Ferreol se montrait encore une fois son peu de connaissance en matière de monde animal. Il avait eu de sérieuse lacune lors de l'apprentissage de Saxifrag, préférant le monde végétal au monde animal. Mais là, sa non connaissance du monde des reptiles faillit lui jouer des tours. Était ce un manque d’acclimatation, ou alors les crocodiles ne pouvaient réellement pas aller dans l'eau de mer?? La question il se la poserait plus tard car il avait hâte de sortir de ce monde ou tout le démangeait, jusqu’à sa deuxième paupière!!

Il revenait sur la terre ferme ou il allait falloir prendre une décision, concernant leur lieu de repos, car on pouvait presque considérer que maintenant ils étaient comme pris aux pièges. La situation était idéale pour leur ennemie!!!

C'est donc fatigué et pas tranquille qu'il rejoignit ses compagnons, mais le repos n'était pas encore pour tout de suite, une autre menace avait surgit d'il ne savait ou?

Il stoppa net ses mouvements, et observa la scène. S'il pouvait encore surprendre il en profiterait.


Actif:
aspect du faucon:+ 3 perception,+ 1 att à dist--> 355rd
Pas de jet contre le froid; anneau d’endurance.
Endurance au froid sur Véolia
Crocodile: nage 9m, vision nocturne, +4 for, -2 dex, +4 CA, allonge.[/hrp]

Cette téléportation avait été pour le moins inattendue.
Sylph avait encore le poumons remplis d'eau qu'il s'était retrouvé (comme) par magie à destination.
Il eut à peine le temps de se relever, avant d'être assailli par des regards suspicieux.
Se doutant que son apparition n'avait rien banale, il s'apprêta à se présenter, jaugeant ses interlocuteurs:
Ayant été amenée ici par la volonté d'une déesse, il semblait évident que ces personnes étaient le groupe auquel il allait devoir apporter son aide, ayant prit la place de la jeune prêtresse qui était allongée quelques secondes plus tôt là ou il se trouvait.
Le groupe auquel il faisait face était on ne plus atypique:
Il repéra au premier coup d’œil la paladine, elle dégageait une tel aura positive qu'il serait presque ébloui.
Un jeune homme à la peau pâle, baguette à la main
Et un autre couvert de sang, des pieds à la tête.
Puis pour relever le tout un.. un crocodile..
Sylph outrepassa les questions qui lui traversait l'esprit, pour prendre la parole:

« Enchanté Gentiane » dit-il avec une légère inclination de la tête envers la seule femme du groupe.

« Je suis Sylph, j'ais fais un sacré voyage à travers l'avistan pour vous rejoindre, bien que comme vous avez put le constater, me voila arrivé à destination d'une manière quelque peu extraordinaire, et PAF, me voilà pour vous apporter mon soutien !
Je doute de pouvoir vous donner des explications claires que je ne possède pas moi-même, vous savez ce qu'on dit: les voies divines sont impénétrables.
Mais pour faire simple, j'ais perçu par visions la détresse de votre amie.
Je me suis dès lors mis en chemin pour la varisie, afin d'empêcher votre expédition de sombrer dans les ténèbres.
A la base, j'aurais du venir jusqu'à vous par des moyens plus conventionnels tels que le bateau ou la marche, mais alors que je naviguait en votre direction, j'ais eu le droit à un petit entretien divin, ainsi qu'à une téléportation gratuite.
J'ais bus la tasse plusieurs fois, mais j'ais gagné pas mal de temps au final.
Ravi de faire votre connaissance. »

A l’exception de gentiane, personne n'avait l'air ravi d'ailleurs, tout indiquait qu'ils sortaient d'un rude combat, ce qui pouvait facilement expliquer pourquoi ils se méfiaient de Sylph.
Ce dernier essayait de parcourir le groupe du regard, en attendant une quelconque réponse, mais il finissait toujours par fixer cet étrange crocodile.

La surprise était de taille, Ferrèol n'avait pas vu la scène qui venait de se dérouler, mais d'après ce qu'expliquait Gentiane. Un Hérault était venu chercher leur camarade.
Véolia avait elle senti qu'elle ne pourrait ainsi continuer sur la tache que la fleur de l'aube lui avait confié. S'était elle senti trop faible et donc comme un fardeau? Était ce les paroles du jeune druide qui avaient déclenché sa prière? Dans tous les cas Sarenraé semblait être à l'écoute avec un regard sur leur groupe.
Ferrèol senti sa gorge se serrer, pour la première fois il voyait son amie ne plus être à ses cotés. Elle qui les protégeait et qui en quelque sorte lui apportait la sagesse presque perdu de la fleur de l'aube. Elle qui avait fait pencher la balance pour le coté divin, elle qui le rappelait vers la déesse lorsqu'il s'en éloignait trop!
Il voyait ainsi le dernier de ses compagnons du siège de Bourg le quitter. Plus personne de se groupe n'avait connu cette catastrophe ou pour être du coté optimisme, cette victoire!

Alors que le guerrier divin ne lâchait pas son regard du moindre de ses mouvements, Ferrèol se permit un mouvement de tête de manière à observer ses compagnons. Maintenant, seul le jeune Fredrigo était encore de Kelghur!! Il eu une pensée également pour tous ses autres compagnons retirés de l'aventure, malheureusement deux avaient eu un retrait forcé. Armine et Ylvian n'étaient plus malheureusement quand aux autres, il espérait qu'ils pourraient vivre encore de nombreux moment de bonheur, mais pour cela il fallait que lui et ses nouveaux compagnons réussissent leur quête!!!

Ferrèol ne pouvait s'approcher et prendre la parole sous sa forme actuelle, il commença son mouvement tout en reprenant son apparence humaine et fini par se relever de sa potion accroupie pour s'approcher du nouvel arrivant. L'homme qui venait de se présenter sous le nom de Sylph vit s'approcher un homme assez petit (1.60m) et de belle corpulence(70kg), une légère surcharge pondérale ne se distinguant pas forcément au niveau de la ceinture mais plutôt sur de bonne cuisse. Ses grands yeux noirs ornait le visage bien rond du jeune homme, une chevelure bien noire et ébouriffée ne dissimulait pas son air fermée. Sa peau naturellement hâlée et marquée par de nombreuses cicatrices n'était que légèrement dissimulée par un pagne en peau de gorille, une cape de manufacture elfique et d'une chasuble. Du cuir tressé formait ses souliers. Pour seule arme il pouvait voir un carquois de javeline comprenant 6 lances.

Le druide en s'approchant dévisagea de haut en bas l'homme qui l'avait en face de lui, tout en commançant à ouvrir la bouche« Mon nom est Ferrèol!
Avant de nous en dire plus sur ton arrivé ici, que t'as ton dit sur notre amie?
Ou est elle?
Comment va t elle?
C'est elle qui t'as appelé? »


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aspect du faucon:+ 3 perception,+ 1 att à dist--> 355rd
Pas de jet contre le froid; anneau d’endurance.
Crocodile: nage 9m, vision nocturne, +4 for, -2 dex, +4 CA, allonge.[/hrp]

Le calme revenait en même temps que la pression baissait. Une lueur lunaire commença à filtrer de par la cheminée qui s’était creusée au fil du temps par les infiltrations d’eau, devenant un puits ruisselant lorsque dehors il pleuvait averse comme lors de cette nuit de tempête. A présent, le ruissellement se faisait plus faible et régulier. Le bruit des vagues sur la rive rocheuse apportait un rythme lancinant invitant à l’apaisement, au repos et au rêve, voir au sommeil. La nuit n’était pas encore finie, on devait approcher minuit et dehors la tempête s’était calmée et la pluie diluvienne avait cessé. Les lourds nuages noirs avaient filé poussés par le vent, laissant la place aux étoiles et la lune. Le puits permettait de voir une toute parti de ce ciel synonyme de fin des hostilités. Dans la caverne, le nouveau venu était visiblement arrivé en paix lui aussi, montrant de bonnes intentions au groupe des jeunes héros de la baronnie et de la messagère de Xamara. Certes il faisait l’objet de toute l’attention et la suspicion générale, mais son arrivée sonnait aussi avec cet apaisement à la fois météorologique et à la fois tumultes du combat, apaisement qui semblait avoir pris le dessus sur la tempête extérieur et la frénésie guerrière qui s’était emparée de tous.

Pendant un moment chacun resta calme à écouter le bruit des vagues, se vidant l’esprit et ramenant son corps à une tension proche du repos, laissant leur imagination errer au rythme de la houle, un instant éphémère qui parut durer une éternité. Le ruissellement de l’eau, le bruit des vagues, la fatigue, seul Denmel avait eu son temps de repos, mais nul autre, pas même le nouveau venu, n’avait pu gouter au repos réparateur tant attendu. Le constat était évident. Il leur fallait dans un premier temps se reposer car la fatigue réduisait grandement les facultés mentales et physiques. Puis il fallait trouver un moyen de sortir d’ici sans trop d’encombres. De ceci, il fallait trouver une réponse viable pour tout le monde. Peut-être que le nouveau venu allait ouvrir un champ de possibilités et de solutions. En attendant, Denmel prit son rôle de sentinelle tandis que les autres allaient trouver le confort précaire de la caverne pour trouver le repos. Le groupe s’endormit rapidement, accablé par la fatigue…



Denmel monta la garde tout le restant de la nuit. Au petit matin, le puits de lumière laissa passer les premiers rayons du soleil. Ceux-ci vinrent caresser les visages des dormeurs, les réveillant un à un avant de poursuivre sa course vers leur bassin afin de plonger dedans et le faire miroiter de milles éclats bleutés venant se refléter sur les parois rocheuses. Tout le monde avait bien dormi et était reposé. L'heure était maintenant aux prières, méditations et autres préparatifs pour un nouveau départ et surtout retourner dans une réalité beaucoup moins idyllique que ce que la caverne leur présentait. Il leur fallait sortir et retrouver L'Pêchou, s'il était encore en vie, puis reprendre la route vers le grand nord et ses terres recouvertes de neige et de glace. Ils avaient encore un long chemin à parcourir, mais par quels moyens ?

Modifié par un utilisateur jeudi 15 janvier 2015 22:07:41(UTC)  | Raison: Non indiquée

La nuit avait été calme. Cependant, le moine avait gardé toute son attention sur le dernier arrivé et la surface de l'eau. Les créatures qui les avaient attaqués reviendraient sûrement un jour ou l'autre. Des questions se posaient et il serait toujours temps d'y apporter des réponses le moment venu. Pour le moment le plus urgent était de sortir d'ici et d'essayer de reprendre le cours de leur mission. Une fois que tout le monde était debout, Denmel ramassa ses affaires et prêta main forte à ceux qui cherchaient une issue. Il ne voyait pas comment ils pourraient sortir d'ici autrement, sans faire appel à de la magie, domaine qu'il ne connaissait pas du tout.

Ferrèol prit un moment pour répondre à son ami, tout en ne vouant affoler personne.« Et bien disons que j'ai rêvé de ce qui pourrait arrivé à la baronnie si nous ne réussissons pas!!
A cela ajouté le fait que nos adversaires sont probablement en attente devant la sortie de cette caverne!!
Que Luc vient, en espérant qu'il soit toujours vivant, de passer une nuit entre les mains de ces naufrageurs!
Bref tu voix que des détails!!!

Autrement je pense que tu peux abandonner l'idée de te transformer en humanoïde aquatique. Nous aurions un combat sous marin à livrer et je doute que Gentianne, Demnel et notre nouveau venu soient suffisamment motivés et préparés pour cela!!

Non il faut absolument trouver une autre issue, quitte à la faire nous même! Je travaille à cela avant ma méditation et ma communion avec la nature!! »

Sylph avait finalement rejoint le groupe auquel il devrait désormais prêter main forte.
Juste après leur rencontre, tout le monde s'était mit d'accord pour prendre une nuit de repos méritée après tout ces événements mouvementés.

Sylph sentit les rayons du soleil caresser son visage, le réveillant d'une caresse chaleureuse, créant des reflets ambre dans sa chevelure auburn.
Il ouvrit il ouvrit les yeux, Il observa ce morceau de ciel de ses pupilles rouges.

Je prendrais bien un bain de soleil moi

Il se releva, décrassant sa tenue pour le moins hétéroclite et original selon les standard de l'avistan.
Ses botes, son sac à dos et sa sacoche était tout ce qu'il y avait de plus banal.
A commencer par le cimeterre noir pendant à une ceinture en tissu blanc, doublée d'une lanière de cuir fermée par une petite boucle de métal qui contrastait avec le reste de sa tenue, plus chaude et clairement exotique: un pantalon ample d'un rouge orangée délavé, en accord parfait avec le haut de sa tenue dont on pouvait voir le col d'une chemise blanche sous une veste rembourrée, rouge elle aussi.
L'oracle retira cette dernière ainsi que sa tunique, découvrant une cicatrice de morsure de la taille de sa main à l'épaule, ainsi que deux autres au milieu et bas du dos, mais traces de griffes cette fois, souvenir douloureux de sa traversée des terres humides.
Il resta torse nu dans la lumière du soleil, lui faisant face, les bras légèrement écartés du corps, mains grandes ouvertes, comme pour absorber la lumière, les yeux clos et le visage dirigé vers le ciel.
Il resta ainsi une bonne minute avant de se rhabiller pour ne pas attraper froid et de récupérer sa sacoche et son sac.

C'est à ce moment là que Fredrigo s'adressa à Sylph.

« Désolé, au mieux je pourrais tenter de détruire un obstacle avec une bonne vieille boule de feu, mais de la à creuser avec... »

Il s'avançea vers le jeune homme, et posa ses mains sur ces épaules avant même qu'il puisse réagir.

« Par contre je peux au moins faire ça.
sieh ! »

Dit-il alors que ses mains produisait de petites flammèches qui parcoururent brièvement le corps de Frédrigoavant de disparaitre.

• soins légers : 1d8+5 donne [4] + 5 = 9

Il recula, attendant la réaction de son patient.

« Merci Sylph !

Je ne savais pas que des personnes susceptibles de manipuler les flammes de la sorte pouvaient également soigner.

Ne t'inquiète pas Gentiane, pour monter, je peux aussi porter ton armure aisément grâce à mon sac.

Bon, pour escalader, j'ai dans mon sac, justement, piolet, pitons et autres pointes de bottes destinés à l'escalade, un grappin, ainsi que 30m de corde de soie !
Il ne nous manque alors qu'une ou deux cordes, à conditions que quelqu'un puisse escalader ou monter là haut et faire redescendre la corde pour les autres !

Si je pouvais voler ou léviter, j'y grimperais, et dans le cas contraire, n'importe qui pouvant se rendre en haut peut porter mon sac avec le matériel dedans... mais il manque encore une vingtaine de mètres de corde ! »

« Pour ce qui est de la corde manquante il n'y a qu'à prendre celle-ci. »

Denmel sortit sa corde de son sac et la tendit à Fredrigo.

« Pour l'escalade je vois que le problème est déjà résolu. Je surveille la surface de l'eau, il ne s'agirait pas que l'on se fasse surprendre pendant qu'on monte. »

Denmel laissa tout le monde s'occuper de la partie escalade. Il irait lui même une fois que le grimpeur principal serait en haut pour l'aider si besoin était.

« Ne trainons pas trop par ici. Je suis certain qu'ils reviendront tôt ou tard. »

Ferréol commença l’ascension. Il était étonnant de voir cet homme plutôt trapu aux cuisses épaisses, musclées et noueuses s’accrocher à la paroi telle une araignée et grimper sans difficultés comme s’il avait soudain des aptitudes extraordinaires d’arachnides. Et pourtant sous les yeux quelque peu ébahis ou admiratifs du groupe, c’était bien ce qu’il se passait. Pendant ce temps, Denmel attendait son tour et restait vigilant en regardant la surface du bassin à la recherche du moindre signe pouvant signifier un probable retour des requins et des Sahuagins. Pour l’heure, le soleil à l’extérieur filtrait à travers l’ouverture vers la crique et avait coloré l’eau de tons turquoise. Par ailleurs, l’agitation due à la tempête était terminée et il n’y avait plus que des rides qui venaient troubler la surface et cessait de remuer le sable et la vase du fond marin. L’eau commençait à s’éclaircir et le fils Tangletorn voyait par endroit le fond lorsque ceux-ci étaient peu profonds. Il n’aurait aucune peine à remarquer des formes dans l’eau, des ombres qui ne pourraient échapper à sa vigilance. Le bruit des vagues à l’extérieur générait une sorte de bruit doux et lancinant qui associé à la vision du bassin rendait l’endroit plutôt paradisiaque, bien loin des tumultes et des dangers mortels de la nuit.

Ferréol grimpait toujours, la paroi formait comme une cheminée penchée et cela l’avait forcé à avoir le corps et la tête penchée en arrière avant d’atteindre une sorte de pente abrupte qui remontait vers une trouée formée par l’érosion au fil du temps. Il devait y avoir une fissure et l’eau s’y était engouffrée au rythme des saisons, des pluies, du temps et avait creusé la pierre calcaire formant des strates partout où elle avait pu s’immiscer avant de finalement cascader le long de la paroi jusqu’en bas. Le trou n’était peut-être pas très grand au départ et il avait fallut des dizaines, voire des centaines ou même des milliers d’années pour formée ce passage sommes toutes étroit qui forçait le druide à ramper sur une pente presque verticale. L’eau avait coloré la pierre de tons bleus et verts et par endroit de la mousse commençait à s’étendre. Le soleil jouait de ses rayons à travers la trouée et partout où ils frappaient, la pierre prenait des colorations dorées et ocres. Émerveillé, Ferréol finit par s’extirper à l’extérieur, prenant pieds sur un plateaux rocheux envahis par une herbe haute et drue et accidenté par des élévations rocheuses plus ou moins érodées par les affres de la météo et de l’érosion. La trouée se trouvait dans une ravine étroite et peu profonde qui devait être inondée par temps de pluie ce qui pouvait expliquer les infiltrations d’eau en cet endroit. Il pouvait rester courbé en deux pour rester caché dans la petite crevasse et s’il se redressait il serait visible jusqu’à hauteur du torse par un observateur qui pouvait se trouver là.

Il risqua tout de même un coup d’œil et pour l’heure il n’y avait que taillis, hautes herbes et rochers plus ou moins volumineux qui formaient une élévation imposante et massive jusqu’au front de mer où le terrain devait tomber en falaises déchiquetées. Cependant, une élévation de roche attira un peu plus son attention. Il était encore assez loin mais il était presque sur que ces volatiles qu’il voyait dans le ciel et tournoyaient étaient des rapaces. Il devait y en avoir 4 ou 5 de belle taille. Ce pouvait-il qu’il y ait un nid d’aigle par ici ? Il fallait s’approcher pour en avoir le cœur net. Mais sa préoccupation était autre. Il détacha la corde nouée autour de sa taille et l’accrocha à une roche solide avant de signaler aux autres qu’ils pouvaient commencer à grimper. Denmel était le premier candidat à l’ascension.