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« Un quoi ?? Un rat ? » fit Maekar avec étonnement, se demandant si la paysanne ne se foutait pas de lui. Il n'y avait aucune trace de rat dans les parages... Un rat détalerai sans demander son reste plutôt que d'attaquer deux humains... Quant au tas de mousse que Lucie lui montrait , il ne ressemblait qu'à... Un tas de mousse... S'il y avait eu une bête, elle avait sans doute filé dans les fourrés... Le jeune noble toisa un instant Lucie pour savoir si la gamine lui mentait, mais ne parvenant à se faire un avis, il décida de lui laisser le bénéfice du doute. Un chevalier monté déboulant pour chasser un rat... C'était du dernier ridicule... Il prit une grande inspiration avant de reprendre. « Bien... L'essentiel est que vous êtes sauves... » fit le chevalier. « Par contre au temps pour la discrétion... Inutile d'envoyer quelqu'un éclairer pour le reste du groupe. Nous allons tous faire route. »Avisant Guilhem qui boitillait pour venir, Maekar dit d'une voix forte au reste du groupe qui était resté au loin : « Rassemblement ici !! »Puis plus précisément à Guilhem : « Guilhem !! Monte dans un chariot ! Ne fatigue pas ta jambe ! »Modifié par un utilisateur samedi 12 mai 2012 12:15:12(UTC)
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Guilhem obéit à l'injonction du jeune seigneur et se hissa dans un chariot , s'installant de son mieux pour la fin du voyage. Tenant son arc prés de lui au besoin. « Grand merci messire...je...ma jambe a encore bien du mal à me porter. »Modifié par un utilisateur samedi 12 mai 2012 13:11:32(UTC)
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 Roélie Pommeroug Roélia regarda le seigneur arriver. « Effectivement un rat énorme. Je pense qu'il faisait facilement 4.5 fois plus de sa taille habituelle et au minimum 7.3 fois son poids. Bien entendu tout cela à première vue avec une tolérance de 12%. Lucie à ... pulvériser me semble le bon mot, ce monstre. »Vu que le groupe allait partir tous ensemble, Roélia se rapprocha de Guilhem. « Comment vas-tu Guilhem ? Tu ne devrais pas utiliser ta jambe actuellement, tu risques de la perdre. Si tu le souhaites, je te surveille et je te préviens de quoi que ce soit. Couche toi. »
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Alors qu'elle parlait à Guilhem, Roélia remarqua la mousse particulière qui composait le rat. Cette mousse ne se trouvait nulle part ailleurs dans la végétation autour... il n'y en avait que dans ces morceaux qui avaient constitué le rat. Elle se remémora avoir entendu parler de ce parasite : le lichen rosé. Les chasseurs lui prêtaient des propriétés toxiques et mortelles. Certains prétendaient même que ce lichen pouvait animer les morts... Ceux-là brûlaient les carcasses qui avaient été touchées par ce parasite pour éviter toute propagation. Antoine et Roélia peuvent faire un jet d'art de la magieModifié par un utilisateur lundi 14 mai 2012 16:06:07(UTC)
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Le jeune homme remercia son attention d'un sourire « je vais bien Roélia merci, mais tu as raison il faut que je ménage ma jambe,je vais tâcher de me tenir tranquille! »Modifié par un utilisateur dimanche 13 mai 2012 10:13:49(UTC)
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Arrivé auprès de son seigneur et des deux jeunes filles, le jeune homme reprit rapidement son souffle et regarda les mousses dont tous parlaient. Selon les dires des demoiselles, elles auraient formé un rat, plus gros que la moyenne, il y a quelques instants... chose qui intrigua Antoine au plus haut point. Soupirant légèrement, comme pour faire le vide, il laissa volontairement son esprit vagabonder, gardant les yeux ouverts et dans le vague. Puis d'un coup, força son esprit alors libre à se concentrer sur les mousses et plissa les yeux, focalisé sur les restes du "rat". - Jet d'Art de la Magie : 1d20+3 donne [15] + 3 = 18
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Antoine n’eut qu’une impression, comme si autour du tas qu’il regardait il pouvait encore voir une silhouette de rat, vague et imprécise, intangible. Il ne savait pas exactement ce qu’il voyait là, mais il fut persuadé à ce moment que l’âme, l’essence, ou quoi que ce soit d’autre, de la créature que prétendaient avoir combattu Lucie et Roélia, persistait encore. La forme éthérique se « décomposait » rapidement en volutes transparentes, semblables aux mirages des sables chauffés par Drom. Cela ne dura pas bien longtemps, et le phénomène, qui se concentrait autour du lichen s’estompa.
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Roélia Pommeroug - Art de la Magie : 1d20+3 donne [11] + 3 = 14
Roélia avait confiance en Guilhem et elle sortit son livre qui allait tant lui apprendre, elle sauta sur le chariot et se mis assis à côté de lui. « Tu sais Guilhem, je connais beaucoup de choses, je ne vais pas faire l'éloge de mes connaissances, mais entre la littérature, les sciences, la biologie et pleins d'autres trucs, je devrais déjà être contente de mon savoir. Mais ce livre renferme quelques choses que je ne comprends pas entièrement, je ne sais pas si c'est de la magie, des techniques pyrotechniques ou de l'alchimie, mais je pense pouvoir renfermer le pouvoir du feu en moi et le relâcher dans des espèces de petit récipient qui exploserait à ma demande. Tu te souviens de l'autre jour nous avions parlé du fait que vous n'étiez que deux si jamais nous nous ferions attaquer, ben avec ça je peux largement vous aider et montré au monde entier qu'une femme peut valoir autant qu'un homme. »Elle cacha de nouveau son livre puis mis ses bras autour de ses jambes. « Une femme ne sert pas qu'à servir la gent masculine, nous pouvons avoir autant de compétences, d'intelligence ou de force qu'un homme. J'ai passé mon enfance à tenter de montrer à mes parents que l'égalité entre les sexes était possible et comme réponse ils m'ont envoyé avec vous pour se débarrasser de moi. »Elle regarda Guilhem dans les yeux et lui fit un sourire. « Au moins j'ai rencontré des personnes exceptionnelles, tu es quelqu'un de très courageux et tu mériterais tout le bonheur du monde. »
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Antoine secoua la tête, comme pour se réveiller. Les dernières secondes, qui lui avaient semblées être des minutes, il avait eu l'air complètement déconnecté du monde physique. Et c'est littéralement comme si son esprit réintégrait son corps. Reprenant très rapidement ses esprits, il entendit d'une oreille distraite la discussion entre Roélia et Guilhem. Il n'y prêta pas plus attention que ça, encore perturbé et songeur quant aux visions du rat qu'il venait d'avoir.
Il se tourna vers le jeune seigneur Maekar, et demanda d'un ton neutre et monocorde:
« Vos ordres, monseigneur ? »
Attendant la réponse, il se remit à réfléchir...
Encore ces visions et cette sensation... il faut impérativement que je me penche sur le sujet....
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Guilhem écouta la jeune femme ouvrant parfois de grands yeux étonnés, mais la laissa aller au bout de son explication et de son raisonnement, avant de lui répondre en se frottant le menton l'air un peu ...interloqué...
« Je...je...je trouve que c'est drôlement bien ce que tu fais pis si ça peut nous aider ben c'est tant mieux. C'est...ben c'est juste fichtrement surprenant. En tout cas j'ai pas de prétention tu sais...'fin je veux dire on est différents, pis complémentaires, je...j'ai jamais trouvé qu'une femme c'était moins bien qu'un homme... déjà c'est vachement plus joli... »
Guilhem finit sa phrase sur un beau début de fard...
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Maekar, encore dépité par le cafouillage de l’exploration, ne prêta guère attention à Antoine. Il avait déjà donné ses ordres à Neyrion et celui-ci guidait maintenant le convoi, tandis qu’Athanase assurait l’arrière-garde. Alors que Roélia et Guilhem poursuivaient leur conversation, la troupe fila le long du marais. Ils traversèrent la rivière en s’éloignant un peu vers le nord (jusqu’en L8) puisque ce n’est qu’à cet endroit que le fond devenait rocailleux et plus stable : aux abords du marais, le lit était de sable et le courant le creusait en laissant des fosses irrégulières qui pouvaient s’avérer dangereuses pour les roues des chariots. C’était particulièrement vrai lors des crues printanières.  Chaque petite case fait 25 x 25 m. Ils s’avancèrent dans la plaine que formait le creux de la vallée alors que Drom disparaissait à l’horizon. Neyrion prit l’initiative de faire monter le pavillon là où l’avait vaguement indiqué Maekar la case 3-3 (donc 3 cases vers la gauche et 3 cases vers le bas, soit une case sous l’arbre isolé) en I9. Il demanda à Gildor, Arthemus et Antoine de l’aider. C’est à la lueur des deux lunes qu’ils s’exécutèrent. Lorsque tout fut en place, Athanase se dirigea vers le jeune noble « Messire, nous sommes arrivés à destination et, normalement, vous devriez nous renvoyer vers Shaus, moi et Neyrion. M’est avis que nous devrions rester un peu Sire..., ma jambe est encore endolorie et Guilhem n’est pas sur pied non plus. Avec l’histoire de la liane, il serait plus prudent que nous soyons encore dans les parages… enfin, je dis ça, mais c’est comme vous voulez hein : je vous propose que nous restions encore quelques jours… »
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Lucie inspecta du regard les alentours, pour identifier les zones les plus intéressantes pour planter le premier potager et semer le premier champs. A proximité du marais, la terre était sans doute plus fertile. Mais il fallait bien choisir, car en cas de cru ou autre, il ne fallait pas que les champs soit trop immergés. - teste de profession(fermier) : 1d20+6 donne [15] + 6 = 21
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Lucie identifia rapidement la zone qui longeait la rivière K8 et K9 comme la plus propice aux cultures : il y avait peu d'arbres, si bien que le besoin de défrichage serait limité, et le terrain profitait à cet endroit d'une irrigation naturelle par ruissellement. La proximité de la rivière permettrait aussi de compenser une baisse en cas de période sèche. Enfin, la terre y était grasse, peu pierreuse, et regorgeait de lombrics.
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Roélia Pommeroug Roélia profita que le groupe était arrivé à destination pour faire quelques recherches sur des éléments naturels qui pourraient servir de catalyseur pour recevoir le feu qu'elle avait en elle. Elle essaya d'être la plus discrète possible pour ne pas que l'on voit qu'elle s'éloignait du groupe et une fois assez loin, elle sortit son livre. Elle étudia quelques pages pour comprendre ce qui pourrait lui être utile, une pierre ? De l'argile ? Un bout de bois ? Elle posa son livre contre un caillou et pris une première pierre dans la main et tenta de se concentrer dessus pour ressentir un écho magique dans ce qu'elle tenait dans la main. Le caillou était rond, avec des bords tranchant et de la taille d'un poing. Elle fit de même ensuite avec un autre caillou, beaucoup plus blanc celui là, presque de la même taille et avec des angles plus arrondis. En troisième choix, elle prit de la terre au sol et la tassa pour faire une orbe un peu plus petite que la pierre utilisait juste avant. Son avant dernier choix se porta sur une branche, mesurant une trentaine de centimètre avec des feuilles encore dessus, elle le tenait par la base. Finalement son cinquième choix fut un bout de bois grand de presque un mètre vingt assez fin et tortueux. Une fois ces essais fini, elle se mit assis et étudia son livre pendant quelques heures dans le calme le plus complet, avec les lunes comme seules compagne. - Discrétion pour ne pas voir, qu'elle s'éloigne du groupe : 1d20+1 donne [4] + 1 = 5
- Art de la Magie sur le premier caillou : 1d20+6 donne [15] + 6 = 21
- Art de la Magie sur le second caillou : 1d20+6 donne [6] + 6 = 12
- Art de la Magie sur l'orbe de boue : 1d20+6 donne [16] + 6 = 22
- Art de la Magie sur la branche : 1d20+6 donne [7] + 6 = 13
- Art de la Magie sur le bâton : 1d20+6 donne [17] + 6 = 23
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Roélia était confuse : dans chaque chose qu’elle avait touchée, sans exception, elle avait pu ressentir une part d’énergie, plus ou moins propice à recevoir sa propre énergie selon le cas. Évidemment, les catalyseurs de bois lui semblaient plus naturellement susceptibles de réagir au feu. Mais ses connaissances étaient encore trop limitées pour comprendre comment faire interagir sa force intérieure avec ces éléments.
C’est dans l’introduction de son livre, lu à la lueur d’une bougie, qu’elle trouva quelque réponse. L’auteur y expliquait que chaque chose participait du même univers et, sur le plan de l’énergie qu’elle contenait, appartenait à une seule et unique force. Il disait aussi qu’il y avait un « certain principe de résonnance » entre l’énergie que l’on dégage et celle du monde, et que cette résonnance pouvait s’établir selon diverses modalités.
La jeune fille réalisa à la lecture de certains passages que son énergie propre ne se limitait pas nécessairement au feu, mais que l’émotion qu’elle avait lors de l’attaque de la liane avait un caractère igné. Elle pensa au contact qu’elle venait d’établir avec les éléments qui l’entouraient et au fait que chaque objet lui avait laissé percevoir une possibilité… cala lui permit de réaliser que la manifestation de l’énergie était liée à ses émotions.
La fatigue gagna Roélia : jamais un livre n’avait exigé d’elle une telle concentration pour en saisir les sens, car dans ce cas-ci, chaque phrase pouvait être interprétée de bien des manières. Résignée à reprendre plus tard sa lecture, elle feuilleta tout de même plus avant l’ouvrage pour avoir un aperçu de ce que contenait le livre. Elle y découvrit que les griffonnages à la fin étaient des formules et des notes d’expériences qu’elle pourrait sans doute reproduire. Elle put déterminer qu’il y en avait quatre différentes. L’auteur semblait avoir une prédilection pour l’étude du corps puisque les trois premières formules traitaient de la régénération du corps, de sa force et son squelette et de l’utilisation des cinq sens dans l’acte de perception. Seule la dernière avait une portée plus mystique et concernait l’utilisation du hasard dans la réalisation des tâches quotidiennes.
Les formules présentes dans ce livre sont : Soin léger, Charge de fourmi, Chance de l’artisan, Sens surdéveloppés. Avant de pouvoir les « mémoriser » de manière quotidienne, tu devras devoir les « apprendre » en lisant le livre et en investissant les points d’expériences que cette activité te procure sur les formules elles-mêmes (le livre te donnant 11 xp pour une action complète de lecture, tu pourrais, par exemple, investir 3xp en Soin léger et 3 xp en Charge de fourmi pour maîtriser ces sorts niveau 1, puis les 5 xp restant en Art de la magie ou toute autre combinaison de ton choix)
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Le lendemain matin, alors qu’Aube pointait, timide, le bout de son nez, Antoine se dressa sur sa couche. Les gens autour de lui étaient encore assoupis. Seul Maekar manquait à l’appel. Il sentit son cœur battre dans ses tempes, comme s’il venait de se réveiller d’un mauvais rêve. D’étranges filets de brume traversaient la tente, semblable à ceux qu’il avait aperçus autour du « rat » de la veille. Trempé de sueurs froides, Antoine se leva d’un bond et, enjambant Guilhem, se dirigea vers le pan de toile qui couvrait l’entrée. Il l’entrouvrit nerveusement et vit Maekar brossant son cheval. Le noble ne semblait pas prêter attention à la brume. Antoine fit donc un pas à l’extérieur, scrutant les alentours. Les « bras » de brume semblaient converger vers le marais, jusqu’à un endroit où les filets se rejoignaient et pénétraient le sol.
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Guilhem réveillé par le mouvement commença doucement à s'habiller avant d'aller jeter un oeil au dehors. La brume semblait draper de ses bras blancs les environs du marais mais cela n'évoquait rien pour le jeune homme. Rejoignant Antoine en boitant un peu il lui demanda la raison de son réveil si matinal. Edit Meudeu: Guilhem ne voit pas la brume. Il faut donc éditer en : "Guilhem réveillé par le mouvement commença doucement à s'habiller avant d'aller jeter un oeil au dehors.Il vit Antoine qui se tenait dehors, et semblait inquiet. Rejoignant le jeune homme en boitant un peu il lui demanda la raison de son réveil si matinal." De la même manière, Maekar ne voit pas non plus la brume que perçoit AntoineModifié par un modérateur samedi 19 mai 2012 14:31:30(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Lucie se leva avec les autres. Après un petit déjeuné réchauffé dans une bouilloire posée sur les braises, elle se rendit auprès de son seigneurs pour lui indiquer les zones intéressantes qu'elle avait repérer pour faire des champs.
« Je vous propose de travailler dès aujourd’hui à l'installation des cultures. Que voulez-vous que je plante en premier ? » | |
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Lucie se dirigeait vers Maekar, enthousiaste à l’idée de se mettre au travail. Elle vit Antoine, figé au côté du noble, et Guilhem qui s’était approché d’eux. Elle n’eut pas le temps de terminer sa question.
Lancez une perception et une initiative
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En entendant Guilhem s'approcher de lui en boitant, Antoine remit les pieds sur terre. Cette sensation... au départ, c'était si rare. Et là, deux fois en deux jours... ça s'accélérait. Antoine en était légèrement inquiet, mais complètement excité. Il nota mentalement avec précision l'endroit où ces brumes convergeaient et se racla la gorge. « Aucune idée... le sommeil ne me venait plus. Et puis c'est pas plus mal, vu la somme de boulot qui nous attend... »Il s'avança vers Maekar - Jet de Perception : 1d20+1 donne [16] + 1 = 17
- Jet d'Initiative : 1d20+2 donne [8] + 2 = 10
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