Voyant avec surprise et plaisir que la situation n'allait au final pas s'envenimer. A savoir si c'était l'action d'Aya, la peur de ce qui pouvait se passer ou l'action combiné de tout ça surtout avec l'aide de Kostin et de tout les autres. Le final étant que ça semblait pas trop mal se passer. Enfin apparemment.
Hein? Euh... Non non, j'ai rien a ajouter je crois. Réfléchissant rapidement a s'il devait ajouter quelque chose a la situation actuelle. Ah si! Je voulais vous demander. S’éclaircissant la voix de peur d'avoir une mauvaise nouvelle. Je voulais savoir si vous aurez vue ou recueilli il y a quelque temps une jeune femme du nom de Shalelu?! Cherchant un regard d'une personne qui aurait peut être des informations. Ne sachant absolument pas si elles seraient bonnes ou mauvaises.

Par une belle coïncidence, ou peut-être justement parce qu'il avait les mêmes raisons qu'Happog d'y penser à ce moment précis, le stratège errant vint à la rencontre du groupe de miliciens. C'est avec un sourire franc et calme (quoiqu'un peu endurci par le passé) qu'il salua le groupe, ne manquant pas d'accorder un regard personnel même aux plus humbles des soldats, et pas seulement à Kostin et Jodh. D'un ton posé et détendu (quoique suffisamment formel pour ne pas être irrespectueux), il s'exprima en ces termes : « Merci à tous pour ce que vous faites pour les habitants de la région. Sans votre intervention, il est certain que de lourdes pertes auraient bientôt été subies par eux, malgré leur expérience et leur détermination. Ces gens ont le fort sentiment d'être ignorés de Pointesable ; vous leur prouvez le contraire, et cela, ils en ont bien besoin. » Il marqua une courte pause avant de poursuivre, indiquant ainsi qu'il s'apprêtait à changer de sujet. « Mon travail ici, je crois, est terminé. Mais je pense avoir encore beaucoup à faire aux mêmes endroits que vous. Me permettez-vous de vous accompagner ? Qui sait, peut-être me trouverez-vous une utilité au delà de cette mission. » Ils purent alors remarquer que, accompagné d'une petite mule relativement chargée dont il frotta affectueusement le crâne derrière les oreilles, il était prêt à prendre la route, sans doute habitué à un mode de vie nomade.

Modifié par un utilisateur lundi 18 mai 2015 15:18:54(UTC)  | Raison: Non indiquée

Lorsque Kostin lui tendit la main, Lyod ne put pas la serrer de façon normale, parce qu'il n'avait manifestement l'usage que de son bras gauche. À la place, il lui tint brièvement la main avec celle qu'il avait disponible, non par le côté comme cela eut été possible avec sa main droite, mais par le dessous, de façon un peu étrange n'évoquant certainement pas une poignée de main vigoureuse, mais à laquelle il semblait habitué, du fait de la méprise courante de ses interlocuteurs, et donc sans créer trop de gêne par son geste surprenant mais naturel. Quant aux autres, ils déduirent sans doute qu'il valait mieux se contenter de faire signe.

Il sourit ensuite de façon un peu amusée, mais pas moqueuse, aux mots de Kostin. « Il est très malin de votre part de m'indiquer vos domaines d'expertise au combat, car c'est une information dont j'ai besoin pour y participer moi-même efficacement. Voyez-vous, comme je l'ai expliqué tout à l'heure et comme je l'ai montré en enseignant aux Blecsen, je suis tacticien. Je ne peux pas me battre en première ligne - vous pouvez le constater vous-même ! », fit-il avec un geste rieur de l'épaule, manifestant son handicap sans montrer directement son bras blessé, - « mais je peux vous aider de plusieurs façons. Tout d'abord, j'ai quelques compétences et outils dans le domaine de la médecine, si bien que je serai le premier à relever ceux dont le sang a coulé - même si cela ne vaut sans doute pas votre magie sacrée ; mais surtout, j'ai un œil exercé et de longues études derrière moi, lesquels me permettent de coordonner mes alliés au combat.

En un sens, un guerrier est pour moi ce qu'une épée est pour vous : une extension de mon bras, que j'ai appris à manier et que je maîtrise d'autant mieux que je la connais. Croyez-moi, ce n'est qu'au calme que l'on peut bien voir la tempête ; mon rôle, d'habitude, est donc de prodiguer à ceux qui croisent le fer les conseils et la vision dont ils ont besoin pour éviter les pièges et infliger des frappes décisives, et ce même au cœur de l'action. De plus, je suis sûr de pouvoir vous enseigner quelques manœuvres de combat avancées et de vous guider dans leur exécution. Mais, bien entendu, c'est à vous que revient la gloire de la guerre. Je ne suis que votre servant, quoiqu'une armée ait besoin de stratège autant qu'un stratège a besoin d'hommes. Toutes les décisions vous appartiennent ; je ne suis, au fond, qu'un catalyseur, et je ne demande rien pour moi.

Mais nous aurons bien des occasions de parler de cela ; même en temps de paix, j'espère être bon compagnon. Malgré mon air manchot, j'ai quelques compétences. » À ces mots, il sembla brusquement avoir une idée, et se hâta de l'exprimer : « Oh, d'ailleurs, ce n'est pas la peine d'essayer de soigner mon bras. Il est incurable ; c'est de naissance. Mais ne vous inquiétez pas, je me débrouille très bien sans lui ! » De bonne humeur, il semblait ouvert et prêt à répondre à toute question qu'on lui poserait. D'ailleurs, son regard curieux semblait indiquer qu'il était lui-même intéressé par les autres membres du groupe et espérait qu'ils s'exprimeraient eux aussi, ne serait-ce qu'au sujet de leurs aptitudes martiales.

Modifié par un utilisateur mardi 19 mai 2015 18:37:14(UTC)  | Raison: Non indiquée

Lyod eut d'abord l'air surpris et agressé, d'autant plus qu'Aya s'était beaucoup rapprochée de lui tout en lui parlant de façon menaçante. Mais, quoiqu'écarquillant d'abord les yeux - il était humain, après tout, et ne pouvait prétendre être insensible aux émotions -, il resta étonnamment calme (faisant par l'occasion montre de sa faculté à garder son sang-froid et sa capacité d'analyse même en pleine bataille) et, après un mouvement de recul et les paroles de Jodh, sembla simplement prendre les insultes de l'eidolon avec humour et maturité, n'y accordant apparemment pas beaucoup d'importance. « Allons, oublions ça. Heureux de voyager avec vous, moi aussi ! » Il répondit même avec pédagogie à la question de l'étrange créature : « Et un catalyseur, c'est quelque chose qui aide, tout simplement ! »

Alors le conjurateur lui tendit la main, et c'est avec amusement que Lyod lui fit remarquer, d'un simple regard éloquent mais sans méchanceté, qu'il venait de commettre la même erreur que Kostin ; toutefois, il ne lui laissa pas le temps de rétracter son geste et lui tint légèrement la main comme il l'avait fait avec le disciple de Sarenrae, de bon cœur et passant rapidement à autre chose. « Appelez-moi simplement Lyod, je préfère. Kostin, donc... Et Jodh, c'est bien ça ? Et vous, c'est Aya, si j'ai bien compris. » Il la dévisagea quelques instants les plus brefs possible, en s'efforçant de son mieux de ne pas avoir l'air oppressant. « C'est une question que l'on doit beaucoup vous poser, excusez-m'en à l'avance, mais je n'ai jamais vu de vos semblables auparavant... vous êtes... hm... enfin, je ne veux pas dire de bêtise... » Il semblait s'empêtrer, cherchant à éviter de poser sa question de façon trop brutale, et ne trouvant aucune formulation impolie ; toutefois, ce qu'il cherchait était évident : QU'EST-CE qu'Aya était ? Une sorte d'elfe exotique ? Un vampire ? Un démon ? Un azata ? Il n'avait aucune connaissance académique en cosmologie, et donc aucune chance de savoir ce qu'était un eidolon ; mais, sincèrement curieux, il désirait en savoir plus... Aussi, il espérait que Jodh ou Aya elle-même lui épargnerait de finir sa phrase ; mais dans le cas où cela n'arriverait pas, il achèverait ainsi : « Je veux dire : à quel peuple appartenez-vous ? D'où venez-vous donc ? Êtes-vous un être surnaturel ? Je vous le demande par pure curiosité ; j'espère ne pas vous offenser. »

Puis, une fois une réponse satisfaisante obtenue (car il insisterait avec douceur, sans doute, si on lui répondait seulement de façon humoristique, moqueuse, évasive ou peu crédible), il se tournerait vers les autres membres de l'équipe, s'adressant à eux amicalement et cherchant sincèrement à mieux les connaître. « Et vous donc, quels sont vos noms ? Venez-vous tous de Pointesable ? Vous êtes soldats ? » Mais bien entendu, il ne les submergerait pas de questions, prenant le temps de discuter avec eux posément, et ferait profil bas dès qu'il faudrait passer à des activités plus importantes, telles que celle consistant à dire adieu aux Blecsen. D'ailleurs, il ne se priverait pas, à l'occasion, de remercier personnellement les quelques paysans qu'il avait eu le plaisir de connaître lors de son séjour, faisant même une accolade chaleureuse à ceux qui l'avaient hébergé et soigné. Il ne ferait cependant pas de discours, et se contenterait, à la place, de saluer de la main tout le village avant de prendre la route avec les autres, jetant un dernier regard amical à tous ceux qui seraient prêts à le lui rendre.

Modifié par un utilisateur mardi 19 mai 2015 21:58:06(UTC)  | Raison: Non indiquée

Quand Lyod eut fini de se présenter il lui répondit « Nous avons tous nos défauts mais tant que nos qualités les compenses, ce n'est pas un problème. Ne vous inquiétez pas pour votre bras en moins et j'ai hâte de voir comment vous pourrez nous aider. » Voyant Aya s'approcher, il recula afin de la laisser parler et une fois qu'elle le fit, il sourit mais il regarda les personnes qui auraient pu l'entendre afin d'être sûr que les réactions ne soit pas hostile. Quand Jodh répondit à la question de Lyod sur la provenance d'Aya, il ajouta avec une voix triste et la mine déconfite « Elle a dû avoir une enfance malheureuse pour être aussi dur, certains diront franc ...  » puis il sourit et d'une voix paillarde il ajouta « Nous lui apprendrons l'humour, car apparemment cela aussi lui manque. » Il faillit lui faire une tape sur l'épaule mais son instinct le retint Elle n'est pas encore prête.

Puis plus sérieusement, il dit à ses compagnons « Il est tard et je ne sais pas si arriver dans une nouvelle ferme juste avant la tombée du jour soit une bonne idée. On passe la nuit ici et on y va aux premières heures du jour ? »

Le fait de reprendre la route à dos de cheval si rapidement ne l'enchantait guère mais quand il faut, il faut ... « Merci Tihelilo. »

Il remercia Happog d'avoir accepté de prendre le rôle de meneur d'homme. Il attendit que tous ses compagnons soient prêts à partir pour monter sur le cheval et une fois le cortège en marche, il pria que Sarenrae lui engourdisse rapidement son postérieur.

Le passage rapide auprès des fermiers proches était autant de bénédiction afin de laisser souffler ses fesses. Kostin était content car les accueils étaient plutôt favorable pour le moment du coup, la mission semblait prendre une bonne tournure. Quand Tihelilo leur montra les traces et expliqua ce que cela pouvait être, il prit le temps de demander conseil auprès de ses compagnons « Que faisons-nous, nous poursuivons notre démarche de colporteur ? ou nous suivons ses traces pour éliminer la vermine qui pourrait attaquer dans notre dos, ou pire une des fermes que nous n'aurions pas encore vues.

Pour ma part, je préfèrerais suivre les traces mais je suivrais la majorité. Nous formons un conseil. » Il sourit à pleine dents pour dire les derniers mots.

Modifié par un utilisateur mercredi 20 mai 2015 12:58:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Lyod acquiesça aux propos de Kostin et Jodh. Parmi les Lordim et Blecsen qui les accompagnaient, il en désigna deux qui étaient armés de lances. « Pouvez-vous vous occuper des mules ? Veillez à leur sécurité et à la vôtre. Quant à vous », dit-il en s'adressant aux deux paysans restants, ceux armés d'arbalètes, « je suggère que vous nous accompagniez ; vous pourrez nous être utiles sans risquer de blessures. À huit, nous devrions pouvoir gérer une dizaine de mites ou gobelins sans mal... espérons qu'il n'y ait qu'eux. » Ainsi donc confia-t-il Snufkin aux deux paysans (si personne n'éleva d'objection contre ses propositions), avant de se hâter de se diriger avec ses autres compagnons vers la menace.

Tout en galopant, il prononça encore quelques mots, profitant du temps qui lui restait avant qu'un combat ne risque de se déclarer. « Messieurs », fit-il tout en incluant ostensiblement Aya dans le lot, le terme n'étant donc pas à prendre en un sens sexué, « si nous les trouvons, concentrez-vous sur vos cibles et prêtez l'oreille à mes indications. Ne vous préoccupez pas du reste : je serai vos yeux. » Il sourit d'un air confiant. « Je sais bien que nous n'avons pas encore eu le temps d'établir de synergie, mais ce sera l'occasion de nous découvrir. » Il finit même sur quelques paroles inspirantes, d'une voix claire et sans peur, s'efforçant d'éveiller une vaillance inflexible en les miliciens : « Héros, que vos bras et vos cœurs soient fermes ; tout le peuple de Pointesable compte sur vous ! »

Modifié par un utilisateur mardi 26 mai 2015 05:45:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

Kostin regarda la petite troupe prendre les armes et la route. L'engouement qu'avait Lyod l'amusait car, même si cela était utile d'encourager les hommes, il fallait aussi savoir calmer les ardeurs qui pouvaient les envoyer trop facilement au combat.

Tihelilo faisait très bien son travail et quand il revint avec ses nouvelles de mite et de mille-pattes géant, il dit « Autant je vois ce qu'est un mille-pattes qu'une mite ... c'est quoi ? »

Lyod rassembla rapidement ses alliés en arrière (là où il était sûr qu'on ne les verrait pas) de façon à pouvoir discuter d'un plan avec eux. Sûr de lui, il alla droit au but et chuchota : « Bien, nous ne savons pas où sont les autres mites ni les vermines qu'ils contrôlent, mais il y a de grandes chances pour que plusieurs se cachent dans les environs. Nous sommes les attaquants ; notre avantage est donc que nous pouvons les prendre par surprise.

Je vous propose de longer les murs et les escarpements par la gauche de façon à atteindre la tour sans être vus ; pas un bruit en chemin, et que chacun marche dans les pas de celui qui le précède. Une fois qu'on aura atteint le coin du bâtiment, on pourra se séparer en deux groupes pour les diviser en deux et les submerger. Notez que nous aurons sans doute besoin de plus de combattants pour la tour. Préparez-vous à faire face à leurs sales tours, et ne vous laissez pas impressionner : les mites font plus de peur que de mal. Des questions ? » Si le tacticien ne pouvait pas tuer personnellement, il pouvait au moins apporter son expertise ; et ses alliés, ainsi coordonnés, savaient à présent comment procéder pour être sûrs de prendre leurs ennemis par surprise dans la situation présente...



Avec Tacticien rapide, Lyod partage avec tous les membres du groupe le don d'équipe Stealth synergy pendant 4 rounds (action de mouvement) : Working closely with an ally, you are able to move like twin shadows. Benefit: While you can see one or more allies who also have this feat, whenever you and your allies make a Stealth check, you all take the highest roll and add all your modifiers to Stealth.

Si le groupe est d'accord, tout le monde effectue un jet de discrétion, et tout le monde utilise uniquement le meilleur jet. Pour les modificateurs, je n'en suis pas certain, mais si j'ai bien compris ils s'appliquent séparément, de façon individuelle, comme en temps normal.

Avec une action simple, Lyod utilise aussi Commandes inspirantes et commence à appliquer les effets d'Inspiration vaillante (+1 aux jets de sauvegarde contre les effets de terreur et de charme et +1 aux jets d'attaque et de dégâts avec des armes pour tous les alliés qui peuvent l'entendre).

À partir de là, l'idée de Lyod est que tout le groupe se déplace vers G11. Lui-même se placera plutôt à l'arrière, de façon à être en sécurité, et aussi parce qu'il se sait peu agile.

• Discrétion : 1d20-1 donne [14] - 1 = 13

Modifié par un utilisateur jeudi 28 mai 2015 01:05:06(UTC)  | Raison: Non indiquée

Lyod s'attacha à répondre méthodiquement et simplement aux questions qu'on lui posait. « Oui, on peut dire que les mites sont semblables aux gobelins, par certains points. Comme eux, les mites sont cruels et détestent les humains... mais les mites et les gobelins se détestent aussi entre eux, d'habitude. J'ignore si leurs actions récentes à l'égard des fermes sont liées à l'attaque contre Pointesable, ainsi que de quelle façon, mais dans tous les cas, ces créatures sont une vraie nuisance. J'en ai déjà vu quelques unes à l’œuvre en Nirmathas, dont les forêts sont peuplées d'être féeriques comme eux ; croyez-moi, si vous les laissez faire, ils vous rendent la vie infernale. »

Il marqua une courte pause, compréhensif face aux doutes de Jodh. « Ne vous en voulez pas trop de les tuer ; les mites maudissent notre existence et menacent plus que jamais les paysans de la région. Ils sont d'origine surnaturelle, comme les gnomes, mais contrairement à eux les mites ne vous veulent que du mal. C'est dans leur nature ; ils commandent aux araignées et ne se sentent à l'aise que dans les ombres. Je ne suis pas prêtre, mais, à ce qu'on m'a dit, aucun dieu ne vous reprochera de les tuer, si ce n'est Lamashtu ou Rovagug, et encore. Cependant, il est encore temps de reculer ; je ne tiens pas spécialement à les attaquer. Je me plierai à votre décision, mais, si vous voulez faire demi-tour, agissez vite : je ne veux pas laisser notre convoi seul trop longtemps... » Alors il se tourna vers Kostin, comme pour l'interroger ; après tout, Lyod ne savait pas grand chose à la cosmologie, et il ne s'en cachait pas. Ce n'était pas là son domaine, et à l'évidence, il espérait obtenir confirmation de la seule personne présente qui pouvait se dire guide moral.


Oui, c'est bien ça, il faut faire un jet de Discrétion par personnage ! Pour l'instant, comme le meilleur jet de dé est 17, nous aurons tous au minimum 17 + nos modificateurs personnels (Aya 21, Jodh 19, Lyod 16...). Est-ce qu'il y a autre chose que je peux clarifier ?

Modifié par un utilisateur jeudi 28 mai 2015 04:58:32(UTC)  | Raison: Non indiquée