« Khéosis, vous êtes bien courageux. Si vous voulez partir en éclaireur, cela ne me dérange pas. Mais personnellement, je n'en vois pas l'intérêt. Je pense même que nous avons plus intérêt à rester groupé en cas d'attaque. Nous sommes partis pour affronter une douzaine de créatures coupeuses de têtes. elles sont dans leur élément et tenter de les surprendre me parait improbable. Si une personne s'enfonce seule dans cette forêt inconnue, elle risque elle-même de se faire surprendre ou tout simplement de se perdre. Le groupe doit rester uni ... J'ai moi-même quelques talents de pisteur, mais il est hors de question que je parte seul en "avant-garde". Je connais mes capacités et, bien que je ne doute pas de votre capacité de combat, je ne serai pas rassuré si vous vous enfonciez seul dans cette verdure. Maintenant, vous êtes libre de vos mouvements Khéosis, et cela ne reste que mon opinion.  »


« Par contre, qu'allons nous faire de ces 2 mules, du chariot et de son contenu ? Quelqu'un a une idée ?  »
En disant ces derniers mots, Athanaël se retourna vers Tulduen, lui jetant un regard interrogateur.

Modifié par un utilisateur dimanche 21 juillet 2013 15:14:02(UTC)  | Raison: Non indiquée

Elarcil, sortant de ses pensées après des recherches infructueuses, rejoignit les autres personnes présentes. Il entendit le moine Khéosis répondre à Athanaël qu'il n'avait aucune intention de partir seul et qu'il fallait avancer. Il rejoignit son idée de laisser le chariot ici et de charger des vivres sur les mules, puis, se mêla à la discussion :
« Je suis d'accord, il nous faut avancer. Khéosis à, je pense, raison en proposant de laisser le chariot ici, et en parlant de se regrouper de façon à ne pas être surpris. Je proposerai de mettre les combattants à l'avant et à l'arrière, et les personnes aidées de la magie au centre, pour que chacun soit à une place avantageuse pour ses compétences.
Personnellement, je n'ai pas un bon savoir-faire en pistage, je suis donc d'accord avec votre proposition de passer devant, Khéosis. »

Modifié par un utilisateur lundi 22 juillet 2013 19:29:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

Tulduen avait un mauvais pressentiment. Peut-être allaient-ils à leur tour tomber dans une embuscade ?

Modifié par un utilisateur lundi 22 juillet 2013 23:01:47(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le voyage en plutôt bonne compagnie ne lui était pas désagréable, elle était contente qu'il n'y est pas de conflit, pour l'instant. Prudence étant mère de sureté elle était constamment sur ses gardes, peut-être un peu tendu aussi, ce qui n'aider pas vraiment, mais jamais elle n'avait était aussi proche du danger, ou aussi consciente.

Khéosis serre vigoureusement son bâton sur lequel il s'appuie habituellement et se met en position de combat en regardant les branchages.
Iori donne moi la force de surmonter cette épreuve. Puis-je me montrer digne de tes enseignements.

Hein ? des gobelins ? Elle aimerait penser que ce n'était qu'une rencontre aléatoire mes la décoration macabre laissait penser qu'ils avaient un lien avec l'assaut sur lequel ils enquêtaient. Bien sûr les gobelins pouvait avoir trouver les marchands morts et décapité, ou simplement décapité, puis les avoir trainer vers différents endroit pour une raison quelconque, et avoir planté leurs têtes réduites aux alentours à cause d'une plus ou moins étrange superstition. Eux aussi pouvait être choqué de par la violence faite aux corps. Enfin elle se rendait compte qu'elle n'avait pas étudier pour essayer de trouver l'heure du crime, c'était important, trop, mais elle l'avait oublié et rester donc avec ses doutes.

Pour l'heure il fallait traiter avec les gobelins. Moidor ne savait pas si certains compter discuter, c'était un bon moyen d'avoir des informations, ou s'ils allaient simplement attaquer à vu. Selon une théorie prouvée, il valait mieux sortir ses armes, les gobelins, même les plus courageux d'entre eux, parlait mieux menacé qu'autrement. La naine saisit ses deux épée et émit un petit grondement.

Tenant son bâton d'une main, l'autre main d'Athanaël sortit de son sac sa fronde et une belle bille d'acier. Faisant tournoyer le projectile à vitesse réduite, prêt à augmenter l'accélération au moindre acte d'hostilité, il lança :

« Hé, toi !!! c'est tes amis et toi qui avez massacré la caravane des marchands au nord-est d'ici ?
Tu veux qu'on t'aide à te débarrasser d'un ours ?  »

Si un acte belliqueux vient de leur part ou, si n'importe quel signe me permet de penser qu'ils vont attaquer, je balance la bille, soit en direction du gob qui a lancé l'attaque si il est à découvert, soit vers le téméraire sur le chemin si j'estime que mon tir vers un danger de la forêt est trop hasardeux.

Modifié par un utilisateur dimanche 15 septembre 2013 15:12:57(UTC)  | Raison: Non indiquée