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 Narir CA : 16 Narir était bien d'accord pour aller prendre un bon souper et jaser de leur situation. L'enquête venait de prendre une nouvelle tournure! « C'est vrai qu'un bon repas ferait du bien, mais il y a le second problème, les broches enchantés que nous avons! Il faudrait vraiment que mon père ou mes frères puissent analyser les enchantements et a en juger par la force de ceux-ci, il se peut même qu'ils soient forcer à travailler tous ensemble pour tenter de les analyser. Bref, il faudrait pouvoir les placer en lieu sur jusqu'à ce qu'ils puissent se réunir. »Évidemment, Narir attends d'être seul avec Eumir et Arken pour parler des broches et il parle à voix très basse. Tout prêt d'eux et de façon à ce que personne ne puisse lire sur ces lèvres. On n'est jamais trop prudent.
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 « Arken » C d'armure : 18
Et si pas du tout, quelle devrait être notre priorité : les brigands ou les broches? Parce que je ne suis pas certaine qu'on ait et le temps d'aller interroger les premiers et le temps d'aller livrer les secondes.
Enfin, à moins qu'on puisse se procurer des chevaux ou un carrosse, ce qui réduirait nos temps de déplacement. »
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L'homme à la réception leur confirma qu'il n'y avait pas vraiment d'heures pour visiter les prisonniers, mais que passé 22 heures, c'était mal vu.
« La maison des Darastriss n'est pas vraiment proche de chez moi, c'est plus près de chez vous dame Arken et complètement à l'opposé de château Mashir.
Pour ce qui est des chevaux, en ville ils ne sont utilisés que pour les livraisons, mais nous pourrions éventuellement louer un carosse. Tant que nous nous en tenons aux artères principales évidemment.
D'ailleurs, j'en vois un là-bas. Il pourra nous déposer devant le château avant de souper. »
Je viens de me rappeler que vous êtes à Whiteshaw, donc, ça peut être sur votre chemin.
Le carosse les déposa devant la forteresse qui porte le nom de Château Mashir. Il s'agit du gardien du port et de la porte Ouest de Caliphas. Ce château sert de bastion militaire, de siège de l'autorité portuaire et de prison. Trois facettes qui fonctionnent en autonomie presque parfaite sous la direction du brigadier Holladyne Vronds, l'amant d'Alisa.
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« Arken » C d'armure : 18 Arken s'avança vers la porte la plus près d'un pas rapide, s'adressant au premier garde qu'elle verrait : « Bonsoir! Nous venons voir deux voleurs, emprisonnés ici il y a quelques heures. Pourriez-vous nous dire où aller et à qui nous devons nous adresser? »Elle porte son anneau bien en évidence, au cas où ça pourrait accélérer le temps de réponse des gardes. Modifié par un utilisateur vendredi 14 février 2014 04:47:02(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Le garde regarda la jeune femme et fût d'abord surpris de son apparence. Il fronça un peu les yeux en la détaillant, puis apercevant son anneau et son entourage il opta pour un ton professionnel.
« Dirigez-vous vers le bâtiment Nord, puis adressez-vous à l'un des aides de Browden Celdmoor. Je crois que c'est Anna qui est là en ce moment. Vous la reconnaîtrez à sa longue tresse noire. »
Les trois traversèrent donc l'imposante palissade de la fortresse, puis entrèrent dans la cour, ils tournèrent immédiatement à droite et devant eux se tenant un grand bâtiment de pierre. En haut de la tour, certaines fenêtres étaient munies de barreaux. Des gardes étaient postés devant la porte principale de l'édifice et Arken répéta son manège, en demandant cette fois à parler à Anna.
L'un des gardes les escorta à l'intérieur, jursqu'à un petit bureau où se trouvait une grande femme concentrée sur des papiers. Ses traits étaient ordinaires, mais on voyait sans peine qu'elle était en excellente forme physique.
Elle leva des yeux noirs comme la nuit vers eux.
« Oui? Comment puis-je vous aider? » | O-97 - Inari, sorcière, niv. 7
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« Arken » C d'armure : 18
Je me nomme Arken Caromarc, et voici Eümir Idriss et Narir Daratriss.
Nous aimerions interroger deux prisonniers qui ont été incarcérés plus tôt cet après-midi. Il s'agit de deux malfrats qui ont essayé de nous détrousser dans une ruelle : aucun des deux ne devrait montrer de blessures physiques et des gardes sont censés les avoir menés jusqu'ici. »Si Arken a plus d'information pertinente, comme l'endroit exact où l'attaque c'est produite, elle l'ajoute aussi.
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La femme se leva et scruta les étrangers. Ils avaient tous l'air un peu étrange avec leur cheveux super pâle et leurs yeux bizarres, sauf un. Eümir lui fit son plus beau sourire. Elle parut étonnée et rougit légèrement. Manifestement, n'étant pas d'une grande beauté, elle était peu habituée à recevoir l'attention d'un bel homme, surtout d'un noble. « Euhm... oui... oui... je... pense qu'ils ont été menés au donjon. Suivez-moi... je veux dire... veuillez me suivre. » Apparemment qu'elle avait décidé de les escorter elle-même. Elle saisit au passage son épée et attacha le fourreau à sa ceinture. Elle prit également une matraque, puis leur fit signe de la suivre. Elle les mena vers une grande porte verrouillée ou deux gardes étaient postés. Elle sortit une grande clé et ouvrit la porte, puis elle s'engagea dans une grand escalier de pierre. Le couloir était éclairé par de nombreuses lampes à huile. Il arrivèrent en bas à un petit poste de garde où il y avait une table, une couchette, deux chaises et deux autres gardes. Dès qu'ils la virent, ils se levèrent et se mirent au garde-à-vous. Elle s'adressa à eux. « Dans quelle cellule avez-vous mis les deux voleurs capturés dans la quartier des artisans? »Ils lui répondirent que les deux malfrats avaient été mis dans le corridor Est. Elle saisit donc une torche et demanda à l'un des gardes de vous accompagner. Une fois passé la porte, l'ambiance était froide, humide, sombre et opressante. Marchant entre les cellules, certains des prisonniers essayaient de vous attraper à travers les barreaux, elle approcha la torche de la main de l'un d'eux et ils remirent tous leur bras dans la cellule en l'insultant copieusement. Elle les ignora, même quand il la traitèrent de laideron de campagne. Eümir posa doucement une main sur son épaule. « Ignorez-les mademoiselle. »Finalement, elle vous arrêta devant la cellule dans laquelle les deux hommes avaient été jetés. Il y avait d'autres prisonniers dans la cellule. Après tout, ils n'avaient tué personne. Ils avaient donc été jeté dans une cellule commune dans l'aile des prisonniers les moins dangereux. Une chose avait attiré leur attention. Partout dans la prison, on pouvait voir des symboles de Pharasma. Pharasma était ici omniprésente. Modifié par un utilisateur vendredi 14 février 2014 19:01:26(UTC)
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« Arken » C d'armure : 18 Arrivée devant la cellule et voyant la quantité de prisonniers dans la cellule, elle se dit qu'elle aurait du préciser qu'elle ne tenait pas à ce que toute la prison entendent leur conversation : elle ne croyait pas que la garde soit impliquée ou quoi que ce soit, mais elle ne voulait pas donner des idées à d'autres prisonniers. En même temps, s'ils revenaient ensuite à cet endroit, ils pourraient raconter ce qu'ils savaient à leurs compagnons de cellule et l'avaient même peut-être déjà fait. S'ils savaient quelque chose... Elle prit rapidement sa décision : au final, ce n'était simplement pas pratique de les questionner à distance. Elle s'adressa à nouveau à la femme qui les accompagnait : « Serait-il possible de les transférer dans une pièce fermée et moins peuplée, le temps qu'on les questionne? Ou bien doit-on les questionner à travers les barreaux? »Modifié par un utilisateur vendredi 14 février 2014 20:03:55(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Narir CA : 16 Narir suivi le groupe et pour le moment, il restait silencieux, inutile de dire quoi que ce soit pour le moment, tout ce passait bien et Arken avait les choses bien en mains. Il parlera lorsque ce sera nécessaire. Pour le moment, il observait les installations, le nombre de gardes, qui avait les clefs, les couloirs qu'ils empruntaient et les escaliers, combien de marche... etc tout ce qui pouvait être utile pour se retrouver dans cette bâtisse. « »
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Anna regarda la femme aux cheveux blancs avec surprise. « Je croyais qu'ils n'étaient que de simples brigands des rues... ils n'avaient aucun signe d'appartenance sur eux.
Mais je peux les faire transférer.. »Elle envoya le gard chercher ses compagnons et ils tranférèrent les deux malfrats dans une pièce où se trouvait une cellule et tout le nécessaire pour l'interrogation dure. « Notre tourmenteur n'est malheureusement pas ici à cette heure. Peut-être serait-il préférable de revenir demain? Vous pouvez même nous laisser une liste de questions et nous vous ferons parvenir leurs réponses? »Modifié par un utilisateur lundi 17 février 2014 20:44:38(UTC)
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« Arken » C d'armure : 18 À la mention du délai qu'allait leur occasionner l'absence du tortionnaire, la déception fut visible sur le visage d'Arken : elle aurait préféré en finir aujourd'hui avec ces voleurs. Alors qu'elle observait la pièce un instant, un sourire discret vint remplacer sa déception maintenant oubliée. Quoiqu'à bien y réfléchir, tant mieux pour moi. Ne pas avoir l'air trop pressée de jouer avec les prisonniers...« Le temps presse un peu... Tout délai pourrait permettre à ceux que l'on recherche de causer d'autres incidents en villes, voire de disparaître.
Je... je pourrais me charger de les interroger. »En disant cela, elle regarda Eümir et Narir à la dérobée, pour évaluer leur réaction face à sa proposition. Psychologie- Prend 10 : 10+5 = 15Modifié par un utilisateur lundi 17 février 2014 15:50:36(UTC)
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Narir CA : 16 Narir avait l'air aussi déçu que Arken à l'annonce de l'absence du tortionnaire, il ne voulait pas attendre les réponses. Mais en même temps, pourquoi ne pas s'en charger nous même... Lorsque Arken propose de s'occupé de l'interrogatoire, il est un peu surpris, elle ne cessera donc jamais de nous surprendre cette femme. Ce sera intéressant de la regarder travailler... « J'allais le proposer, nous ne pouvons pas attendre le retour de votre tortionnaire, nous avons besoin d'empêcher leur employeur de continuer ces activités. »Précision de la position de Narir: Se charger de l'interrogation, oui, mais il ne croit pas être obliger de les torturer et il n'y connais rien... Il est déçu d'être obligé d'attendre pour les réponses et il est surpris que Arken veuille faire l'interrogation et comment elle veut s'y prendre???Modifié par un utilisateur mardi 18 février 2014 06:31:13(UTC)
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Eümir regarda Arken et fronça un peu les sourcils. Était-il étonné, déçu, horrifié, elle n'aurait su le dire. Il tira un tabouret et s'assit dessus en croisant les bras. Anna regarda les deux... personnes aux cheveux blancs et aux yeux étranges et parut... inquiète. Elle fit machinalement le symbole de Pharasma sur son ventre. « Hmmm... je vous laisse à vos affaires. Je vais revenir dans une heure voir où vous en êtes. Essayez de ne pas les tuer, sinon, vous devrez vous expliquer auprès de mon patron. » Elle sortit de la pièce sans un regard en arrière avec les deux gardes qui étaient devenus un peu blêmes. Eümir ne dit rien, mais avait un air sérieux sur le visage, il ne semblait pas prêt à participer. Observer peut-être, mais participer, très peu pour lui. Dans son état mental actuel, sain d'esprit, il ne voyait pas l'urgence et il doutait que ces gens lui apporteraient la réponse qui l'intéressait le plus, où était Eliana. Tout le reste pouvait attendre. Modifié par un utilisateur mercredi 19 février 2014 15:44:50(UTC)
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« Arken » C d'armure : 18 Arken remarqua la réaction des gardes un peu tard. Elle pouvait difficilement se défiler maintenant : elle se contenta donc de les remercier alors qu'ils quittaient la pièce, et ne dit rien quant à l'état dans lequel ils retrouveraient les bandits. Lorsqu'ils furent seuls avec les prisonniers, Arken se mit lentement au travail, sans prononcer une seule parole. Elle n'accorda qu'un timide sourire à Narir et Eümir à un moment où elle était certaine que les prisonniers ne pourraient pas le voir. Elle installa d'abord une chaise avec des attaches pour les chevilles et les poignets devant la table de torture qui trônait au milieu de la pièce : la vue serait parfaite. Elle fit ensuite le tour de la pièce, ce qui lui prit un certain temps puisqu'elle observait chacun des instruments de torture qu'elle passait. Elle hésitait quelques secondes devant certains d'entre eux, comme si elle imaginait l'utilisation qu'elle pourrait en faire plus tard. Je me demande bien comment fonctionne ce truc... Alpon le sait peut-être : je lui en parlerai.À la fin, elle ne rapporta qu'un ensemble d'instruments chirurgicaux de belle facture jusqu'à la table. Elle admira leurs tranchants, et une fois satisfaite, elle alla chercher les prisonniers. Elle en attacha un sur la chaise et elle mit l'autre sur la table. Sans cérémonie, elle déchira la chemise de l'homme couché devant elle, puis elle prit un scalpel et l'approcha de son torse maintenant nu. Elle exerça une légère pression sur l'abdomen du bandit, juste assez pour faire perler le sang, puis elle s'arrêta net. « Oh! J'en ai presque oublié de me couvrir, pour éviter de ressortir d'ici couverte de sang. Ça ne serait pas très seyant... »Elle laissa le scalpel sur l'estomac de l'homme, pour que le métal froid continue d'exercer un contact désagréable, voire menaçant, sur sa peau. Sans se presser, Arken se dirigea vers un coin de la pièce où elle avait vu une chemise épaisse et un tablier de cuir. Pendant qu'elle les enfilait, elle dit aux prisonniers, d'un ton désinvolte : « Ce n'est rien de personnel, vous savez, mais nous avons beaucoup de questions qui demandent des réponses... Que j'obtiendrai, d'une manière ou d'une autre. »Tournant le dos à Eümir et Narir et s'assurant que les prisonniers la regardaient, elle leur laissa voir sur son visage le plaisir anticipé que l'idée de leur torture lui apportait. Jet d'intimidation pour rendre les deux hommes amicaux pendant 1d6*10 minutes (bonus de circonstance de +5 pour le lieu et la mise en scène octroyé par Faol :
Intimidation, prend 10 : 10+7+5 = 22
4*10 = 40 minutesModifié par un utilisateur mercredi 19 février 2014 06:26:23(UTC)
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Les hommes la regardèrent les yeux écarquillés de peur et d'inquiétude.
Celui qui était couché sur la table dit avec empressement avant même qu'elle ne reprenne le scalpel « Je vais tout vous dire, ne me faites pas mal, je vais tout vous dire... »
L'autre acquiesça en hochant vigoureusement de la tête. | O-97 - Inari, sorcière, niv. 7
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« Arken » C d'armure : 18 Nonchalamment, Arken jouait avec le scalpel tout en parlant. « Commencez par nous donner le nom de votre employeur et une description physique, ainsi que la manière qu'il a utilisée pour obtenir vos services.
Ensuite, répétez-nous les instructions que vous aviez reçues, le plus fidèlement possible.
Finalement, où, quand et comment deviez-vous faire la livraison de ce que vous étiez venu voler?
Oh, et que représente le pommeau de ces dagues? »Elle va en chercher une et la leur montrer de très près, pour faire bonne mesure. Aux réponses qu'ils lui font, elle regarde d'abord les prisonniers, puis Narir et Eümir, pour voir s'ils croient ce qu'ils entendent. « Et si j'oublie quelque chose d'important, n'hésitez pas... »Cette dernière remarque s'adressait autant aux prisonniers qu'à ses compagnons, pour que les premiers ne lésinent pas sur les détails et pour que les seconds posent les questions qu'elle oublierait peut-être.
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Les deux hommes semblaient hésiter, puis, ils se mirent à parler les deux en même temps.
Eümir haussa un sourcil, puis ajouta : « Calmement, un à la fois, sinon on ne comprend rien. »
Ils se remirent à parler, l'un ajoutant des précisions à ce que l'autre disait.
En gros, ils appartenaient à la guilde de voleurs du nom du Clan de la méduse, de là leur dague. Ils avaient reçus leurs ordres de leur chef de section et ne savaient donc rien de leur client, si client il y avait. On leur avait dit d'intercepter le marchand et de lui voler sa valise pleine de bijoux. On leur avait dit qu'il avait été vu quittant les lieux de l'opéra avec deux têtes blanches et le célèbre barde Eümir. Ils avaient également reçu pour consignes de ne tuer personne. Ils devaient simplement récupérer la valise et la rapporter directement en lieu sûr. Ils n'étaient pas responsables de la livraison au client, advenant l'existance de celui-ci, la livraison serait plutôt assurée par le contact dont ils ne connaissaient pas l'identité.
En terminant, ils affichèrent une mine inquiète, ayant peur que leur tortionnaire soit insatisfaite de leurs réponses et qu'elle décide tout de même de les faire souffrir. | O-97 - Inari, sorcière, niv. 7
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« Arken » C d'armure : 18 Arken était un peu surprise que ça ait si bien fonctionné, triste de n'avoir aucune raison de torturer les prisonniers, mais en même temps contente de ne pas alimenter de nouvelles rumeurs sur la famille Caromarc. « Ce chef de section à un nom, une description physique, une taverne préférée?
Et quel était cet endroit sûr? Pourrions-nous y aller à votre place et trouver des membres de votre guilde?
Je vous laisse tranquille ensuite, si mes collègues sont satisfaits de vos réponses. »
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Les deux hommes échangèrent un regard. « Ils vont nous tuer... »« Oui, mais ce sera assurément moins douloureux que la torture. »Ils donnèrent une adresse à Arken et une description physique de l'homme qui aimait apparemment passer du temps au Boudoir de la veuve. Modifié par un utilisateur vendredi 21 février 2014 22:38:18(UTC)
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« Arken » C d'armure : 18 Elle détachera les prisonniers et les remettra en cellule, puis elle suggérera au barde et au jeune homme de réfléchir aux informations récoltées et aux stratégies envisageables alors qu'ils se dirigeront vers la maison d'Eümir, et d'en discuter en mangeant. Elle ne fera aucune allusion à la scène qui a eu lieu dans la cellule. Elle remerciera Anna, lui disant en blaguant que la chemise de l'un des prisonniers n'avait malheureusement pas survécu à leur interrogatoire, mais qu'autrement, ceux-ci étaient en parfait état.
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