Syrius va respirer quelques instants avant de se rapprocher de ses compagnons et du gobelin qui s'était rendu, observant l'état de ses camarades pour voir si aucun n'était grièvement blessé.

« Merci et félicitation à tous, Nous avons réussi à neutraliser tous nos adversaires sans aucun blessé grave dans nos rang ce qui est une très bonne nouvelle. Les miliciens se regroupent autour du bâtiment avec ordre d'empêcher quiconque d'en sortir ou d'entrer pour le moment et j'ai également demandé à ce que le seigneur Korvaski soit appelé et il devrait arriver sous peu.

Maintenant voyons voir ce qui nous a amené ici en ce jour »

Ajouta Syrius en se tournant vers le gobelin

« Y a-il d'autres gobelins ou gardes dans le bâtiment?

Ou est Ameiko?

La femme prisonnière de Tsuto.désignant le demi elfe inconscient. »

Je lui décrirais Ameiko si besoin

Modifié par un utilisateur lundi 14 mars 2016 20:44:22(UTC)  | Raison: Non indiquée

e dernier gobelin en vie n'en menait pas large. Le contraste était saisissant avec les minutes qui précédaient. Il était réduit à l'état de pitoyable créature suppliante pour sa vie.
Alors qu'il s'apprêtait à répondre aux questions de Syrius, Krajazyk le surplomba de toute sa masse et d'un seul mot le réduisit à un état encore plus misérable, tandis qu'une odeur âcre se répandit soudainement, tandis que le malheureux gobelin souillait un peu plus ses chausses malpropres.
« La longuejambe l'est en bas, dans la pièce fermée. Elle vivante, moi croire. Moi pas taper elle, pas grignoter elle. »

Tandis que Jodh laissa Aya pour garder Tsuto, les prévôts suivirent le gobelin dans les sous-sols, plongés dans le noir, qui furent éclairés par magie par Prospéro, dont le symbôle sacré d'Adabar se mit à luire d'une douce lumière, dispersant les ténèbres. Syrius invoqua quant à lui des globes lumineux qui fournirent une lumière plus large encore, permettant aux prévôts de constater que les couloirs des caves étaient encombrés de gravats en sus des réserves de la verrerie.



Dans l'une des pièces du sous-sol, fermée à clé de l'extérieur, les prévôts trouvèrent une Ameiko blessée, la tête en sang et couverte d'ecchymoses, grossièrement bandée.

Jodh tomba à genou à côté de son amie, l'air désemparé :
« Ameiko, Ameiko réponds moi ! Oh Nethys, faites qu'elle s'en sorte ! Prospéro, ne pouvez-vous rien faire ? »

Si sa vie ne semblait pas en danger immédiat, elle avait manifestement besoin de soins d'urgence.

Dans une autre pièce, il aperçurent un bureau en désordre sur lequel se trouvait un encrier renversé et une sorte de journal avec des croquis. Au sol une caisse de vins de prix à moitié vide et des sacs contenant des poudres de métaux précieux, négligemment entassés : le butin de Tsuto...

Ce qui attira le plus leur attention lors de cette brève inspection fut un long tunnel plongé dans les ténèbres, qui avait manifestement été muré il y a longtemps et démuré depuis au moins quelques jours. Le tunnel semblait partir le Nord-Est et nul n'en voyait le bout. Il s'agissait manifestement d'un boyau creusé à l'aide d'outils il y a fort longtemps.


Grigniak le gobelin sentant l'urine profita de la distraction des prévôts et de leur sollicitude envers Ameiko pour tenter de s'enfuir, mais Prospéro et Kriss le virent tenter de s'éclipser discrètement (pas d'init, dites moi simplement ce que vous faites)

Modifié par un utilisateur mardi 15 mars 2016 16:01:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Kriss accompagna ses nouveau compagnon dans les sous-sols de la grande bâtisse, surveillant du coin de l’œil le gobelin qui s'était rendu. Lorsqu'il le vit tenter de s'éclipser il s'élança à sa poursuite qui s'acheva rapidement suite au croche-pieds de prospero. Il releva le gobelin, en le soulevant par le col.

« Je te conseille de ne pas recommencer ce type d'action. Ne me donne pas l'occasion de t'étriper »

Modifié par un utilisateur mercredi 16 mars 2016 08:28:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Krajazik se trouvait derrière le gobelin de telle manière qu'avec Kriss ils le prenaient entre eux deux, écrasant la créature par leur taille. Le demi-orque asséna une claque à la base du coup du gobelin et désigna le passage fraichement ouvert
« S'par là qu'vous êtes rentrés ? Ça va ou ? » Puis entendant le appels au secours d'un Jodh paniqué, il replaça une gifle au même endroit laissant cette fois sa main sur la nuque du gob « Si la ptite y passe, tu crèves » lui chuchote-t-il dans le creux de l'oreille.

D'une main ferme Krajazik assure sa prise, empêchant le malheureux Griniak de se retourner pour chercher un assentiment sur le visage du sang-mêlé. Laisser le gob dans l'incertitude lui procurait une sensation de puissance qu'il ne boudait pas. Jouissant de la situation, le guerrier garda le silence laissant sa présence menaçante faire son office ...

e liquide magique versé par Lyod entre les lèvres blâfardes d'Ameiko eu un effet proprement magique. Les plaies à la tête de la jeune femme se résorbèrent, ses hématomes virèrent à une couleur moins inquiétante et sa respiration redevint vigoureuse, tandis qu'elle papillona des yeux et qu'elle les ouvrit enfin sur l'homme qui venait de lui sauver la vie...


« Tsuto ? qu'as-tu fait ? Je... Mais, qui êtes-vous ? »
La belle tianaise paraissait encore très faible et perdue, mais ses jours n'étaient définitivement plus en danger. Instinctivement elle tenta de porter la main à sa ceinture mais tous purent constater qu'elle était toujours entravée. Ses traits se durcirent un instant : Je vous préviens...

Jodh posa alors sa main sur les siennes et indiqua avec un soulagement manifeste :
« Ameiko, c'est moi Jodh ! Tu es en sécurité, les prévôts de Pointesable t'ont sauvé. Lyod ici présent vient de t'administrer une potion curative. Nous allons te remonter à la surface, tu pourras te reposer en sécurité.  »
Le jeune homme passa alors un bras sous les épaules de la femme et l'aida à se redresser, ce qu'elle ne parvint à faire qu'en passant son bras autour des épaules de Jodh et en s'appuyant lourdement sur celui-ci.

Le passage était cependant encombré et Jodh attendit que les prévôts le laissent passer avec son amie.

« Tsuto, il est avec les gobelins, il faut l'arrêter ! » indiqua soudain la jeune femme avec vigueur, s'appuyant trop lourdement sur ses jambes trop faibles et manquant tomber sur le sol si ce n'était le soutien du jeune invocateur.

Lyod s'adressa à Ameiko d'un air triste et rassurant, compatissant. « Nous l'avons arrêté. Je vous rassure, il n'est pas mort ni en danger immédiat ; mais nous l'avons confié à la garde de nos hommes après l'avoir assommé et, inévitablement, blessé au combat. » Tout en parlant, il proposa à nouveau son outre d'eau à la tianaise charismatique, conscient qu'elle avait sans doute perdu beaucoup de sang et que la potion n'avait pas pu suffire à lui rendre toutes ses forces. « Vous connaissez déjà Jodh ; voici aussi Syrius, l'un des nouveaux prévôts temporaires de Pointesable ; tous ici présents le servons face à la menace des gobelins. Voici le magicien Adhuzal, qui je crois l'a beaucoup aidé dans ses enquêtes ces derniers jours, mais que je connais encore mal ; Krajazik, qui nous a rejoint ce matin seulement, mais dont le secours nous a déjà été extrêmement précieux ; Kriss, qui nous a été envoyé spécialement pour vous retrouver ; Prospéro, un prêtre d'Abadar venu de loin pour apporter l'ordre et la foi ; et quant à moi, je suis Lyod le Sinople, un stratège errant ayant voué mes compétences à Pointesable dans cette crise. »

Il fit une courte pause, avant de poursuivre ses brèves explications tout en ramassant le matériel de premiers soins qu'il avait laissé à même le sol ; mais il fit attention à rester éloigné du gobelin prisonnier et à parler suffisamment bas pour qu'il n'entende pas. « Nous avons tué tous les gobelins qui se trouvaient dans l'usine. Je suppose que vous en savez déjà quelque chose, mais nous avons aussi découvert le tunnel qu'ils ont emprunté pour venir ici, et appris l'existence d'un autre tunnel menant apparemment aux conspirateurs responsable de tout ceci. Comme la ville n'a absolument pas de temps à perdre, nous allons probablement nous occuper de ces passages secrets dès que vous serez en sécurité ; c'est pourquoi le moment est idéal pour nous dire ce que vous savez, si vous en savez plus que nous et si vous vous sentez capable de parler. Mais venez donc ; rien ne nous empêche de discuter en chemin ; Béthana vous attend, elle s'inquiète beaucoup pour vous. » Sur ce, si tout le monde était d'accord, Lyod remonta avec le reste du groupe à la surface et ordonna immédiatement à la moitié des soldats disponibles d'aller monter la garde devant le tunnel caché, laissant l'autre moitié continuer de quadriller le bâtiment ; tout cela tout en s'assurant que ni Griniak ni Tsuto ne pouvaient s'échapper. Après avoir assisté aux retrouvailles, il ne resterait alors plus à ses compagnons et lui qu'à choisir la course à suivre pour le reste de la journée : interroger les prisonniers, chercher le second tunnel, explorer le premier, ou simplement le condamner définitivement.

Modifié par un utilisateur jeudi 17 mars 2016 09:46:53(UTC)  | Raison: Non indiquée

Syrius va aider son amie à se relever en lui souriant tentant de lui remonter le moral comme il le pouvait. Mais comment lui faire oublier la trahison de son frère après en plus les dernières paroles que lui avait lancés son père. Elle allait devoir se montrer forte et aurait besoin du soutien de tous ses amis durant les prochains jours.

« Ameiko ne t'inquiète pas, pour le moment la situation est sous contrôle. Nous allons te ramener en haut pour que tu puisses recevoir des soins appropriés.

Sais tu pourquoi ton frère t'as emprisonné? »

Voyant Kriss s'intéresser au tunnel
« Kriss à moins que tu ne repères quelque chose proche je propose que nous remontions pour le moment. Nous devons conduire Ameiko en sécurité et prévenir le seigneur Korvaski qui dirige les forces de la ville de l'existence de ces tunnels. Il devrait arriver ici sous peu.

Ensuite nous verrons car il nous faudra également rapidement interroger le seigneur Kaïjutsu afin d'en apprendre plus sur ce qui se passe et son implication dans les évènements qui ont frappés Pointesable et les activités de son "fils". »

Sur ces mots Syrius va aider Ameiko à marcher et commencer à prendre la direction des escaliers.

n entendant les derniers mots de Syrius, Ameiko, qui lui souriait faiblement, étouffa un sanglot.
« Mon père est mort, Tsuto et ses gobelins l'ont transformé en statue de verre. Il a osé... il a osé me la montrer en plaisantant. Le salaud ! »
Ameiko manqua à nouveau de défaillir, mais Jodh et Syrius l'aidèrent à marcher et remontèrent, laissant Kriss et Krajazyk en poste pour veiller sur l'entrée des tunnels.

Les prévôts escortèrent une Ameiko en piteux état hors de la verrerie. Au rez-de-chaussée, l'odeur du carnage les submergea à nouveau et Ameiko tressaillit lorsqu'elle aperçu son demi-frère prostré et ensanglanté aux pieds de la masse de verre translucide qui entourait le cadavre méconnaissable de son père.
« Plus de famille » murmura-t'elle pour elle-même.

Des miliciens volontaires, ainsi que plusieurs membres vétérans de la milice gardaient l'extérieur de la verrerie, éloignant quelques curieux qui se demandaient ce qu'il se passait dans cet endroit réputé.

Entouré de Harbold, aux mille breloques, et de Pog, Gnosim se porta à leur rencontre tandis que Mésilian, sa grive apprivoisée voletait alentours, semblant surveiller le coin.
« On m'a parlé d'un rude combat contre les gobelins et d'un prisionnier ?  »

Mis au courant, le sorcier hocha la tête et désigna Harbold et plusieurs miliciens volontaires pour aller aider ou relever Krajazyk et Kriss dans les sous-sols.
« Vous avez raison, occupez-vous d'Ameiko, elle aura désormais à siéger au Conseil et par les jours qui courent il ne faudrait pas qu'on se retrouve en plus avec une crise politique liée au départ de Lonjiku...  »
Le sorcier se mit à marcher de long en large sur deux mètres, se parlant à lui-même.
« Si les Valdemar et les Scarnetti devaient se liguer, les Deverin perdraient leur prééminence. D'après ce que m'a expliqué Karenn, le lointain cousin gnome de notre mairesse, l'équilibre du Conseil repose sur un subtil jeu de contrepouvoirs et d'alliances entre les quatre familles. Si les Kaijutsu devaient disparaître de l'échiquier cela entraînerait à coup sur une période de troubles... Le poste de Sire Korvaski, par exemple, ne lui est échu que par la volonté des quatre famille, s'il en manque une et que les Scarnetti obtiennent des Valdemar le remplacement de celui-ci nous aurons un nouveau chef de la Ligue mercantile ayant voix au Conseil... et ce n'est qu'un des nombreux exemples...  »
Il se rappela alors qu'Ameiko était là à moitié consciente et encore blessé.
« Excusez-moi, allez-y, nous parlerons de tout celà plus tard. Je vais en informer Karenn. Pog, assurez-vous que la verrrerie, son sous-sol et ses abords soient gardés en permanence et faites transférer le prisonnier à la garnison principale sous bonne garde. Nous allons y transférer une partie de la garnison de volontaires et vous allez prendre le commandement ici en attendant que nous prenions d'autres dispositions. Nous manquons d'hommes... »
Le milicien au regard dur faillit protester, il était clair depuis quelques jours qu'il avait comme consigne de toujours veiller à la sécurité du sorcier, mais il obtempéra et salua, filant distribuer ses ordres aux miliciens présents. Plusieurs hommes emportèrent Tsutot sur une civière improvisée, après avoir vérifié ses liens et les avoir renforcés.

Béthana jaillit de l'angle de la verrerie et se précipita pour aider à emmener Ameiko jusqu'au Dragon Rouillé, houspillant les curieux et les passants qui ne se poussaient pas assez vite à son goût.



Kriss inspecta les premiers mètres du tunnel et s'aperçut que le mur qui le fermait était ancien et avait été abattu plutôt que démonté. Les traces de pas de gobelins, de chiens gobelins et de bottes humaines remontaient sans doute pour certaines à plusieurs jours eu égard aux crottes de chien gobelin sèches qu'il trouva dans le tunnel. Ils venaient certainement de trouver l'un des passages par lequel les gobelins avaient réussi à entrer dans la ville lors du festival pour mener leur sanglante offensive de diversion.

Le sombre tunnel ne révéla rien de plus. Il était totalement plongé dans l'obscurité et humide.
Kriss et Krajazyk s'ennuyaient ferme et les conversations sans intérêt des milicien n'y changeaient rien. Ceux-ci spéculaient et redoublaient de bravades que les deux guerriers aguerris avaient trop entendus partout dans le bouche des bleus, de ceux qui partaient au combat avec le plus de chance de ne pas en revenir...
Griniak tentaient, en vain, de se faire oublié et les miliciens le lorgnaient avec haine, plusieurs parlèrent de lui faire la peau et seuls les regards peu amènes que leur lancèrent le demi-orque les arrêtèrent. Le gobelin semblait soudain considérer Krajazyk comme son protecteur et ne le lâchait plus d'une semelle.

Ils eurent le temps de compulser le livres de notes, appartenant à Tsuto d'après la seconde page de couverture, dans lequel celui-ci relatait ses deniers jours.
Ce qu'ils y découvrir ne leur plu guère. Ils trouvèrent en effet une lettre de Tsuto à destination de Lonjiku, ainsi qu'un brouillon de cette lettre annoté.
Mais également une sorte de journal qui leur glaça le sang :









Les dernières notes griffonnées laissaient penser que les gobelins étaient encore plus nombreux depuis l'absorption totale des Ecraseurs d'oiseaux au clan de Pic-chardon et que Volpépitte voulait engager toutes ses forces et celles de ses clans alliés dans la bataille sans se soucier de garder les campements ou de harceler les fermiers, ce qui déplaisait à Tsuto, qui râlait contre le temps nécessaire pour déplacer et coordonner une telle troupe, surtout de gobelins... Nualia semblait dire que la libération de Malfeneshkor était imminente et qu'il suffirait d'attendre encore deux ou trois jours de plus, et qu'alors, avec l'aide de la quasit et de ses "rejetons" du sous-terrain la ville serait leur. Tsuto écrivait le bûcher sur lequel il imaginait d'empaler le Père Zantus, Ilsoari et cette frigide Hannah.



Au Dragon Rouillé, Ameiko, toujours très faible, put s'allonger et Béthana fila chercher Hannah Vélérin, la guérisseuse, tandis qu'elle envoyait un jeune homme quérir le père Zantus. L'autorité de la halfelin était telle que le jeune homme qui prenait son repas l'abandonna sur place. Les odeurs de cuisine rappelèrent d'ailleurs aux prévôts qu'ils avaient faim et l'estomac de chacun s'agita quelque peu.

Ameiko reprit conscience et attrapa le bras de Jodh : « Il faut prévenir tout le monde : les gobelins vont nous attaquer en masse. Tsuto a perdu l'esprit à cause d'une fille, il a dit que c'était Nualia, sauvée de l'incendie et revenue pour se venger de cette ville et de ses habitants, ainsi que des varisiens. Elle semble vouloir tous nous massacrer et régner sur une terre désolée. Enfin ce n'est pas très clair... Il a voulu que je me joigne à eux, il m'a montré la dépouille de père en riant et en disant que maman avait enfin été vengée... elle pleurait maintenant, mais semblait ne pas s'en rendre compte.
Il... il a... il a complètement perdu la tête. Je ne sais... Il faut prévenir tout le monde, bientôt les gobelins sont déjà en marche et vont bientôt nous attaquer. Nous serons balayés. Ils ont des alliés puissants m'a-t'il dit : une magicienne, quelques mercenaires et cette Nualia semble avoir des pouvoirs magiques, ils sont regroupés à Pic-chardon et il semblait si sur de leur force...
Il a lâché ses horribles gobelins sur moi lorsque je l'ai giflé. Il a basculé, mais il n'était pas comme ça avant. »
Epuisée, la jeune femme d'ordinaire si volontaire et forte semblait à bout. Jodh se leva et avec un signe de tête à Syrius, il indiqua,
« Il me semble qu'il faudrait mieux nous retirer et te laisser te reposer. »
Ameiko ne répondit pas, mais enfonça sa tête dans son oreiller en fermant les yeux.
Aux autre Jodh indiqua :
« Je vais rester au Dragon, veiller sur elle le temps qu'il faudra. Elle m'a presque élevé. » indiqua-t'il en guise d'excuse. Aya pour une fois demeure coite, le bras croisés sur sa poitrine.

Modifié par un utilisateur vendredi 18 mars 2016 12:15:27(UTC)  | Raison: Non indiquée

rignak regarda le mage avec défiance se cachant derrière les jambes musclées de Krajazyk et ne laissant que sa grosse tête dépasser, avant de répondre plein de morgue :
« Grignak être grand guerrier clan Pic-Chardon ! Moi être puissant là-bas, toi pas embêter moi ! »
Le gobelin jetait régulièrement un oeil sur Krajazyk, comme pour s'assurer que le guerrier continuait de la protéger.