Bien qu'escalader le navire ne lui proposerait probablement pas plus de problème que de se gratter le nez, Sylph doutait de sa capacité à rester discret.
Alors qu'il n'avait sur lui que des habits légers, il avait l'impression que les frottements de tissu de son pantalon auraient put être remarqués à une bonne centaine de mètres, il fit néanmoins tout son possible pour suivre Demnel discrètement et lui donner un coup de pouce pour monter à bord.

je fais 2 fois 10 (17 au final) en escalade

• discrétion : 1d20+2 donne [7] + 2 = 9

Modifié par un utilisateur mercredi 3 juin 2015 02:19:51(UTC)  | Raison: Non indiquée

Pour le bateau, ne pas se fier à l’image de la MAP qui représente une frégate à pont 3 niveaux : château avant et arrière et pont inférieur. Ici le bateau des pirates est un Brigantin (pont 1 niveau et demi avec un château arrière à demi niveau), comme le montre la maquette ci-contre.

Finalement, Frédrigo était aussi de la partie et avait suivit le mouvement. Il n'en était pas moins indiscret que Sylph qui fit grincer le bois des lattes du ponton sous ses pieds tandis qu'il s'avançait vers la proue du navire pirate. Celui-ci s’élevait et s’abaissait dans un mouvement lent de tangage, au rythme des mouvements de la mer. Les trois lascars se faufilèrent ainsi dans un bruit relatif jusqu'à se mettre sous le couvert du bateau par rapport au quatuor de l’autre côté de la caverne qui montait la garde sur la plage autour d’un feu de camp, au grand dam du fils Tangletorn qui avait été aussi silencieux et agile qu'un chat.

Tandis que Frédrigo entrait dans les ombres que généraient la proue sur le ponton, Denmel et Sylph attendirent un mouvement du bateau lorsqu’il serait au plus bas, puis se hissèrent en s'aidant l'un l'autre jusqu'aux cordages qui pendaient du mât de beaupré. Une escalade de courte durée avant remonter sur la figure de proue qui représentait un squelette dont la colonne était rattachée au mât de beaupré et qui tendait les mains vers l’avant comme s’il voulait attraper quelque chose. Le crâne était lui aussi tendu vers l’avant, la mâchoire ouverte, lui donnant un aspect un peu effrayant comme si simplement regarder le navire avec cette figure de proue fondre sur son ennemi était signer son arrêt de mort.


Évitant presque superstitieusement de toucher au squelette de bois peint, d’un tel réalisme qu’on aurait pu croire un vrai figé dans le bois, le duo finirent par se poser sur le ponton du bateau au niveau du gaillard avant et de s'immobiliser dans le plus grand silence possible afin de prendre conscience de leur nouvel environnement. Ils laissèrent le bois du navire craquer, les cordages se tendre tandis que l'embarcation était animée d'un léger mouvement de tangage à cause des courants marins et des mouvements d'eau en surface. Le bateau paraissait bien rangé. Rien ne traînait, de l'avant où ils se trouvaient jusqu'au gaillard arrière où ils pouvaient voir la grande roue entourée de poignées constituant la barre du gouvernail. Les voiles étaient remontées et cerclées par des petits cordages autour des vergues, le pont était propre et certainement lavé régulièrement à grande eau de mer. L’avant du Brigantin était un espace dégagé pour les cordages et des bossoirs qui permettaient pour les uns de hisser des voiles et pour les autres de passer les gros cordages d’amarrage ou l’encre en elle-même. Le mât de beaupré rejoignait le mât de misaine, le premier des deux mâts du bateau, le moins haut, sous le pont principal. Juste derrière le mât de misaine, sur tribord, des cales en bois supportaient une chaloupe, le bateau de sauvetage ou de débarquement. Elle devait pouvoir contenir dix à douze personnes entassées plus un peu d’équipement.

Au centre du navire, entre le mât de misaine et le grand mât, une grande grille fermait sans doute un accès au pont inférieur ou directement la soute si le bateau n'était pas assez haut pour posséder un pont intermédiaire, ce qui serait étonnant étant donné la taille du gréement. La passerelle permettant de relier le ponton au bateau était accrochée à ce niveau là sur son bâbord. Derrière le grand mât, un demi-niveau de pont s’élevait et formait le gaillard arrière. On pouvait y accéder par une volée de 5 marches étroites et raides plaquées sur les bords du bateau. Entre-deux, une porte fermait un accès vers le pont en dessous du gaillard arrière. Devant celle-ci était avachi un marin plutôt ventripotent entre-deux âges, le visage disgracieux, vérolé et rouge écarlate sans doute imbibé par l’alcool qu’il avait ingurgité en grande quantité comme en témoignait la bouteille de gnôle vide qui avait roulé à ses pieds. Ses vêtements étaient à l’origine blancs, une tunique courte et déchirée ou trouée par endroits, un pantalon s’arrêtant en dessous des genoux était dans un état assez analogue, une toque de cuisine difforme sur la tête, l’ensemble de ses vêtements était tâché de sang, usés et troués, laissant peu de place à l’hygiène nécessaire à un chef cuisinier. L’homme était adossé ou plutôt affalé à la porte de la cabine, la bouche entrouverte d’où s’échappait un filet de bave et ronflant copieusement pour cuver l’alcool fort qui lui rougissait le visage. Il devait être roux à l’origine, mais ses cheveux étaient plutôt poisseux et sales, les rendant indéfinissables…

LA MAP.

Modifié par un utilisateur samedi 6 juin 2015 11:07:23(UTC)  | Raison: Non indiquée

Fredrigo restait aux aguets, en attendant que Denmel et Sylph leur fassent signe, ou que les quatre individus de la plage fassent mine de se douter de quelque chose.

Il observait, du mieux qu'il pouvait à cette distance à la lueur des flammes dansantes du feu, tout signe que les pirates pourraient s'échanger ou toute attitude ou geste montrant qu'ils se mettaient en alerte.




NB : je sais que je suis loin !

Modifié par un utilisateur lundi 8 juin 2015 14:04:26(UTC)  | Raison: accord verbal

Denmel fit signe qu'il était d'accord. La priorité était de savoir quoi chercher. La grille au centre du navire l'intriguait. Elle devait certainement cacher quelque chose d'intéressant. Il serait toujours temps de l'explorer plus tard. La partie visible et supérieure du bateau était leur priorité. Denmel chercha d'autres marins avinés en train de cuver dans tous les coins possibles. Ce qui l'étonnait c'était que les quatre d'en bas qui avaient du être désignés volontaires pour garder le tout, restaient si loin. Il les garda d'un coin de l’œil pour être sûr de ne pas se faire voir d'eux tout en rejoignant Sylph le plus discrètement possible pour ne pas éveiller le dormeur.

Quittant la proue du navire, Denmel et Sylph descendirent prudemment de la plage avant. Le dénivelé n’était pas très important, il suffisait de s’asseoir sur le bord, puis de se laisser glisser en se retenant avec les mains pour trouver le pont principal trois pieds plus bas. Dessous cette plateforme, la chaine de l’encre et une multitude de cordages étaient lovés et soigneusement rangés vraisemblablement selon leur utilité et leur urgence lors des manœuvres. Au centre, juste en bas, le guindeau attendait les pousseurs pour remonter l’encre ou les amarres principales dont les cordages ou la chaine devaient être beaucoup trop lourd pour être manipulés à la main. De part et d’autre du guindeau, une trappe pouvait être soulevée grâce à un anneau de fer sans doute pour atteindre la soute ou le pont inférieur. Le premier mât, le Mât de Misaine, se dressait derrière le guindeau avec ses haubans qui tissaient une échelle de cordes depuis le haut de la mâture jusqu’au bastingage, venant encadrer une baliste qui devait pouvoir tirer de lourds carreaux à grande distance ou des grappins pour les abordages. Il existait aussi des projectiles particuliers constitués d’une corde avec une lame-crochet à chaque extrémité qui tournoyait une fois tiré et étaient destinés à déchirer les voiles ou couper les cordages du navire pourchassé. Des armes redoutables sans aucun doute, mais les projectiles qu’ils soient normaux, incendiaires ou destructeurs n’étaient pas exposés à côté des armes, sans doute devaient-elles être remisées dans une soute particulière. Par ailleurs, ce n’était pas les seules armes du bateau. Sur la plage avant, deux arbalètes lourdes étaient montées sur un pivot fixé sur le bastingage. Une corde terminée par un carreau à tête de grappin était lovée juste à côté. En remontant vers la gaillard arrière, chaque bord était équipé d’une baliste et d’une arbalète lourde sur pivot, enfin sur le gaillard arrière, deux balistes et deux arbalètes lourdes sur pivot terminaient l’armement lourd du brigantin pirate. En mer, il avait de quoi arraisonner ou se défendre assez efficacement.

Denmel et Sylph poursuivirent leur progression, passant le premier mât qui avait une inclinaison vers l’arrière. Au-delà, le pont était percé d’un grand trou carré de 20 pieds de côté et fermé par une grille pouvant s’ouvrir en deux pans. C’était sans doute par ce passage qu’on pouvait accéder au pont inférieur ou à la soute afin d’y entreposer le fret du navire. Le pan de grille côté tribord supportait une sorte de portique de bois auquel était suspendue la barque de sauvetage ou de débarquement, un canot de 25 pieds de long sur 8 pieds au plus large et comportant quatre bancs de nage, ainsi qu’une plage arrière fermée par une grille. Un jeu de rames permettait à huit personnes de faire avancer le bateau et le portique était sans aucun doute articulé afin de servir de treuil de débarquement. Le portique était monté sur pivot et des cordages passaient dans des poulies. Il était donc possible de manœuvrer le canot suspendu vers l’extérieur du navire puis de le descendre le long de la coque jusqu’à atteindre le niveau de l’eau. Le même procédé en sens inverse devait certainement permettre de remonter et d’amarrer le canot à bord. Quant à la grande grille, la moitié était donc condamnée pour l’instant par le canot et son portique, quant à l’autre, elle devait être assez lourde vu sa taille, dix par vingt pieds, les marins devaient probablement se servir d’un des nombreux palans du gréement pour l’ouvrir. Tout autour de la grille, des crochets permettaient de fixer une bâche goudronnée permettant sans doute d’éviter une inondation au pont inférieur lorsque la mer était grosse ou la pluie abondante. La dite bâche était soigneusement pliée et rangée pour couvrir et protéger le canot. Le duo put dès lors y jeter un œil, confirmant qu’il y avait bien un point inférieur et donc quelque part un accès vers la soute. En bas, des caisses, des tonneaux, mais aussi des hamacs suspendus encombraient ce niveau très sombre.

Au-delà de la grille se dressait le second mât, le Grand Mât. Derrière celui-ci, à 8 pieds, une nouvelle trappe comme celles qui se trouvaient vers la plage avant. A coté de celle-ci, une cheminée en fer tournait sa bouche vers l’arrière à peine après s’être élevée de deux pieds vers le haut. Elle ne devait en rien gêner le mât de brigantin qui partait du Grand Mât vers l’arrière pour former la base de la grande voie trapézoïdale, la Brigantine, qui donnait le nom à ce type de gréement. Le gaillard arrière s’avançait un peu sur le pont et les logements dessous, afin de former une sorte de préau et donc d’abri potentiel lorsqu’on manœuvrait la barre du navire. Celle-ci se trouvait non loin de la porte devant laquelle était avachi le cuistot poivrot. Celui-ci ronflait toujours copieusement lorsque Denmel et Sylph parvinrent jusqu’à la trappe à côté de la cheminée. Deux escaliers en bois permettaient de monter sur le gaillard arrière et la porte devait sans doute mener aux cabines et principalement celle du capitaine. Le gaillard arrière, en plus de supporter l’armement, était encombré par un grand coffre pas très haut mais long et large au dessus duquel était accroché des poulies d’accastillage permettant à des cordages passés dedans de manœuvrer le mât de brigantin ainsi que sa voilure. La progression des deux explorateurs n’avait ni réveillé l’occupant du bateau, ni attiré l’attention du quatuor sur la plage. Ces derniers poursuivaient leurs occupations qui consistaient à jouer à une sorte de jeu de dés tout en se restaurant régulièrement, un peu de gnôle, de vin ou une bière, du pain, un morceau de viande séchée, visiblement, leur attention était à la fois focalisée sur leur jeu, bien trop occupés à s’épier les uns les autres afin de prévenir toute tricherie, mais aussi parfois ils regardaient vers le grand passage qui menait vers l’extérieur, comme si la seule menace à laquelle ils s’attendaient ne pouvait venir que de ce côté-là.

LA MAP

Sylph pensait tout comme Demnel que la cabine renfermait surement des informations utiles pour le groupe bien qu'il doutait d'y trouver quelqu'un.

Il répondit à Demnel d'un hochement de tête pour lui signaler qu'il était prêt à le suivre et à s'occuper du pirate si cela s'avérait nécessaire.
Se déplaçant légèrement pour prendre la place que son camarade occupait quelques secondes plus tôt de manière à ne plus être gêné par l'arbalète lourde se trouvant à proximité.

Tandis que Denmel s'approchait à pas de loup de la trappe, Sylph prit sa place pour garder un œil sur le cuistot poivrot. Le jeune moine tira doucement sur l'anneau en fer du battant en bois. Celui-ci n'était pas verrouillé. Il serait difficile d’ailleurs de le faire étant donné qu'il n'y avait pas de serrure. Mais cela n'empêchait pas d'autres systèmes de blocage comme une barre en travers prise dans des anneaux. A priori ce n'était pas le cas. Dans un léger grincement de bois, la trappe s'entrouvrit tandis qu'en réponse le cuisinier semblait s'agiter dans son coma aviné. Il maugréa et se tourna sur le côté, le temps que tout le monde se fige et cesse même de respirer. Depuis la plage sud, une voix s'éleva en réponse - Hé Skar ! T'es encore vivant, espèce d'ivrogne ?! - Puis un silence simplement perturbé par les bruits de la mer qui résonnait dans la grande caverne. Un ronflement naquis depuis le cuistot poivrot, un de ces ronflements puissants et sonore qui provoqua un élan de rires parmi les gardiens de la plage ainsi que quelques commentaires salaces sur le sus-nommé Skar. Les oreilles chastes durent fermer leurs écoutilles devant les propos plus qu'outrageants. Denmel et Sylph se remirent à respirer; La trappe avait révélé son mystère : un escalier en bois très raide plus proche de l'échelle fixe que de l'escalier qui menait vers le pont inférieur, plus particulièrement une grande pièce encombrée de tables et de bancs, d'une cuisinière à charbon ou à bois juste à côté de la descente, dont la cheminée s'élevait jusqu'au pont supérieur et qui débouchait juste à côté de la trappe. Sur le côté Tribord, une table de préparation et trois armoires fermées. La pièce du bas était propre et sombre. La seule lumière passait par la trappe que venait le fils Tangletorn. Mais elle était suffisante pour distinguer deux portes en bois vers le fond du bateau ainsi que deux autres sur la paroi d'en face, une à côté de l'escalier et l'autre à côté du fourneau.

LA MAP

Gentiane restait en faction, aussi silencieuse et immobile que les rochers qui l'entouraient. Pendant ce temps elle se demandait si Ferréol qui avait cette forme de vapeur, aurait la possibilité de se glisser sur les rochers par le haut pour aller se placer au-dessus des hommes autour du feu. Il serait ainsi assez près si l'un d'eux remarquait quelque chose. Elle tourna la tête pour lui faire un signe discret et lui montrer le chemin autour de la crique .... Il est bien connu que c'était rare que l'on regarde vers le haut après tout ...

Modifié par un modérateur samedi 27 juin 2015 15:42:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

Toujours aucun son en provenance du bateau, ce qui était préférable.

Fredrigo oscillait entre l'envie d'en découdre et de quitter ces lieux rapidement, et la somnolence légitime qui gagnait son organisme.

J'espère que nous allons partir vite. J'ai vraiment besoin de dormir...

Denmel et Sylph poursuivaient leurs investigations à l'intérieur du bateau. Le jeune moine plaquait son oreille aux portes tandis que l'oracle du feu se préparait au pire et lorsqu'aucun bruit ne trahissait la présence d'un potentiel adversaire, ils entrouvraient lentement puis entièrement le battant pour voir ce qu'il y avait derrière. La seconde porte vers l'arrière donnait sur une seconde cabine semblable à la précédente : un endroit exigu de moins de 10 pieds sur 15 contenant simplement trois lits et très peu d'espace disponible ainsi que quelques renfoncements permettant de poser quelques petits objets personnels.

Le duo se dirigea donc vers les porte donnant sur la partie centrale du bateau. Les mêmes précautions furent prises avant d'ouvrir l'un des deux battants puis de regarder ce qu'il y avait derrière. Cette fois la lumière passait par la grande grille du pont principal, permettant d'avoir un aperçu global de l'endroit. Celui-ci était très encombré et le déplacement ne pouvait que se faire au pas tout en évitant les nombreux obstacles qu'ils soient au sol ou suspendus. Les deux mâts du navire traversaient de part en part sur toute la hauteur. Le mât principal servait de support à deux hamacs dont l'autre extrémité était accrochée à une paroi en bois séparant la zone en un petit espace privatif au-dessus de tonnelets et de petites caisses. Dans l'organisation d'un équipage, il n'était pas rare d'avoir deux chefs de bordée, ceux qu'on appelait des maîtres d'équipage dans les marines marchandes ou pirates ou des quartiers maîtres dans les marines de guerre. Puis des poteaux s'alignaient sur la longueur pour servir de support à d'autres hamacs accrochés de l'autre côté directement sur le navire, permettant ainsi à plus d'une vingtaine de marins d'avoir un coin pour dormir au dessus du fret dont les plus grosses caisses se trouvaient dans la partie centrale. Il devait y avoir des places de choix selon l'âge et certains droits obtenus par quelques moyens plus ou moins légaux pouvant aller du mérite au fayotage en passant par les menaces et d'autres moyens de pression. En général, ceux qui se trouvaient en partie centrale sous la grille étaient les plus mal lotis, tandis que ceux qui se trouvaient du côté de l'espace privatif des maîtres d'équipage devaient avoir des statuts privilégiés comme les maîtres gabiers ou les maîtres de pont. Tonneaux, grands sacs et caisses s'alignaient au sol le long des parois du bateau. Au plafond plusieurs crochets permettaient d'accrocher des effets personnels au-dessus des hamacs. Selon le principe des bannettes chaudes, un équipage de près de 50 personnes pouvait vivre ici sur des longs courts.

Les regards de Denmel et Sylph se portèrent vers l'autre côté de la zone, là où une paroi fermait la zone avant du bateau. Là encore des portes permettaient d'accéder à cet espace, elles étaient beaucoup plus petites, en vis à vis, les poignées au centre et il faudra sûrement se plier en deux pour y passer. Elles avaient plus l'allure de trappes verticales ou de deux portes de placard bas, que de portes, mais en tout cas elles fermaient la zone avant. Les deux portes étaient encadrées par des échelles de bois assez raides, plus communément connues sous le nom d'échappées, menant sans doute aux trappes aperçues en zone avant du bateau sur le pont principal. Enfin de l'autre côté de la paroi verticale servant à séparer l'espace privilège des maîtres d'équipage du reste de la zone, une trappe au sol semblable aux trois trappes sur le premier pont permettait probablement d'atteindre la cale du bateau.

LA MAP

Modifié par un utilisateur samedi 4 juillet 2015 19:13:47(UTC)  | Raison: Non indiquée