il y a quelque chose de pas normal, je ne sens pas l’odeur du petit déjeuné comme d’habitude, je me demande ce qui se passe, nous devrions descendre pour nous renseigner mon ange. ». Tout en parlant la jeune elfe c’était levée et s’aspergeait le corps et le visage avec de l’eau et du savon. La douce elfe regarda ses robes. « Sommes-nous encore en deuil ? Je ne sais pas comment ça marche chez les humains. »Modifié par un modérateur samedi 2 février 2013 08:49:00(UTC)
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Méliandre roula sur le dos en poussant un petit grognement avant d'enlacer Qualindra. « Bonjour mon ange... » dit-il d'une voix encore endormie avant de lui rendre son baiser. Le chevalier resta un instant allongé alors que la belle elfe se levait. « Tu as raison... C'est assez inhabituel... » finit-il par lâcher. Méliandre se redressa alors et eu un sourire en voyant la magicienne en train de faire sa toilette. Il eu envie de la rejoindre et de caresser son corps nu mais la question de 'Lindra le ramena sur terre. « Il n'y a pas vraiment de règles... Chacun porte le deuil le temps qui lui est nécessaire... » Il termina sa phrase alors qu'il sautait à bas du lit, s'apprêtant à son tour à faire sa toilette. Modifié par un modérateur jeudi 13 octobre 2011 04:38:08(UTC)
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La belle elfe tira de son sac une robe beige très clair encore emballée. « Je vais mettre cette robe ni blanche ni noire, c’est un cadeau de fiançailles de mes parents. Tu as bien dormis mon ange ? »L ’ensorceleuse avait lavé ses longs cheveux, elle se fit une queue de cheval très haute et fit une tresse. Ils sécheront plus vite.La magicienne se tourna vers le chevalier : « Tu seras bientôt prêt mon amour ? »Demanda la douce elfe en l'embrassant et lui souriant. ça tombe a l’eau pour notre petit déjeuner au lit et pour le bain. Je me demande ce qui se passe ? « J’espère qu’il n’y rien de grave, ce n’est pas normal que l’auberge soit si silencieuse et qu’on ne sente rien, je suis un peu inquiète mon cœur. J’ai la preuve qu’Améiko était là hier soir , regarde elle a apporté ma tasse d’infusion, à mon avis je devais déjà dormir lorsqu’elle est venue. Comment allait Orphilas quand tu es parti de chez lui hier ? » La jeune elfe prit la tasse et se dirigea vers la porte en attendant Méliandre. Modifié par un modérateur jeudi 13 octobre 2011 04:38:47(UTC)
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« Très bien dormi, chérie... Je dors bien quand je suis à tes côtés... » répondit le jeune homme avec un sourire avant de reprendre ses ablutions. Méliandre admira Qualindra dans le miroir alors qu'elle s'habillait. « Nous allons descendre et nous verrons bien, 'Lindra... »« Quant à Orphilas, il est en colère et il tiendra à venger son père... » Prenant son rasoir, le chevalier entreprit de se rafraichir, coupant la fine épaisseur de poils blonds et durs qui avaient poussé depuis la veille. L'espace d'un instant, il se demanda ce que Qualindra pensait de cela. Les elfes qu'il avait vu était tous imberbes et pour la belle ensorceleuse cela était sans doute une nouveauté... « Tu me préfères comment, 'Lindra ?? Rasé de près ou avec une barbe de deux jours ?? » finit-il par demander avant de se rincer le visage à l'eau fraiche. Modifié par un modérateur jeudi 13 octobre 2011 04:39:21(UTC)
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Bido comprit que quelque chose clochait quand il arriva en bas, après quelques secondes d'attente et voyant les client arriver devant la porte il approcha de la porte et parla. « Attendez je vais chercher la patronne, elle a du se rendormir ! Je reviens ! »Il courut comme à son habitude dans la direction de la chambre de Béthana et d'Ameiko. « Dame Ameiko ! Dame Béthana ! Vous avez oublié de cous lever ! Y a des clients qui attende devant la porte ! Dame Ameiko ! Dame Béthana. »Il parler très fort pour être sur de réveiller les deux marmottes même si ses pensées voyaient cela comme une mauvaise journée qui commençait. C'est la première fois que Dame Ameiko oublie de se lever ! J'espère que .... Il interrompit sa pensée de peur qu'elle ne se réalise et cria plus fort et courut plus vite vers les chambre de la propriétaire et de la serveuse. Modifié par un modérateur jeudi 13 octobre 2011 04:41:42(UTC)
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« Je veux bien te croire et je trouve ça normal qu’Orphilas veuille venger son père, je souhaite qu’avec le temps il ira mieux, mais il n’oubliera jamais, on n’oublie pas nos êtres chers qui sont paries. Je sais que tu penses à ta maman mon amour et moi je pense a des personnes de ma famille, les elfes ne sont pas immortels. » L ’ensorceleuse avait parlé doucement et avec un regard plein de tendresse et d’amour. La magicienne enlaça le jeune homme et le serra contre elle, ils se réconfortaient mutuellement. Enfin la belle elfe fit quelques pas en arrière « Il n’y a pas à dire mon ange, je te préfère rasé de prêt. Mais si tu ne veux pas te raser tout les matins, ne la laisse pas pousser plus de deux jours. »Qualindra ferma la porte et prit son chevalier par la main et le couple commença a descendre vers la salle, c’était trop calme. La douce elfe serrait de plus en plus la main su chevalier au fur et à mesure qu’ils descendaient les marches. « J’ai un mauvais pressentiment. C'est Monsieur Bido qui parle si fort ? »avait chuchoté la jolie elfe Modifié par un modérateur jeudi 13 octobre 2011 04:42:20(UTC)
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Le chevalier embrassa la belle en souriant. « D'accord mon ange... Pas de barbe ! »Méliandre commença ensuite à s'habiller. « Je préfère être rasé de frais, moi aussi... Mais vu que les elfes n'ont pas de barbe, je me demandais si cela te plaisait ou non... Une sorte de goût pour l'exotisme... » expliqua-t-il avec le sourire alors qu'il enfilait une chemise écarlate. Il reboutonna par dessus son pourpoint noir et, enfin prêt, pris finalement la main de Qualindra dans la sienne. Alors qu'ils descendaient les escaliers des appels retentirent. « Effectivement... On dirait que c'est Bido... »Modifié par un modérateur jeudi 13 octobre 2011 04:42:48(UTC)
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Orphilas entra au Dragon Rouillé de bonne heure. Il avait mieux dormi cette nuit, même si son sommeil était encore habité de cauchemars où il revivait sans cesse la mort de son père, tantôt comme un spectateur impuissant, tantôt en se voyant par les yeux de son propre géniteur. C'est après un énième de ces rêves qu'il se réveilla en sueur et, voyant le soleil levé, décida de se préparer et d'aller retrouver ses compagnons au Dragon Rouillé. Sa rage n'était pas retombée, mais les gestes plus routiniers de la veille l'avaient repoussée, enfouie au fond de son esprit. Il s'était levé trop tôt manifestement, tant l'auberge semblait déserte quand il y entra. Pendant un instant, perdu dans le silence de la salle vide, il se demanda s'il n'était tout simplement en train de vivre un nouveau rêve. Une voix le fit revenir à la réalité. Il cru bien identifier celle de Bido, mais ce qu'il disait était étrange. Ameiko, oublier de se lever ? Allons bon, le Dragon Rouillé était toute sa vie et la Xianaise était tous les matins debout sur le pont, prête et avenante. Il se dirigea dans la direction de la voix de l'halfelin. Modifié par un modérateur jeudi 13 octobre 2011 04:43:08(UTC)
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Avélin arriva le dernier dans le salon de l'auberge. Il saluât ses compagnons d'un v ague geste de la main et d'un bonjour marmonné, encore un peu embrumé. Puis il remarqua l'absence de serveuse et de tenancière et surtout l'absence de bonne odeur de nourriture. « Améiko s'est absenté s'en avoir cru bon de nous alerter ou nous de demander quoi que soit, ca ne doit pas être bien grave alors. Peut-être est-elle simplement partie s'approvisionner en prévoyance des renforts qui arrivent... »Il fit signe à Cornio de rester assis et se dirigea seul vers les cuisines, peut-être a-t-elle laissé quelque chose à notre intention...
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Le couple était arrivée main dans la main dans la grande salle, la porte d’entrée était fermée, et les chaises toujours sur les tables, la belle elfe aperçut ses compagnons. « Mon amour, cette atmosphère ne me rassure pas, Donne moi du courage mon ange, embrasse moi.
Bonjour Messieurs. Comment allez-vous Monsieur Orphilas ? »Demanda la jeune elfe avec une voix très douce et apaisante. Puis s’adressant à tout le monde, « Savez-vous pourquoi il n’y a personne ? Et pourquoi rien n'est préparé ? Nous avons entendu Monsieur Bido appeler Améiko et Béthana et nous avons vu Monsieur Avélin se diriger vers la cuisine, si je peux aider. Je vais voir si je peux faire quelque chose pour le petit déjeuner, ce ne sera pas aussi bon que si c’était Améiko qui le faisait, »la belle elfe envoya un clin d’oeil complice au chevalier. « mais je ferais de mon mieux en attendant Béthana et Améiko, j‘espère qu‘elles ne sont pas malades. Pourriez nous préparer une table ? S‘il vous plaît. » « Je t'aime ». L ’ensorceleuse embrassa son cavalier. La magicienne qui avait toujours sa tasse dans la main alla rejoindre le druide . « Bonjour Monsieur et bonjour Cornio. Avons-nous de quoi faire un petit déjeuner pour nous et pour votre chien en attendant Améiko et Béthana ? Que fait Monsieur Bido ? » La douce elfe ne le montrait pas mais elle était inquiète et elle avait un peu peur, bien que la présences de tout le monde la rassurait. Modifié par un utilisateur samedi 21 juillet 2012 11:16:10(UTC)
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Méliandre ne se fit pas prier et embrassa tendrement sa belle. Il adressa un sourire à Qualindra quand elle parle de préparer le petit déjeuner mais revint vite sérieux. « L'un d'entre vous a-t-il vu l'amie d'Ameiko ?? Shalélu c'est ça ? Elle sait peut-être ce qui s'est passé... »
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Béthana sortit en trombe de sa chambre rapidement habillée et un peu surprise des appels de Bido qui avait tambouriné à sa porte avant de monter au second étage vers les appartements d'Ameiko. Les clients n'avait pas préféré suivre Orphilas qui était entré une fois la porte ouverte, sans doute allaient-ils se rabattre sur une autre auberge. Ce qui faisait perdre un groupe de rares clients au Dragon rouillé.
Dans les cuisines Qualindra et Avélin se rendirent compte qu'effectivement rien avait été préparé et que le feu de l'âtre était complètement éteint. S'occuper à refaire du feu était donc la première chose à faire. La théorie d'Avélin qui consistait à dire que la tenancière était sortie chercher de quoi préparer le petit déjeuner se tenait certainement même si les ceux qui avaient passé plusieurs jours dans l'établissement savaient que la jeune femme préférait se faire livrer même en viennoiseries.
Dans la salle commune Béthana confirma que cela n'était pas normal : « Ameiko m'aurait prévenu s'il y avait quelque chose à faire pour le matin et si elle devait sortir. Il y a un problème j'en suis certaine j'espère qu'il ne lui ai pas arrivé la même... » L'halfelin s'arrêta de parler en voyant Orphilas mais on devinait facilement ce qu'elle allait dire.
Elle grimpa à son tour les escaliers pour rejoindre Bido qui tapait à la porte de la chambre d'Ameiko. Elle vérifia que la porte était fermée à clef, puis avec la sienne qui faisait office de passe et qu'elle gardait en permanence autour de son cou. Elle ouvrit... Le lit n'était pas défait, il n'y avait pas de trace d'Ameiko ici. La xianaise ne devait pas être au Dragon rouillé, mais sans avoir prévenu Béthana sa disparition devenait étrange. | |
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De la cuisine on pouvait entendre tout ce qui se passait dans la salle, tout au moins Qualindra arrivait à bien entendre. La belle elfe devait s’occuper pour rester calme, elle entreprit d’ouvrir tout les placards pour trouver quoi faire a manger. « Monsieur Avélin pouvez-vous refaire du feu, je vous prie, merci. Et je vais chercher quelque chose à te faire rogner mon beau Cornio. » dit la jolie elfe en commençants a sortir les bols, les assiettes les couverts et les verres. Que vais-je pouvoir faire ? L ’ensorceleuse demanda a ceux qui étaient toujours en bas si ça dérangeait qu’elle fasse la même chose pour tous. « Je vous propose du thé ou du café, du pain, du beurre et de la confiture ainsi qu’un verre de jus de fruits, ça vous va ? Béthana pourra peut-être vous proposer autre chose. »La douce elfe fit un sourire a son chevalier et retourna en cuisine. Modifié par un modérateur vendredi 14 octobre 2011 07:05:19(UTC)
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« Ce sera parfait mon amour... » dit Méliandre en lui rendant son sourire. Quand Qualindra reparti, le chevalier se tourna vers Orphilas. « Shalélu a dit qu'elle allait partir pour le Bois aux Orties. Vous qui êtes d'ici, vous savez où ça se trouve ?? Mais vous connaissez peut-être cette elfe et vous savez peut-être où est-ce qu'elle loge quand elle est ici ? »Méliandre demanda ensuite à Bido : « Vous n'avez rien trouvé dans la chambre d'Ameiko ?? Elle a pris des affaires ?? Elle a laissé un message ?? »Tout cela lui ne disait rien qui vaille... Modifié par un modérateur vendredi 14 octobre 2011 07:06:37(UTC)
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Après avoir constaté la tristesse de la cuisine, Avélin revint au salon déçu. Il ne souhaita pas répondre tout de suite à la proposition de Qualindra, espérant encore que des plats plus consistants à base de terrines et pâtés plutôt que beurre et confitures, seraient servis. Il fit donc celui qui n'avait rien entendu. EN entendant la remarque de la serveuse il pensa : Houla. Si Béthana n'est pas au courant, alors c'est plus inquiétant.. En la regardant monter les escaliers il lança « Ça lui arrive souvent de partir sans prévenir ? Dans des circonstances pareilles ? »Puis attiré par les questions posées par Méliandre, il se rapprocha de lui et Orphilas, interressé par la discussion. Modifié par un utilisateur vendredi 14 octobre 2011 19:12:15(UTC)
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Voyant qu’Avélin avait fait celui qui n’avait rien entendu la belle elfe se mit à faire du feu. Elle mit une grande plaque de métal et sur cette plaque, la jeune elfe fit chauffer une théière et une cafetière. La douce elfe apporta un plateau avec six assiettes, six tasses, six verres remplis de jus d’orange, des couverts et pour Cornio un bon bol d’eau bien fraîche. « Voilà pour commencer Messieurs. Voulez que je fasse vos tartines ou préférez-vous que je vous apporte tout sur la table ? Si des personnes veulent d’autres choses il faudra voir avec Béthana. Je vais voir si le thé et le café sont prêt. Ne t’en fait pas Cornio je pense à toi aussi.
Je me demande si Bido et Béthana ont des nouvelles d’Améiko. »dit la jolie elfe en regardant l’escalier. L ’ensorceleuse embrassa son chevalier et alla regarder ou en était les boissons chaudes. Modifié par un modérateur samedi 15 octobre 2011 09:09:54(UTC)
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Le jeune acrobate fut étonné de voir la chambre vide et la tête de Béthana n'était pas un réconfort, il jeta un oeil dans la chambre pour voir si rien ne cloché dans la chambre, une chaise au sol ou un objet brisé qui aurait montré une lutte quelconque, ou alors un indice sur ce qui l'avait fait quitter sa chambre. « Cela vous gêne si j'inspecte la chambre ? » Avait il demandé à l'Hafeline. - Perception : 1d20+7 donne [6] + 7 = 13
Modifié par un modérateur samedi 15 octobre 2011 09:10:17(UTC)
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Dans les appartements d'AmeikoBido s’avança dans la chambre en précédent Béthana on ne savait pas s’il pouvait encore y avoir du danger . Comme il l’avait déjà remarqué le lit n’était pas défait. Une chose frappa tout de suite l’attention du halfelin. Un parchemin froissé se trouvait au pied du lit. C’était la seule chose ici qui ne soit pas rangé à sa place. Comme l’auberge la chambre d’Ameiko était un savant mélange de choses importées du Tian Xia et de la culture varisienne s’il en fut. Certain meubles étaient laqués de noir et de rouge. Les plantes séchées dans les vases n'étaient pas de la région et cadres et peintures étaient remplacées des esquisses sur des parchemins faites au fusain et décrivaient des personnages dans des robes xianaises. Le parchemin était la seule chose qui de prime abord semblait dénoter dans les appartements de la jeune femme. L'halfelin s'en saisit en commença à lire. Cite:Salut, petite sœur ! J’espère que cette lettre te trouve en bonne santé et que tu as un peu de temps libre, parce que j’ai un petit problème. C’est en rapport avec père. Il semble qu’il pourrait avoir quelque chose à voir avec les récents problèmes de gobelins à Pointesable, et je n’ai pas voulu simplement porter l’affaire devant les autorités : nous savons toi comme moi qu’il aurait simplement utilisé ses influences pour s’en sortir. Toi, par contre, tu es respectée en ville. Si tu peux me rencontrer à la verrerie ce soir , peut-être pourrons-nous trouver un moyen sûr pour qu’il reçoive la punition qu’il mérite. Frappe deux fois puis trois fois, puis encore une fois à la porte de service et je te laisserai entrer. Je suppose qu’il n’est pas nécessaire que je te précise ô combien il s’agit d’une affaire délicate. Si on venait à l’apprendre, tu sais bien que les idiots locaux croiront que toi et moi étions ses complices, n’est-ce pas ? Les imbéciles qui vivent par ici ne savent pas ce qu’est l’honneur. Je ne comprends toujours pas ce qui te pousse à rester dans le coin. Quoi qu’il en soit, ne parle de ceci à personne d’autre. Il y a d’autres complications, dont je préférerais te parler en personne ce soir. Ne sois pas en retard. Tsuto Modifié par un utilisateur dimanche 16 octobre 2011 13:41:27(UTC)
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Après avoir lu la lettre le visage de Bido devint grave, il regarda Béthana pour examiner sa réaction. « Vous saviez que dame Ameiko avait un frère ? Je crois l'avoir entendu parler de cela avec dame Shalélu mais je n'en suis pas sur ! »Sans attendre la réponse de l'Halfeline qui était un peu perturbé par ce qui ce passé, il se dirigea vers la salle principale tout en soutenant Béthana. Arrivé au rez-de-chaussée il appela tout le monde et montra le parchemin trouver et le lu, une fois terminer il s'adressa à tous. « Apparemment nous n'avions pas tord sur le fait que les Gobelin avaient eut une aide mais je n'aurais jamais pensé à quelqu'un du village. » Il s'adressa ensuite aux natif de Pointsalbe. « Vous saviez que Dame Ameiko avait un frère ? Et pensez vous vraiment que son père aurait aidé des Gobelins ? » Le jeune acrobate n'arrêtait plus avec ses questions. « Vous pensez qu'elle aurait quitté la ville ? » Il comprit qu'il fallait arrêté et attendre les réponses. | |
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Orphilas pris trente secondes pour rassembler ses pensées avant de répondre à Méliandre. « Je ne connais pas personnellement Shalélu, mais je pense qu'elle doit loger dans cette auberge lorsqu'elle passe en ville. Elle semble amie avec Ameiko après tout. Le Bois aux Orties est à l'ouest du bois aux Tiques où Aldern nous a convié à sa chasse. Il doit y avoir moins d'une demi-journée de marche en partant de Pointesable. »Les réflexions du jeunes prêtre furent interrompues par l'arrivée de Bido, étonnement inquiet, qui leur montra une lettre. « Ameiko parle peu de sa famille, je ne pense pas que beaucoup de monde ait su qu'elle a un frère. » et vu comment il considère les habitants de Pointesable, c'est bien mieux ainsi.« Mais le contenu de la lettre est étrange. Si son frère était en ville, pourquoi tout simplement ne pas être allé la voir ici, au Dragon Rouillé ? Pourquoi lui envoyer une lettre ? » Orphilas marqua une pause, le temps de remettre ses pensées en ordre. Son instinct lui hurlait au danger. Le contenu de la lettre était alarmant, le père d'Ameiko pourrait être mêlé à tout ça ? Vu le caractère affable et amical de la Xianaise, Orphilas se serait plutôt représenté ses parents comme des gens de bonne nature, mais parents et enfants sont parfois de caractère opposé... Au-delà du contenu de la lettre, quelque chose le tracassait, il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond dans cette histoire. « La verrerie est à l'est de la ville, elle surplombe la plage de Pointesable. » Puis, formulant à voix plus basse le fond de sa pensée « J'ai un mauvais pressentiment sur tout ça... »Modifié par un modérateur mercredi 19 octobre 2011 04:42:19(UTC)
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