Alors que le plus bourré du groupe était toujours en train de vomir ses tripes sous l'oeil amusé et moqueur d'un de ses compagnons. Celui qui semblait le plus à même d'amorcer un dialogue et d'aligner quelques phrases sans se perdre dans le fil de ses courtes pensées répondit à Korsk : « Ben ! C'est que la clairière... elle est pas vraiment à nous... Mais on la garde comme y faut ! Pour sûr que c'est moi qui le dit on est armé et dangereux même les loups ils approchent pas. Les hommes du Maillet encore moins on est trop loin au nord et même la harpie elle passe, elle survole mais elle vient pas ! D'ailleurs ça fait quelques jours qu'on l'a voit plus bizarre ! Ca doit être vos cousins, ils se dirigeaient droit vers sa zone de chasse avec eux elle doit avoir à becqueter pour un moment ! C'est qu'ils étaient au moins six... Ca en fait de la barbaque ?!

Ouais la forêt elle est consortium, mais nous on touche pas aux arbres, juste à leurs feuilles ! C'est qu'elles résistent à l'hiver vous savez, alors les feuilles ça doit pouvoir se prendre sans que ça gêne à Nid-du-Faucon. Hic ! Bon sinon pour l'alcool on a pas encore beaucoup de stock, c'est qu'elle est bonne notre bibine et puis il fait froid alors faut qu'on se réchauffe. On peut vous filer un tonnelet chacun mais ça vous coutera... disons dix pièces d'or par personne et si vous vous démerdez bien vous pourrez en revendre pour le double !!! » Finit par dire le kervassin en dodelinant de la tête et en essayant de prendre un air sérieux.

Il semblerait que le groupe, enfin certains membres du groupe, ne soient pas disposés à s'en aller et laisser les contrebandiers à leur tord boyau - ça va mal finir - pensa le forgeron-combattant. Cependant une phrase qu'avait prononcé celui qui paraissait être le moins alcoolisé attira son attention. Le fait que des frères raciaux puissent être entre les mains d'une Harpie lui donnait un frisson dans le dos. Il ne savait pas vraiment ce qu'était cette bestiole, si jamais il en avait déjà entendu parler, mais ils pouvaient être en danger, peut-être même prisonniers en attendant de passer à la marmite, tout dépendait depuis combien de temps ils étaient passé à la pseudo clairière. Après tout leur mission consistait aussi à retrouver leurs pairs et ce pouvait être le groupe qu'ils avaient rencontré avant de partir au manoir des Drakard. Par ailleurs, leur détours les avait retardé dans leur périple pour rejoindre l'auberge. Il fallait se rendre à l'évidence, ils allaient passer une seconde nuit sous les tentes.

Toujours son arbalète lourde en main, bien que pointée vers le sol, il s'avança à côté de Korsk. Si jamais cela devait tourner au vinaigre, autant être près de l'oracle pour le protéger - « Ahem... Dis-moi l'ami. Tu as dit que nos cousins sont déjà passés par ici. Il y a combien de temps ? Est-ce que tu sais où se terre la Harpie ? Je ne serais pas contre aller lui rendre visite et en débarrasser la région une bonne fois pour toute ! Et ainsi venger la mort de nos cousins, même si je pense au contraire que ce sont eux qui lui ont fait la misère et c'est sans doute pour cela qu'elle ne vient plus par ici : elle doit pourrir au fond d'une crevasse. Je ne crois que ce que je vois, je préfère m'en assurer. »

Modifié par un utilisateur dimanche 22 mars 2015 09:41:25(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les explications concernant la harpie étaient trop vagues pour parvenir à localiser la Harpie. Celle-ci pouvait être n'importe où dans la forêt ou même les montagnes. Grimvat n'y connaissait rien sur ces bestioles et pourtant il en avait lu des choses dans la bibliothèque du mage et les Jumeaux l'appelaient l'Érudit, mais il n'avait pas passé toute une vie de nain le nez dans les livres et il s'était essentiellement concentré sur les nains afin de mieux connaitre son peuple. Rechercher l'antre de la Harpie était voué à l'échec. Ank était parti, ils n'avaient plus de guide forestier. Quant à la gnôle, le forgeron-combattant doutait qu'elle ait une réelle valeur autre qu'un gros tord boyau qui devait bruler à la fois le cerveau et l'estomac. Ils n'avaient pas besoin de ça pour l'aventure qui les attendait. Ils avaient besoin de toute leur tête et de leur corps.

Il posa la main sur l'épaule de Korsk qui semblait le plus à même de vouloir négocier quelque chose. Peut-être que ses esprits qui le hantaient l'avaient égarés sur une piste chaotique - « Allez les amis, si on force un peu le pas, on peut encore gagner notre destination. Mais il faut partir maintenant. Je ne suis pas intéressé par ta gnôle, l'ami. Si tu veux faire du commerce alors il faut savoir aussi négocier les tarifs. Nous nous rendons dans une auberge, peut-être que ça peut les intéresser mais pour ça il leur faudrait pouvoir gouter. S'ils aiment, alors tu auras déjà une base de commerce pour commencer. Quant à la harpie, elle peut être n'importe où, à tire d'ailes on peut aller loin. Ce serait comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Allons-y, nous n'avons plus de temps à perdre. »

Grimvat attendra que chacun soit sur le chemin du retour pour suivre le groupe, protégeant éventuellement celui-ci si jamais les poivrots passent en mode belliqueux.

Modifié par un utilisateur dimanche 22 mars 2015 09:41:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Une harpie? Par les dieux... et six des notres dans le coin? Je n'aime vraiment pas ça... Korsk essaya de chasser ces pensées de son esprit. Ses compagnons commençaient à s'impatienter. Lui même n'avait pas envie de s'éterniser ici plus que nécessaire.

Bon, déjà on va régler en vitesse cette histoire d'alcool... Il se tourna vers Igmar : « Je suis désolé Igmar, mais je ne suis pas forcément doué pour nég... » Il ne finît pas sa phrase. L'idée qui venait de germer sans son esprit ne le rassurait pas, ... pas du tout.

Alors qu'il se retournait vers l'humain, il essayait de se remémorer la carte de la région, et de se représenter leur progression. « Dites, m'sieur Igor... Vous dites que quand la harpie elle a une proie vous la voyez aller vers le nord, c'est bien ça ? Pis vous parlez de l'est aussi pour son terrain de chasse. Elle va plus vers le pic de Dorskar ? Ou plutôt en direction des vieilles ruines naines? Savez peut-être, celles qui permettaient d'aller à Raseri Kanton. Si je me trompe pas, ça doit être au nord-est d'ici. Vous pensez que ça pourrait être le terrain de chasse de la harpie, ou son antre ? »

Modifié par un modérateur samedi 28 février 2015 16:58:39(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ce fut Imgar qui donna le mot de la fin aucun de ses camarades n'était prêt à aller hors sentier s'aventurer à l'aveuglette pour rechercher une harpie qui pouvait être n'importe où au grand dam de Korsk les autres s'éloignaient déjà pour repartir entre les arbres retrouver leur équipement laissé près de la vieille route. L'oracle n'eut pas plus de précision concernant le nid de la créature, en voyant la moue d'Igor, il comprit qu'il avait compris que la moitié de ce qu'il avait dit et il dodelina de la tête pour répondre un mouais qui signifiait qu'il savait queue de chiques de plus que ce qu'il avait déjà dit mais il ne pensait pas que la harpie aille se terrer aussi loin, il y avait des créatures encore plus dangereuses au nord et à l'est. C'est à ce moment là que les trois hommes ivres commencèrent à se disputer les directions vers lesquelles se trouvait le monastère et les ruines puis même la direction que prenait la harpie. Il n'y avait plus rien à tirer d'eux et le groupe prit congé avant que la discussion ne tourne au vinaigre.

Une fois revenu en lisière de la forêt de Sombrelune ils reprirent leur route avalant les lieues rapidement pour arriver le plus tôt possible à l'Auberge, ils espéraient ne pas y trouver porte close en arrivant trop tard. Le sentier grimpait sensiblement en cette fin de journée et il progressait moins rapidement alors qu'ils longeaient le pic de Droskar comme s'ils allaient le contourner. Pousser les luges devenait de plus en plus difficile.

La tombée de la nuit était proche et tous avaient bon espoir d'arriver dans cette auberge qu'ils ne connaissaient que de nom. Le chemin se divisa en deux partie la première continuait vers le nord et gravissait le pic, la seconde se rapprochait de l'Ecume et des chutes qu'ils cherchaient à atteindre. Ce fut dans la pénombre alors que le soleil se couchait à l'ouest à l'horizon du haut plateau sur lequel ils se trouvaient qu'ils aperçurent les lumières de l'auberge qui portait bien son nom sur les hauteurs. En effet, l'Ecume basculait d'un plateau à l'autre sur près de cent mètres de dénivelé jusque dans un bassin dont l'eau tombait elle aussi en cascade à des dizaines de mères encore plus bas. Les derniers rayons du soleil faisait briller d'une lueur dorée cette chute d'eau. Tout en bas on devinait au pied de la rivière qui se reconstituait plusieurs cabanons et constructions de bois. Là-bas aussi c'était éclairé. Le groupe de dirigea vers l'auberge, tous les nains étaient éreintés à force de se relayer sur les traineaux. Les vestiges d'une anciens pont de pierre assurément de construction naine commençait d'un bout et de l'autre des deux rives. L'édifice avait du être détruit comme beaucoup de choses lors de la Déchirure.

Après un dernier effort surhumain, ils arrivèrent enfin sur les rotules à leur destination. L'auberge en elle-même était un véritable petit fortin, là aussi l'artisanat de base devait être nain mais la reconstruction elle était humaine et on retrouvait par-dessus du mur d'enceinte une construction en bois à colombage que l'on retrouvait également dans les défenses de Nid-du-Faucon. Un grand portail en bois qui était fermé à cette heure tardive accueillis le groupe. Mais un homme perché sur le chemin de ronde lança d'un air inquiet : « Qui va là ?!  »

L'homme sur le mur pencha sa lanterne pour se rendre compte qu'il n'y avait que des nains éreintés qui grelotaient dans le froid glacial, un groupe pour le moins étonnant diraient beaucoup mais pas forcément lorsqu'on vivait dans les Cinq rois. L'homme ne fit pas de difficultés ce qui pour l'heure et dans un coin aussi perdu était soit de l'inconscience ou soit une envie de croire en son prochain qui pour un nain n'était pas compatible avec un métier de garde de nuit. L'ancien fortin nain était peut être entre de bonnes mains mais est-ce qu'elles étaient sûres cela restait à prouver. Fallait-il se méfier dès lors de cet accueil ?

Effectivement la porte s'ouvrit rapidement à grand renfort de cliquetis de chaines et de poutre de bois qui devait bloquer l'accès. Depuis que la lumière avait décliné, Edgrin les nains usaient de leur nyctalopie pour percer les coins les plus sombre du bois ou de la montagne arriver dans l'obscurité ne semblait pas non plus soucier le garde. Derrière le portail le bruit du torrent prêt à se jeter dans le vide passait à moitié sous la construction et à l'intérieur du fortin à quelques mètres derrière le garde à la lanterne. Une roue à eau et tout un système de poulie pendouillaient et ne devait plus servir, la mousse avait d'ailleurs recouvert les pilotis et la structure basse en bois qui était en contact avec l'eau. On devinait un ancien système d'écluse qui ne devait plus être opérationnel mais qui jadis devaient faire la fierté des maîtres artisans nains qui vivaient là. Un escalier en bois et un pont de singe étaient les derniers obstacles qui séparaient les héros d'un repos bien mérité... enfin... ils l'espéraient. Le torrent à cet endroit entre les rochers était plutôt mince juste une dizaine de mètres mais le débit était sacrément rapide et on devinait aisément que le garde ne devait pas faire dans la dentelle en cas d'attaque, il passait de l'autre côté pour abattre le pont de singe et l'auberge se retrouvait protégée naturellement.

Le garde avait un léger strabisme mais son sourire était plutôt accueillant : « Vous voilà dedans les nains et bien à l'abri dépêchez vous de rentrer je me nomme Sylvain. Pas très recherché pour un demi-elfe je sais mais j'ai pas choisi ! Vous reste à passer le pont, pas d'inquiétude, y'a de la place pour mettre un pied devant l'autre et je peux même vous passer une lanterne. Vous avez bien fait de venir chez nous, enfin chez Mierson Berekland à l'Auberge des Chutes dorées. C'est un ancien aventurier et Eclaireur vous savez ! Il sera content d'avoir autre chose que des marchands et des colporteurs pour diner et sera heureux si vous avez des récits d'aventures à raconter !

Venez suivez moi ! » Sylvain remonta les marches qui menaient à son poste et fit un signe de lanterne et de l'autre côté du pont une lumière fit écho à la sienne révélant deux nains armés d'arbalètes mais aussi le pavillon de pierre derrière eux qu'était l'auberge qui était, plus en hauteur, à moitié accroché à flanc de montagne. Dans son ensemble, du bas qui étaient au niveau de l'eau, jusqu'à la cime du toit, on devinait un établissement imposant digne d'une forteresse naine.

La marche fût éreintante et le manque de confort et le froid n'étaient pas le plus gênant pour Igmar, c'est qu'il commençait sérieusement à manquer de son herbe à pipe et de ses extraits. Souvent il se surprenait à fouiller machinalement ses poches, juste pour sentir leur contact et se rassurer de leur présence.

Arrivé devant la porte de garde il sentait déjà le bon feu, le repas chaud et copieux mais surtout une bonne bière qui dégoulinerait dans sa barbe. Il souriait aux anges et quand le demi Elfes leur ouvrit la porte et fit sa remarque son instinct était de lui dire « Un nain voie mieux que toi dans le noir et on tient mieux sur nos jambes qu'une allumette elfes » mais il sera si fort que les dents grincèrent et se firent entendre bruyamment. Il se contenta de soupirer et de dire « Merci pour votre accueil et j'espère que la soupe est chaude et la bière fraiche. » Le sourire était un peu forcé mais il espérait que cela allait se mettre sur le compte de ses lèvres gercées.

Modifié par un utilisateur jeudi 5 mars 2015 18:40:41(UTC)  | Raison: Non indiquée

La marche forcée avait poussé Grim au silence afin de mieux se concentrer sur l'effort. Pourquoi parler du reste ? Il n' avait rien à redire. Le salut se présenta enfin à eux au crépuscule. Le forgeron-combattant n'avait jamais entendu parler de ce monument du passé nain. Il y avait bien des écrits qui parlaient d'un chef d’œuvre architectural nain qui s'appelait la Divine Écluse, chargée de descendre les navires du haut vers le bas ou l'inverse de les remonter, d'une cascade titanesque, mais impossible de dire si cette construction dont il voyait les vestiges était celle-ci ou un modèle plus petit s'en rapprochant. L'attitude assez nerveuse et presque provocatrice d'Igmar envers le garde demi-elfe le sortit de sa contemplation. Il plaça sa main sur l'épaule de l'alchimiste - « Ça va bien se passer, pas la peine de t'en prendre à lui. Je suppose que la fatigue et... Le manque d'herbes altèrent quelque peu ton jugement. Ça fait un bon moment que je ne t'ai pas vu fumer ta pipe. Une tentative de sevrage ? Tu vas voir, on va se réchauffer les orteils devant un bon feu de cheminée et descendre quelques bonnes bières avant de s'en mettre plein la panse et récupérer des forces. »

Grimvat ne jugeait jamais les gens par leur apparence, mais par leurs actes. Sa vie chez les humains l'avait rendu beaucoup plus tolérants qu'un nain ordinaire et il ne partageait pas les légendaires rancœurs envers les autres races dites de la Lumière. Il trouvait simplement les elfes étranges et n'en avait presque jamais vu. On les disait arrogants et très discrets tout comme ils étaient habiles à l'arc et à l'épée sans oublier que la forêt était leur domaine comme les montagnes étaient le terrain de prédilection des nains. Ils étaient différents et il ne voulait pas les cataloguer avant d'en avoir côtoyé et s'être fait une opinion. Il salua simplement le garde demi-elfe qui après tout ne les avait pas mal accueillis. Puis il passa l'épreuve du pont non sans une certaine appréhension avant de trouver enfin la terre ferme en compagnie de semblables. Sans hésiter il leur parla en langue naine bien entendu - « Que le Maître des Maîtres Artisans veille sur vous, Bilto et Turf. Je m'appelle Grimvat, forgeron de mon état. Je pense que vous aurez aussi beaucoup à nous raconter ce soir autour d'une bonne bière. Je suis très curieux quant à cet ouvrage qui nous entoure. Est-ce que d'autres de nos semblables sont passés par ici ces derniers temps ? »

Modifié par un utilisateur dimanche 22 mars 2015 09:41:53(UTC)  | Raison: Non indiquée

A l'invitation des deux nains et sentant le confort que l'auberge allait leur donner, il se dérida un peu et dit chaleureusement. « Si vous payez la première tournée, je vous raconterais même mon enfance pour ce prix-là. »

Il tapa ses bottes fortement contre le sol et il se secoua pour retirer le plus de salissure possible de ses vêtements. Les morceaux de glaces incrustées dans sa barbe commençaient à fondre et dégoulinaient le long de son torse le faisant avoir de petit sursaut qu'il n'arrivait pas à contrôler.

Modifié par un modérateur lundi 9 mars 2015 00:04:23(UTC)  | Raison: Non indiquée

La chaleur et l'ambiance plutôt bonne enfant permit à Grimvat de se dérider et de faire baisser la tension. Les nains n'étaient pas regardés de travers ici et le peuple vigoureux était toujours assez bien considéré dans ce coin perdu. Il salua l'assemblée d'un signe de tête et leva la main en signe de paix avant à son tour de se débarrasser de l'encombrant bardas et de se poser sur un tabouret - « Merci pour votre chaleureux accueil, maître Berekland. Si votre bière et votre repas sont à la même mesure, nul doute que nous allons passer une bonne soirée... » - dit-il d'un ton enthousiaste.

« Pour répondre à votre question, oui nous avons croisé la route de trois ogres près de la rivière gelée qui vient de la Forêt de Sombrelune. Aujourd'hui leur chair gelée sert de festin aux charognards. Nous ne pouvons que remercier votre père d'avoir eu la judicieuse idée de libérer cet endroit de l'engeance du mal et à vous aussi pour faire perdurer son travail. En arrivant ici, j'ai pu admirer le remarquable travail des artisans d'autrefois et je dois avouer que je suis très intrigué par cette mécanique existait jadis. Peut-être pouvez-vous nous en parler davantage ? C'est le genre d'histoire que j'affectionne particulièrement, en fait tout ce que Torag, le Maître des Maîtres artisans a inspiré à nos aînés. »

Modifié par un utilisateur dimanche 22 mars 2015 09:42:04(UTC)  | Raison: Non indiquée