Le combat se termina, sur une victoire évidente de son compatriote
Comme si ce nabot pouvait rivaliser avec la grâce d'un drow et l'élégance on style de combat
Il s'apprêtait à féliciter poliment Firwin lorsque celui-ci lui fit une remarque impertinente.
Zszaufeiin forca un léger sourire poli sur ses traits fin et imita un sort de couleur dansante à l'aide d'un simple tour qui ne lui coutait aucune énergie
« Mes couleurs se portent très bien toutes seules! »
Le sourire de l'elfe noir, s'agrandit légèrement alors que le bretteur s'asseyait
« Mais sois sur que je penserai à toi le jour où je voudrais que quelqu'un défende la veuve et l'orphelin... »

La théorie du petit est homme est tellement tordue qu'elle pourrait se tenir
Dans ce lieu, tout est possible
Et voila le bariaure qui dit quelque chose de sensé
Pour preuve...
Zszaufeiin se tourna vers le kender et poursuivi
« Pour une fois, mon collègue dit vrai, nous attirerions certainement moins l'attention que vous... Ou que n'importe quelle faction du reste...Votre piste, bien qu'improbable, est possible. Nous pourrions découvrir se qu'il se trame et revenir vers vous... Pourrions nous compter sur votre aide dans l'hypothèse ou nous aurions besoin de... bras supplémentaire? »
Le drow faisait un effort conscient pour ne pas paraitre condescendant mais il n'était pas sur d'avoir réussi
Il faudra que je m’entraîne à parler à tous ces esclaves en puissances... Ils semblent penser être nos égaux et il faudrait éviter de les brusquer

Un sourire, une légère inclinaison du buste et tu récupère le mouchoir carmin que te restitue Firwin...

« Tu t'es bien débrouillé... ça mériterais une petite récompense... A moins que tu n'ai une idée j'y réfléchirais... »

Le regard amusé que tu lui adresse est clairement une invite... Mais quittes à jouer autant le faire jusqu'au bout non ? Et puis Firwin apprécierait le geste tu en étais certaine... En tout cas le voilà qui se retourne vers Z pour un résultat des plus remarquables. Définitivement trop facile... Sans laisser a Firwin le temps de réagir, tu glisse un :

« Je ne te connaissais pas une attirance pour de telles œuvres Zszaufein... Rien de personnel j'espère... Je... Oh... désolée... tu es veuve ? »

Les yeux grands ouverts alors que tu expose cette révélation terrible, tu prend rapidement un air profondément désolé... Peut-être n'aurais-tu pas du remuer d'aussi difficiles souvenirs...



Puisque la bataille était venue jusqu'à vous... Un large sourire sur les lèvres, tu récupère un peu de... c'était quoi cette couleur a la base ? Du vert ? Non... Peut-être du bleu... Sans importance. Ce qui compte c'est que c'est là un projectile tout a fait approprié. Et tu dispose d'une fenêtre de tir parfaite : le groupe se trouve entre toi et ta cible... A savoir celle qui est a l'instigation de tout ça. Sans vraiment faire attention a ne pas toucher ce qui se trouve sur la trajectoire... tu tire, laissant échapper un rire léger, quelques accords de violon...

Si tu manœuvre bien les autres devraient rapidement finir multicolores... Sans même un tir direct de ta part... Enfin... Sans un tir direct volontaire. Quand a ta propre coloration... Ce n'est qu'un détail.

• Tous aux abris ! : 1d20+5-4 donne [1] + 5 - 4 = 2

La réponse de Mordri se veux plutôt rassurante et au fond tu es d'accord avec lui sur le résultat : il te semble plus probable que le Valet ai l'usage de corps que d'esprits... Mais surtout... Si Mouna n'avait pas été dans le coin tu aurais probablement évoqué une autre possibilité quand a l'identité du tueur... Une part de toi ne pouvais s'empêcher de penser que taré pour taré ça ne serrait pas si étonnant qu'un Morné décide de soulager rapidement des Azimutés...

« Nous verrons bien de quoi demain sera fait... Mais si on tombe sur quelque chose qui nous fait penser au Valet... Bah... J’essaierais de me souvenir de vous. »

La formulation est volontairement floue mais au fond a un endroit pareil, seule l'intention compte... Et une promesse n'aurait guère de valeur comme le kender viens de le faire remarquer.

Beaucoup trop simple à faire réagir décidément... Il suffit d'appuyer et il réponds aux prévisions. Et si le drow rouge de la tête aux pieds s'est comme il s'en doutait fait rembarrer il laisse un leger sourire narquois flotter sur les levres en corrigeant Airi qui en s'emparant de la perche de Zszaufein vient de lui en offrir une autre.

«  Non, non, veuve ça ne colle pas, il est probablement orphelin... Mais du coup... » Son air semble réellement indécis. «  On est censés lui présenter nos condoléances ou nos félicitations tu crois... ? »

Ils doivent être tout à fait insuportables... Ce qui est toujours aussi profondément satisfaisant.



Mordri a beau être un sacré combattant, ce n'est pas pour ses talents d’enquêteurs et sa connaissance fine de la psychologie humaine qu'il est réputé. Voir même l'inverse... Mais bon.... si son hypothèse semble un peu sortie de nul part, on ne fera pas changer d'avis un théoricien complotiste par des arguments raisonnables et après tout, ça ou autre choses... au final, ils ne sont pas payés pour trouver le tueur d'Azimutés mais bien pour s'occuper de retrouver les secrets de celui d'Airi. C'est donc elle qui décidera à quoi l'argent Sensat sera dépensé... Dans ce genre de cas, c'est la patronne qui à le dernier mot, songe avec philosophie l'Indépendant.

En parlant d'insupportables... Les chaoteux pour quelqu'un d'un peu ordonné ou tentant de controler ce qui l'entourent doivent également être un vrai supplice... Le drow lui est relativement à l'aise, contemple dubitatif la mousse violette sans parvenir à se convaincre d'y gouter, et a renoncé à ne pas sortir de là bariolé... Après le rose, que peut il arriver de pire après tout ?

Question à ne pas poser au milieu de Chaoteux en liberté.

Un oeil sur le blafard devenu tout rouge au propre comme au figuré qui menace de faire tourner vilain l'ambiance, mais est stoppé par sa factor hilare. Et bien decidée à renvoyer l'amabilitée à la Sensat. Firwin analyse rapidement les geste. Boudiou ! Elle va vraiment faire ça ?!? Improviser ? Sérieux ? Vu ce qu'elle tente de faire, ça ne devrait pas mal tourner... à prioris... non ?

Ce qui n'est du tout l'avis de Mordri qui file sous la table.

Deux solutions. L'imiter, ou se dire qu'à vaincre sans perils on triomphe sans gloire ? Et que autant profiter du spectacle et faire confiance à sa bonne étoile pour le couvrir sur ce coup là. Même pas peur. Et puis sous la table il risquerait de manquer ce qu'il va se passer. Et on lui a toujours dit que la curiosité était un vilain défaut. Autant de raisons de mater la suite !

Le projectile avait eu un comportement... inattendu. Non seulement il n'a pas touché ta cible principale. Mais en plus tu n'a même pas réussi a malencontreusement colorer un de tes compagnons... Non. Il a fallu non seulement que ça tombe sur un parfait inconnu mais qu'en plus la tremblote comprenne qu'il s'agissait là d'une tentative ratée d'agression sur sa personne...

Le bon côté c'était que ça avait visiblement étouffé les velléités de lancer de casque... Le mauvais côté c'était que l'attention d'une mage totalement imprévisible (il n'y avait qu'a regarder son maquillage et sa faction) et a n'en pas douter puissante (n'est pas factor qui veux et si l'autre allumé de Mordri avait peur a chaque fois qu'elle menaçait de lancer un sort ce n'était pas pour rien) avait visiblement décidé de la prendre pour cible.

Se mettre derrière une table ne servirait probablement a rien. Mais probablement est mieux que rien... Tu saute te mettre a couvert en attente d'une explosion ou du hurlement d'un démon... Un regard inquiet en direction de Firwin qui semble décidé a affronter l'avenir avec panache... et...

Et...

Rien ?

Tu jette un regard interrogateur a Mordri et jette un regard au dessus de la table. L'endroit est étrangement calme : oh... bien sur une partie des chaoteux n'a même pas réagit. Mais un bon nombre a mis fin a ses précédentes activités pour se mettre à l'abris.

La tremblote observe le résultat, ou plutôt l'absence de résultat avec un air contrarié... Et finalement... Lorsqu'elle ouvre la bouche du pousse un cri de ravissement :

« Magnifique ! Ils sont sublimes ! »

Sans réellement te poser plus de questions, tu te dirige vers le comptoir histoire d'en attraper un ou deux... C'est tout juste si elle adresse un geste de salutation au Factor qui s'éloigne... En revanche lorsque les premières fausses notes de Burichladdich commence a résonner tu songe subitement que retrouver la sécurité des quartiers de la dame pour se reposer un peu ne ferrait probablement pas de mal...

Le visage de Zszaufeiin resta parfaitement impassible mais l'espace d'un instant il regarda Airi avec des yeux froids comme la mort. En une seconde, il imagina toutes les morts qu'ils pourrait leur faire subir, à elle et à l'elfe noir, et un léger sourire revient sur son visage. Il s'abstint cependant de répondre, il n'avait absolument rien à gagner dans ces joutes verbales et cela ne l'amusait guère de parler de son passé... Encore moins de sa famille
Si seulement...
Le drôle de petit homme ne leur serait d'aucune aide, mais il ne leur mettrait pas de batons dans les roues, c'était déjà ça de gagner.
« Bien, je pense que nous en avons fini ici... Cette rencontre fut... Intéressante, merci pour l'acceuil »
Alors qu'il s’apprêtait à mettre les voiles, les autres semblaient apprécier les enfantillages qui semblaient monnaie courante chez les chaoteux, aussi s'arrêta-t-il pour observer le champ de bataille un instant alors que tout le monde sautait derrière des tables
Enfin quelque chose d'intéressant
L'énergie magique flotta dans l'air et l'elfe noir fut incapable de reconnaître le sort. Toujours avide de connaissances, il observa le mage chaoteux avec attention... Des papillons...
Tout ça pour ça... C'est pour ça qu'il faut laisser la magie à ceux qui ont réellement du talent...
Il patienta encore quelques instants que l'anarchie ambiante diminue et Mouna s'adressa à lui
La naïveté est une arme puissante..
« Vous m'en voyez ravi ma chère! J'espère que nous n'en auront pas besoin, mais il est toujours bon de voir que certains ne laissent pas l'injustice impunie. »
Si on peut utiliser quelques idiots pour créer une diversion ou désarmer quelques pièges
« Bien, je pense que nous devrions nous mettre en route et deviser de la marche à suivre sur le chemin »

Mouna, amusée, glousse aux réparties de Firwin.
« Tant d'efforts pour une simple caresse ou un baiser ? Je ne me suis pas trompée : vous êtes donc bien fou. Peut-être devrais-je vous enfermer à la Loge, pour votre sécurité ? » s'amuse-t-elle.



Quand Mordri se planque sous la table, Djaimis et Mouna, pas piqués des hannetons pas plus que téméraires, font de même. Et lorsque la salle se retrouve finalement envahie d'une brouillard de papillons multicolores, et que la tension retombe, Djaimis se met à rire de bon cœur.
« V'la que j'me planque pour des papillons ! » s'exclame-t-il.

Goguenard, il se relève et s'offre une bonne rasade. Pendant qu'Airi, égaillée, se met en chasse, et que les autres devisent de la marche à suivre, le génasi de l'air y va de son commentaire :« M'est avis que si on veut damer l'pion à ce valet, faudrait pas traîner... Ses sbires sont amochés et, là, il est seulâbre. Et la magie, ça pousse pas sous le lierre-rasoir. J'veux dire, il en a peut-être plus tant que ça sous le coude ? Et si on attend, il trouvera de la compagnie : le bige a l'air d'avoir des moyens. »

Puis, jetant un regard entendu à Mouna, il ajoute : « Maintenant... Ça m'a l'air d'être un gros poisson. Si Mouna a raison, c'est peut-être pas à notre portée de l'affronter. Et peut-être qu'on peut esquiver. Mais maintenant qu'il sait qu'on sait... Va falloir qu'on soit méfieux. M'étonnerais qu'il nous laisse tranquilles ; il va vouloir protéger son petit trafic et, pour ça, nous claquer le râtelier... »

Et alors que Mordri, impatient, décanille, Djaimis glisse à ses compagnons : « Et pardon, Bruich, mais j'suis pas sûr que ton factor ait la trempe pour choper un matois du genre. Une puissante barbe grise, faut avoir plus que de la chance pour l'avoir à l'épée... On marche sur des œufs, là... »

À l'apparition des papillons, Mouna, elle, reste ébahie un instant. C'est tellement joli qu'elle y verrait presque un intérêt à l'existence. Et puis, bien sûr, elle se ravise vite...
« Ces papillons... Ils sont tellement beaux et en même temps, si fragiles, si éphémères... Une existence bien fugace que la leur. C'est bien triste. » commente-t-elle.

L'aasimar hoche la tête aux paroles de Zszaufeiin. Le ton condescendant de l'elfe noir ne semble pas la toucher plus que ça. Et puis de toute façon, Mouna pense avant tout à sauver de pauvres azimutés d'une fin prématurée. Que certains y voient intérêt ou profit, elle n'en a cure. Et n'en attends pas moins d'un Preneur. Son intérêt à elle, sauver des vies, ne s'y oppose pas.

Mouna sourit à Bruichladdich en liesse. Sa joie fait plaisir à voir. Mais alors qu'il entame un morceau qui fait froncer l'aasimar du nez - parce que des oreilles, c'est difficile - elle lui tapote l'épaule.
« Bruich... Attends. Je serais plus rassurée si tu nous accompagnais, avec les autres, au moins jusqu'aux abords de la Ruche. Et puis si tu m'accompagnais jusque chez moi, ensuite. Tu pourras revenir faire la fête après ? Je doute qu'elle se termine tantôt... Je connais mal le coin où nous sommes et il a beaucoup plu. Je crains qu'il n'y ait des Portails Vaseux... Et puis, Djaimis n'a pas tort : ce soir, nous nous sommes fourrés dans les ennuis. Peut-être que ce valet ne nous embêtera pas ce soir. Mais c'est une possibilité... Tu veux bien, Bruich ? » demande-t-elle, un sourire aimable accroché aux lèvres.

Des portails Vaseux ? Connaissances Local DD15 ou Plans DD18 (réussite auto pour Bruichladdich et Mouna) :

Modifié par un utilisateur mercredi 20 juin 2018 11:37:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les nuits dans la Cage sont rarement tranquilles ; enfin, c'est ce qui se bonit. Parce qu'il arrive qu'un bige, même complètement béjaune, traverse la Ruche, s'y paume, et en revienne frais comme un gardon - les bottes un peu crottées, sans plus. Si, si, ça arrive. Parfois...

Mais nos arpenteurs, enfoncés jusqu'aux genoux - pour la énième fois de la soirée - dans une sale embrouille, ne peuvent qu'adhérer au crédo de la chanson. Et penser que la Ruche est quand même plutôt mal fréquentée...

À la Tête de Noix Saoule, comme Bruichladdich l'a bien compris, il faut beugler pour dire au revoir. Il y a maintenant tellement de papillons qu'on y voit pas à trois mètres et le bruissement des ailes fragiles des lépidoptères, amplifié en force par leur nombre, crée un brouhaha de fond assourdissant ! La Tremblote, Mordri, les autres : les arpenteurs les ont tous perdus de vue dans le brouillard iridescent.

Quand ils sortent, nos arpenteurs ne sont pas seuls. Quelques chaoteux - sans doute gavés par la bibe aux papillons - ont décidé de tailler la route et s'égayent en petits groupes à travers les rues. En tout cas, chaoteux ou arpenteurs, on reconnait facilement ceux qui sont passés à la Tête de Noix Saoule ce soir : tâchés de pigments colorés et constellés de fragments d'ailes de papillons, que voilà de joyeux drilles.



Prenant la direction du quartier des Gratte-Papiers, Bruichladdich mène la danse. Il y a plus court, mais avec l'agitation qu'il y a eu au Temple Ruiné tantôt, faire le tour par l'autre côté sera certainement plus tranquille. Le coin des Bas-Quartier doit grouiller de Têtes de Bois ; alors autant éviter les patrouilles et d'avoir à se justifier d'exister.

Comme il ne s'agit plus de pister Elliath, les arpenteurs tracent à bon rythme. Plus besoin de s'arrêter aux comptoir des échoppes ou de demander aux mendiants si, par hasard, ils aurait déjà avisé un bougre qui se prenait pour un clébard. Le clébard qui, d'après ce qu'en savent les arpenteurs, a trouvé sa dernière niche - puisse-t-il s'y ébattre éternellement en paix... Et comme Bruichladdich et Mouna connaissent même quelques raccourcis, les rues défilent à toute vibure.

Malgré les chemins de traverse, le petit groupe croise quelques matois de-ci, de-là. C'est toujours la même rengaine : qu'il y ait de la lumière ou pas, on se dévisage, on se jauge, on se croise sans rien se dire et on se quitte en se se coulant quelques regard méfieux par dessus l'épaule.

Une rengaine qui se répète, et se répète encore ; l'habitude, ça vous en rendrait presque insouciant. Le genre d'erreur à ne pas commettre, n'est-ce pas ?...



Alors qu'ils trottent depuis cinq minutes (et oui, pas plus) et qu'ils empruntent une rue qui ne se démarque pas des autres - sale, bourbeuse, encombrée d'ordures - les arpenteurs ont à peine le temps d'aviser un bige à l'opposé qu'il se met à bruiner. Et à bruiner fort.

La pluie impromptue semble surprendre le type, qui s'arrête brusquement. Au même instant, nos arpenteurs, rajustant leurs capuches ou ramenant leurs manteaux sur eux, n'y prête guère attention. Et puis, à part le fait qu'il est accompagné par une sorte de gros lézard qui patine dans la boue - ce qui est rare dans la Cage - c'est un bige comme tous les autres : la capuche baissée sur la trogne et les épaules remontées, manière de faire mastard...

Mais soudain, le lascar part d'un rire sarcastique ?


« স্পাইডার রানী দ্বারা এবং ক্র্যাঁশ রাণী ! দ্বারা, ভাগ্য আমার উপর হাসা! আজকের মায়ের দিবস !! »
Elfique :
Maintenant qu'ils le remarquent, les arpenteurs avisent les reflets métalliques et mouvant de la belle armure que le bige porte sous le manteau. D'ailleurs, c'est qui attire l'attention dessus : le matois fait de drôles de mouvements, ce qui crée ces agaçants reflets...


Tout en exécutant son étrange et subtile chorégraphie, le matois continue de branler du râtelier. L'excitation et la cruauté perce dans sa voix qui porte à travers les rideaux de pluie fine. Y a pas de doute : l'hystérique s'adresse à Zszaufeiin. « সুতরাং, সামান্য এক, আমরা বিয়ন্ডে মিষ্টি হতে যাচ্ছিলাম? কিন্তু আমরা তার ভাগ্য অব্যাহত না, বাচ্চা আপনার ধরা হবে এবং খনি বাড়ির দ্বারা পুরস্কৃত করা হয় !!! »
Elfique :

En tout cas, pas besoin d'être une Puissance du savoir pour comprendre que, à la façon dont le matois dégage brusquement les pans de cape et dévoile une arbalète de poing, il est prêt à en découdre. Mais pourquoi les drows sont-ils si méchants ?


Qu'est-ce que c'est que ce gros lézard ? Connaissances Nature DD11 (impossible de faire 10) :

Pour ceux qui captent l'elfique :



[i]NdDM : à vous ! Enfin, à Zszaufeiin : je ferai jouer Djaimis après
NdDM, bis : je vous laisse mettre à jour les infos sur vos persos, notamment les PdVs, sur la BM (je gèrerai Mouna et Djaimis dans l'aprèsm)

Modifié par un utilisateur samedi 23 juin 2018 12:22:44(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les portails boueux. Pouah ! Une sacrée saleté ce genre de choses. Une saleté qui justifierait à elle seule de bannir la Ruche de la liste des lieux fréquentables… du moins si elle n’avait pas déjà des dizaines de raisons de l’être. Ça n’en faisait qu’une de plus. Une des plus repoussantes il est vrai. Charmant endroit.

En tout cas, à quelques rues de leur sortie de la Tête de Noix, voyant le nettoyage express que fait subir l’aasimar à sa tunique, il n’hésite pas à lui demander le même service histoire de se débarrasser de tout ce rouge.

Et se tirer hors de ce trou de boue puant.



Lancer un regard noir à ceux qui passent et les décourager de les déranger. Éviter soit même d’aller chercher les ennuis… C’est encore le plus sur pour être rapidement dans un lieu moins poisseux.

C’est ce qui aurait du se passer.

Sauf qu’un de ces bige n’a pas en tête de passer outre.Quoi encore ?! On ne pourrait pas arrêter de l’interpeller ce soir ? Mais il a un drôle d’accent. Un accent qu’il connaît beaucoup trop… Par Milani… il prends pourtant soin de ne pas fréquenter les rares autres de drows de la Cage alors pourquoi autant en deux jours. Ils se sont donnés le mots ou quoi ?

Et en plus celui ci se permet de lui causer aussi… prétentieusement. Les traits de Firwin soudainement beaucoup plus sérieux se sont durcis, et dans la pénombre de la ruelle il est difficile de reconnaître le bretteur qui badinait négligemment à la taverne. Il rappelle soudainement beaucoup plus quelle est sa race.
« ওয়েল, মনে হচ্ছে আপনার কাছে আকর্ষণীয় বন্ধু আছে Zszaufein.. » lâche il froidement…


Des amis dangereux surtout. Mortels le plus souvent… Mais ces prétentieux qui voudraient venir imposer leurs règles à Sigil le font doucement rire… Et on voudrait qu’il participe à un emprisonnement.. ? Lui imposer son comportement ? Il ne se trahira pas pour si peu.
Ses doigts dansent en même temps, précis et rapides. Sèchement.



Par contre ça ne dit pas qu’il compte se mêler de ça… enfin… pas pour un Preneur… tant que celui ci à son mot à dire. Ce serait lui refuser son choix que de l’ignorer… Sauf si bien sur ce dernier le lui demande. Ou l’embauche.



Que serait il prêt à donner pour que Firwin intervienne. Le drow était plutôt curieux de savoir… De l'argent ? Serait il plus imaginatif ? Et un preneur n’accepterait jamais qu’on l’aide pour rien sans s’en vexer profondément. Alors, à quel prix fixait il sa… vie ? Oh, vu ses congénères… s’il avait un problème avec ces rétrogrades, c’était même son âme qu’il jouait. Et que lui même risquerait aussi sa vie s’il s’en mêlait. En attendant, un pas en arrière, il sait que ce qui va se passer est tout sauf plaisant.

Modifié par un utilisateur jeudi 21 juin 2018 19:55:56(UTC)  | Raison: Non indiquée

Pendant le court échange, Djaimis fronce les sourcils. C'est que le baratin en elfique, ça lui passe au-dessus. Mais le sylphe percute facilement que ça sent l'embrouille. Déjà parce que le matois qui fait face aux arpenteurs leur intime de se tailler pas spécialement poliment. Et ensuite... Et bien ensuite parce que Zszaufeiin, rapide comme l'éclair, après avoir produit quelques étincelles bleues, s'esquive sans demander son reste...

« Hein !? Zszaufeiin ? »

Djaimis hésite un instant ; enfin un instant : sa réflexion est très rapide. Le matois qui en veut au fuyard n'a pas l'air de vouloir du bien à Zszaufeiin. Et d'après c'que l'étranger leur a bonit, négocier ou l'intimider n'apparaissent pas comme des options valables...

« Hé, toi ! Faut t'calmer, bige. Chais pas c'que Zszaufeiin t'as fait, mais si tu t'la joues comme ça, ça va mal finir ! » Ce disant, Djaimis se glisse promptement à côté de Bruichladdich et menace l'inconnu du doigt. Soudain, une projection verdâtre et fumante se matérialise dans l'air et file s'écraser sur un mur : dans sa précipitation, le génasi de l'air a manqué sa cible d'une toise...


★ [Pas de placement] ⇢Y15
★ [Standard]Pouvoir Magique = Orbe Acide
• Attaque de contact à distance vs CA 10 : 1d20+6 donne [3] + 6 = 9 (échec...)

Modifié par un utilisateur samedi 23 juin 2018 11:33:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

Un soupir... un haussement d'épaule. Soit. Chassez le naturel qu'ils disaient... Visiblement si certains réussissaient a s'y faire celui-là avait encore trop du provincial. Même pas fichu de se comporter comme un preneur digne de ce nom : il ne considérait pas l'offre mais en profitait malgré tout en t'utilisant plus ou moins comme bouclier... après tout puisqu'il n'avait même pas pris la peine de vraiment fuir alors que par ici la manœuvre était si simple... Soit. Et pour couronner le tout l'invité au goût douteux fait preuve d'une certaine réserve en lançant un sort qui ne semble pas nuire physiquement a Djamis.

Si s'il ne te donnait pas l'impression d'être au moins aussi vicié dans le fond tu lui aurais presque proposé ton aide pour éviter qu'il n’abîme trop Z... Un léger hochement de tête accompagne les propos de Firwin et, sans rien ajouter, tu le suit. Le problème des ruelles est qu'il est difficile de s'y désengager d'un combat sans prendre de risque. Il faudrait que l'autre se contente de ça.

Et puis... selon comment la situation évoluait... Bah... tu verrais bien.

Mouvement en X15.