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Rang : Sage d'honneur
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Laurell était de plus en plus surprise par ce groupe hétéroclite d’aventuriers. Le ton solennel d’Andrew l’impressionna. Dehors les gens de devant racontaient à ceux de derrière, qui ne voyaient pas, ce qui se passait dans la boutique. Andrew vit enfin un peu de soulagement lorsqu’il annonça qu’ils allaient aider Laurell pour trouver un remède. Soudain, la foule sembla reprendre quelque peu patience. Laurell répondit aux questions des aventuriers au sujet des ingrédients : « Il y a trois ingrédients que je ne possède pas pour fabriquer le remède. Le premier est de la mousse de vieux bois. Je n’ai jamais entendu parler de ça mais grand-mère dit que ce truc ne pousse que sur le plus vieil arbre de la forêt. Il doit bien y avoir un arbre dans la forêt de Sombrelune qui soit plus vieux que les autres. En revanche, je suis fichtrement incapable de vous dire où il est.
Ensuite, le deuxième ingrédient est une racine spéciale, la queue-de-rat, que l’on fait mariner… encore une fois, pour moi, tout ça ressemble à des sornettes. Je ne sais pas trop où en trouver… à moins que… peut être Ulizmila, la sorcière qui vit au coeur des bois. C’est une méchante bonne femme rusée qui connaît plein de choses étranges. Il se pourrait même qu’elle ait une queue. Je ne sais pas ce qu’elle demandera en échange mais je parierais que ce sera cher. Ma grand-mère a donné sa vue à la vieille bique en échange de quelques pages de son savoir. Et c’était il y a des années, et je ne connais pas une seule âme qui s’adoucisse en vieillissant.
Et pour finir, sept champignons fleur-de-fer, des choses rabougris qui ne poussent que dans des endroits sombres, riches en métaux, très appréciés des nains d’après ce que j’ai entendu dire. Les gens disent qu’au nord, vers les montagnes, il y avait autrefois des nains. Ils ne sont plus là mais je parierais que leurs forges sont restées. Quitte à chercher des fleurs-de-fer dans le coin, c’est là que vous aurez le plus de chance d’y arriver. »Ceux qui veulent essayer de localiser les endroits indiqués par Laurell : jet de Connaissances (géographie ou folklore local).Modifié par un utilisateur lundi 19 juillet 2010 15:41:16(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Aforgomon se creusa les méninges pour tenter d'en extraire des souvenirs vieux d'une vingtaine d'années. Les habitants du village considéraient sa mère comme une sorcière... Elle se rendait souvent dans la forêt. C'était d'ailleurs là qu'elle avait dû rencontrer la pourriture qui lui servait de père. Aforgomon se dit qu'il avait de la chance que son père soit un elfe. Il était sans aucun doute en vie... Aforgomon se ferait un plaisir de lui arracher le coeur des entrailles ! Non, concentre toi sur ce que tu connais de la forêt... Un vieil arbre... Une sorcière... Des ruines naines...Aforgomon ferma les yeux... - folklore local : 1D20+4 donne [15] + 4 = 19
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Lorn était encore perdu dans ses pensées suite à la première explication de la femme. Des champignons qui poussent près de l'eau... Peut être faudrait il vérifier la contamination de l'Écume aussi. Il ne prêta guère attention aux réponses des aventuriers autour de lui, ne retenant qu'une seule chose de leurs paroles : ils étaient tous disposés à aider. Ce furent les propos suivants de l'herboriste qui le tirèrent de ses rêveries. Il les écouta patiemment. Lorsqu'elle eût fini, il se racla la gorge pour prendre la parole à son tour.
« Mousse de vieux bois, queue-de-rat et champignons fleur-de-fer. Un vieil arbre, une sorcière et des ruines naines... J'espère que l'un de vous au moins connait la région parce qu'elle m'est totalement étrangère. » Se tournant vers Damme Laurell « Dites-moi, Madame, le puits est contaminé, mais savez vous si la rivière l'est également ? Avez vous une autre source d'eau permettant d'alimenter le village en attendant que nous ne vous ramenions les ingrédients ? » Sans eau, le village ne pourrait survivre. Le remède qu'ils allaient chercher ne pourrait sauver les gens mort de soif. Une fois le remède concocté, il faudrait s'occuper d'assainir l'eau du puits.
Il fit une courte pause avant de reprendre, incertain d'avoir bien entendu :
« L'un de vous a-t-il prononcé le mot Loup-Garou ? »
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« J'habite moi même dans la région, mais ces ingrédients ne me disent pas grand chose... il faut dire que je n'ai jamais été doué pour l'herboristerie... par contre, j'ai fréquenté des sorciers et des sorcières... ah Messire Lorn, j'admire votre esprit pratique: mon village est à deux lieues d'ici et l'eau y est parfaitement potable, on puise l'eau en amont dans la même rivière. Si la maladie vient effectivement par les champignons, la rivière devrait être saine. »
Son regard s'éclaircit au mot "loup garou"
« J'ai eu vent de rumeurs concernant des attaques de loup-garou, il semblerait qu'une créature de ce genre rôde dans les alentours et sans être un expert en la matière, je crois savoir que c'est dans la forêt que ces créatures se terrent... sauf quand elles sont en ville sous forme humaine et qu'elles se mêlent aux autres habitants.
Si ça se trouve, votre loup-garou est peut-être parmi ces gens qui attendent d'être soignés. »
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Ou peut-être encore plus près que ça... songea Aforgomon. Il se retint de rire. Rassemblant ses pensées, il se tourna vers le groupe.
« Il me semble qu'une sorcière vivait en pleine forêt. Au nord de l'Ecume... Je ne connais pas son nom mais peut-être est-ce celle dont Laurell parle... »
« Sinon il y a des ruines... Une sorte de monastère... coincé entre la forêt de Sombrelune et la faille de Droskar... C'est possible que ce soit des ruines naines... Je ne suis plus très sûr... Cela remonte à longtemps... »
« Quant aux loup-garous... » Il posa sa main sur la garde son espadon. « Rien ne vaut les armes en argent ! »
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« Messire gnome, vous êtes porteur à la fois des meilleures et des pires nouvelles . Si je puis me réjouir de la présence d'eau potable dans la rivière à proximité du village, le fait de savoir qu'une bête féroce peut se terrer en ce moment même parmi nous n'est pas vraiment chose à me donner le sourire. Peut être serait il bon de garder ça pour nous, en attendant d'en savoir effectivement plus sur le sujet. » En même temps qu'il prononçait ces mots, Lorn regardait à droite et à gauche afin de s'assurer que cette nouvelle n'avait pas atteint les oreilles des villageois non loin. Puis il se tourna vers le colosse armuré. « Sire Aforgomon, une fois de plus je remarque que vous semblez être familier avec cette région. Votre connaissance de ces terres pourrait nous aider à gagner un temps certain dans nos recherches. Allons voir cette sorcière, négocier avec elle ne me fait pas peur. Allons dans cet ancien monastère, qui sera pour moi comme un pèlerinage. Et si nous croisons un Loup-Garou sur notre chemin, alors peut être vous laisserai-je exprimer tous vos talents martiaux ! »Une fois fini sa tirade, Lorn se départit d'un large rire, comme en réponse au stress éprouvé depuis le lever. Enfin les choses prenaient forme et une lueur d'espoir, matérialisée par des ingrédients situés au plus profond de la forêt, se laissait entrapercevoir. Tout n'était pas perdu, mais il fallait agir rapidement. Une seule question le taraudait encore : Sacrebleu, que fait ce magistrat que tout le monde attend ?Modifié par un utilisateur mardi 20 juillet 2010 06:53:46(UTC)
| Raison: orthographe
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Aforgomon eu un petit rire en réponse à celui de Lorn. Oui il se ferait un plaisir de transformer ce loup garou en pulpe sanglante... Ou alors il périrait en essayant... Ce serait une belle mort !
Mais Lorn n'était pas le seul à trouver le temps long.
« Est-il vraiment nécessaire d'attendre ce magistrat ? Je doute qu'il ai mieux à nous proposer que d'aller chercher les ingrédients nécessaires au remède... De plus chaque minute qui passe peut être précieuse...
Je serais d'avis d'y aller sur le champs ! »
Ce faisant, il se dirigea vers la porte, bien décidé à ne pas rester une minute de plus dans cette pièce chargée d'effluves...
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Lorn était partagé. Certes d'un coté, il ne fallait pas perdre de temps dans la recherche des composants du remède, mais d'un autre, donner un caractère officiel à leur démarche et connaitre l'avis des autorités compétentes était également important. D'autant plus que le magistrat pouvait, lui aussi, leur apprendre certaines choses, notamment au sujet de ce Loup-Garou.
« Il me faudra repasser chez Jack avant de partir. J'y ai laissé toutes mes affaires et j'aimerai tenir informé mon frère de notre départ et de sa guérison prochaine. Je ne serai pas long. »
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Andrew tout en attendant le magistrat continuait à rassurer les villageois par des paroles apaisantes. Il espérait que ses 3 compagnons allaient vite sortir pour lui donner des informations sur la marche à suivre. Les deux autres hommes, il s'en méfiait vu la première impression qu'ils lui avaient donnée. Entre un qui ressemblait à une bête sauvage en armure et qui n'avait pas décroché une parole en sa présence et l'autre qui aimait visiblement s'écouter parler et qui n'avait pas daigné serrer sa main, la cohabitation risquait d'être difficile. Il n'avait pas voulu faire d'esclandre à ce moment-là car la situation était assez compliquée comme ça et que ça n'aiderait certainement pas les villageois. Tu parles d'un diplomate à deux balles.Modifié par un utilisateur mardi 20 juillet 2010 13:25:40(UTC)
| Raison: Non indiquée
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« Je dois avouer que je suis moi aussi étonné du retard de Vamros, ce n'est pas dans ses habitudes de se faire attendre. »
MJ ? Y'a-t-il un Vamros dans l'assistance ?
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Aforgomon sortit de la boutique, ravi de retrouver l'air libre.
Un des compagnons du gnome était là et il tentait de calmer la foule par de douces paroles.
Aforgomon eut un sourire sarcastique en constatant que tout le monde s'était tu une fois qu'il était sorti.
Comme quoi, il n'y avait nul besoin de longs discours pour calmer ces ploucs.
Son regard passa sur les malades sans s'arrêter, presque comme si ils n'étaient pas là.
Des larves... Rien de plus... Pas comme cette halfeline...
Son oeil unique se posa sur le combattant. Aforgomon prit le temps de le détailler. Un musculature puissante... Une arme bien entretenue... Un bouclier de bonne facture...
Bien... Bien...
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Les villageois étaient toujours nerveux mais les paroles d'Andrew avaient réussi à les calmer en grande partie.
Mais la situation changea quand sortit le géant en armure. Là, ils se turent tous visiblement intimidés et effrayés par l'individu et son attitude peu engageante. Tout son travail réduit à néant.
Andrew avait même dans l'idée que l'individu devait se délecter de l'impression d'horreur qu'il créait chez les autres.
Tout en décochant un regard noir à la brute, il reprit la parole.
« Braves gens, ne vous en faites pas. Cet homme est là lui aussi pour aider à trouver un remède. Je suis convaincu qu'avec ses talents de combattant, tous les problèmes rencontrés sur notre route seront vite réglés. Réjouissez-vous ! »
Il ponctua ses paroles d'un sourire, même s'il doutait un peu de ses paroles.
Oui, la cohabitation ne va pas être facile.
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Aforgomon surpris le regard que l'homme lui lança.
Tu ne m'aimes pas, toi...
Il se retint de rire en entendant les paroles que le blondinet prononçait dans le but de calmer les bouseux.
Ton blabla est inutile... En déployant des trésors de diplomatie et de baratin, tu parviendras peut être à les convaincre que je ne les massacrerai pas... Mais ils sont malades... Ils ont peur de mourir... Et tu ne les soigneras pas par des mots...
Cet humain était du genre à défendre les faibles... Il avait porté la halfeline sur ses épaules, alors qu'elle aurait sans doute préféré marcher toute seule afin de prouver sa détermination. Et là il parlait à des péquenots terrifiés... Un idéaliste... Un idiot quoi... Mais les idéalistes et les protecteurs des opprimés étaient des idiots dangereux... Prêts à tuer pour leurs convictions...
Disposés à se sacrifier pour permettre à quelques culs terreux de vivre quelques années de plus.
D'une certaine façon, ce côté là de leur personnalité lui plaisait. Au moins ils n'avaient pas peur de mourir... ni de tuer...
En cela nous sommes pareils...
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Dans son enfance, Aforgomon se souvint d’avoir entendu des histoires d’une sorcière et des ruines d’un monastère nain que l’on racontait aux enfants pour les dissuader de jouer loin du village. Laurell reprit à ce moment-là : « Je suis d’accord avec vous, Vamros ne venant pas, je peux lui laisser un message si vous voulez. En tout cas je lui rapporterai que vous avez accepté de partir à la recherche des ingrédients. Je vous suggère de vous rendre à un des camps du Consortium du Bois, le premier que vous rencontrerez en allant vers l’est. Demandez Milon Rhoddam, le bûcheron le plus expérimenté du Consortium du Bois, il pourra vous indiquer les lieux où vous pourrez trouver ces ingrédients. Par contre, vous devez faire vite, il n’y a pas une seconde à perdre. Des gens meurent et vont mourir tous les jours ! Tout ce que nous pouvons espérer maintenant, c’est soigner ceux que nous pouvons et épargner un peu de travail au croque mort. Plus le temps passe et plus la maladie fera de victimes parmi les gens du village qui sont déjà affaiblis par une vie difficile. Je vous souhaite bonne chance et en attendant votre retour je ferai tout ce que je peux pour aider les gens ici. »Modifié par un utilisateur mardi 20 juillet 2010 14:22:10(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Voilà un homme dont la seule présence fait taire une assistance. J’aimerais bien voir la tête de maître Thibault face à ce géant en armure.Tout comme Aforgomon, la jeune Elynn était pressée de partir… A quoi bon attendre ce Vamros puisqu’on connaissait déjà les objectifs ? L’halfeline sortit à son tour de la petite échoppe encombrée et rejoint les autres volontaires à l’extérieur. Essayant de ne pas se laisser intimider par le géant, elle se plaça à ses côtés. Elle faisait moins de la moitié de sa hauteur et en cette situation paraissait encore plus petite qu’elle ne l’était. « Tousse… tousse… »« Moi je suis prête… »« Tousse… tousse... tousse... »« Rien ne sert d’attendre le magistrat, chaque minute compte. »« TOUSSE!!! »« On y va mon grand ? »Dit-elle tout en tapotant de son minuscule poing sur le métal de l’armure d’Aforgomon au niveau de son fessier, comme l’on toquerait à une porte. Modifié par un utilisateur mardi 20 juillet 2010 15:43:55(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Inscrit le : 16/06/2010(UTC)
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« Effectivement, j'ai bien peur qu'il se fasse encore attendre... nous le verrons à notre retour, si nous revenons vivants. »
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Aforgomon se pencha vers la petite halfeline qui venait de lui taper sur les fesses.
Un silence de mort s'était abattu sur la foule et tout le monde le regardait, attendant de voir sa réaction.
Il fallait le reconnaître, il avait vu beaucoup de choses surprenantes dans sa vie mais ça, ça dépassait tout entendement.
Il éclata d'un rire guttural.
« Tu me plais, toi ! »
« Je m'appelle Aforgomon et je suis ravi de rencontrer une halfeline avec autant d'applomb que toi ! »
Il lui attrapa la main comme on prend celle d'un enfant et commença à partir à grandes enjambées en direction de la forêt de Sombrelune.
La halfeline devrait sacrément trottiner avec ses courtes jambes pour le suivre mais au moins elle montrerait à tous sa détermination et son mépris de la maladie. Un véritable exemple à suivre pour tout ces loqueteux.
Au pire, il la porterait une fois hors de vue du village. Elle serait sans doute crevée de fatigue... A moins qu'elle ne soit encore du genre à lui réserver d'agréables surprises...
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Andrew assista à la rencontre entre Elynn et Aforgomon avec un peu d'appréhension.
Mais la réaction du géant le surprit.
Tiens, il sait parler. J'ai peut-être été un peu hâtif dans mon jugement. Il a pas l'air si mauvais.
Il attendit la sortie de Rastim et Silhas pour savoir où ils devaient se rendre.
« Bon, je vais chercher mon cheval qui est sur le chemin et on pourra acheter des victuailles pour l'expédition. Si quelqu'un veut monter derrière moi, il est le bienvenu. On peut faire caisse commune pour les courses, je mets 20 pièces d'or dans cette caisse. »
Et sur ces paroles, il se dirigea dans la direction de son cheval.
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« Avec 20 pièces d'or, on devrait avoir assez pour les six prochains mois... à moins de manger des huitres de la mer extérieure dans des plats en argent bien sûr.
Prenons simplement chacun des provisions pour 10 jours, je présume que ça devrait être suffisant. »# une fois les achats effectués, le groupe se dirige dans la forêt, vers le pont qui ne se trouve pas sur la carte. # Modifié par un utilisateur mardi 20 juillet 2010 20:00:40(UTC)
| Raison: réestimation de la durée du voyage
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Juste comme ça, la ration par jour, c'est 5 pa. On est 6, donc 3 po par jour. Avec les 20 po, on a en gros une semaine de rations chacun.Andrew sourit à l'affirmation de Rastim. « Je crois, Rastim, que tu sous-estimes le prix d'une ration. Grâce à mon argent, nous n'avons qu'une semaine par personne et nous devons faire une bonne distance avant d'arriver au campement. De toute façon, s'il y a un reste, ce n'est pas bien grave, non ? »Modifié par un utilisateur mardi 20 juillet 2010 20:31:51(UTC)
| Raison: Non indiquée
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