Je considère que la prétresse et le guerrier survivant sont suffisamment proches et entravés pour que je puisse canaliser à leur bénéfice, mutuel, ainsi qu'à mes compagnons blessés (y'en a ?)

Eladia agrée à la proposition de Sari, et entame une prière à sa déesse.

Pahelor rechargea son arbalète en maugréant à l'adresse du neveu du gouverneur :

« Toi tu te tires si tu veux pas finir dans la vase du port, OK... »

puis, en se dirigeant vers ses compagnons :


« Ca vous semble normal de rester sur ce quai à discuter avec des gens qui ont voulu nous trucider ? Qu'est ce que vous croyez ? Qu'il faut trois bonhommes pour diriger un navire comme celui là ? M'est avis que le reste de l'équipage ne va pas trainer... C'est bien urbain de prendre soin de nos prisonniers, j'espère qu'ils auront autant d'attention pour nous quand ils nous auront capturé...

Nous gaspillons nos ressources, notre temps et les capacités de soins d'Eladia... tout ça pour quoi ? Vous croyez qu'ils vont nous parler ? Il leur suffit de gagner du temps. A leur place, je serai confiant : nous venons de leur montrer que nous avons besoin d'eux, que nous sommes dans une impasse... et la prêtresse est pas du genre à se laisser impressionner.

Je ne comprend pas vos décisions mes amis... pourquoi refusez vous de retourner à la Loge ?? On benne les soldats dans le port et on rapporte une prisonnière de valeur dans un endroit ou nous serons en sécurité... »

Puis, je m'éloigne vers l'entrée du quai et me dissimule dans l'ombre en surveillant ce qui peut arriver...

A Pahelor
«  Ce n'est pas que je m'en tape de la sécurité, mais on a un dernier otage a retrouver et ce n'est pas en retournant à la loge qu'on trouvera la solution la plus rapide...essayons mon plan pendant une demi heure et après on part vers la loge. Ne te trompes pas, la loge ce n'est pas la maréchaussée ou les inquisiteurs de Iomedae, ce n'est ni plus ni moins qu'une espèce de guilde d'aventuriers, qui n'est pas toujours appréciée par les autorités, et qui n'a pas particulièrement d'autorité, alors si tu veux mon avis ils ne vont pas nécessairement t'accueillir les bras grands ouverts avec notre prisonnière »

Au marin qui vient de reprendre conscience
« Mon bonhomme je n'ai pas de temps à perdre, alors voila mon marché tu me dis ou sont emprisonnés les derniers otages, et je t'attache dans un coin ou des gens pourront te libérer dans quelques heures, et tu seras libre et vivant, si tu me mens c'est moi qui reviendrai. Si tu n'as rien à me dire je te rends de nouveau inconscient et tu te débrouilleras à ton réveil avec les autorités de Cassomir, qui ne seront surement pas très indulgentes vu que vous avez enlevé le neveu du gouverneur ! »

@mass: Je n'ai pas trop de temps à perdre effectivement, donc soit le marin dit quelque chose d'intéressant et je respecte mon engagement: L'idée est de le dissimuler lié et bâillonné dans un endroit discret dans le coin, soit il n'a rien a dire et je demande aux otages (au chevalier) de l'embarquer et le remettre aux autorités.

Modifié par un utilisateur vendredi 12 novembre 2010 00:36:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Messires, je connais un sort particulièrement efficace afin d'obliger l'un de nos prionniers à parler... »

Le magicien tripotait son amulette nerveusement: il espérait que ses compagnons l'écouteraient.

Sarrel ne désintéressait guère à la discussion de ses compagnons, ou du moins ne montrait pas son intérêt. Il semblait évident qu'il fallait que les fanatiques parlent, d'une manière ou d'une autre et le plus tôt serait le mieux. Il n'était pas particulièrement à l'aise avec les interrogatoires aussi laissait il le paladin mener les choses comme il l'entendait. La prêtresse au sol était certainement la plus au fait des agissement de son organisation.

Lorsque le neuveu du Gouverneur arriva su le pont, il resta un moment à l'observer, comme pour le jauger et reconnaitre en lui la personne dont on lui avait parlé. Il n'y avait pas de doute, c'était bien à ce jeune peigne cul qu'il devait délivrer son message. Aussi s'éloigna-t-il du groupe en direction de ce dernier. Arrivé à quelques pas de l'homme, il commença à parler de plus en plus faiblement, jusqu'à ce qu'il soit le seul à pouvoir l'entendre. Il avait prit un ton étrange qui ne lui était pas familier et avait perdu ses manières brusque qu'on aurait pourtant pu croire encrées chez lui aussi profondément que ses yeux clairs.

« Hey, c'est vous le neveu du Gouverneur ? Je suis Sarrel d'Ikitos et j'ai un message à vous remettre.  »S'approchant encore, il sembla hésiter. En montrant le reste des personnes autour d'eux, il reprit :
« Hmmm... éloignons nous de ces oreilles indiscrètes, je ne voudrais pas que d'autres entendent ce qui vous est destiné. »

S'éloignant quelque peu vers le bord du quai, il attendit que le Sire Orféo vienne le rejoindre.

Modifié par un utilisateur samedi 13 novembre 2010 04:15:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

ah... finalement il semble en savoir un peu plus long que je ne l'aurais cru.

@Seth
« Seth, peux tu rendre le bonhomme un peu plus sensible à nos arguments ? »

@ Eladia
« Viens m'aider [Aid Another+2] a amadouer ce zigoto (as tu également un Guidance a me lancer pour bonus de +1)  »


Reprenant la conversation avec le marin
« Je suis tout a fait prêt a rencontrer Dalirio, il décidera s'il veut discuter ou me couper les couilles, mais le mieux que tu puisses faire pour l'aider c'est de m'indiquer ou je peux le trouver, sinon nous allons probablement repartir loin d'ici, et il perdra toute chance de revoir sa Luscilia vivante. »

• Jet de Diplomatie : 1d20+6 donne [17] + 6 = 23

Si Eladia réussit à m'aider + Guidance, je peux avoir +3. Puis si tu considères la demande comme "raisonnable" ca peut encore donner +5 pour un total de 31. Ça permet d'abaisser sa réaction de 2 crans de Hostile à Indifférent et obtenir une réponse.

Et bien sur si Seth réussit son sortilège alors la on va devenir les meilleurs amis du monde

Modifié par un utilisateur dimanche 14 novembre 2010 19:26:37(UTC)  | Raison: Non indiquée