Eldak, se trouve une position tranquille à l'extérieur de la boucherie qui lui donne une vision sur la porte d'entrée et le rue entre les bâtiments. Il observe les aller et venue autour et à l'intérieur de l'édifice. Il observe également l'armement que les supposé boucher ont sur eux et il porte attention aux conversation suspecte qu'il pourrait apercevoir.

Evidemment il est assis dans un coin tranquille (un banc si possible) en simulant de lire un bouquin ou il discute avec des gens qui s'arrête près de lui.

Eldak continua son observation jusqu'à ce que Vendarion quitte la boucherie et les deux prirent des routes différentes pour revenir chez Zellara. Eldak arriva peu de temps avant Vendarion et il s'installa confortablement en attendant que tous le groupe soit présent pour leur faire part des ces observations.

«  De l'extérieur, tous semble opérer normalement, réception de marchandise, paiement, clientèle. Bref, il semble opérer une boucherie de façon tout à fait normal. Je doute que nous ayons à faire avec des déserteurs qui veulent vraiment faire du trouble.

De l'intérieur qu'en penser vous Vendarion? »

Eldak commençait a trouver le temps long, ce qui s'annonçait pour une petite partie de plaisirs et de torture, devient un moment interminable d'attente pour une situation qui semble ne pas en valoir la peine, mais avec la dernière idée proposé, il est prendra son mal en patience et il décide de suivre le groupe.

«  Ok, alors, demain, Flaven et moi allons entrer dans la boutique et Flaven fera son numéro de charme, pendant que je ferai distraction avec Eliana en tant que couple venant chercher de la viande fraiche. Vendarion et William, vous resterez près de la boutique, près à intervenir si cela tourne mal.

Est-ce que cette stratégie vous convient à tous?  »

Modifié par un utilisateur jeudi 15 août 2013 14:28:41(UTC)  | Raison: Non indiquée

Voici en substance ce que Flaven a l'intention de dire lorsqu'il entre dans la boucherie. Si vous n'etes pas d'accord, vu qu'il vous en parle avant quand meme, j'éditerai en conséquence.


Flaven attendit patiemment que la boutique ne présente aucun client avant d'entrer. Il était vetu de sa tenue habituelle - c'est-à-dire des vetements simples mais propres ainsi qu'une cape qui recouvrait assez mal son armure de cuir cloutée - rapière au flanc. Seuls son arc et son bouclier manquait à l'appel (tous deux confiés à Vendarion qui attendait à l'extérieur).

Il rechercha des yeux le boucher et lorsqu'il l'aperçu, s'avança vers lui avec un flanc sourire, tout en prononçant rapidement les paroles de son charme et en exécutant la gestuelle de la main gauche. Le sort prit effet au moment où il tendait sa main droite vers l'individu pour le saluer.

Résistance: Volonté DD 14

Tandis qu'il commençait à parler, il ignorait si le charme avait pris mais ça n'avait pas tellement d'importance: beaucoup trop de précautions avaient déjà été prises pour limiter les pertes d'une mission dont les clauses étaient pourtant parfaitement claires.

« Bonjour mon Brave!

Voyez-vous, je suis de passage dans le quartier et figurez-vous qu'il y a une rumeur très intéressante qui court à propos de cet établissement! On y raconte qu'il abriterait d'anciens soldats de peu de foi qui auraient déserté la Garde lors de la mort du Bon Roi. Incroyable, non? »

Il leva la main en signe de paix pour couper court à toute protestation:

« Attendez, je ne vous ai pas raconté la meilleure: j'ai aussi entendu dire de source assez fiable que des mercenaires auraient été engagés pour faire justice à la couronne et rétablir l'autorité. Cependant, et c'est là la partie la plus intéressante de la rumeur, il a clairement été annoncé que si ces personnes devaient recouvrer les raisons ou fournir toute information valable pour expliquer leurs actes, elles seraient épargnées et recevraient la grace royale! »

Il ne quitta pas son sourire et se permit meme un clin d'oeil:

« Moi je ne sais pas vous, mais je ne connais pas beaucoup de souverain qui accorderait leur pardon à un acte qui est passible de la peine de mort à peu pret... mmmh... partout ailleurs.

Une occasion en or, pas vrai? »

• Test de Diplomatie si nécessaire : 1d20+8 donne [17] + 8 = 25

Le barde ne quitta pas son sourire un seul instant.
Quelque chose dans le regard de son interlocuteur semblait indiqué que son sort avait fonctionné. Or, il connaissait les limites de ce charme: il ne fallait pas trop tirer sur la corde.

Mais pourquoi avoir parlé de la maréchale ainsi?

« Disons que je suis venu vous avertir que vous et vos compagnons avez le choix de votre avenir et que parmi les différentes voies se trouve une seconde chance, chose extrêmement rare pour des déserteurs.

Vous devriez considérer cette option: le pouvoir a changé de main et la nouvelle couronne semble prendre très à coeur les besoins et les vies de ses sujets. Preuve en est que je suis ici, à discuter avec vous, à tenter de vous sauver la vie, alors que dans d'autres lieux et dans d'autres vies, le sang aurait déjà coulé. »

Il fronça les sourcils, prenant l'air le plus empathique possible:

« Je ne peux pas vous attester que les conditions de travail des gardes s'amélioreront sous ce nouveau régime. Mais je pense qu'il vaut la peine qu'on lui laisse une chance.

Et si définitivement cette vie venait à ne pas vous convenir, vous pourriez toujours démissionner. Ce serait certainement mieux vu qu'une désertion en pleine guerre civile, non? »

Il finit sa tirade par un sourire de coin, en signe de paix:

« Laissez-moi en parler à Verik et réglons cela pacifiquement, voulez-vous? »