« Très bien!
Heeuuu!!! Pour répondre à ta question des soins, et bien, nous avons quelques fioles, moi même j'ai quelques talent et quelques onguents pour faire les premiers soins, soins suivis et autre bandage, mais pour ce qui est des faveurs de Sarenraé, comme je te l'ai dis mes actes sont plus dirigé par la foi verte. Donc pas de soin magique, et entre nous c'est vrai que j'ai toujours eu une petite Véolia pour veiller sur moi!! » Il soupira!!

« Oui! Enfin, celle qui nous soignait c'est éclipsé juste avant votre arrivée!!!

Bon l'idée est bonne, et puis cela peux nous permettre de créer la surprise, avantage qu'on ne peut négliger, par ces temps ci!!

Allez pendant que tu neutralises le navire je vais en reconnaissance.  »

Le courant d'air fila aussi vite qu'il put de manière à rejoindre l'extérieur. Puis il longea la roche pour voler jusqu'au phare. Se posant à plusieurs reprise pour observer si un pirate montait la garde?

Oublié le +4 en perception du à ma forme!!


Elémentaire de l'air: vol 30 m (parfait), +4 en perception, bonus de taille de +2 à la Dextérité et un bonus d’armure naturelle de +2, Sens vision dans le noir 18 m, peut créer un tourbillon (Hauteur 3-6m, DD 12).

Modifié par un utilisateur mercredi 10 février 2016 22:05:56(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Cela me semble pas mal du tout !
Enfin, de ce que je peux en juger...

Bon, sinon, comment s'organise-t-on au retour de Ferrèol ? »

e tourbillon-Ferrèol s’engagea dans le tunnel de sortie du navire pour débouler dans la crique des naufrages. La vision de cette anse aux hauts fonds rocheux parsemée d’épaves pourrissantes, tel un cimetière de bateau lui serra le cœur. Il se rappelait la veille comment ils avaient fini comme toutes les victimes empalés sur une de ces aspérités rocheuses qui affleuraient la surface de l’eau et qui restaient invisibles à l’œil nu en pleine nuit de tempête. L’endroit était vraiment bien choisi et il n’était guère étonnant que nombre de navires se soient échoués ici, victime des naufrageurs. Tandis qu’il prenait de la hauteur, il remarqua quelques remous dans l’eau. Le soleil filtrait à travers les eaux et permettait de voir les fonds par endroit lorsqu’ils étaient proches de la surface, des zones plus sombres tandis qu’il y avait plus de profondeur. La houle venait se briser sur les récifs affleurant et ceux plus saillants, formant un champ d’écumes qui donnait l’impression qu’on avait déversé des tonnes de savon moussant dans la crique. Plus le tourbillon s’élevait, plus la vue devenait apocalyptique et en même temps envoûtante lorsqu’on regardait la force de la nature de par la rencontre entre la mer et la montagne. Solides comme un roc, les falaises se laissaient petit à petit grignoter, éroder par les assauts de l’eau saline qui venait caresser ses flancs. La roche était marquée de ravines verticales là où l’eau s’écoulait depuis les hauteurs en ruisselets surtout par temps de pluie, tandis que des stries horizontales marquaient les niveaux que la mer en colère atteignait parfois. Le paysage était splendide.

Le tourbillon poursuivit sa montée, prenant garde à ne pas provoquer d’indiscrétion de par le volume d’air qu’il déplaçait. La proximité de a mer aurait provoqué une dépression et agité des eaux en un tourbillon formant un siphon, la proximité de la terre soulèverait un nuage de poussière et le tourbillon qu’il formait serait très nettement visible, il garda donc ses distances de la paroi rocheuse afin de n’être qu’un courant d’air parmi les vents marins et salins qui venaient caresser la falaise et infiltrer son humidité iodée dans les moindres interstices. Ferrèol prit soin de prendre un courant ascendant plus chaud et plus sec afin que l’humidité ne se condense pas sur lui et forme une légère brume tourbillonnante qui le rendrait plus visible. Il passa ainsi le niveau de la salle de guet, marquant un temps d’arrêt afin de vérifier que quelqu’un n’était pas en train de surveiller l’extérieur par une des nombreuses ouvertures dans la roche. Il n’y avait personne. Il poursuivit son ascension prudente vers les trous suivants. Un étage plus haut, une nouvelle série de fissures dans la roche donnait sur une autre salle de guet cette fois plus longue dans le sens Nord/Sud que large. Un escalier en colimaçon démarrait l’ascension vers les niveaux supérieurs en une grosse colonne qui rejoignait le plafond, le mur du fond était maçonné et possédait 3 portes semblables à celle qui donnait sur la taverne le niveau en-dessous. Contre le mur Nord, une table sur et sous laquelle étaient posés en vrac toutes sortes d’arcs d’arbalètes, de projectiles, flèches, carreaux, certains avec des poids au bout au lieu de pointes, d’autres reliées avec des chaines lestées de boules hérissées de pointes, d’autres encore terminées par un grappin ? Deux balistes étaient posées sur leur trépied, l’une tournée vers l’Est, l’autre vers le Sud, chacun étant chargée d’un carreau lourd qui devait pouvoir traverser une coque de bateau ou briser un mat. La salle était déserte et personne ne semblait venir ici.

Il grimpa encore, poursuivant son ascension vers le phare. Cette fois ce fut plus long, les prochains trous étaient beaucoup plus hauts et donnaient sur une pièce que le druide ne pouvait voir. Chaque trou et meurtrière était fermé par une lourde et épaisse couverture qui sans doute permettait d’éviter les courants d’airs froids. Il aurait été dangereux de s’essayer à en soulever une, juste pour voir. S’il faisait sombre à l’intérieur, nul doute que la lumière soudaine mettrait en alerte n’importe qui à l’intérieur. Ce devait être la salle de guet mentionnée par Le Borgne. Il poursuivit donc son ascension pour arriver aux prochaines ouvertures et meurtrières. Celles-ci étaient moins éloignées et donnait sur une pièce vaguement carrée encombrée de nombreux tonnelets et d’une colonne centrale massive qui s’élevait jusqu’au plafond. La paroi Nord était percée par deux passage, l’un donnant sur l’escalier en colimaçon qui descendait et l’autre sur une cavité peut large dont il était impossible de voir le plafond sans entrer dedans. Ferrèol distingua un cordage lové au fond de cette cavité et peut-être un crochet ou quelque chose du genre. Quant à la colonne centrale, elle était creuse. Une ouverture à l’Est permettait d’y entrer et donnait sur une échelle de métal aux barreaux rouillés par le vent salin mais lustré au centre par les passages fréquents. On pouvait monter encore et rien ici ne permettait de dire s’il était possible d’allumer un feu suffisant pour servir de phare. Ce devait être encore plus haut.

Redoublant de prudence, le tourbillon-Ferrèol accéda au niveau supérieur, cette fois une caverne semi ouverte sur l’extérieur sur tout son flanc Sud-Est. Le long du mur Ouest, un trou dans le sol donnait sur l’échelle de métal correspondant à celle qu’il avait vue dans la colonne creuse, au Nord, un trou dans le sol était surmonté d’une poulie multiple et de cordage qui tombait dedans. Le long des murs, de nombreux tonnelets encore venaient compléter la réserve du niveau précédent. Au centre, une énorme vasque de 8 pieds de diamètre rempli d’une substance liquide sombre était montée sur un socle de pierre. Enfin un grand coffre dans un coin Nord-Est servait de siège à un homme qui souvent se levait pour scruter le large à l’aide d’une longue vue. La sentinelle était plutôt jeune et visiblement robuste. Sa musculature moulait ses vêtements d’hivers et sa cotte de cuir cloutée. Il était en plein vent et son manteau fourré lui permettait de résister à ces températures de fin d’hiver. Sur le côté pendait un sabre dans son fourreau, une dague dans son étui accroché à la ceinture et enfin un arc à portée de main ainsi qu’un carquois de jambe. Le visage et le nez rougis par le froid, il avait les cheveux sombres et de base la peau burinée par la vie au grand air. Le tourbillon-Ferrèol s’écarta quelque peu afin d’éviter d’augmenter les mouvements de vent qu’il devait ressentir. L’homme était vigilent et la moindre indiscrétion devait sans doute pouvoir donner l’alerte. Tandis qu’il se reculait prudemment afin d’avoir une vision globale, une ombre passa au-dessus de lui, se reflétant sur la paroi rocheuse – Tiens depuis quand ce balbuzard noir est là ? – Se demanda le druide…

ans la caverne au gréement, Vesalius s'était penché sur la barre manœuvrant le gouvernail. Elle était composée de huit rayons en bois cylindriques en forme de balustres et tout se rejoignait sur un moyeu central en bois possédant un trou carré au centre qui abritait l'essieu. C'est ce qu'on appelait le carré d'entraînement. L'essieu était bordé par des piles de trois jantes rainurées et crantées dans lesquelles les rayons pouvaient s'imbriquer lorsqu'on tournait la barre. Les secousses provoquées par les blocages de rayon dans les crans permettait de savoir instantanément à quelle position se trouvait la barre et par là-même le gouvernail, et ce sans même regarder le compas sur la roue centrale extérieure. C'était surtout pratique la nuit. Enfin les jantes étaient reliées entre elles par des broches en bois qui transperçaient une sorte de tambour clouté autour duquel était enroulé une corde, appelée corde de barre, qui descendait jusqu'à la barre de gouvernail. Certains gros navires beaucoup plus lourds remplaçaient la corde de barre par une chaîne. Le tambour tournait et démultipliait l'effort de la barre lorsqu'on tournait celle-ci. Quelque part au pont inférieur, le gouvernail pivotait sur son axe vertical, grâce au bras qui se déplaçait selon un axe horizontal. La corde de barre manœuvrait un système de poules et de cordages qui déplaçait ce bras de gouvernail. Étant donné la tension et la difficulté de saboter a barre, Vesalius opta pour plus de simplicité. Il descendit au pont inférieur pour défaire le système de poulie et de cordage qui permettait de manœuvrer le gouvernail. Ainsi en tournant la roue, le tambour tournait sans actionner la barre de gouvernail. Bien-sûr on pouvait toujours manœuvrer le navire en poste de secours, si jamais plusieurs personnes actionnaient manuellement la barre de gouvernail. Mais c'était un effort énorme à fournir et il fallait être plusieurs pour pousser dans un sens comme dans l'autre, sans pouvoir ni être précis, ni rapide et en risquant des retours de force du gouvernail. Bref pour sortir ce gréement de la caverne avec finesse c'était impossible. Assez satisfait de lui, il descendit rejoindre ses compagnons sur le ponton.

Tiens donc - Remarqua Beorten qui montait la garde dehors : Le sang du gnome qui s'était écoulé sur la plage puis dans l'eau lorsque la léopard de Vesalius avait fait son festin, avait attiré deux, peut-être trois requins de belle taille à la peau gris-bleue sur le dessus et qui tournaient dans l'eau à hauteur du bivouac des pirates. De temps à autre leur aileron fendait la surface de l'eau mais la plupart du temps ils restaient sous l'eau. Ils ne paraissaient pas s'agiter mais le sang allait sans doute les exciter. Ils devaient chercher la source de cette substance sans pour autant parvenir à localiser la proie...

LA MAP

Ferrèol avait fais son possible pour ne pas éveiller les sentinelles, les informations qu'il était en train de recueillir était primordiale pour la suite à donner. Il prévoyait déjà quelques plans, mais alors qu'il était entrain d'observer les habitudes du gardien du phare, la drôle de sensation de se faire observer lui revint. Il n'avait pas oublié l'altercation avec ces mêmes volatils, et ce doyen qui veillait sur eux. Maintenant il comprenait, c'était la même chose que lui, et quand il disait qu'il devait savoir qu'ils étaient là... il ne se trompait pas.
Mais il allait falloir rapidement prendre une décision, à savoir s'il prenait le risque de faire passer ses compagnons par là, alors que lui aurait probablement à s'occuper en premier lieu de la vigie, puis de ce balbuzard... qui n'en était pas un!!!!

Ferrèol en retrait de la vision du pirate, resta un petit moment de manière à observer le grand balbuzard. Il avait peut être un avantage, celui ou ce dernier ne l'aurait pas vu??

Mdadd, les différentes ouvertures, meurtrières, tout le monde peut y passer?

Elémentaire de l'air: vol 30 m (parfait), +4 en perception, bonus de taille de +2 à la Dextérité et un bonus d’armure naturelle de +2, Sens vision dans le noir 18 m, peut créer un tourbillon (Hauteur 3-6m, DD 12).

Modifié par un utilisateur samedi 13 février 2016 00:24:27(UTC)  | Raison: Non indiquée

« A vrai dire, je l'ai suggéré, de terminer de fouiller ce bateau, car nous n'avons pas pris le temps de voir ce qu'il transportait !
Je suppose qu'il y a de la nourritures séchée et des choses qui se conservent... »

Puis Fredrigo s'approcha ensuite du cadavre du gnome, et lui arracha une touffe de cheveux.

« Cela peut toujours servir... »

Il avisa alors le reste des cadavres sur la plage.

« Jetons-les à la mer, cela attirera les requins et évitera qu'un prisonnier tente de s'échapper par là ! »

Fredrigo entreprit alors un nettoyage méthodique de la plage.

Il approchait des cadavres, enlevait qui une botte, qui une chausse, puis il piquait le gros orteil pour s'assurer que les cadavres en étaient bien.
Puis tâtait les vêtements et retournait les poches, des fois qu'une bourse ou quelque pierre d'une certaine valeur ne disparaisse pas dans l'estomac d'un requin, ce qui aurait été dommageable.
De même, après avoir lancé un sortilège permettant de percevoir des auras magiques, il s'assurait d'un long regard qu'il ne reste pas un objet sortant de l'ordinaire.

Il les tirait ensuite sur le ponton et les faisait basculer dans l'eau.

Après cela, il recouvrit de sable les traînées de sang et les traces de lutte.



et détection de la magie !

Modifié par un utilisateur lundi 15 février 2016 14:51:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

Il n'avait pas besoin de passer plus de temps, l'observation lui avait montré le rythme du marin et il en avait assez vu pour savoir à quel moment il pourrait l'attaquer. Mais le principal soucis, bien sur était ces balbuzards, il en avait déjà fait les frais lors de leur arrivé et il devinait que si le groupe décidait de passer par là il serait obligé d'affronter ce mal dominant!!!

Ferrèol attendit le moment propice, puis quitta son post d'observation pour rejoindre ses compagnons. Il prit la direction de la caverne ou l'attendait le reste du groupe.

Il se posa puis leur fit un topo de la situation. « La chose n'est pas impossible, mais ce ne sera pas non plus juste une partie d'escalade.
Sur plusieurs étages il y a des meurtrières, mais les passer n'est pas la difficulté, par contre au sommet, un marin monte la garde dans le phare, il a moyen de donner l'alerte très facilement, donc avant toute chose c'est lui qu'il faudra que je neutralise.

Deuxième point et en supposant que cette neutralisation c'est bien passé, il y a une escadrille de Balbuzard dans les airs qui surveille le cite, rien de terrible me direz vous!! Mais je pense que leur mâle dominant est une personne ayant les mêmes tallant que moi, si vous voyez ce que je veux dire!
Donc c'est surtout là qu'il y aura difficulté!!!! »


Elémentaire de l'air: vol 30 m (parfait), +4 en perception, bonus de taille de +2 à la Dextérité et un bonus d’armure naturelle de +2, Sens vision dans le noir 18 m, peut créer un tourbillon (Hauteur 3-6m, DD 12).

Vesalius avait disparu vers le pont inférieur du gréement tandis que Frédrigo avait délesté la boule de ses effets dignes d'intérêt, demandant de l'aide à Beorten pour le jeter aux requins qui avaient provoqué de véritables remous fkormant des petites vaguelettes venant claquer contre la paroi rocheuse, le sable de la plage et les poteaux du ponton, agitant le bateau de pêche et augmentant les mouvements lancinants de roulis et de tangage du deux-mâts ammarré.

Quant au Tourbillon-Ferrèol il rentrait juste à l'instant dans la caverne après son expédition extérieure. Il n'avait pas encore donné de détails à ses compagnons...

Il était encore dans ses pensées lorsqu'il pénétra dans la grotte abritant le navire, mais la surprise fut de taille lorsqu'il vit Fredrigo alimenter le banc de requin!! Il fonça sur son compagnon qui devait encore être sur sa planète couverte de jupon !!!

« Mais Fred qu'est ce que vous foutez, ils sont là en dessous et se prépare à vous attaquer!!! Ça te parle pas un banc de requin??? Regarde là vers la plage et le ponton, il y en a une dizaine!!
Il est ou Vesalius??  »

Ferrèol tenta d'observer par ou ils allaient arriver de manière à pourvoir les recevoir avec une position avantageuse!


Elémentaire de l'air: vol 30 m (parfait), +4 en perception, bonus de taille de +2 à la Dextérité et un bonus d’armure naturelle de +2, Sens vision dans le noir 18 m, peut créer un tourbillon (Hauteur 3-6m, DD 12).

Modifié par un utilisateur mercredi 17 février 2016 22:21:15(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Fredirgo, les requins accompagnent les Sahuagins, les créatures aquatiques qui nous ont déjà attaqué dans l'autre caverne!! Et là ils sont juste là!!

Écarte toi du bord de l'eau!!!

Je vais chercher les autres et les prévenir!!! »

Le druide fila sur le bateau pour appeler leur nouveau compagnon. « Véalius!!!  »




Elémentaire de l'air: vol 30 m (parfait), +4 en perception, bonus de taille de +2 à la Dextérité et un bonus d’armure naturelle de +2, Sens vision dans le noir 18 m, peut créer un tourbillon (Hauteur 3-6m, DD 12).