Le lieutenant hocha la tête quand chacun des aventuriers termina sa liste. Il prit quelques secondes pour organiser celle-ci en regroupant les objets demandés en plusieurs exemplaires et en vérifiant chacune des inscriptions qu'il avait faites sur son parchemin. « Je pense que rien de tout cela ne devrait poser de problème ; je m'arrangerai pour que le tout soit prêt demain matin ici à l'entrepôt... voire peut-être même ce soir, auquel cas je ferai apporter l'ensemble au Club du Sargave, si cela vous convient ? »

« Eh bien... je pense que ce sera tout pour le moment ? » suggéra le lieutenant avant de commencer à s'éloigner du groupe. Il s'interrompit et fit demi-tour pour demander « Au fait, si vous rentrez au Club, pouvez-vous avertir monsieur Vancaskerkin qu'on viendra le chercher en début d'après-midi ? J'ai… fait préparer une charrette à bras ; il semble apprécier tout particulièrement ce mode de transport. » Puis le lieutenant s'éloigna.

Une nouvelle brise amena un flux malodorant de viande de poisson et de produits chimiques en direction du groupe qui se tenait devant l'entrepôt militaire numéro 3. Comme Amivor l'avait suggéré, ils seraient sans doute invités à aller convaincre un ermite de participer à l'expédition… au moins, cela serait l'occasion de quitter la ville pendant un moment, ce qui pouvait être une véritable bouffée d'oxygène pour certains d'entre eux. Dans tous les cas, sans doute était-il préférable de s'équiper au plus vite, ce qui serait possible grâce à l'avance rassemblée par le Gouvernement du Sargave et les Éclaireurs.

On est plus ou moins en fin d'après-midi... vous avez l'après-midi de libre pour faire ce que vous voulez et aller acheter ce que vous voulez (entre autres avec vos 500 pièces d'or par personne). Possibilité de se procurer diverses potions, parchemins, armes de maître, etc. sans problème ; pour tout ce qui est matériel commun raisonnable, vous pouvez supposer que le Gouvernement vous le fournit gratuitement. En cas de doute, n'hésitez pas à poster dans le fil de discussions.

Avant de retourner dans la jungle, Hogo se mit en quête d'une nouvelle armure. Le sienne avait été mise à rude épreuve sur l'île. Puis, il chercha une épée longue comme la sienne mais plus maniable et mieux équilibrée. Enfin, il acheta des potions de soins supplémentaires. Une fois ses achats, il partirai dans la jungle avec Ellawa.

Si possible, achat :
- armure de cuir cloutée de maître (175 po)
- épée longue de maître (315 po)
- 2 potions de soins légers (100 po)

Suivant les conseils du lieutenant Tiriji s'était dirigée vers le quartier des artisans pour y trouver les boutiques indiquées et procéder au remplacement de son arbalète à main et de sa rapière par des armes de meilleures factures et ce en y laissant au passage les pièces fournies nous sans y rajouter une part importante de ses économies et quelques pièces d'équipements échangées à vil prix.

Ces transactions effectuées elle se rendit rapidement au temple pour s'y procurer une potion de soins supplémentaire, creusant ainsi un peu plus dans le contenu de sa bourse et courut ensuite à la forge, se rappelant qu'il fallait qu'elle en prévienne le propriétaire qu'il allait falloir qu'il se rende à l’entrepôt pour y être recruté. Peut être le lendemain? Elle se ferait un plaisir de garder la forge pendant ce temps...

Le lendemain à l'aube, comme c'était désormais son habitude, Sébrysse quitta le Club pour se rendre à l'autel de Sarenrae située dans la rue des Temples. Depuis qu'elle célébrait le lever du soleil régulièrement, une petite communauté s'était formée - guère plus d'une petite dizaine de personnes, mais c'était tout du moins le début de quelque chose. Comme tous les autres jours, Ferdnan était présent… Sébrysse avait voulu lui confier la responsabilité de l'autel pendant son absence, mais il était clair que, malgré toute sa bonne volonté, le vieil homme sentait que c'était là une tâche au-dessus de ses forces. Il restait à espérer qu'il accepte d'assurer l'intérim le temps qu'Absalom puisse envoyer un nouveau prêtre.

De leur côté, Ellawa et Hogo se réveillèrent au chant des oiseaux qui pépiaient dans la canopée. Cela faisait désormais plusieurs jours qu'ils avaient installé leur nouveau campement un peu plus à l'écart, pour se protéger d'éventuelles représailles de la part de la Fraternité des Hommes Libres et les habitants du coin — dont certains n'avaient pas vu d'un très bon oeil l'arrivée de ces nouveaux occupants — s'étaient peu à peu habitués à leur présence. Quelques petits singes curieux avaient même pris l'habitude de venir s'installer sur la plateforme qu'ils avaient construite pour passer la nuit. La chamane et le rôdeur se préparèrent à rassembler un peu de nourriture avant d'aller la déposer en Outremur puis de rejoindre les autres au Club.

Tiriji et Éphrem, quant à eux, avaient dormi un peu plus tard, sans doute moins contraints par des obligations ou des habitudes. Ils se retrouvèrent autour d'une table au rez-de-chaussée du Club, devant un large plat de fromage, de pain plat, d'oeufs et de morceaux de viande amené par Briga, la tenancière de l'établissement. La veille, elle avait été annoncé à Dohrfak qu'il pourrait rejoindre l'expédition ; le nain avait semblé fort content, mentionnant que c'était là une sorte de revanche sur certains des "dirigeants pouilleux" d'Éléder ; il avait également indiqué qu'il y avait une série de commandes qu'il aurait voulu terminer avant le départ et avait demandé à la gnome si elle pouvait lui donner un coup de main pour l'aider à les achever au plus tôt. C'était donc une dure journée de labeur à la forge qui attendait Tiriji. Éphrem, fidèle à lui-même, s'était montré plutôt taciturne sur la manière dont il allait occuper sa journée ; mais cela concernait sans doute une bonne part d'observation, de discrétion, peut-être de paranoïa, voire éventuellement un peu de shopping.

Après avoir été rejoints par Sébrysse de retour de l'autel, les aventuriers qui séjournaient au Club partirent pour leurs destinations respectives. Tiriji se rendit à la forge de Dohrfak ; Jask et Ishirou, à l'entrepôt afin d'y poursuivre leur travail ; Sébrysse et Gélik, quant à eux, se dirigèrent vers la Loge de la Société des Éclaireurs afin d'y étudier les rapports et autres documents qui se trouvaient sur place. C'est Finze Bellaugh, le capitaine d'aventures d'Éléder, qui les accueillit et les conduisit dans une salle qu'ils n'avaient pas encore eu l'occasion de visiter.

Si les étagères débordant de livres de la pièce où avaient eu lieu les réunions précédentes les avaient impressionnés, elles n'étaient rien à côté du spectacle de la bibliothèque de la Loge. C'était une vaste pièce quasiment aussi grande que la salle commune du Club, dont chacun des murs étaient recouverts d'une quantité incroyable de vélins, de livrets, de rapports, de colifichets divers, de tubes à parchemins et d'autres bibelots titillant la curiosité. En plus des murs, d'épaisses étagères dressées en lignes et elles aussi débordant d'archives divisaient la salle en plusieurs sections. Cela ressemblait un peu à l'intérieur de la demeure de Hémiphon, mais en beaucoup mieux rangé ; une sorte de version miniature des Archives coloniales. « Il y a un peu de tout ici... » indiqua Finze Bellaugh, montrant diverses sections de la salle, « des cartes, des rapports concernant les expéditions de la Société dans la région, des archives sur les membres de la Société qui sont passés par ici, des copies d'ouvrages, des artefacts récupérés dans la jungle… si vous avez une idée plus précise de ce que vous voudriez rechercher, je peux peut-être guider vos recherches. »

Alors que le soleil approchait de son zénith, Hogo et Ellawa quittaient l'Outremur et se dirigeaient vers le Club. En distribuant les quelques paniers de fruits sauvages qu'ils avaient pu récolter, ils avaient entendu à nouveau les crieurs publics annonçant la recherche de porteurs par les différentes factions préparant l'expédition. Les choses se mettaient en place et, bientôt sans doute, la course serait lancée…

Les cinq ex-naufragés se retrouvèrent à midi au Club pour y partager un repas. Avant de quitter la Loge, Finze avait remis un petit paquet à Sébrysse. Celui-ci contenait cinq petites boussoles de métal dont le couvercle était, sur sa face extérieure, gravée du symbole de la Société des Éclaireurs et, sur sa face intérieure, sculpté de telle sorte qu'on pouvait y incruster facilement une petite gemme. Une note accompagnait également les cinq boussoles d'Éclaireur : Vous trouverez dans ce paquet les cinq boussoles scellant notre accord au sujet de l'expédition. Le mot de commande permettant de les activer est "Lux" ;, il suffit de le penser tout en tenant la boussole en main. Vous remarquerez également les indentations à l'intérieur du couvercle ; la boussole peut accueillir certaines gemmes enchantées et accroître ou modifier leurs pouvoirs. Que vos découvertes soient glorieuses ! - Finze Bellaugh, capitaine d'aventures de la Société des Éclaireurs. Visiblement, il y avait une boussole pour chacun des aventuriers.

Après le repas de midi, les aventuriers se séparèrent à nouveau, retournant à la forge, à la Loge, visitant les temples et échoppes pour récupérer les commandes de la veille, ou vaquant à diverses occupations. D'après les prévisions du général Havelar et de l'Éclaireur Amivor, il restait encore une bonne semaine, presque deux, avant que l'expédition ne puisse quitter Éléder. Les aventuriers, qui avaient accepté le rôle d'éclaireurs, pourraient sans doute partir un ou deux jours plus tôt, pour prendre de l'avance, repérer et éventuellement éliminer les dangers, et planifier la route exacte que le gros de la troupe emprunterait.

Ils se retrouvèrent tous au Club en fin d'après-midi pour partager le repas du soir. Ce fut l'occasion pour Jask et Ishirou d'expliquer comment ils occupaient leurs journées (enfin, surtout pour Jask... Ishirou, comme à son habitude, restait un homme de peu de mots). Jask planifiait actuellement la répartition du matériel à emporter entre les porteurs et gérait la réception, le stockage, le tri et la préparation de tout ce qui arrivait à l'entrepôt ; Ishirou, quant à lui, prévoyait la liste du matériel nécessaire pour le campement et la survie, y compris les réparations diverses et supervisait les commandes correspondantes à répartir entre les divers artisans et commerces de la ville. Les deux semblaient grandement apprécier leurs occupations, même si on sentait dans le ton d'Ishirou l'impatience de quitter la ville et de retourner à des choses plus excitantes que la préparation.

Un peu avant la tombée de la nuit, Hogo et Ellawa repartirent en direction de leur campement, pendant que les autres passaient la soirée au Club.



Vous pouvez poster ce que vous voulez pour cette journée (pour Sébrysse : aussi mentionner les sujets de recherche à la Loge et/ou les questions à Finze Bellaugh) ; incluez un jet de Perception dans votre message svp ! Quand tout cela sera fait, j'enchaînerai avec le lendemain.

Plus les jours passaient et plus Hogo se sentait chez lui dans la jungle. Pourtant, il ne s'était jamais senti en sécurité sur l'île de leur naufrage mais cette fois-ci les choses étaient différentes pour le shoanti. Mais, à chaque fois qu'il entendait un crieur, il savait que le bien-être qu'il ressentait n'était qu'une impression... voir même une illusion ?

« Hmm... en effet... » dit Finze Bellaugh, songeur, en observant les nombreux documents renfermés dans la salle, « c'est qu'il vous faudra sans doute plusieurs semaines pour couvrir tous ces sujets. » Au bout d'un moment, il indiqua plusieurs endroits dans la bibliothèque, et attira l'attention de Sébrysse sur des livrets situés en tête d'étagères et qui faisaient apparemment office de catalogue pour les différentes sections.

« Ici, vous pourrez trouver des informations sur tout ce qui touche aux mythes et à l'histoire. De ce que je sais — ou croyais savoir —, les hommes-serpents font partie de cette catégorie. En fait, à part dans le rapport rédigé par Gélik, je n'ai jamais vu d'autres mentions de rencontres avec ce type de créatures. » Finze Bellaugh conduisit Sébrysse dans le fond de la bibliothèque et indiqua une autre section, « Et là, vous pourrez trouver plus d'information sur la flore, la faune et les habitants de la jungle. »

La prêtresse de Sarenrae se rendit rapidement compte qu'elle n'aurait pas le temps de tout consulter en un jour... aussi devrait-elle sans doute revenir passer d'autres longues heures dans cette salle pour approfondir ses connaissances. Après lui avoir souhaité des recherches fructueuses, Finze Bellaugh quitta la bibliothèque.

Sébrysse se dit qu'il fallait bien commencer quelque part et, tant qu'à faire, pour éviter de perdre du temps, qu'il était sans doute plus efficace de commencer par lister les sources d'informations pertinentes avant de commencer sa lecture. Aussi s'attela-t-elle dans un premier temps à consulter les deux catalogues mentionnés par le capitaine d'aventures.

Dans la partie dédiée à la nature et aux civilisations de la jungle, Sébrysse trouva de nombreuses références à des traités évoquant les divers types de plantes, dangereuses ou non, et les animaux rencontrés dans la forêt, d'autres guides plus pratiques soulignant la différence entre les plantes dangereuses, les plantes comestibles et les plantes utiles d'un point de vue pratique ou médical, une encyclopédie en plusieurs tomes décrivant les animaux les plus communs et détaillant leur mode de vie et leurs habitudes. Chacun des ouvrages était référencé par un numéro qui correspondait à son emplacement dans la bibliothèque ainsi que par une liste de noms et de dates correspondant aux Éclaireurs et autres érudits ayant emprunté les ouvrages précédemment.

Elle se tourna ensuite vers les documents relatifs aux communautés et aux habitants de la jungle. Certains évoquaient les Mwangis de manière générale et les différentes ethnies qu'on pouvait rencontrer dans la jungle, leurs habitudes et leurs croyances ; plusieurs rapports aux noms peu flatteurs pour les indigènes traitaient des relations à établir entre les colons et les "sauvages". Le catalogue citait également plusieurs références plus martiales décrivant les habitudes au combat et les tactiques mises en place par les indigènes. Une autre série de livres traite plus particulièrement des autres communautés du Sargave, dont Kalabuto, et des communautés environnantes, plus particulièrement Mzali, qui semble être la source de pas mal d'attaques sur le Sargave. Finalement, d'autres tomes traitent des créatures et monstres plus organisés qui hantent la jungle ; avec plusieurs livres généraux et quelques traités plus particulièrement dédiés au charau-ka.

Sébrysse utilisa un des parchemins mis à la disposition des visiteurs de la bibliothèque pour y reporter les références des livres qui lui semblaient les plus pertinents, puis elle rangea le premier catalogue et alla chercher celui qui traitait des mythes et légendes et des religions. Elle n'eut aucun mal à trouver des références à des livres traitant de la religion et des cultes maléfiques ; il y avait plusieurs traités décrivant les seigneurs démons, parmi lesquels figurait Zura, ainsi que divers tomes dédiés aux dieux anciens, oubliés ou mort. La section "mythes" du catalogue était plutôt vaste, avec des références couvrant toute une série de civilisations anciennes dont les noms plus mystérieux les uns que les autres évoquaient tant d'aventures aux mille possibilités. Les Azlantes figuraient en bonne place, avec plusieurs rapports et traités à leur sujet ; il y avait également deux livres qui évoquaient le mythe des hommes-serpents... En lisant ces références, Sébrysse remarqua que les ouvrages en question n'étaient revenus à la loge d'Éléder que depuis une poignée de mois ; auparavant, ils avaient été expédiés à Absalom pour copie, et le nom de la personne qui avait demandé ces copies était Éando Kline.

Règle maison : je propose que Sébrysse puisse s'intéresser à un sujet particulier par demi-journée d'étude. Donc, pour ce jour-là, après une matinée passée à compulser les catalogues, Sébrysse peut choisir un sujet pour l'après-midi. Pour voir l'effet de la recherche, jet de Connaissances (selon le sujet approprié, genre Religion pour les dieux) de DD 10. En cas de réussite, les connaissances apprises donnent une réserve de 1d3 utilisations liées au sujet en question. Une "utilisation" permet, plus tard, lorsqu'un événement fait appel au type de connaissances recherché, de lancer 2 jets de Connaissances et de prendre le meilleur résultat (voire une réussite automatique si c'est pile-poil le sujet recherché).

Une fois qu'Hogo était sûr d'être suivi avec Ellawa, il lui fit signe de se cacher d'un côté de la jungle alors qu'il irait de l'autre côté. Pour cela le shoanti attendit de trouver un endroit où il pourrait facilement se dissimuler derrière un grand arbre ou dans un grand buisson particulièrement épais. Puis, il prendra son arc pour y encocher une flèche.

Si besoin :

• Discrétion en jungle : 1d20+11 donne [18] + 11 = 29
• Perception en jungle : 1d20+11 donne [8] + 11 = 19
• Initiative en jungle : 1d20+5 donne [9] + 5 = 14

Les journées qui allaient suivre ne présentaient rien de très alléchantes, observer, chercher un espion ou autre probable informateur, cela allait être la tâche qu'il allait se donner.
Et c'est donc tout naturellement qu'il se frotta les mains avec un large sourire pour répondre à la prêtresse!
« Oui! Bien sur! On va fouiller et fouiner un peu, discrètement!  » Puis il s'adressa à sa compagne, « On va y aller mais l'un devant et l'autre qui assurera les arrière!
On va commencer par aller surveiller leur alentour, et on se déplacera au fur et à mesure!!! »

A peine Ellawa montra la forme à Hogo que ce dernier partit comme un boulet dans sa direction.

Si la forme avance à déplacement normal, je tente un jet de discrétion à -5. Si elle se déplace plus vite, je cours le plus vite possible en jetant si besoin mon sort de démarche aérienne avant.

Je fais profiter Ellawa de ma capacité de lien avec l'environnement (voir le spoiler). Je décide de ne laisser aucune piste.

Si besoin :

• Discrétion en jungle (à -5) : 1d20+6 donne [2] + 6 = 8
• Perception : 1d20+11 donne [16] + 11 = 27

Aidé par les indications transmises par Ellawa, indications qui provenaient à la fois des sens aiguisés de la chamane et des impressions communiquées mentalement par Simurgh, Hogo s'avança à toute vitesse à travers la végétation, sans sembler se préoccuper des hautes herbes qui risquaient de le faire trébucher, des buissons qui auraient pu lui lacérer les jambes ou des dangereuses plantes dont le simple contact suffisait parfois à causer démangeaisons voire empoisonnement plus grave.

La silhouette que les deux compères poursuivaient était visiblement bien moins doués qu'eux deux dans cette sorte de course-poursuite à travers un terrain aussi difficile que celui-là, et ils n'eurent aucun mal à la rattraper. Une fois arrivé à une bonne dizaine de mètres de leur proie, Hogo et Ellawa reconnurent la silhouette comme étant celle d'une femme mwangie. Celle-ci poursuivait son chemin vers le chemin principal qui sortait de la ville, à pas rapide, mais toujours sans courir — peut-être qu'elle avait plus de difficultés pour se déplacer à travers une telle végétation.

Lorsque Hogo et Ellawa ne furent plus qu'à deux ou trois mètres d'elle, la femme se retourna, respirant profondément, visiblement un peu essoufflée. Elle prit un air fier et dit « Vous… vous êtes ceux qui amenez régulièrement de la nourriture. Pourquoi me pourchassez-vous ainsi ? »

Hogo et Ellawa peuvent aussi faire, en plus d'autres éventuels jets, un test de Sagesse pur (1d20 + bonus Sagesse)

Modifié par un utilisateur mercredi 13 septembre 2017 00:51:30(UTC)  | Raison: Non indiquée