Elja continue de s'approcher mais elle est rapidement stoppée par leur chef. Qui ne veut donc pas qu'ils voient de plus près ce qui se passe et semble reconnaître de bon cœur sa profession... Ai je bien entendu ? Ma mémoire me souffle que le manuel du parfait homme de main ne contient pas de chapitre sur la façon de confirmer l'implication d'une tierce personne au crime qu'elle vient de secrètement commanditer. A moins encore une fois de décider de se débarrasser des témoins.

Sans compter que ce nom me dit quelque chose. Il me titille le fond de la mémoire. Je suis certain de l'avoir déjà entendu quelque part. Récemment... non, pas tant ... ça remonte un peu. Evidemment, tandis que je tente de me remémorer le tout il m'est plus difficile de garder un oeil alerte sur les environs et c'est Silevril et mamie qui m'alertent au moment où je me remémoré la voix suave de mon percepteur en train de tenter de m'obliger à apprendre la liste des puissances économiques de la mer intérieure sous prétexte que le commerce est le véritable pouvoir. Comme quoi, contrairement à ce qu'il prétendait, je l'avais écouté. Mais du coup, ils n'étaient pas en chute libre depuis 5 ans? Si la gamine est la fille Graywood, pas étonnant que sa tête soit recherchée...

« Les Graywoods, rien que ça?  » Lachais je avec un sifflement admiratif. « C'était vous derrière le reste de leurs déboires? »

Et oui, ses hommes sont des amateurs, il semble lui même le constater...

« Pas trop dur de bosser avec des amateurs...?  »

Je n'ai pas pu résister... C'était trop tentant. Et Silevril en main, l'energie crépitante commencant à affluer dans l'autre, je m'avance tandis qu'autours de moi semblent apparaître des esprits...

Modifié par un utilisateur jeudi 6 septembre 2018 23:33:27(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les choses sérieuses avaient donc commencé... Autour de vous des esprits furieux appelés par les souvenirs que tu évoque par ton chant déversent leur haine sur vos adversaires... Et Asphodèle vas s'assurer que celui qui semblait user de magie estime que les fantômes l'agressant ne sont finalement qu'un désagrément mineur en regard du tieffelin enragé qui viens lui présenter une longueur d'acier...

L'archer ayant été rejoint par Ayarik, tu recule d'un pas pour profiter au mieux de ton allonge et porte un coup en direction de ses jambes... L'autre ne réagit pas et si tu sent qu'il est plutôt stable sur ses pieds, tu parviens néanmoins a l'envoyer au tapis.

Ah... Tu adorerais lâcher un petit commentaire ironique mais pas moyen de caser ça au milieu de ton chant.

• Action libre : maintenir le chant de rage "Rage Draconique". Au début de votre tour vous pouvez décider d'accepter ou de refuser les effets de la rage draconique.
  
  
  
  • Malus de -1 à la CA
    
  • Bonus de moral de +2 aux jets d'attaque au corps à corps.
    
  • Bonus de moral de +2 aux dégâts.
    
  • Bonus de moral de +2 aux JS contre les effets de paralysie et de sommeil
    
  • Vous gagnez le pouvoir de rage "totem spirituel inférieur" au début de votre tour des esprits attaquent un adversaire proche. Ils utilisent votre BBA max +4 pour toucher et infligent 1d4+4 dégâts d'énergie négative.
    
  
  
• Action libre : Pas de placement.
  
• Action simple : Croc en jambe sur l'archer

• Et si tu attendait par terre ? : 1d20+13 donne [4] + 13 = 17

Modifié par un utilisateur samedi 8 septembre 2018 13:58:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

La réaction des aventuriers a pris au dépourvu les assassins, qui s'attendaient à de la négociation et non une attaque surprise. Même le chef, l'archer, semble décontenancé, mais, il se reprend bien vite. Il lâche son arc pour se saisir de son épée longue d'un simple mouvement de poignet. Il se lance ensuite dans une chorégraphie étudié, prenant en compte sa position allongé, visant les zones vitales avec une vivacité digne d'un assassin. Le renard, connaisseur des ombres, voit le premier coup venir. Une attaque classique dans le milieu, qui cache une seconde attaque plus violente qu'Ayarik bloque sans peine. Sous les yeux ébahis des deux, l'épée longue de l'archer se fracture dangereusement.

Près d'Asphodèle, dont les compétences martiales ne sont plus à prouvé, les choses se gâtent. Maintenant au corps à corps avec deux assassins, et pris en tenaille par ceux-ci par un déplacement stratégique de celui a terre. L'homme à la rapière voit bien que le tiéffelin est très, trop, dangereux, et essai de le perforer, mais ce dernier est plus que dangereux avec ses muscles, il l'est aussi avec sa magie. Le bouclier magique viens, à une vitesse inouïe, bloqué l'assaut, abîmant légèrement la pointe de la rapière qui n'est pas faite pour être paré de la sorte. Derrière, c'est une autre histoire. L'assassin utilise ses deux épées courtes pour asséner de multiples attaques dans le dos du guerrier si attirant. Mais la magie du sanguin est trop puissante pour de si lentes attaques, le bouclier reviens rapidement et empêche son propriétaire de subir des entailles.

Dans les arbres, c'est le bordel. Le nuage est particulièrement handicapant, mais en plus, un énorme gorille viens de se fracasser contre un arbre, secouant et déstabilisants les assassins perchés. Celui qui avait commencé à s'enfuir continue sa route, sautant par terre, se réceptionnant par une roulade, et commence à courir vers l'auberge. Les autres regardent la créature et les aventuriers, essayant de déterminer la marche à suivre. Mais... l'odeur est trop prenante, et l'envie de vomir horrible. Ils sautent par terre en crachant leurs tripes, s'éloignant ainsi légèrement du nuage. Ce faisant, ils se retrouvent à la merci du gorille, si tant est que celui-ci ne soit pas pris de nausée...



Personne touche !

Modifié par un utilisateur lundi 10 septembre 2018 23:10:08(UTC)  | Raison: Non indiquée

Abigail est surprise de la rapidité d'action de ses compagnons. Le temps qu'elle reprenne, elle, ses esprits et un archer gisait au sol en mauvaise posture, un gorille tambourinait sur la tête des brigands qui vomissaient tripes et boyaux. Elle était particulièrement inquiète pour le brigand qui avait échappé au poison du nuage et semblait vouloir se diriger vers l'auberge. Confiante dans les capacités de ses compagnons, elle décida de ralentir celui-ci le temps que les autres puissent s'en occuper. Au pire, elle s'en occuperai elle-même. Utilisant la magie de la nature qui l'habitait, elle ordonna aux plantes dans un vaste rayon de s'animer et de s'emparer des jambes du fuyard.

Toutefois, son attention fut également attiré par Gémini. Son modeste cafard était dans une colère noire, et le chant du scalde le mettait dans tous ses états. Des fantômes tournaient autour de lui, prêt à venger la mort des humains froidement assassinés par ce groupe de manants. Comprenant son désir, une fois son sort lancé, elle s'approcha du malade le plus proche. Et les fantômes le frappèrent, enlevant sa vie.

« Takkoua, ton gorille devrait sortir du nuage, et pourrais-tu t'occuper de l'autre, avec des aigles peut-être ? Il ne faut pas qu'il puisse atteindre la jeune fille. »



Je lance enchevêtrement, réflexe DC 17 pour éviter d'être enchevêtré, sur le bandit qui part vers le sud et sur une zone d'un diamètre de 25 m devant lui s'il veut continuer vers l'auberge. Déplacement vers le bandit à côté. Gémini est en rage et les fantômes frappent le bandit.

Modifié par un utilisateur mardi 11 septembre 2018 09:42:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Visiblement un certain nombre d'adversaires avaient échappé a ton attention... Mais Abigaël les gardaient dans le coin... Pas a s'inquiéter qu'ils aillent a l'auberge donc... Et au pire... Et bien ils découvriraient a quel point Asphodèle pouvait courir vite... Quand a ceux qui étaient dans les arbres... Le temps qu'ils se remettent de la nausée qui avait du les saisir en respirant ce nuage... Et bien... Mieux vaut s'occuper de ceux qui ont des armes plein les mains juste à côté.

Et puisque, malgré le bon coup de jus qu'il viens de prendre, celui que tu avais tout juste envoyé au sol bouge encore, tu le frappe... Faisant confiance aux esprits déchaînés autour de toi, tu fait un pas un avant pour te mettre a portée de l'homme s'étant glissé dans le dos du tieffelin, inconscient de l'inutilité de sa manœuvre...

Et effectivement ta confiance semble bien placée puisqu'un ultime hoquet t'informe que cet homme au sol ne représente plus de menace sérieuse.

• Action libre : maintenir le chant de rage "Rage Draconique". Au début de votre tour vous pouvez décider d'accepter ou de refuser les effets de la rage draconique.
  
  
  
  • Malus de -1 à la CA
    
  • Bonus de moral de +2 aux jets d'attaque au corps à corps.
    
  • Bonus de moral de +2 aux dégâts.
    
  • Bonus de moral de +2 aux JS contre les effets de paralysie et de sommeil
    
  • Vous gagnez le pouvoir de rage "totem spirituel inférieur" au début de votre tour des esprits attaquent un adversaire proche. Ils utilisent votre BBA max +4 pour toucher et infligent 1d4+4 dégâts d'énergie négative.
    
  
  
• Action simple : Frapper un homme au sol.
  
• Action libre : pas de placement.

• Tu devrais pas bouger, c'est mauvais pour c'que t'as [4(BBA)+4(dex)+1(arme de pred)+1(arme de maître)+2(chant)+2(tenaille)] : 1d20+14 donne [12] + 14 = 26
• Dégâts : 1d10+4+2 donne [7] + 4 + 2 = 13
• Esprits, êtes vous là ? : 1d20+8 donne [10] + 8 = 18
• Ha bas oui : 1d4+4 donne [1] + 4 = 5

Modifié par un utilisateur mardi 11 septembre 2018 18:37:12(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le combat semble se terminer aussi vite qu'il a commencé. Les aventuriers font, littéralement, tombé leurs adversaires aux sols sans qu'il ne soit possible pour eux de se défendre. Un véritable combat à sens unique. Le chef des assassins, voyant sa fin arrivé et avant de sombrer dans l'inconscience donne un violent coup de mâchoire et une mousse verdâtre sort de sa bouche tandis que ses yeux se révulsent et qu'il tombe au sol. « On se rends! »

Asphodèle voit l'assassin sur la caravane jeter son arme au sol et lever les bras, ce qui donne le signal pour son camarade derrière le tiéffelin pour faire de même.

Du côté du nuage, ils sont trop occupés a vomir et se sentir mal pour se rendre compte de la situation, mais de toute façon, ils ont lâché leurs armes pour se tenir le ventre.

Au niveau du sort d'enchevêtrement de mère Abigaël, l'assassin ne dit rien, il a pu observer le combat avec une profonde lassitude.

Agibail est satisfaite que les brigands aient compris où était leur intérêt. Elle acquiesce aux paroles de Takkoua. Elle indique au brigand qui n'est pas en train de vomir de lâcher ses armes et de se rendre gentiment avec ses copains. Ce faisant, elle libère les plantes qui l'enchevêtraient pour qu'il puisse rejoindre ses amis.

« Tout le monde se rassemble et je vais voir ce que je peux faire pour les blessures de chacun. Que tout le monde laisse ses armes à côté du chariot : et pas d'entourloupes, vous serez fouillés avant de bouger et cela risque d'aggraver votre cas. Mais si vous faites ce qu'on vous dit honnêtement alors vous ne devriez pas avoir de problème, du moins pas plus que vous en avez actuellement. »

Une fois qu'elle se sera rapprochée des corps, aussi rapidement que possible, elle lancera une canalisation, excluant tout d'abord les méchants blessés, le temps d'être sûre qu'ils ne soient plus armées, puis elle recommencera pour tout le monde. Elle vérifiera ensuite les blessures des corps. Elle espère les sauver, mais s'ils sont morts, elle voudrait pouvoir identifier les armes ayant donné les coups mortels : elle pense au possible jugement des assassins et ne veut pas se tromper en accusant un innocent.

Il ne reste plus grand chose comme vie dans le regard de l'humain au sol qui me fait face, et puis... la coutille d'Elja achève le travail, le clouant définitivement au chemin. Un dernier soubresaut et il serre la mâchoire, laissant une mousse verdâtre lui couler sur la mâchoire. Du poison.

« Puterelle ! » Je ne retient pas le juron car autant l'avouer, ça m’énerve au plus haut point de le voir fuir ainsi. Le suicide ? Il y a beaucoup trop de choses qu'il sait pour que je soit ravi de le voir y passer sans que nous ayons eut une petite discussion. Et à peine ai je le temps de le réaliser que déjà ses camarades se... rendent ?!?

« Hein ? Deja !?! »

Encore une exclamation sortie toute seule...

Ah ben oui... déjà... et Asphodèle semble être aussi frustré que moi de ce fait... Je soupire et m'accroupissant près du corps encore chaud de leur meneur, je glisse une main dans sa bourse, vérifiant rapidement ce qu'il porte sur lui. Je n'y croit pas trop mais qui sait... Un papier peut etre, ou une bourse. Quelque chose qui puisse me donner une idée sur leur commanditaire. Et puis je doit bien avouer que leurs armes sont de pures beautés.

J'ai toute confiance en Aspho et Elja pour vérifier que les tueurs sont mis hors d'état de nuire mais pour ce qui est des corps de leurs victimes... je ne me fait pas trop d'illusions. Vu l'angle que la lame de l'assassin faisait avec le conducteur je doute qu'il ai encore ne serait ce que l'ombre d'un souffle en lui.

Rien sur lui. Je m'y attendait... Enfin, rien de très pertinent à part un portrait de Jhielil. Et un payement en conséquence que je tends à Takkoua... Ce qui signifie que soit ses hommes auront des infos qu'il pourra être possible de leur faire cracher, soit... soit peut être ses victimes en auront. Il ne me faut que quelques pas pour rejoindre le chariot et me pencher sur les corps. Leurs mains, leurs calles, et leurs bijoux éventuels m'informeront de leur profession. Leurs traits aussi s'ils ressemblent à la jeune fille... Travailleurs manuels, ou riches marchands. Tout comme leurs sacs s'ils en ont... Est ce Foldod et Rogeva ...? Même pas besoin en fait... leurs traits suffisent... Tout en faisant j'informe les autres... et puis ce qui reste de la bande accessoirement, ça pourrait les inciter à parler...

« Vous savez quoi...? Il se trouve que je connais leurs victimes et cette bande d'enfumés vient d'assassiner à travers eux, non seulement un couple foutrement généreux mais aussi un sacré nombre de personnes que la bonté de ces deux là protégeait...  » Si mes yeux pouvaient tuer, je croit que nous aurions bien plus de cadavres sur les bras...«  Alors j'espère vraiment pour eux qu'ils ont des choses à raconter pour m'inciter à viser la tête plutôt que la main... »

Que des raclures s'entretuent, et je m'inclue parfois dans cette appellation, ça ne me chagrine pas plus que ça. Après tout, nous vivons et mourrons par la lame ou la magie. Mais lorsque c'est des personnes que je peut sincèrement qualifier d'estimables... et bien... je me sent des élans calistriens.

Et pour les reprimer, je me lance dans la lecture rapide d'une lettre froissée et tachée qui se trouvait dans le pourpois usé de Foldod.

Modifié par un utilisateur mercredi 12 septembre 2018 20:28:58(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les assassins se regroupent comme demandé, et, si certains sont blessés, la plupart le sont surtout dans leurs amour-propres, le vomi salissant leurs belles armures de cuir cloutés noires. Ils déposent tous leurs armes et leurs armures près de la charrette, et se regroupe et s'assied au sol, attendant d'être "jugé".

Quand Abigaël propose de les soigner, ils se laissent faire, mais, au moment où Ayarik expliqua la situation, ils surent que c'était fini. L'un d'eux pris la parole après qu'Asphodèle ai posé la question: « Ecoutez, nous, on sait pas qui sont ces gens. C'est juste des cibles. C'est le chef qui prends le boulot, nous on est au courant de rien. On vous poseras plus de problème si vous nous laissez partir... »

Les armures et armes sont toutes magiques.

Identification DD20

Ce sont des armures de cuir clouté noires +1 mimétique
Et des armes (dagues, épées courtes, épées longues, bâtardes) +1 tueuse d'humain
Les arcs long composite (FOR+2) +1 tueuse d'humain

Modifié par un utilisateur mercredi 12 septembre 2018 21:34:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

Mes yeux parcourent rapidement le papier, dechiffrant sans peines l'écriture fluide de ce koutvauk. Il semblait etre au service du grand maréchal forestier. Et si les troupes se massaient à la frontière la guerre risquait de depasser le statut larvé

«  Rogeva et Foldod Graywood. » répondit je machinalement.«  Et s'ils n'étaient pas des guerriers d'exception, tu sais, il y a bien d'autres moyens d'aider son prochain. Ils ont mis leur fortune à disposition de pas mal de projets ou de causes justes. Fin bref.. je sais juste qu'ils ont finis par déranger un peu trop de mondes et... qu'on le leur a fait payer. »

Mais ça n'était pas encore allé jusqu'à l'assassinat. Les excuses misérables des tueurs m'agacent un peu plus encore. Ils ne sont donc même pas fichu d'assumer leurs actes? Hochant la tête à la demande d'Abigael je lui tends la lettre.

« Bien sur Abigael. Visiblement ils fuyaient des menaces et ça parle d'un collier. Il dois être caché quelque part.... ou sur leur fille... »

Mon regard est attiré par les armes confisquée à leurs propriétaires. Je n'aime pas leur éclat.. je m'accroupis pour les observer de plus près.

« Alors comme ça vous ne saviez pas ? Pauvres petits. Ce n'est pas votre faute si vous n'avez fait qu'obeir aux ordres. Vous voulez une image pour vous récompenser? Parce qu'en plus...à utiliser des armes enchantée pour le meurtre vous faisiez du zèle en plus... quel dévouement admirable.  »

La lettre

Modifié par un modérateur jeudi 13 septembre 2018 15:23:11(UTC)  | Raison: Non indiquée