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Au Pigeon Voyageur, Nid-du-Faucon, le 7 Desnus 4712, 19h30.Vu de Nid-du-Faucon, le soleil commençait à se poser sur le sommet du Crag de Droskar, le volcan éteint qui trônait à des milliers de mètres au dessus du Val de Sombrelune. Son ombre s'étendait comme chaque soir sur des dizaines de kilomètres, petit à petit, pour atteindre la ville. Avant que les ruelles ne soient sombres, les bûcherons de retour du travail harassant du quotidien venaient se désaltérer et partager leurs état d’âme assis autour des tables de la taverne "Au Pigeon Voyageur". Certains commençaient des parties de carte ou de dés, en espérant gagner de quoi subvenir à leurs besoins jusqu'à la semaine suivante, d'autres cherchaient tout simplement un peu de compagnie et étaient plus enclins à chanter, rigoler, voire se battre quand l'alcool leur montait à la tête. Ce soir du 7 Desnus, de nouvelles figures avaient fait leur apparition, deux jeunes femmes et un homme élégant se tenaient au bar et discutaient avec le patron, Gruben Krön, tandis que deux nains dont l'un portait une fière et brillante armure accordée à son bouclier aux reflets d'argent, et l'autre gardait son visage dissimulé sous l'ombre de sa capuche en tenant dans ses mains un petit grimoire et une plume sans fiole semblaient attendre quelque chose. Les bûcherons à l'autre bout de la pièce avaient fêté un événement qui semblait épique, à les entendre, et leur idole venait de prendre place à la table d'un jeune homme chauve et à la barbe courte, qui lui aussi semblait dans l'expectative. Les chansons paillardes commençaient à se faire entendre au fond de l'unique pièce de la taverne, près de la cheminée éteinte, le printemps était très chaud cette année.  Solohan Le patron, Monsieur Krön venait de prononcer des mots qui attirèrent l'attention des nains assis non loin de là. L'homme qui accompagnait les demoiselles remarqua qu'elle étaient écoutées et s'adressa donc à Savräch et Gûram. « Dites-donc messieurs, on joue les curieux? C'est les fessiers ou l'histoire des trésors des nains qui vous intéressent? Vous avez entendu parler des aigles gris vous aussi? »De son coté, Otto venait d'être présenté à l'idole des bucherons, Chani Crève-un-oeil, à qui il avait sauvé la vie le matin même. Celle-ci n'avait pas l'air réjouie par la fête donnée en son honneur, ce qui intriguait son entourage. Sanja et Santana, quand à elles, venaient d'apprendre que leurs amis respectifs étaient partis explorer la Laye de Sombrelune, à la recherche d'antiques trésors nains. Vous commencez à la suite directe de vos fils RP respectifs. Un coup d’œil sur la map pour vous donner une idée de la scène.Modifié par un utilisateur jeudi 7 juillet 2011 00:21:36(UTC)
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Directement interpellé par l'homme à l'allure bravache, Gûram se leva lentement, posément, de toute son imposante masse mi-partie d'armure rutilante et de muscles saillants. Il braqua un regard profond comme les cavernes de son pays natal sur l'aventurier inconnu, puis regarda tour à tour les deux jeunes femmes qui l'accompagnaient. Tant pis pour la discrétion, ce n'est visiblement pas le genre de ces gens-là... Puis sa voix sonore se fit entendre dans la taverne alors qu'il s'adressait aux jeunes filles. « Je ne voulais pas vous offenser mesdemoiselles, soyez-en sûres ; et veuillez accepter mes excuses si c'est là l'impression que mon frère ou moi-même avons donnée. » Puis il reprit plus bas. « Et vos "aigles gris" ne m'intéressent pas non plus, à la vérité : volatiles, volages ou voleurs, peu m'importe. Par contre, je vous ai entendu, bien malgré moi - vos propos n'étaient pas bien discrets - mentionner la Faille de Droskar, et des "anciennes richesses des nains". Or, il se trouve que nous sommes experts en histoire naine. Vous n'ignorez pas, bien entendu, les dangers qui pullulent dans le sous-sol de ces montagnes ? Vous avez un bon guide pour vous y aventurer, j'espère ? » Il désigna par-dessus son épaule les buveurs d'un mouvement dédaigneux du pouce. « Autre que ces bûcherons braillards ? »Un petit jet de Diplomatie pour garder la forme...- Diplomatie : 1d20-1 donne [8] - 1 = 7
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 Otto Houtar PV 10/10 Otto ayant reconnu le bûcheron qui l'avait rétribué un peu plus tôt, et la jeune femme sauvée par sa magie, était rentré en claudiquant avant de s'asseoir à leur table. S'adressant à Tim le bûcheron, il dit d'un ton amène : « C'est moi qui régale pour cette tournée !
Vous m'avez laissé une bourse de cuir bien remplie, alors que je n'ai pas fait grand chose : j'ai juste bénéficié de la puissance de Sarenraé.
Cela dit jeune femme, Chani si vous préférez, il faudrait m'expliquer comment vous avez hérité de blessures aussi profondes !? » ajouta-t-il, se tournant vers la jeune femme qui avait bénéficié de ses soins. Puis, hélant le patron : « La même chose pour ces trois personnes, du lait de chèvre fermenté pour moi !! »Revenant à sa tablée, et avant que Chani n'ait eu le temps de répondre, il reprit la parole : « Dites, j'attends Deldrin, il faudra lui laisser un peu de place.
Et me parler de la maladie qui semble toucher certains de vos concitoyens, aussi, car cela m'intrigue fortement... » | JE SUIS CHARLIE
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.. La diplomatie .. Voila ce qui nous manque dans la famille hihiRestant en retrait à la table Savräsh s'adressa à ceux à qui parlait son frère « Mon frère à raison, nous sommes en quelque sorte également experts en matières souterraines et en ce qui y pullule ! »Et l'air inquiet « J'avoue que cette étrange maladie ne me dit rien qui vaille non plus, j'aimerais également qu'on m'en dise plus » | |
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Sanja posa son regard sombre sur le nain qui s'était avancé.
« Monsieur, si vous montez une expédition qui va à la faille de Droskar et si c'est bien là que se trouve les Aigles Gris, alors je vous apporterais mon soutien. Mais je ne connais pas plus la région que vous et il est certain que s’adjoindre un guide serait une sage décision. »
Elle lance alors un coup d'oeil vers Santana et Solohan, avant d'embrasser la salle du regard.
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Chani, déconcertée par la situation avait fais ce qu'elle faisait dans ce genre de circonstances : boire. L'alcool des civilisés était mauvais et avait un gout de pisse de gobelin, néanmoins ils dissipait la fatigue et la pression des derniers jours. Restant dans un premier temps silencieuse, la jeune femme délia sa langue au fur et à mesure que l'alcool lui réchauffait l'esprit et que la bonne humeur de ses groupies bûcherons devenait contagieuse. Elle raconta des histoires de son clan à Tim qui écouta distraitement, l'esprit embrumé par l'alcool, mais surtout fasciné par cette guerrière sauvage qui prétendait avoir tué une femelle dominante lycantrope. Bien sûr elle évita les détails dérangeants du passé, et quand Otto revint, elle le toisa avec intensité ne lui laissant guère peu de choix que de détourner le regard ou la regarder franchement, avant de finalement lui adresser la parole, d'un ton détaché et visiblement suspicieux, sa voix légèrement enrouée.
« Un Lycan, sa meute voulait réclamer son tribut pour la perte d'une de leur mères. Ils sont nombreux dans le Val et de ceux qui les chassaient, il ne reste que moi, tout le village demi-orc dans lequel je vivais à été détruit. Bref...je crois que je vous dois la vie guérisseur, je pense avoir une dette envers vous, je vais commencer par vous payer à boire, c'est ainsi que l'on fais chez vous n'es-ce pas ? »
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Solohan La réponse de Sanja sembla étonner Solohan. « Dis donc, princesse! Toi qui est si prudente tu acceptes comme ça de partir dans le Val, avec des inconnus en plus? C'est que c'est pas de la tarte de se farcir le Val, et je parle pas de la forêt! Pas vrai Gruben? » Gruben Krön le patron Le patron qui venait de donner deux bières et un grand verre d'une boisson blanche étrange à un bûcheron allait dans son sens. « Ben comme j'l'ai déjà dit, y'a des saloperies qui trainent, et puis les "Aigles gris" me semblaient pas être des petits joueurs, 'sont restés un moment avant de partir à l'aventure, pour préparer leur voyage... Enfin moi j'dis ça, si vous pouvez pas attendre qu'ils reviennent, vous faîtes comme vous voulez. Mais je vous préviens, je fais pas crédit aux aventuriers, ils partent mourir sans régler la note... »Sur ces paroles, Solohan enchaina : « Et puis on était venus ici pour être tranquilles, pas pour jouer les baroudeurs, j'en ai marre de risquer ma peau tous les jours, un peu de repos ne nous ferait pas mal, non? » Tim bûcheron De son côté, Tim le bûcheron revenait avec les bières qu'avait offert Otto. Il avait entendu en partie la discussion qui se tenait au bar et comptait bien en faire profiter ses deux compères après avoir répondu aux question d'Otto. « Pour ce qui est des blessures, messire, j'vous raconte pas la bagarre! un loup garou de trois mètres au moins! » il faisait des gestes amples pour mimer la scène. « La bête lui a sauté dessus et elle l'a évité, ensuite 'se sont battus comme des diables, et Chani vous l'a embroché de l’œil au trou du cul avec son épée! Des griffes de 20 centimètres qu'il avait le monstre! Ça pour sûr, c'est la plus grande guerrière qu'on ai vu dans les parages! Pas vrai les gars? »Les bûcherons des tables avoisinantes levèrent leurs choppes et crièrent : « Ouais! La plus forte! »Puis Tim reprit la discussion qu'avait entamé l'oracle. « Vous connaissez Messire Deldrin? C'est un grand homme, enfin un demi-elfe, enfin j'me comprend. 'l'était avec nous avant, c'était un bucheron, un brave, comme notre Chani. Il a peur de personne, même pas de Jaurpay ou de Kreed! Ça pour sûr, faut pas lui chercher d'aiguille dans la botte, ou il vous fait passer un sale quart d'heure! Ça me fera plaisir de le voir, y passe pas trop souvent à la taverne. Sinon, pour c'te maladie qui traine, je crois que c'est surtout dans le village, nous au camp on a pas ce souci. Ma femme et mes gosses z'ont choppé la tousse, mais c'est le changement de temps, je pense. Comme un gars disait la dernière fois, passer du très froid au très chaud, c'est pas bon pour la santé. Dans quelques jours ce sera passé. »Tim se tourna ensuite vers Chani : « Eh! J'viens d'entendre le Krön, il discute avec des touristes, parait qu'ils cherchent un guide pour le Val, t'as p't'être moyen d'empocher un bon paquet de pièces! »Jetez un coup d’œil à la map pour bien visualiser la scène, par exemple Savräch n'a pas pu entendre la discussion qui se tient entre Otto, Chani et Tim.
Modifié par un utilisateur mercredi 6 juillet 2011 22:25:25(UTC)
| Raison: Non indiquée | Solsna Kelid, nains de père en fils. |
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 Santana Santana ne s'était toujours pas remise de la révélation du tavernier. Tyra, espèce d'enfant de trou du cul ! Tu me fais venir dans ce trou paumé qui sent comme ta mère et tu restes même pas pour m’accueillir ?! D'abord un porc qui me touche et maintenant ça ? Mais le monde est devenu fou ou quoi ?!. Les intervention des nains, de sa camarade de voyage et de son "sauveur" lui passèrent allègement sous le nez tout occupée qu'elle était à se révolter intérieurement contre la décrépitude avancée du monde dans lequel elle évoluait. Elle avait pris l'habitude de se foutre pas mal de ce que les gens lui disait sur le moment, car il lui suffisait d'entrer en transe pour revisiter ses souvenirs et de tendre l'oreille si le besoin s'en faisait sentir. Elle n'aimait pas trop que les gens se croient dignes de son attention ... L'attention de l'elfe dériva sur le petit attroupement de bûcherons réunis autour de ce qui devait être une sauvageonne. Elle en voyait boire et une furieuse envie de se mettre une mine de tous les diables monta en elle. « Oh et merde ! J'ai pas humilié le gnome dont les lèvres servaient de canapé aux pixies du coin pour en arriver là ?! Je me suis battue seule contre un détachement de cinq hommes, en leur foutant leur pattée, et j'ai même trouvé le temps de sauver la vie à Puck ! Et tout ça pour me retrouver ici, et en plus je devrais attendre l'autre con de Tyra ? Non mais je ne m'appelle pas Santana pour rien ! Toi, le tavernier, file moi un verre de ton alcool le plus fort, ce sont les nains qui mataient mon décolleté qui offrent ! ». Le tavernier sortit un verre et le remplit d'eau d'ébénite. La belle le vida d'un trait et attrapa son luth qu'elle portait en bandoulière et se dirigea vers la table qui était au centre de la pièce. Dès le premier pas, elle sentit l'effet de l'alccol et en effet était fort, bien plus fort que tout ce qu'elle avait bu jusqu'à maintenant : les quelques secondes qui s'écoulèrent le temps qu'elle rejoigne la table et monte dessus suffirent à l'ébénite pour imprégner tout son organisme. Elle qui voulait une mine, elle était servie : de sobre a complètement bourrée en trois secondes. Déplacement jusqu'en L7Sauf qu'elle n'arriva pas à monter sur la table et tomba à la renverse sur les pauvres bucherons. Elle e mit alors à crier. « Whoooo ! Allez Nid-de-faux-cons ! Ce soir c'est la fête ! Il ne sera pas dit que Santana Songbird sera venue ici pour rien ! J'ai du mal à me tenir debout mais on s'en fouuuuuu ! »Elle embrassa le front d'un bucheron et remis pied à terre. Oubliant la table, elle décida de faire son spéctacle sur le plancher qu’elle réussissait encore à fouler. De ses doigts moins agiles qu'à l’accoutumée, elle gratta les première notes d'un de ses classiques "pour faire monter la température dans les braies de ces messieurs". Elle entonna peu après les première notes de "Ma p'tite humaine". « J'ai rencontré une fille dans les rues de Nid-de-Faucon,
En robe à fleurs aussi douce que Desnus,
Elle dansait et offrait à tous la vue de jolis rebonds,
Nous sommes tombées amoureuses, pas besoin de tout un laïus !
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
Ahhh Ma p'tite, ma p'tite humaine
Ahhh Ma p'tite, ma p'tite humaine
Mes chants sont une révolution,
Mon cœur saigne pour cette génération,
Mais si tu m'aimes on peut batifoler,
La bas dans mes vertes forêts !
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la
Ahhh Ma p'tite, ma p'tite humaine
Ahhh Ma p'tite, ma p'tite humaine
»- Représentation chant : 1d20+5 donne [6] + 5 = 11
- Représentation cordes : 1d20+5 donne [4] + 5 = 9
Alors même qu’elle chantait, elle souriait et lançait des œillades à la tavernière tout en l'invitant, à grands renforts de mouvements de tête, à la rejoindre sur la table. Le fait qu'en plus, elle était complètement ivre, déversait grandement sa prestation. Elle se coupait elle même en pleine chanson pour crier des « Whooooooooo ! Calor ! », ce qui en orque voulait dire chaleur, mais que surement personne ne comprenait. Il lui arrivait même de spontanément cessé de jouer du luth pour se caresser le corps en dansant, toujours en tentant, apparemment, de séduire l’hôtesse. Et puis, sans prévenir, des sanglots commencèrent à trouver leur chemin depuis sa gorge, et puis finalement, elle pleura de façon hystérique en bougeant ses bras dans tous les sens. Inutile de préciser qu'à ce stade de la représentation, il n'y avait plus rien de musical ... « Pourquoi tu m'a pas attendu pau'v con ! T'en a trouvé une plus petite, une blonde et super géniale c'est ça ?! Toi la ! Je suis moche c'est ça ?! »Son visage était déformé par la tristesse, et malgré tous es attraits, en ce moment précis, oui, elle était pas la plus belle ... Je crois qu'elle finira l'aventure sobre ... et fuyant la boisson ...
BM à jour. Modifié par un utilisateur mercredi 6 juillet 2011 23:00:35(UTC)
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Alors que Santana s’époumonait au milieu de la salle, Sanja se pencha vers Solohan et lui murmura : « Je pense que partir rejoindre les Aigles Gris à la faille de Droskar avec un nain tout en arme et armure rutilantes, et un autre pour porter les sacs, ça reste dans le domaine du faisable. Avec un bon guide, et l'or des petits barbus, je n'aurais peux être pas une meilleur occasion de retrouver mon ami. Et quand a rester en ville, j'ai pas trop envie de moisir dans un bourbier pareil, qui sent la vase pour ne pas dire la merde, et dont la moitié de la population, à ce que j'ai pu entendre, a choper une maladie pas folichonne. »
Sanja se retourna, et le nain ne pu la voir sourire derrière le bandeau qui cachait son visage, alors qu'elle écouta la comptine de Santana.
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Savräsh à moitié rassuré par cette bande de personnes incontrôlables et passablement agressives se rapprocha de son frère déplacement en H7« .. porter, porter .. Est-ce que j'ai une tète de Sherh-pâ »Quelles peuvent être ces saloperies dont parle Solohan et qui traînent dans le Val?- Jet de connaissance des mystères : 1d20+7 donne [9] + 7 = 16
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Gûram était complètement estomaqué par la... "performance" de l'elfe. Certes, il avait déjà vu dans sa ville natale de fiers guerriers noyer leurs soucis dans la bière et l'alcool de champignons, et se mettre minables au point de ne plus distinguer un minerai de schiste d'un vulgaire grès micassé, mais jamais après un seul verre, et jamais en tentant de séduire aussi bien les clients que la patronne et même le mobilier ! Avons-nous vraiment besoin de partir avec ces gens-là ? Il me semble que nous pourrions aussi bien nous débrouiller seuls... Bon, son acolyte encapuchonnée a l'air plus sobre, pour le moins, à défaut d'être digne de confiance. Je me demande ce qui la motive à partir dans le val.Il se tourna finalement vers Sanja. « Vous me semblez être la tête dirigeante de votre petit groupe. Je me présente : Gûram Khazal fils de Payphal, de la cité naine de Heaume en Druma ; et voici mon frère Savräsh. Cette elfe avec laquelle vous voyagez... vous comptez partir avec elle dans la Faille de Droskar ? » Le nain et ses interlocuteurs fixèrent quelques longues secondes l'enthousiaste jeune personne qui tentait péniblement de se remettre debout tout en continuant à sangloter, un bras replié sur son luth. « Si c'est le cas, vous êtes plus brave que je ne le croyais. Cependant, à en juger par votre apparence, vous êtes mieux équipées pour affronter des dangers citadins que ceux, quels qu'ils puissent être, qui se terrent dans ces contrées sauvages. De notre côté, mon frère et moi manquons cruellement de connaissance en matière de diplomatie et de... » (nouveau regard appuyé à l'elfe, qui cherchait son amie du regard à travers la salle sans parvenir à l'identifier) « ... discrétion. »« Puis-je vous demander ce qui vous pousse à aller vers la Faille de Droskar, si ce n'est pas indiscret bien entendu ? Peut-être pourrons-nous trouver un arrangement de protection qui nous serait mutuellement profitable ? » | I am a sexy shoeless god of war!!! |
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 Sanja Sanja reporta son regard sur le nain. « Bon, écoutez-moi bien, Gûram Khazal fils de Payphal, de la cité naine de Heaume en Druma, Je suis le chef de personne à par moi-même et c’est déjà pas mal. Cette elfe qui se ridiculise en ce moment même, je l’a connait depuis 3 jours. Elle cherche comme moi à retrouver un groupe d’aventurier où se trouvent nos amis respectifs qui sont parti aux dernières nouvelles pour la faille de Droskar. Ils doivent encore y être. Je pense qu’elle viendrait si une expédition se montait pour ce lieu, mais je ne réponds pas d’elle. Pour ma part, je souhaite y aller, et un conseil, ne vous fiez pas aux apparences. Et mon nom est Navya. »A ce dernier mot, elle tend une main ferme vers le nain.
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Message secret pour Taro d zbel :...  Weisy Krön Weisy, la patronne était visiblement enjouée par la sérénade de Santana. Après tout, jamais son tavernier de mari ne lui avait fait si belle déclaration d'amour. L'espace d'un instant, elle laissa son plateau de bois sur le comptoir et se mit à taper des mains au rythme de la chanson de la barde. Elle semblait d'ailleurs être la seule à apprécier le cachet si particulier fait de fausses notes et d'une voix irrégulière. Quand Santana eut finit de chanter et se mit à sangloter, la patronne lui amena un verre de lait chaud au miel. « Tenez mademoiselle, c'est pour votre voix... Et merci pour la chanson, c'était très beau... »Tu as droit à un jet de vigueur DD10 annule. Modifié par un utilisateur jeudi 7 juillet 2011 20:04:10(UTC)
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Un soupir de soulagement échappa au guerrier. Enfin, quelqu'un qui paraissait sensé dans tout ce foutoir et qui, de plus, avait les... enfin avait le courage de parler droit et ferme. Il serra vigoureusement la nain de la jeune fille, malgré un petit détail qui avait tout de même fait tiquer son sens de l'honneur. Navya... tout court ? Qui est cette personne et que fuit-elle pour n'avoir même pas un nom de famille ou sa ville natale à me donner ? Bah, qu'importe ! Il faut plusieurs métaux pour un alliage solide, comme on dit.« Enchanté, Navya maîtresse d'elle-même ! Mon frère et moi-même projetons également de nous diriger vers la Faille de Droskar, pour affaires personnelles. Nous pensions partir dès demain matin. Je pense que nous pourrions voyager ensemble, qu'en dites-vous ? Je vous laisse réfléchir et vais en discuter avec lui. » Je retourne auprès de Savräsh (H6 -> I6 -> J5) et m'adresse à lui.« Qu'en penses-tu, mon frère ? Cette Santana n'est peut-être pas une aventurière de choc, mais Navya m'a l'air d'une toute autre trempe. Penses-tu que nous pouvons nous risquer seuls dans la Faille de Droskar, ou que nous avons besoin d'aide ? Je penche personnellement pour cette solution. Il nous faudrait un guide, aussi... » | I am a sexy shoeless god of war!!! |
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Otto Houtar PV 10/10 Voyant que Deldrin n'arrivait pas, et réagissant aux propos du bûcheron, Otto regarda de nouveau la femme musculeuse à la peau burinée, essayant d'imaginer le combat de cette femme contre un loup-garou de 3m de haut, clignant des yeux, un signe qui ne trompe et qui signifiait qu'il n'y croyait guère... Malgré les muscles saillants, elle semblait encore jeune, peu expérimentée. « Vous viviez dans un village demi-orque aujourd'hui détruit ?
Vous étiez acceptée ?
Sinon, en effet, il vous faudrait peut-être regagner un peu d'argent comme le dit Tim, cela aide à mieux envisager l'avenir, car seule Sarenraé sait si quelqu'un verra la lumière du jour le lendemain.
De mon côté, je pourrais aussi servir de guide, je connais un peu tout ce qui touche à la région, et je sais m'orienter ou fourrager, mais Sarenraé m'appelle pour une mission d'importance, et si je discerne encore mal ses propos, je sais sans équivoque possible qu'elle s'adresse à moi.
Et puis avec ma patte-folle, je suis plus une gêne qu'un chasseur chevronné !
Mais peut-être nos chemins se croiseront-ils de nouveau... si vous ne cherchez pas à rencontrer de nouveau un funeste destin dans un avenir proche... » | JE SUIS CHARLIE
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Répondant à son frère « J'ai une vague idée des choses qui rodent dans le Val et effectivement je t'assure que nous ne sommes probablement pas de taille toi et moi, rien que nous deux. » | |
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Apparemment, un genre d’expédition était en train de se monter, mais tout ça passait au dessus de Santana, jeune elfe au sang qui devait pouvoir maintenant être qualifié d'eau de vie ... Elle observait la tenancière qui lui tendait un verre et sourit à ses compliments : Santana L'elfe avalait tranquillement le breuvage qu'elle sentait apaiser le feu laissé par l'eau d'ébénite. Pour autant, elle était toujours aussi décalquée qu'avant d'y goûter, sauf que maintenant, elle avait moins mal à la gorge. Elle aimait le lait chaud, ça lui rappelait Tata Wilhy qui faisait exprès de tousser devant les gens pour qu'on lui en propose et ainsi éviter de payer du miel. Ah Tata Wilhy ! Ça me manque tous tes conseils, je t'entend déjà me dire : "reste coller aux basques du ce Solohan jusqu'à ce qu'il dépense sa dernière pièce pour toi". C'est d'ailleurs ce que je devrais faire !« Merci bien pour le verre ma belle p'tite humaine ! C'était di ... vain ! »Santana déposa ses lèvres sur une joue de la patronne dans un grand "SMACK" sonore et s'en alla en titubant vers Solohan et Sanja. Elle ne savait pas encore quoi, mais le bellâtre allait lui payer quelque chose pour honorer la mémoire de tata Wilhy ! Je ne prend pas encore en compte le déplacement puisque je pense que le temps que la prestation de Santana se finisse et qu'elle boive son lait chaud en remerciant la tavernière, les autres ont 100 fois le temps de parler ^_-
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Tandis que Santana animait le début de soirée de ses chants et mélodies enivrées, certains hommes emboitèrent le pas et se mirent à chanter à leurs tours en sortant d'abord un petit luth, puis un accordéon. Certains tapaient sur les barreaux des chaises et sur les tables en rythme, et quand l'ambiance battait son plein, deux gros hommes prirent leur cliarons pour accompagner la fête qui avait lieu dans la taverne. La chanson des bûcherons de Falcreux. (traduction du commun avec transcription de l'accent.) Dins chés Faucon' queu r'mue-ménache
Chés buch'rons vienn't' d'avoir leu congés
Prenn't' leu valisses et rent'ent à l'villach'
A la campagne ou vir leu parinté
Mi comme el'z'autes j'prinds mes bagaches
Ej' m'in vas mais j'quitte pont min pat'lin
J'vos du pays v'là l'manière que j'm'y prinds
Sans débourser un sou d'taxes
Ej' passe mes vacances tout in haut de ch'Falcreux
J'a toudis d'la chance ch'terrain i'est jamais pris
J'monte eum'toile ed'tente, j'vis tout seul, ej' m'arrinche
Ej'siffle, ej'ris, ej'cante, ej'sus heureux d'faire du campinche
Je m'fais la popotte, j'vis bien miux qu'à l'hôtel
J'mets comme les cocottes du rouche à mes ortels
Du haut dé m'couplette jé m'cros à Varisie
Mais Jé n'suis qu'au faîte tout in haut de ch'Falcreux
Comme point d'vue faut vir ch'que j'degotte
Les bos, les prairies des environs
Chés villaches, chés villes, nou buch'rons
Et je m'rinche l'œul cha n'me coûte pas un rond
Sus min fu d'bos j'fais tout m'gargotte
Viandox, peumes tierre frites, morcieau d'lard
Et j'a monté trint'chinq lites ed'pinard
Pour mi chucher in père peinard ...
Ej' passe mes vacances tout in haut de ch'Falcreux
J'a toudis d'la chance d'vir ch'que j'vos ch'est à mi
Quand arrife eul'soir, ej'vos v'nir d'z'amoureux
I z'attindent qu'i fèche noir, mais mi je n'les quitte pos des yeux
I vont s'inlaçant, s'dijant des balivernes
Tout in s'imbrassant dins chés blés, dins ch'luzerne
I's font des papoules in s'app'lant "mon chéri"
Et mi j'vos tout cha d'tout in haut de ch'Falcreux
Mais avant hier j'n'a pont eu d'chance
D'un seul cop vlà qu'i s'met à pluvoir
J'rinte à l'abri d'zous min perchoir
Em'tente all pichot, ch'tot pire qu'un arrousoir
Alors j'a poussé la romance
J'a sorti pour m'éviter l'cafard
Et j'a fluté chinq six lites eud'pinard
In berloquant comme un pochard ...
J'a dégringolé tout in bas de ch'Falcreux
Arrivé au pied jé m'sus rèl'vé tout meurtri
J'sais pus quo qu'j'a fait, j'avos tell'mint eun'cuite
A l'pache de m'barette j'avos sus m'tiête euch'codron à frites
A forche ed'bourler m'panche sus des caillaux
Y a eun'certain'plache i m'in manquot un morcieau
J'y a mis un bout d'loque j'sus pos prêt d'ête gueri
Et j'sus armonté tout in haut de ch'Falcreux
Alors' pindant trente ans l'bucheron-campeur il n'quitte pis sin cher Falcreux,
minme pinsionné il y va comme au passé. Seul'mint aujoud'hui i'est
malate, el'fosse all'l'a usé. I'est dins sin lit et les larmes aux yux in ravisant
à travers ech'carreau, i dit tout bas :
Comme cha va vite comme eul'temps passe
Au Bois j'a campé bin d'z'années
A ch't'heure i faut l'abandonner
Jé n'sus pus qu'un viux bucheron pinsionné
Et j'n'a pus qu'des oches dins m'carcasse
J'sus vieilli mes gampes sont ramolies
Et de l'fermiète in étant dins min lit
In l'ravisant j'dis ch'est fini
J'mon'tra plus jamais tout in haut de ch'Forêt
Fini désormais l'méd'cin j'l'ai ben compris
Par quarante ans d'sciure mes poumons i'ont quite cosse
L'poussière eud'ébénite in appelle cha la silicosse
Ch'est bétot min tour ed'partir comme tant d'viux
D'faire un long séjour là auprès du Bon Dieu
J'espère qu'i m'laich'ra quand j's'rai au Paradis
Cor' v'nir in vavances tout in haut d'min terril
J'espère qu'i m'laich'ra quand j's'rai au Paradis
Cor' v'nir in vavances tout in haut d'min Falcreux.L'ambiance de la salle devenait de plus en plus festive à mesure que les corps se chargeaient en alcool et que les soucis de la semaine de travail s'envolaient. Gûram, Savräch et Sanja étaient visiblement en passe de trouver un accord pour se rendre ensemble dans le Val de Sombrelune, Santana pleurait dans les bras de Weisy, la patronne, du fait de son ivresse, et Otto et Chani venaient de faire connaissance. Alors que chacun vaquait à ses occupations, une silhouette bien connue des bucherons fit son apparition à la porte de la taverne, un homme d'une carrure imposante, bouclier imposant au bras, équipé d'une armure de métal aux motifs travaillés. Son visage présentait cette curiosité qu'il était plat. De face on ne remarquait rien, mais quand il tournait la tête, tout le monde pouvait voir que du haut de son front au bas de son menton, le relief en était plat, comme écrasé. Cet homme aux chevues bruns et courts, d'une bonne trentaine d'années, au corps musculeux et au traits autoritaires était suivi d'un autre que Chani et Otto avaient déjà eu l'occasion de rencontrer, Bryce Forteflamme. Des murmures parcouraient toutes les tables, « c'est le chef Jaurpaye! » « Faites gaffe, v'la Teedum! »« Oh bordel, pas encore! » Chef Jaurpaye Teedum Alors qu'ils faisaient leur entrée dans la taverne, les chants se turent, les luths et les accordéons retrouvèrent leurs places dans les sacs et besaces, et chacun se rassit pour fixer la table des yeux. Après un silence de quelques secondes, la voix forte et quelque peu éraillée du grand homme résonna dans toute la taverne. « Jour de Paye! hahaha! »Poussant un grand éclat de rire, Jaurpaye reprit en direction de tous : « Alors? On revient toucher sa paie, mais on oublie de dire au chef qu'on à fait l'aller retour à Falcreux dans la journée? En utilisant les charettes et les chevaux du consortium en plus? Bryce et moi revenons de chez le Magistrat. J'ai ici les mandats de recouvrement pour les amendes que vous devez payer à Thuldrin Kreed. Abandon de poste, 5 pièces d’argent par tête pour le préjudice subit par le consortium, et utilisation frauduleuse et privée du matériel gracieusement mis à votre disposition par la société, 5 pièces d'argent aussi. Bryce va passer dans les tablées récupérer la pièce d'or que chacun d'entre vous nous doit. Hahaha. » Bryce Forteflamme Bryce commença à s'avancer vers la table de TIm, Chani et Otto, et reconnu les reconnus tous les trois. « Tiens, tiens, le voilà le fraudeur du temple, alors mon gars? On fait moins le malin quand on a pas son Deldrin pour le protéger? Allez, allonge la monnaie, 1 pièce d'or pour toi aussi et on n'en parle plus... »Tim bûcheron Sur ces paroles, Tim se leva et s'adressa à Jaurpaye. « M'sieur Jaupaye, c'est ma faute, j'va vous payer tout c'que j'dois, mais les aut' ils ont rien fait! C'est pas just'. »Bryce lui coupa la parole avec un sourire narquois. « Ta gueule, et sort ta pièce d'or, tu t'arrangeras avec tes copains plus tard... »Jaurapye restait à l'entrée, surveillant la scène, et rigolant ostensiblement. Message secret pour
Taro d zbel :... Modifié par un utilisateur mercredi 27 juillet 2011 14:23:18(UTC)
| Raison: Non indiquée | Solsna Kelid, nains de père en fils. |
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Inscrit le : 27/12/2009(UTC)
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Gûram, tout en sirotant son second verre d'eau d'ébénite (qui commençait à l'égayer un tantinet), observait la scène en silence. Visiblement ce Jaurpaye Teedum était un dirigeant du consortium qui exploitait le bois de la région et en employait les bûcherons... contremaître, chef d'équipe ? En tout cas, il n'avait pas l'air d'être apprécié, à en juger par le silence macabre qui s'était installé, et le nain crut deviner pourquoi lorsque la sentence tomba de ses lèvres plates. Une pièce d'or ? Pour un "abandon de poste" et l'utilisation de charrettes ? Ces ouvriers doivent être incroyablement bien payés... ou alors... Un rapide coup d’œil sur les mines sinistres autour de lui acheva de faire la lumière dans son esprit. Ces pauvres gens sont exploités ! Ils se crèvent au travail tous les jours, du lever au coucher du soleil, et on les plonge encore plus dans la misère. Je me demande si le Consortium est responsable, ou s'il s'agit du seul fait de ce Jaurpaye.Gûram réalisa alors que, sans s'en rendre compte, il avait fait coulisser son marteau dans l'attache à sa ceinture pour s'assurer qu'il était facilement accessible, et qu'il serrait les dents. Il prit une grande inspiration pour retrouver son calme alors que Forteflamme commençait à passer dans les rangs, entre les bûcherons qui maugréaient. Allez mon gars, reprends-toi, par Torag ! Tout ceci ne te concerne en rien... Leur monde, leurs règles. On est seulement là pour Brillehache et nos ancêtres...Il se pencha discrètement vers l'arrière, et chuchota en direction du patron Krön. « Dites-moi... ça arrive souvent ce genre de... prélèvement ? »- Test de Discrétion : 1d20+1 donne [4] + 1 = 5
Je n'ai pas pris en compte le malus d'armure pour la Discrétion. Si tu juges ça pertinent, il faut encore enlever 4 pour l'armure d'écailles, voire 14 si tu considère que je traîne mon pavois. Auquel cas, à -9, autant gueuler avec un mégaphone.Modifié par un utilisateur vendredi 8 juillet 2011 12:57:52(UTC)
| Raison: Non indiquée | I am a sexy shoeless god of war!!! |
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Inscrit le : 16/04/2011(UTC)
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Localisation : 93 soon 66
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Se rapprochant de son frère et de leur nouveau compagnon de route Savräsh dit doucement: « Mon frère j'entends des chuchotements en provenance du cellier derrière le comptoir, quelque chose se trame et des gens vont passer à l'attaque des que la situation va exploser!! Tenons nous sur nos gardes »Modifié par un utilisateur vendredi 8 juillet 2011 14:00:58(UTC)
| Raison: Non indiquée | |
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