Source : Bestiaire 3 p.201
PX 6.400
Défense
CA 23, contact 17, pris au dépourvu 15 (Dex +7, esquive +1, naturelle +6, taille -1)
pv 104 (11d6+66)
Réf +16, Vig +9, Vol +10
RD 15/fer froid ; Immunité maladie, poison
Attaque
VD 15 m (10 c), nage 15 m (10 c)
Corps à corps épée longue de maître, +11 (1d8+9/19-20) et morsure,
+10 (1d8+6 plus maladie) et 2 sabots, +5 (1d6+3 plus maladie)
Espace occupé 3 m (2 c) ; Allonge 1.5 m (1 c)
Attaques spéciales piétinement (1d6+9, DD 21), souffle (cône de 9 m, 10d6 dégâts plus maladie, Réflexes DD 21 1/2 dégâts, utilisable tous les 1d4 rounds)
Pouvoirs magiques (NLS 9; concentration +14)
Caractéristiques
For 22, Dex 24, Con 22, Int 13, Sag 17, Cha 21
BBA +5, BMO +12, DMD 30 (34 contre le croc-en-jambe)
Compétences Acrobaties +21 (+29 pour le saut),
Connaissances (nature) +15, Discrétion +17, Évasion +21, Intimidation +16,
Natation +28, Perception +17
Langues aklo, commun, sylvestre
Écologie
Environnement littoraux ou marais froids
Organisation sociale solitaire
Trésor standard (épée longue de maître, autre trésor)
Capacités spéciales
Maladie (Sur). Mortéclat : contact ; JdS Vigueur DD 21 ; incubation immédiate ; fréquence
1/jour ; effet affaiblissement temporaire de 1d4 Con et la cible
est fatiguée ; guérison 2 réussites consécutives. Les animaux
reçoivent un malus de -2 à leurs jets de sauvegarde contre cette
maladie. Le DD du jet de sauvegarde est basé sur la Constitution.
Souffle (Sur). Le souffle du nuckelavee est un cône de pestilence
dévastatrice provoquant de douloureuses gerçures, des crampes
et des saignements qui n’affectent que les créatures vivantes :
ces dégâts ignorent toutes les résistances aux énergies et la
réduction de dégâts. Les plantes normales présentes dans la
zone sont affectées comme si elles étaient la cible d’un sort de
Flétrissement végétal. Toutes les créatures qui ratent leur jet de
Réflexes contre ce souffle doivent réussir un jet de Vigueur DD
21 ou contracter la mortéclat (cf. ci-dessus). Le DD du jet de sauvegarde
est basé sur la Constitution.
| Cette créature écorchée vive ressemble à un cheval et un cavalier
humanoïde, tous fusionnés en un même être hideux fait de rage et de maladies.
Les redoutables nuckelavees sont une manifestation de la
pollution et de la crasse, qu’il s’agisse de la décomposition
naturelle d’une marée rouge ou de la pollution envahissante
des égouts et autres sources urbaines de déchets. Le nuckelavee
est une ironie vivante : un porteur de maladies et un épandeur
de corruption qui déchaîne sa fureur contre les autres sources
de corruption du monde. La corruption que propagent les
nuckelavees ne fait qu’à accentuer le mépris qu’ils éprouvent
à l’égard d’eux-mêmes et leur rage générale. S’ils peuvent
accidentellement venger les victimes de toutes ces pollutions,
ils n’ont pas pour objectif de défendre les habitants des rivières,
des marais et des tourbières : ils aiment juste répandre cette
corruption qu’ils détestent tant et apprécient simplement de
voir leurs ennemis tomber malades et mourir.
Selon les contes populaires, il existerait des talismans à porter
(des fétiches en colliers d’algues, du crin de cheval trempé dans de
l’eau de mer ou des fioles d’eau de mer sanctifiée) ou des prières
à réciter pour éloigner les nuckelavees ou les convaincre de son
innocence. Mais en réalité, ces anciennes méthodes n’offrent
aucune protection contre ces vils propagateurs d’épidémie.
Le nuckelavee fait la même taille qu’un cheval.
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