La jeune elfe avait été sortie de l'eau et du danger immédiat. Les paroles d'Avélin résonnèrent dans son crâne, elles étaient pleine de bon sens. La retraite était la bonne option. Mais l'arme sacrée pouvait faire une diversion bienvenue ...

• Epée longue Spirituelle (bba + Sag) : 1d20+2+2 donne [16] + 2 + 2 = 20
• Dégâts de force éventuels : 1d8+1 donne [4] + 1 = 5

Modifié par un modérateur samedi 28 septembre 2013 07:43:39(UTC)  | Raison: Non indiquée

Avant de perdre connaissance, la jeune elfe avait juste vu Orphilas jeté un sort et sa dernière pensée fut pour son chevalier. Mon amour, accomplit notre projet..... Est-ce la fin pour moi ?

Modifié par un modérateur samedi 28 septembre 2013 07:44:27(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas changea ses plans initiaux pour suivre Avélin et le nain n'eut même pas le temps de reculer en portant Qualindra que le prêtre d'Iomédaé administra à l'elfe mourante et sans aucune hésitation l'un de ses plus puissant sort de soins, la cuisse de l'ensorceleuse qu'avait mâchouillé le bunyip se guérit en quelques secondes et bientôt il n'y parut plus rien sauf le sang visqueux sur les vêtements déchirés de l'elfe. Toujours en proie à cette panique indicible Qualindra se remit sur ses pieds cette fois sans risque et courut rejoindre les autres dans la semi-obscurité. Méliandre était dos au mur, les doigts crispés sur la paroi rocheuse, limité par sa vision il ne pouvait aller plus loin sans source lumineuse et c'était arrêté à cet endroit tout comme Cornio qui jappait de façon continue. Bido était lui adossé à un gros rocher, la terreur pouvait aussi se lire sur son visage.

Le bunyip grimpa sur la corniche révélant tout son corps qui effectivement étai semblable à celui d'un énorme phoque ou morse. Il s'avança vers Orphilas qui restait encore en retrait mais son énorme masse sur la terre ferme était difficile à mouvoir et il ne put pas mordre le prêtre.

Avec le groupe des apeurés la brume lancée par le nain les rendait maintenant quasi invisible ou en tout cas beaucoup plus difficile à atteindre pour le monstre marin.

Modifié par un utilisateur samedi 28 septembre 2013 17:15:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas frappa le monstre de sa propre épée longue puis retraita d'un pas pas de placement en E8 tenant en respect le monstre, et laissant à ces amis le temps de reprendre leurs esprits. L'épée de force continuait, elle, à faire son travail.

• Epée longue : 1d20+5 donne [18] + 5 = 23
• Dégâts éventuels : 1d8+2 donne [6] + 2 = 8
• Epée longue Spirituelle (bba + Sag) : 1d20+2+2 donne [17] + 2 + 2 = 21
• Dégâts de force éventuels : 1d8+1 donne [4] + 1 = 5

L'épée de force s'étiola après avoir porté son coup ...
si je ne me trompe pas c'est le 3ème round

Modifié par un modérateur dimanche 29 septembre 2013 07:44:07(UTC)  | Raison: Non indiquée

Voyant que ses baisers, ses paroles et ses caresses sur le visage et dans les cheveux du chevalier n’avaient pour le moment aucun effet, l’ensorceleuse lui avait remis son heaume et c’était retournée face au mur de brume.

Le cris d’Orphilas lui glaça le sang, la jeune elfe s’approcha du mur de brume jusqu'à ce qu’elle puisse voir la créature. La magicienne lança un projectile magique. « Monsieur Orphilas, Néthys aide moi.  »

• Dégâts potentiels des projectiles magiques : 1d4+1 donne [4] + 1 = 5

Modifié par un modérateur lundi 7 octobre 2013 09:58:23(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas fit un par pour reculer dans la brume, puis il en appela à Iomédaé pour enchanter son arme.

Pas de placement en E7, et je lance Arme magique sur mon épée longue >> +1/+1 durée 30 round

Modifié par un modérateur samedi 5 octobre 2013 08:49:13(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliandre, qui était resté jusque là complètement tétanisé par l'arrivée du monstre, repris soudain ses esprits.

Poussant un cri de rage, le chevalier s'enlaça en direction du bunyip, l'arme levée.

• Attaque : 1d20+8 donne [3] + 8 = 11
• Dégâts : 1d8+5 donne [6] + 5 = 11

+2 prise en tenaille avec Bido.

Modifié par un modérateur dimanche 6 octobre 2013 08:15:49(UTC)  | Raison: Non indiquée

Profitant que le Bunyip était engagé au combat par Méliandre, Avélin extirpa Orphilas du combat. Il le tira sur quelques mètres, d'un claquement de doigt il fit disparaître la brume, et entreprit de lui prodiguer les premiers soins.

« Va falloir t'accrocher mon jeune ami. Je n'ai plus de magie pour te sauver; on va faire sans. »

• Premier soins sur Orphilas : 1d20+7 donne [2] + 7 = 9

Modifié par un modérateur mardi 8 octobre 2013 06:31:44(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliandre frappa sa lame ripa d'abord contre l'épaisse peau luisante de la créature sortie de l'eau mais le chevalier sentait bien qu'au delà de sa protection naturelle cette créature était peu commune et possédait des pouvoirs magiques qui lui permettaient de résister plus facilement aux armes. Néanmoins la précision de sa frappe grâce à la diversion de Bido parvînt à entamer sérieusement le cuir de la bête lui brisant une de ses puissantes nageoires ou mains palmées. Les projectiles magiques de Qualindra fusait de toutes part au dessus de la tête de son bien aimé affaiblissant d'autant le bunyip qui à ce rythme serait bientôt vaincu.

Bientôt mais pas encore ! Avélin pensant sans doute que le chevalier remis de sa torpeur réussirait d'un coup d'un seul à tuer l'animal attrapa Orphilas mal en point sans plus de précautions que cela et le monstre profita de l'occasion pour le mordre au bras avec une telle violence que seuls qui étaient déjà passées par là pouvaient comprendre la douleur que le nain ressentit à se moment. Alors qu'il se plaçait derrière avec le prêtre pensant que Méliandre pourrait le couvrir, pour ne pas être gêné le druide avait fait disparaître sa brume. Le bunyip en profita pour lui emboîter le pas et Avélin qui voulait empêcher l'aggravation de la blessure de son compagnon faillit se faire mordre une fois de plus. Il évita la mâchoire aux dents acérées mais n'eut pas le temps de faire grand chose pour Orphilas qui se vidait de son sang. Sa blessure était elle, aussi sérieuse, il lui faudrait faire un choix crucial si personne ne parvenait à occire leur adversaire rapidement. Ce ne serait pas Bido qui porterait le coup fatal au monstre, se dernier manqua l'immanquable, il aurait pu fourrer son épée courte à la base du cou de l'ennemi, point faible qu'il venait de repérer mais glissa sur dans une flaque de sang et d'eau et parvint tout juste à rester debout.

Modifié par un utilisateur vendredi 11 octobre 2013 18:01:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliandre frappa sur le bunyip dont les nombreuses blessures le rendaient agonisant mais qui continuait de combattre comme un enragé pour défendre son territoire pensant encore qu'il pourrait vaincre. L'épée du chevalier s'enfonça dans la gorge du monstre, répandant un peu plus de sang sur la corniche rendue poisseuse et glissante par tous ceux qui y avaient laissé un peu d'eux même.

Le combat était enfin terminé, il avait été sanglant mais tout était loin d'être terminé, Avélin fouillait le sac d'Orphilas à la recherche de matériel de premiers soins mais lui aussi était sérieusement touché et pouvait vaciller à n'importe quel moment.