(je lance un simple dé de 20 pour cette attaque ne connaissant pas les modificateurs afférents!)

La torche de Guilhem avait pénétré dans le nid de cœurs sans trop de résistance, ni trop de réaction de la part de la créature. Au moment où Maekar lançait sa charge, les cœurs battaient toujours (on aurait même dit qu’il le faisait avec un peu plus de force) et devinrent incandescents. Cela n’arrêta pas le fils de Shaus ni sa monture. La charge fut violente.

Maekar transperça sans effort le monstre de part en part, faisant jaillir une nuée de tison brûlant. Cela lui rappela les paroles de Guilhem et de Roélia : Il ne servait à rien de transpercer ces créatures... Il eut le temps de pester en voyant la lourde main de la créature qui allait s’abattre sur lui. Son étalon se cabra toutefois avant que le monstre n’ait pu désarçonner son cavalier et le frappa de ses sabots. L’impact à hauteur des « hanches », qui fut accompagné d’un encourageant bruit de craquement, déséquilibra momentanément la chose, suffisamment pour que le noble évite le coup.

De son côté, Antoine gesticulait, les yeux exorbités, comme s’il tentait d’attraper un insecte qui tournait autour de lui. Si ses compagnons d’infortunes avaient eu à ce moment le temps de l’observer davantage, ils auraient sans doute émis l’hypothèse qu’il était fou. Lui seul savait qu’à ce moment, il était en train de tisser la toile du monde afin de créer une petite orbe d’acide, qu’il lança en direction du monstre.


Nouveau round, la torche étant toujours en place, Guilhem pourra lancer 1d6 de dommages au début de son tour

Ça ne changera pas grand-chose pour ce round, mais Luci a +2 pour toucher en prenant position en K13 (prise en tenaille avec Maekar)

Luci pris position, mais ses hésitations lui coutèrent l’occasion de placer une attaque convaincante. Elle parvint tout de même au contact de la créature, qui était, elle, fort occupée avec le cavalier.

Modifié par un utilisateur samedi 4 août 2012 23:40:53(UTC)  | Raison: Non indiquée

Guilhem se contenta de maintenir la torche en place de son mieux , en tâchant d'esquiver les attaques de la créature, il ne pouvait qu’espérer que le feu finisse par avoir raison d'elle...

Le visage marqué par un brin de déception et trois brins de détermination, Antoine recommença à tisser... ou à gesticuler comme un fou, selon le point de vue. Dans sa tête, tout fusait, tout allait si vite! Il choisissait les fins fils de la trame, les combinait, les formait et les façonnait avec une concentration sans faille.

L'orbe finie, elle flottait mollement au dessus de sa main... Restait le plus dur: envoyer l'orbe d'acide sur cette saleté parfaitement abjecte.

« ...maintenant... » dit-il comme à lui même, tendant la main d'un coup en direction de sa cible.

L'orbe partit en ligne droite avec une bonne vitesse.