Je me dirige vers Yirs
« Bien voyons voir cette piqure de moustique »



« La piqure est plus grosse que d'habitude. Mais cela semble normal vu la taille de la bestiole. Ça te gratte ? »

Modifié par un utilisateur vendredi 2 septembre 2016 10:34:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

La plaie est trop complexe pour les connaissances de Daernael, cela semble infecté fortement mais devrait se calmer avec le temps.

Akram rejoint à son tour ses camarades partis inspecter le passage. Se faisant il regarde la végétation grouillante avec appréhension.

« Précédemment des moisissures et maintenant ce jardin intérieur... Il y a - ma foi - beaucoup de verdure ici alors que nous nous trouvons en plein désert. » - Plutôt optimiste sur ce paradoxe, Akram rajoute. - « Cela ne peut que laisser présager de la beauté à venir du lieu lorsqu'il sera restauré. »

Modifié par un utilisateur vendredi 9 septembre 2016 16:08:22(UTC)  | Raison: Non indiquée

Il y avait étonnamment beaucoup de vie, bien que chaotique, en ce jardin, mais ni cachette, ni bien. Assurément, cette porte n'avait pas été ouverte depuis des décennies.

Les murs aux couleurs vives de cette petite chapelle, dont le but était probablement d’encourager la prière et la réflexion personnelle, se distinguent par leur caractère inhabituellement voyant, qui contraste avec l’architecture assez réservée du monastère. Sur ces derniers, de nombreuses plaques de bois rectangulaires parcourues de filigrane d’or dépeignent un guerrier costaud qui livre bataille contre des créatures de feu, chevauche le vent dans un char et s’engage dans d’autres actes de noble héroïsme. Il s’agit du même protagoniste représenté ailleurs dans le monastère, mais le grand nombre de reproductions trouvées en ces lieux suggèrent que ce sanctuaire ait été particulièrement important pour les prêtres, qui honoraient ce héros comme un saint de Sarenrae. Environ un quart des plaques dorées ont été arrachées des murs et emportées ou réduites en pièces par des vandales depuis longtemps disparus.
En face de la porte, dominant une partie du mur nord, s’élève une statue grandeur nature du guerrier, défigurée par ce qui ressemble à de nombreux coups de hache. La statue a les deux mains devant elle, bras fléchis au coude, paumes vers le haut, comme si elle attendait une offrande. Plusieurs entailles profondes, causées par de semblables coups de hache, annoncent clairement que quelqu’un a tenté, sans y parvenir, de trancher les bras de la statue il y a des décennies de cela.

«  Bha cela doit être un saint homme pour le clergé qui a accomplit de grand chose .... Mais on pourrai peut voir quel "objet" le symbolise et voir si on peut le placer dans ces mains. Vu que c'est une guerrier c'est cela pourrait être son arme" fétiche". Je trouve cet acharnement a vouloir lui couper les "bras" comme un indice.... Pour les plaques manquant vous pensez pas qu'on devrait plus recouper avec le "livre" qui a miraculeusement lui aussi survécu...  »

Pour ma part j'essaye de voir si pendant ces combats il y a un schéma redondant genre il a toujours une lance, une épée .....

Modifié par un utilisateur mercredi 7 septembre 2016 13:53:33(UTC)  | Raison: Non indiquée

Après avoir contemplé la pièce dans son ensemble, j'étudie les plaques tout en compulsant Les Cours de la pierre et de la flamme. Peut-être pourrais-je associer un passage à ces gravures...

Modifié par un utilisateur mercredi 7 septembre 2016 16:38:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Soulagé que, bien que complexe, la blessure de mon frère irait mieux avec le temps je suis tout le monde silencieusement. N'étant pas plus surpris que ça par le jardin intérieur, après tout si un tel bâtiment a été construit ici c'est qu'il doit avoir une source d'eau quelque part.
Toujours silencieux et admiratif au vue de l'architecture de la salle, je passe la main respectueusement sur la statue du guerrier, fronçant les sourcils en réfléchissant.

« Je suis d'accord avec toi Liavara on devrait essayer de mettre une arme entre ses bras. On a qu'a essayer toute nos armes pour voir, bien que son arme doit être capable de tenir entre deux mains. »
N'attendant pas je prends mon bâton et le mets entre ces mains.

Si rien ne se passe je retire le bâton en rougissant et écoute parler Jawad de St Vardishal et de son cimeterre.
Je devrais attendre que les autres ai fini de parler avant d'agir.

Les différentes armes déposées ne semblent produire aucun effet, si ce n'est une légère angoisse à attendre que quelque chose se produise.

Modifié par un utilisateur jeudi 8 septembre 2016 15:51:43(UTC)  | Raison: Non indiquée