«  Ceux si sont encore en vie, donc nous avons un choix à faire soit on leur offre une mort rapide et digne soit on accepte qu'ils partent en errant.... Mais pas question qu'on laisse un boucher comme l'autre.... dégueux... les torturer à mort....  »

Je regarde tout autour de moi avant de reprendre.
«  Je propose qu'ensuite on reprenne l'exploration et qu'on rende a ce temple le coté sacré qu'il aurait toujours dut garder.  »

Soulagée de ne voir personne de blessé parmi mes compagnons je ne peux m'empêcher de regarder mon bâton sur lequel est accroché le cadavre du pugwampi. Est-ce grâce à lui que nous avons vaincu si facilement ? je le pense mais aux dires de Liavara je m'aperçois que je dois bien être la seule. Qu'importe, un marché est un marché et je dois ramener un cadavre au faiseur de fétiche. Malgré le dégout que cela m'inspire, malgré la puanteur qui s'en dégage, malgré le regard de mes compagnons, je m'attelle à la tâche. Je choisis celui qui parait le plus chétif, pour ne pas me surcharger, prends ma dague et découpe les morceaux qui me paraissent superflus. Puis je le range dans mon sac.

Ma tâche ingrate terminée, je recherche les effluves magiques qui se cristallisent sur le marteau. je le ramasse et commence à l'étudier« Un instant, ce marteau à l'air magique. »



Puis mon œil est attiré par les fresques. Elles m'intriguent « Attendez encore un instant, j'aimerais, si vous le permettez étudiez ces sculptures et ces fresques ciselées sur les murs »

Après quelques secondes, je dois bien avouer mon incompétence. Je me relève « Non, je ne reconnais rien. Cela ne doit pas avoir d'importance. »

Modifié par un utilisateur lundi 11 avril 2016 22:57:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

Akram regarde incrédule Daernael faire sa besogne moribonde en plein cœur du monastère.

« Shelyn nous apprend que toute vie est bonne à épargner car elle porte en elle le germe de la beauté. Sarenrae quant à elle inculque à ses fidèles que la rédemption n'est jamais hors de portée de personne.

Laisser en vie les pugwampis inconscients pourrait très bien nous causer du tord à l'avenir j'en suis conscient. Mais je persiste à penser qu'il nous faut non pas faire la chose rationnelle mais bien la chose bienveillante ; même si je comprend les deux approches. »

Le tiefflin a donné son opinion sur l'affaire et s'en va donc épauler ses camarades qui inspectent les fresques.



J'ai oublié mon bonus de trait j'aurais du faire 1d20+5 > 16 normalement.

Modifié par un utilisateur mardi 12 avril 2016 02:16:14(UTC)  | Raison: Non indiquée

Curieux des vestiges encore présents, je jette un œil sur ces fresques sans m'attarder bien longtemps.
Puis je rejoins tout le monde et toujours avec insouciance :
« Laissons les dormir encore un peu, une petite sieste n'a jamais tué personne ! Et puis comme propriétaire on ne peut pas dire qu'ils soient des fanatiques du rangement. En tout cas on a encore du travail devant nous, et j'aimerais bien être fixé s'il ne reste que nous ici. J'attends avec grande impatience notre concours de jeter de fruit sur les singes »

«  Vous êtes plus diplomate que moi alors d'accord.... Pour là haut je dirai pas nom mais des poutre de je sais pas combien de temps, plus des fientes plus des "farceurs" j'ai peur de leur état.... je vérifie que c'est solide et d'accord pour de l'aide.  »

Les lieux, loin de resplendir comme il en était à leur apogée, semblent plus sereins par les divers nettoyages, remises en place et prières qu'effectuent la troupe.
Liavara va à l'étage pendant que Daernael découpe l'un des pugwampis mort pour des rituels dignes de sorcières. Les poutres ne sont pas très fraiches et Liavara prend son temps à la fois pour éviter d'en faire s'effondrer et pour ne pas marcher sur les pièges de verre brisé concoctés par les petits fourbes. La plupart des possessions à l'étage valent les odeurs qui montent aux narines de la jeune fille : dégueulasses et repoussantes. Malgré tout, elle remarque une paillasse crasseuse, mélange de paille, bois, et morceaux de statues, d'où dénote un certain relief sous cette dernière. En la soulevant, elle remarque un anneau chichement ouvragé ainsi qu'une petite potion au contenu rouge comme le sang. Un peu plus loin, elle voit un arc long et neuf flèches trainer négligemment. L'une des fenêtres de l'étage, sans vitre, offre une vue imprenable sur la ville de Kelmarane, situé à deux ou trois kilomètres de là, par dela des collines accidentées.
Daernael observe ensuite le marteau, qu'elle confirme empreint d'une magie lui permettant à la fois de mieux guider le bras de celui qui le manie et d'avoir plus d'impact lors de ses assauts. Irsiad et Yirs fouillent les lieux, découvrant un grenat bien taillé, ainsi que des pièces pour une valeur totale de 47 pièces d'or. Jawad confirmera rapidement la valeur du grenat, de près de trois fois celle du butin en pièces.

Akram observe avec attention les différentes sculptures au mur rejoint un peu plus tard par Daernael, qui ne semble rien y comprendre. Chacun venait regarder les deux renfoncements de la nef, observant son art.
La partie ouest de la nef est jonchée de débris abritait autrefois une chapelle et un autel aux vues de ces derniers. Le plafond de cette zone est resté intact au fil des ans, contribuant à préserver un énorme bas-relief qui représente un humanoïde musculeux à la barbe pointue. Celui-ci fait des gestes vers une gigantesque montagne à l’arrière-plan et son visage exprime une inquiétude mortelle. Liavara et Jawad reconnaîssent la Montagne Pâle, l'un des coins rocheux les plus dangereux de la région, réputé pour être le plus gros quartier général des Gnolls du Katapesh. Akram lui comprend que le personnage est un saint de la région à la manière dont sa barbe est dépeinte sans réussir à le reconnaître sur l'instant.
Dans la partie est de la nef, une statue similaire orne le mur est de cette pièce, le personnage barbu est cette fois représenté au sommet d’une colline et apparaît à un groupe de pèlerins vêtus de robes. L’être lève les mains, paumes vers l’extérieur, en signe de paix. Bien que plusieurs des visages et des membres des personnages sur le bas-relief aient été effacés par le temps ou détruits par burinage, les expressions de ces derniers vont du béat à l’horrifié.



Ils regroupent ensuite les pugwampis survivants, au nombre de deux, pour lui permettre de les interroger. Elle parvient à en réveiller un rapidement, qui semble lentement sortir des vape et regarde, béat, le groupe.

Le marteau est +1. Vos différents travaux sur la chapelle vous offre pour une durée indeterminée l'équivalent d'un sort de Bénédiction

A peine j'ai commencée l'exploration que vous m'entendez bougonner...
«  Les p"tits vicieux ils ont disposé l’équivalent de chausse trappe un peu partout heureusement qu'on les a surpris sinon ils auraient peu être bien pénible à déloger...... j'ai trouvé des belles petites ressources un anneau une potion et arc et une poignée de flèches.. on pourra installer un super poste d'observation ici .... Enfin si cela n'est pas inconvenant pour un temple ...  »

Akram est un peu déçu, il pensait qu'à deux ils pourraient percer le mystère qui se cachait sous la barbe du saint.

« Ne soit pas désolé, au moins si ni toi ni moi ne voyons de qui il s'agit nous savons désormais que ce n'est pas une figure primordiale connue de tous.

J'aurais pensé qu'il s'agissait d'un saint local, un saint dont la réputation n'aurais pas traversée les frontières du Katapesh. Mais peut être est-ce un saint encore plus local, un saint dont la réputation n'aurais pas traversée les murs de Kelmarane. »

Modifié par un utilisateur mardi 19 avril 2016 16:20:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

Jawad observe l'anneau et reconnaît sa magie en quelques instants : il permet à son poteur d'éviter (si il le souhaite!) d'être blessé par les chutes en freinant dans les airs.
Les pugwampis quant à eux, attachés, observent, apeurés, le groupe.



«  Commun pas très bon »








« Moi! moi! commun bien! commun comprend bien! pas tuer moi, moi devoir tuer gens et animaux toute la vie! » Il essayait de trépigner, en vain tellement il était attaché serré.

Le pugwampi semble étonné des découvertes du groupe et ne pas vraiment comprendre quand Yirs parle d'autres objets magiques.


« Euuuh? Papuche? Valeur grosse, caca grand oiseau dans le jardin, grand oiseau avec des zeufs, zeuf grand comme moi! de l'autre côté de la maison qu'on est, y a singes et araignée grande grande, et aussi des moustiques, avec un graaand moustique. » il semble pointer par dela le renfoncement est de la nef, et tremble quand il parle de l'araignée et des moustiques.