Kostin regarde le corps du Gobelin et fait une rapide prière Sarenrae donne-moi la faculté de voir ce qui est magique. puis le fouille rapidement mais minutieusement Peut-être a t-il une preuve de la raison de leur venu ?

Puis une fois cela fait, il regarde autour de lui les ravages qu'avaient faits les Gobelins. Il tente de soigner ceux qui peuvent l'être et quand le père Zantus propose de soigner massivement, il en profite On ne sait jamais si d'autres sont encore dans la ville.

Ensuite il écoute le discours du père et quand il désigne Gnosim pour aider, Il va vers lui et lui demande « Si je peux aider n'hésitez pas, dites-moi et si c'est dans mes possibilités je le ferais avec plaisirs. »

Réalisant qu'il tient toujours son cimeterre, il le range dans son dos et attend

Je fais une détection de la magie et je fouille le gobelin Pyromancien Boutefeu

Modifié par un utilisateur lundi 13 octobre 2014 13:23:18(UTC)  | Raison: Non indiquée

C'est dans un silence froid et discipliné que Nail écouta les paroles des différents responsables après s'être recueilli un instant auprès du Père Zantus pour recouvrir de sa blessure. Quoi qu'il fût très pragmatique, il n'en vénérait pas moins tous les dieux du panthéon, et son désintérêt pour les choses inutiles ne l'empêchait pas d'avoir une sorte de piété rurale dépourvue d'ornements. Une fois ceci fait, il assura Gnosim de son soutien puis s'approcha de Kostin, qui examinait la dépouille de Boutefeu.

« C'était une épine dans le pied de Pointesable, celui-là. Il s'appelait Boutefeu. Ordure... », ajouta-t-il en lui écrasant la face de sa botte avec un dégoût manifeste et l'intention d'humilier la chose le plus possible. « Je me demande pour quelle raison les gobelins l'ont sacrifié ainsi... Ils sont assez stupides pour croire qu'une attaque de ce genre suffira à raser la ville, mais je pressens qu'il y a quelque chose d'inhabituel à l’œuvre derrière tout ça. » Lorsque Kostin eût fini sa fouille, avec son aide si besoin, il se présenta. « Je ne t'ai jamais vu dans le coin. Je m'appelle Nail Ascinti, et je suis un forestier. Qui es-tu, et d'où viens-tu ? Tu te bats bien. » Derrière l'apparence antipathique du demi-elfe et la dureté de son visage balafré, on pouvait sentir qu'il tentait maladroitement d'être amical et que cette dernière phrase était censée être un compliment.

Modifié par un utilisateur lundi 13 octobre 2014 14:06:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

Syrius observait le regard vide la place et la scène de carnage depuis l'estrade, il n'avait jamais tué avant, il ne regrettait pas son geste mais n'aimais pas ce qu'il avait du faire en ce jour. Son attention revint vers l'entrée de la cathédrale, il s’apprêtait à aller prêter son aide aux habitants quand il entendit le cri.

Syrius va se précipiter vers le stand en feu, pour tenter de voir qui était prit dans les flammes.


Plissant les yeux gêné par la fumée, Syrius cru discerner un visage, il prit une grande inspiration, détacha sa lourde cape et Il va se remettre à déclamer une poésie afin d'apaiser l'enfant.

« Dans les lignes de ma main
Pour te plaire tu veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin. »

Syrius va aller dans les flammes pour rejoindre l'enfant en le couvrant de sa cape et de son corps puis le porter afin de le faire sortir de cet enfer de feu.

Je souhaite avant tout protéger l'enfant en le couvrant avec ma cape et mon corps. Si cela ne semble pas possible je ferais autre chose.

Je te fais un JDS de réflexe, si tu as besoin d'autre jets n'hésite pas

• Reflexes : 1D20 +6 donne [2] + 6 = 8

Je souhaite utiliser final salvateur s'il le faut mais si l'enfant doit aussi lancer un JDS ce sera sur lui s'il rate

Modifié par un utilisateur lundi 13 octobre 2014 14:55:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

Gnosim suit Syrius en courant, sachant qu'il possède encore un peu de magie curative. Il hurle presque pour aller plus vite, car Aéren est pour lui comme un petit frère, et il s'en voudrait à tout jamais s'il lui arrivait malheur.
Il essaie de voir ce que Sirius, plus rapide et sportif, veut faire et l'aide si besoin.

« De rien madame, c'est normal » Bredouilla Kostin un peu perturbé par tout ce qui se passait en si peu de temps. Quand il entend l'oiseau faire sa remarque sur le combat au nord il dit « Il va falloir y aller parce que s'ils passent, ils seront ici plus nombreux ... » Puis se tournant vers Gnosim il ajouta « Qu'en pensez-vous ? »

La sueur lui piquait les yeux mais son esprit et son corps étaient galvanisé par les poussées d'adrénaline. C'est lui qui est mandaté pour diriger alors respectons cela.

D'un revers de la manche il essuya la sueur et il fait un tour sur lui-même pour se confirmer que la place était sur ... pour le moment.

Modifié par un utilisateur vendredi 17 octobre 2014 14:42:47(UTC)  | Raison: Non indiquée

Princesse n'avait prêté que très peu d'attention à la scène du sauvetage de l'enfant et de l'intervention de Syrius, trop occupé qu'elle était à tenté de "maintenir" l'ordre au sein de sa meute.

Si les gobelins avaient une haine innée pour les chiens, l'inverse était également vrai chez les canidés, et ce fut durement que la jeune femme dut lutter afin d'extirper le cadavre du chanteguerre aux crocs du vindicatif Garret qui n'en avait visiblement pas terminé avec le gobelin.

Pete et Bull ne firent d'ailleurs pas grand pur améliorer la situation, aboyant avec clameur afin d'encourager respectivement Princesse et l'alpha dans ce qui leur semblait être un banal jeu de tir à la corde remanié.

« Lache ! Lache ! AhAhAhAh ! »

Au final, ce ne fut ni Princesse ni Garret qui céda, mais le corps du gobelin lui même dans un craquement bruyant et sanguinolent envoyant valser ses dernières possessions mortels. Une telle épreuve de force amusa fortement la druidesse, qui se presta d'aller récolter les affaires éparpillées, se glissant allègrement les "jolies" bagues aux doigts, tout en empaquetant le reste dans sa besace.

Elle eut néanmoins un mouvement de recul face à l'arme marquée de runes, confusion partagée par le reste de la meute qui répondit à celle ci par les grognements. Un tranchechien ! L'arme favorite des pestes vertes ! Une arme que Princesse avait bien trop souvent vue en action et réclamer un lourd tribut au sein de sa meute.

Ce fut ainsi sans sommation et dans un aboiement de colère reprit par ses chiens que la sauvageonne se jeta sur le couteau avant de le lancer dans le feu désormais vacillant.

Néanmoins cet excès de rage fut de courte durée, car c'est bien vite que la sauvageonne fut rappelé à l'ordre, non pas par un quelconque défendeur de la cité mais par l'oiseau ensorcelé de Gnosim qui ne manqua pas de captiver son attention.

«  Waf ! Waf ! Un wafseau qui parle ! Dis Princesse ! Dis Princesse !  » répéta t-elle avec insistance, cherchant à atteindre l'oiseau perché sur l'épaule du sorcier.

Sans grande considération d'ailleurs pour ce dernier qui ne pouvait qu'endurer la proximité avec la sauvageonne et surtout l'odeur témoignant d'un manque d’hygiène à peine dissimulée par celle de parfums dont la jeune femme avait dut s’asperger copieusement pour que celui ci reste perceptible.

Les défendeurs de Pöintesable, qui avaient vaillament combattu sur la place s'étaient regroupés autour de Gnosim et Mésilian, apparement prêts à en découdre encore, malgré les stigmates du combat visibles sur leurs vêtements.

Aux paroles de Gnosim, plusieurs voix répondirent dans la petite foule :
« Pour nos enfants ! »

Plusieurs citadins sortirent des rangs, les yeux rougis par la fumée ou les larmes, l'air harassés, ils brandissaient des gourdins ou des dagues, et se groupèrent autour de la petite troupe. Le père d'Aéren se mit devant les autres et hocha la tête vers Syrius, Kostin, Nail et Gnosim.

Pog et Happog émergèrent également du chaos, armes en mains, et Pog dit à Gnosim : « On est avec vous, faut foutre ces saloperies hors de la ville avant qu'il ne reste que des cendres... »

Mésilian décrit rapidement les lieux à Gnosim : près de la porte Nord et de l'entrée du Cerf Blanc, une demi-douzaine de gobelins achevaient trois milicens et menaçaient un noble protégé par un laquais et un molosse.
Deux gobelins s'étaient postés sur une pile de tonneaux et surveillaient les lieux arcs en mains en chantant à tue-tête, tandis que les autres suivaient un gobelin monté sur un chien-gobelin et harcelaient les défenseur du noble qui étaient sur le point de succomber.

Tous semblaient attendre les ordres de Gnosim ou de ses nouveaux comparses, les regards apeurés des citadins allant des uns aux autres.

Modifié par un utilisateur dimanche 19 octobre 2014 15:05:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Menant la petite troupe de citadins et les deux mercenaires qui s'étaient joints à eux, les défendeurs de Pointesable arrivèrent bientôt en vue de la scène macabre qu'ils savaient découvrir à la porte Nord.

Un gobelin musculeux, monté sur un chien gobelin, venait de pourfendre de son long coupe-cheval un molosse qui constituait le dernier rempart entre les gobelins et un noble caché derrière une pile de tonneaux. Autour, plusieurs cadavres de miliciens et d'un serviteur zélé gisaient dans leur sang, massacrés par les gobelins.

Deux archers gobelins étaient postés sur une pile de tonneaux accolée aux remparts et profitaient du spectacle offert par la mort du chien plutôt que de surveiller les environs tandis que deux gobelins s'acharnaient à coup de tranchechien sur le cadavre du serviteur, semblant mener une joyeuse compétition pour savoir qui le démembrerait le plus vite.

L'arrivée de la petite troupe n'était cependant pas passé inaperçu car le cavalier venait de pousser un cri ralliant ses troupes, tandis que Kostin avait posé la main sur tous les défendeurs de Pointesable, qui se sentaient désormais assistés par la déesse elle-même.

Tous les pjs bénéficient d'assistance divine, je vous laisse me décrire les ordres ou la stratégie donnés aux Pnjs avant de lancer le round 1...
Pour plus d'infos tactiques, voir la battlemap "meurs chien meurs !"

Modifié par un utilisateur mardi 21 octobre 2014 17:33:33(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'un des citadins qui avait accompagné les défendeurs de Pointesable se révéla être très bien habillé et apparement très sur de lui. Jérol Valdemar (l'un des cousins de cette famille noble) prit la tête du groupe qui alla prendre place de l'autre côté de la maison qui se trouvait à droite de la petite troupe qui avançait résolument vers la porte Nord et les gobelins.

A la vue de la petite troupe qui se dirigeait vers eux et au cri de leur chef, les gobelins abandonnèrent leur jeu macabre et se dirigèrent lentement vers la petite troupe, en ricanant comme des déments, sans se soucier de leur protection, leurs tranchechiens dégoulinant du sang du défunt serviteur humain trop zélé.

Un gobelin musculeux qui se trouvait près des tonneaux, où deux archers s'étaient perchés, se dirigea également vers la petite troupe le regard rivé sur Garett en grommelant dans sa langue infecte. Il prit une petite javeline qu'il tenta de lancer sur le molosse, mais qui ricocha sur l'armure du chien, avant de se saisir d'une masse d'armes damasquinée trop grande pour lui qu'il leva au-dessus de sa tête, prêt au combat.

Modifié par un utilisateur jeudi 23 octobre 2014 15:41:32(UTC)  | Raison: Non indiquée