Nail sourit légèrement aux mots de Princesse, sans toutefois perdre de vue ses préoccupations principales. « Merci, Tihelilo. C'est du bon travail. » Il répondit ensuite chaleureusement au salut de Daviren. « Merci, mon ami ! Grâce à toi, beaucoup de gobelins vont mourir. D'ailleurs, à ce propos... » Nail sourit à son interlocuteur d'un air complice et poursuivit en aparté, son propos étant d'un coup plus personnel. « ... si tu veux te battre directement, y a moyen que tu récupères très bientôt de nouvelles pièces pour ta collection » - et c'était bien sûr à sa collection d'oreilles de gobelin que le rôdeur songeait. « Simple tuyau, tu en fais en ce que tu veux, mais voilà : on va recruter des miliciens temporaires pour la défense de Pointesable. Si ça te tente, je te conseille de passer à la caserne dans la journée ou de parler à Gnosim si tu le vois ! Enfin, de toute façon des crieurs publics te donneront toutes les informations utiles, héhé. » Arrêtant là les confidences, le demi-elfe revint à un ton plus professionnel. « Quoi qu'il en soit - et désolé de ne pas avoir prévenu plus tôt -, est-ce que tu aurais, en plus de tes beaux destriers, quelques mulets robustes ou quelques chevaux de bât ? On va devoir emporter une grande quantité de matériel avec nous, et notre route sera longue. »

Après avoir obtenu la réponse, qu'elle soit positive ou négative, le forestier se tourna vers Kostin, laissant également leurs hommes entendre ce qui se disait. « Nous ne pouvons pas laisser les gens du pays se débrouiller sans aide. Nous allons leur fournir des armes. Je suis sûr que Gnosim et Syrius se débrouilleront très bien avec les armuriers de la ville ; nous n'avons pas le temps d'en faire autant, et nous saisirons donc toutes les réserves de la caserne, à moins que tu aies des objections. » Après avoir obtenu confirmation de son compagnon (si toutefois c'était bien sa décision, et si personne d'autre ne s'opposait à lui), Nail poursuivrait de la sorte : « Tihelilo, préparez les chevaux de bât comme vous l'avez fait pour nos montures, puis amenez-les à la caserne. Les autres, allez rassembler là-bas TOUTES les armes et armures disponibles ; vous les chargerez dès que Tihelilo en aura fini. Kostin et Princesse, si vous le voulez bien, je vais en profiter pour voir avec vous nos plans de route. Nous vous rejoignons à la caserne dès que nous avons terminé ; notre départ aura lieu dans une demi-heure environ. Des questions ? »

Après avoir vérifié encore une fois qu'aucune objection ou interrogation ne s'élevait, Nail envoya calmement les soldats exécuter les ordres puis sortit de son sac une carte de la région et y montra minutieusement du doigt à Kostin l'itinéraire qu'il prévoyait ; il lui fallait prendre les choses en main, car le prêtre ne connaissait pas les environs, et ce n'était sans doute pas Princesse qui allait sérieusement les guider.


« Nous devrions en avoir pour trois journées complètes si nous voulons informer et armer tous les habitants du pays. Voici le trajet optimal d'après moi... Nous suivrons la route du sud jusqu'au Bois des Murmures, en bordure duquel nous nous reposerons la première nuit. Nous pourrons certainement demander l'hospitalité à l'une des fermes des environs. Ensuite, nous remonterons vers le nord-est jusqu'à la Turandarok, du côté du Bois Moussu, en longeant les Landes des Murmures. Là-bas, nous pourrons laisser de l'armement supplémentaire pour les bûcherons du Bois aux Tiques. Après, nous rentrerons vers l'intérieur des terres, comme ça, à gauche puis à droite, un peu comme des bœufs labourant un champ », fit-il parce qu'il ne connaissait pas le mot "boustrophédon".

« À mi-chemin du Bois d'Egan, nous devrions nous reposer la seconde nuit. Ensuite, nous nous dirigerons vers lui, le longerons, arriverons à la dernière ferme du coin, passerons par le Puits aux Souhaits, profiterons de notre situation pour aller voir si tout se passe bien au Sanatorium de Habe, et finalement nous retrouverons les fermes les plus proches de Pointesable, puis Pointesable le soir-même. » Il marqua une pause pour vérifier que Kostin avait tout compris, puis il reprit. « Tu vois ces quatre fermes ? Nous n'allons pas y passer directement, cela rallongerait trop notre route. À la place, nous demanderons aux habitants de ces fermes-ci de leur donner rendez-vous avec nous le lendemain à ces fermes-là. Si tout se déroule normalement, cette organisation nous permettra de ne pas perdre de temps et de rentrer ici à l'heure prévue. Tout est bon pour toi ? »

Une fois que tout cela était réglé, Nail se hâta de rédiger deux brefs messages, le premier pour Gnosim, qu'il laisserait à la caserne et qui résumerait ce plan (l'informant donc de ce qui était arrivé aux armes et du fait que l'expédition devrait être de retour le surlendemain au soir), et le second pour Shalelu, qu'il laisserait avant de partir à l'auberge du Dragon Rouillé, et qui lui résumerait très rapidement les derniers événements, en plus de lui transmettre ses affections. Alors il signalerait à Kostin et Princesse qu'il était prêt à y aller, et, si tel était également leur cas, l'aventure pourrait commencer !

Modifié par un utilisateur jeudi 26 février 2015 14:51:23(UTC)  | Raison: Non indiquée

C'est le sac bien remplis sur le dos, tout bien ranger comme il faut qu'il se dirigea comme on lui avait dit vers l'écurie. L'écurie du gobelin écrabouillé, c'était pas si mal trouvé pour le départ d'une mission qui avait pour but entre autre de "discuter" avec les gobelins. A cette idée, il eu un petit rire nerveux. Allez courage, on a tous le même but. Enfin... Peut être. Surement. Oui allez... C'est sur ces derniers mots qu'il se décida a franchir l'entrée.
Des hommes et femmes en armures et en arme, de gros molosse, des gens sûr deux et presque sur le départ et a coté Jodh qui de sa frêle carrure qui arrivait tranquillement avec semble-t-il pour tout équipement un sac a dos et une arbalète légère qui pendait a sa ceinture. De toute façon, pour ce quelle avait servie...

Euh... Bonjour? Regardant le groupe qui semblait prêt a partir, cherchant Nail du regard. Il le connaissait plus de nom que vraiment. Du moins suffisamment pour le reconnaitre parmi cette petite foule et le rejoindre pour tenter de lui expliquer tant bien que mal le pourquoi de sa présence. Bonjour Nail, je... Je viens de la part d'Amaiko. Elle a peur pour une amie et euh pour toi. Tout gêné il tenta de se rattraper. Enfin, pas que je suis là pour te surveiller ou te protéger. Enfin pour savoir si je peux me joindre a vous. Enfin voila.

Aux mots de Jodh, Nail s'assombrit soudainement, dévoilant un aspect atrabilaire que bien peu de gens lui connaissaient. Il acquiesça silencieusement, mais ce silence, lourd, en disait long. Il savait qui était cette "amie", et il ne souhaitait manifestement pas en parler.

Le demi-elfe serra simplement la main de Jodh, puis reprit d'un ton calme. « Un bras de plus ne sera pas de trop. Tu sais te battre, je suppose ? Sans cela, Ameiko ne t'aurait sûrement pas envoyé. Sois le bienvenu. Comment t'appelles-tu ? Tu connais déjà mon nom, et voici Princesse et Kostin, qui s'est déjà présenté. Nous assumons ensemble et avec d'autres la charge du Prévôt en attendant son retour de Magnimar ; nous allons maintenant chercher nos hommes à la caserne, puis partir sans attendre. J'espère que tu es prêt pour un long voyage : nous en avons pour trois jours de route, et sans nous reposer beaucoup. »

Il se tourna alors vers Kostin, auquel il n'avait pas eu l'occasion de répondre jusqu'ici. « À ce propos, je comprends bien ton désir d'emporter une charrette, mais je crains que ce soit une mauvaise idée : nous emprunterons des chemins caillouteux et sauvages, et parfois-même il nous faudra couper à travers champ. Qui plus est, nous risquons de devoir faire face à des combats. C'est pourquoi nous avons pris des mulets pour transporter le matériel ; eux, au moins, ne nous ralentiront pas. Emporter avec nous des véhicules encombrants et peu maniables me semble être un luxe dangereux. » Malgré ces mots, Kostin put ressentir que le rôdeur ne semblait pas entièrement fermé à l'idée, car, manifestement, il appréhendait un peu le voyage lui aussi.

Modifié par un utilisateur lundi 2 mars 2015 09:39:20(UTC)  | Raison: Petite incohérence

Repositionnant son sac a dos presque trop lourd d'une main, serrant celle de Kostin de l'autre. Jodh. Puis pompeux? Je crois pas, après tout vous avez belle est bien sauvé la ville. Merci encore pour ce que vous avez fais. Dit-il avec sincérité courbant un peu l'échine. Sans trop non plus sous peine de se faire emporter en avant par le sac a dos qui lui était arnaché.

Tournant la tête vers Nail qui présenta le reste du groupe. Moi c'est Jodh. Comme il venait de le dire il y a a peine quelque seconde. On peut facilement deviné qu'il n'est pas forcement a l'aise et que c'est surtout la première foi qu'il part comme ça a l'aventure. Les long voyages a chevaux ne sont pas ma spécialité mais je suis prêt a vous suivre. Pas sa spécialité? C'est vraiment peu dire. C'est a peine s'il avait déjà monté a cheval. Mais il fallait bien le faire, il parait qu'avec de la volonté, on peut tout changer.

La petite troupe était fin prête, les hommes et Princesse assis sur leurs chevaux, les mûlets chargés d'armes et d'armures, la main sûre, l'oeil d'acier, tous étaient prêts à aller au-devant de dangers qu'ils ne pouvaient que deviner.

Alors qu'il lançait le signal du départ, Nail aperçut du coin de l'oeil une silhouette familière qui sortait de l'Auberge du Dragon Rouillé et qui l'interpellait :


« Holà, mes amis, comment allez-vous ? Ou allez vous donc ainsi armés pour la guerre ? Avez-vous oublié notre partie de chasse au sanglier ? Je m'en voudrais de manquer une occasion de profiter de votre compagnie. »

Aldern Gantrenard, en habit de chasse de noble de grande qualité, tout sourire tendit sa main à Nail, Kostin et Princesse, ignorant ostensiblement les autres. Il était accompagné de trois pages, portant chacun une arbalète lourde avec un carquois et de solides épieux.

« La défense de Pointesable, voilà une bien noble et excitante mission, digne de vous, j'en suis sur ! »

Aldern Gantrenard semblait néanmoins légèrement contrarié, sa bouche prenait un pli boudeur.
« 
Quel dommage que nous ne puissions nous livrer à cette chasse, je m'en faisais une joie. J'avais espéré que vous accepteriez de me montrer quelques unes de vos passes diablement efficaces avec votre arme exotique.  »

Tout à coup son visage s'éclaira
« Et si je vous accompagnais quelques temps, vous n'auriez rien contre un peu de compagnie ? »

Espérant visiblement une réponse positive, le noble faisait signe à Daviren de lui amener une monture, outre des mulets pour ses valets.

« Une important mission militaire ! Voilà quelque chose de rafraîchissant et de divertissant. Je vais vous accompagner un bout de chemin. Rassurez-vous, je ne vous encombrerait pas. En outre, mes valets sauront se montrer utile pendant les pauses. »

Sans jeter un regard vers les dits valets, empêtrés dans leurs armes sur de vieux mulets trop vieux (les fonds de stalle de Daviren), Aldern enfourcha une placide jument avec l'air important et vaniteux de ceux qui s'en vont en guerre en pensant aller au théâtre.

La petite colonne s'ébranla enfin et sortit de Pointesable par le petit pont Sud sur le Turandok, traversa les campements varisiens de la rive Est et s'enfonça enfin dans les sous-bois qui longeaient les contreforts de la masse Sud des Nids aux Corbeaux.

de petits oiseaux lumineux, des Syrgettes Argentées reconnut Nail, égayaient la sombre fraicheur des sous-bois de leurs vols vifs et lumineux, pour la plus grand joie d'Aldern qui parla de ses chasses aux Styrgettes de son enfance..

Si le territoire des Ecraseurs d'Oiseau se trouvait sur les versants du massif Nord, le Turandok ne constituait pas un obstacle infranchissable pour les gobelins et leurs chiens et tous étaient nerveux. A l'exception notable d'Aldern.

Tihélilo chevauchait à quelques dizaines de mètre en avant, attentif au moindre bruit, l'arc bandé en main, une flèche encochée.

Aldern devisait régulièrement de choses sans intérêt, manifestant fréquemment son admiration pour les nouveaux Prévôts et chaque courte pause était pour lui l'occasion de demander à Nail d'échanger quelques passes, rapière contre double-lame. La maladresse du noble arme à la main avait quelque chose de risible, mais il semblait adorer ces moments et surtout la vivacité et la maëstria de Nail comparé à lui.

Régulièrement Tihélilo, Jordi Melmont et les autres le rappelaient à l'ordre à propos de la nécessaire discrétion à adopter, et si le noble faisait à chaque fois amende honorable, il ne pouvait s'empêcher de fanfaronner un peu en prétendant pouvoir embrocher un gobelin sans problème maintenant qu'il était armé et en indiquant qu'avec une telle escorte de fiers soldats il se sentait de toute manière en toute sécurité, flattant le courage des miliciens et surtout des nouveaux Prévôts.

La matinée s'étirait et le soleil arrivait bientôt à son zénith lorsque les patrouilleurs, après avoir achevé de contourner les massifs Sud des Nids aux Corbeaux, toujours sans croiser quiconque, arrivèrent en vue du vieux pont agrémenté d'une récente statue de Cougar-fourrure-ardente (félin typique de la région), et offrant un beau panorama sur la Crique du Cougar.

Ils savaient tous qu'un fois le pont franchi, ils quitteraient la Route pour s'enfoncer dans les chemins cahoteux et les taillis buissonneux de la campagne pointesabloise.
Happog dessera les dents :
« Un peu plus loin, après le pont, en retrait du chemin, se trouve la fosse commune où nous avons enterré les gardes et valets de Messire Pillili trucmuche. Ils étaient pas beaux à voir et des chiens gobelins nous étaient tombés dessus pendant qu'on procédait. Restons prudents.  »

Par-delà du pont qu'ils n'avaient pas encore franchi, les défenseurs de la ville purent apercevoir un envol de nombreux oiseaux aux ailes noires qui filèrent vers l'Est.

« Mauvais présage » maugréa Jordi Melmont en serrant un peu plus fort son arbalète chargée.

Modifié par un utilisateur lundi 2 mars 2015 19:23:27(UTC)  | Raison: Non indiquée

Suivant le groupe tranquillement, accueillant le noble d'un salut a peine remarqué. De toute manière pourquoi un noble devrait s'occuper de quelqu'un comme lui. Il n'y avait rien de particulièrement choquant dans la démarche.
Restant dans la formation avec son cheval était plutôt assez simple, faut dire que le cheval faisait un peu tout, tout seul. Tant qu'on ne lui demandait pas de galoper ou n'importe quoi d'autre, il n'y aurait pas de grand risque de chute. Bien que le sac commençait a se faire lourd, et les fesses de plus en plus endolorie.

Écoutant d'une oreille distraite ce qui se disait. Mauvais présage? Un combat? Il y avait déjà du danger? Ils venaient a peine de partir! Enfin un peu de courage. S'il y avait du grabuge et qu'il était blessé... Aya en ferait encore toute une histoire, et hors de question de la faire venir maintenant au milieu de nul part. D'un elle ne voudrait pas repartir et de deux... Pas certain que le courant passe bien avec tout le monde, surtout le noble! Elle a une certain vision peu orthodoxe de ce genre de personne.
Euh... On fait quoi du coup?! Jodh ne savait absolument pas ce qu'il devait faire ou pas.

Il sentait l'adrénaline monter en lui et il aimait ça. Il sauta plutôt gracieusement de son cheval et une fois au sol, il se frotta les fesses de ses deux mains. Il constata qu'il ne sentait plus rien « Au moins, si je suis blessé sur cette partie de mon corps, je ne sentirais rien. »

Il grimaça mais cela ne l'empêcha pas de se préparer au combat. Il ajusta son armure, ses vêtements et son matériel. Une fois fait, il dégaina son long cimeterre à deux mains qu'il posa lame sur son épaule la tenant d'une main pendant que de l'autre il réajusta sa coiffure en entant de les plaquer vers l'arrière. Voyant qu'ils ne tenaient pas en place, il posa son arme au sol et il se fit une natte avec minutie. Une fois terminé, il ramassa son arme qu'il repositionna sur son épaule et en souriant il dit « Alors comment on procède ?

Je ne suis pas discret dans mes déplacements et je n'ai pas d'arme de distance à part ceux-ci. » Il sortit une flasque de feu grégeois, « j'en ai trois plus d'autres trucs qui pourraient servir. »

Modifié par un utilisateur mardi 3 mars 2015 10:02:39(UTC)  | Raison: Non indiquée

La patrouille, menée par Nail se rapprocha précautionneusement de l'entrée du pont.

Le rôdeur inspecta les alentours sans repérer d'ennemis, mais il discerna sur le bas-côté de la route les empreintes de pieds gobelins plutôt fraiches. Il put suivre les empreintes des gobelins sur le tablier du pont, qu'il traversa en usant de mille précautions.

Aux aguets, ils traversèrent le pont, les arcs et les arbalètes prêts à servir visant la végétation alentour. La tension des membres de la patrouille se ressentait dans les petits souffles nerveux des chevaux, menés par les trois valets d'Aldern. Celui-ci semblait parader au milieu de ses valets, une arbalète chargée dans une main, la canne posée sur son épaule dans l'autre main.

De l'autre côté du pont, Nail put identifier les traces qu'il suivait : une dizaine de gobelins et deux chiens gobelins. Une crotte relative fraîche lui permit d'estimer l'avance des monstres à 3 heures. Les gobelins avaient pris le petit chemin de terre prévu sur l'itinéraire de Nail.

La patrouille remonta en selle alors que les mulets de bas devinrent de plus en plus rétifs, forçant Happog à les battre comme plâtre avec un nerf de boeuf pour les faire avancer.

Après un court instant, l'envol de trois corbeaux dans les hautes herbes permit à Happog de commenter :
« C'est là-bas dans les hautes herbes que nous avons enterré les malheureux. Bizarre que les corbeaux y trainent.  »

Du haut de leurs chevaux, les patrouilleurs aperçurent soudain à travers les hautes herbes un spectacle macabre vers l'endroit où devait se trouver la fosse. Il semblait, vu de loin, que se dressait un épouvantail fait d'un corps humanoïde sanguinolent sur lequel deux corbeaux continuaient de prélever des morceaux de viande pourrissante. Les piste des gobelins s'écartait du chemin pour aller vers l'épouvantail et en revenir, puis elle continuait plus loin sur le chemin, vers les fermes.

J'ai considéré que Nail prenait 10 (réussite automatique en l'espèce). Si vous voulez aller à vitesse normale pour la suite, il me faudra un test de survie pour continuer à suivre la piste des gobelins. Si vous restez à demi-vitesse, Nail réussi automatiquement à suivre la piste...

Modifié par un utilisateur mardi 3 mars 2015 10:52:41(UTC)  | Raison: Non indiquée