Depuis le dépars de Kaer Maga le jeune noble broyait du noir : leurs piste était bien maigre et un de leurs compagnon, un ancien héros, les avait abandonné.

Lorsqu'il vit la charrette, il fut d'abord intrigué, puis son inquiétude monta rapidement en reconnaissant le véhicule d'Hector et que les chevaliers étaient en train de creuser ce qui ressemblait à des tombes ...

En parcourant le chemin qui les séparait des chevaliers Alexite reconnut leurs blasons et se penchât en chuchotant pour informer ses compagnons :

«  Ce sont des chevalier de la famille Tilernos, ma cousine était promise à Lucrum Tilernos ...  »

Il pris ensuite la tête de leurs petite expédition pour s'adresser au chevalier :

«  Je crains de ne pas pouvoir vous assuré que nous ne les avons pas croisé : Beaucoup de monde circule sur cette route et aucun ne ressemblait à de brigand de grand chemin ... Effectivement nous nous dirigeons vers Korsova, qu'est ce qui vous y amène ? » dit-il d'un ton innocent.

Il s'approchât de la charrette pour examiner la scène du crime et en savoir plus sur ce qu'il s'était passé en écoutant la réponse du chevalier. Si l'homme lui demande pourquoi il lui répond qu'il connaissait le marchand et voudrais en savoir plus.

Modifié par un utilisateur jeudi 3 mars 2016 10:07:01(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ainsi donc, les cartes avaient dit vrai... Lloreth n'en doutait pas un instant, mais la confirmation visuelle le confortait dans ses opinions. Inconsciemment, il porta la main vers sa poitrine, là où se situait le jeu de carte qui lui semblait palpiter au même rythme que son cœur.

Lloreth s'avança juste pour vérifier que la cariole avait bien été vidée par les brigands. Le marchand avait-il réussi à ramener du marbre noir, et les malandrins en avaient-ils profité ?

Modifié par un utilisateur mardi 15 mars 2016 13:53:07(UTC)  | Raison: Non indiquée

Eh bien ! Il avait devant lui l'ancien promis de sa cousine ! Ils allaient au même endroit et il se doutait de qui était la personne qu'allait retrouver le noble en allant à Korsova. Si les prédiction était à peu près juste ... cet évènement était lié à leur enquête, il se devait de se renseigner sur les intentions du noble ...

«  Pardonnez mon impolitesse, la route est fatigante et les bonne manière se perde au bout de quelques heures à dos de cheval ! Je me nomme Alex, je suis soigneur et historien. » Il se tourna vers chacun de ses compagnons pour qu'ils se présentent à leurs guise.

Puis il proposa ensuite :

« Maintenant que les présentations son faire, je vous propose de prendre soin de la sépulture de ce pauvre homme ! Que diriez vous ensuite de voyager de concert pour atteindre Korsova ? Les route semble peu sûre et nous allons au même endroit ...  »

Il joignit le geste à la parole et descendit de cheval pour aider les hommes et fouiller pour trouver des indices sur l'attaque.

Désolé du délais ... pas mal occupé cette semaine !

LLoreth s'avança et précisa

« Ainsi que moi-même, Lloreth Beremor » dit-il avec un sourire en coin.

Il précisa regardant le corps
« Effectivement, il devait aller chercher un peu de marbre noir auprès des nains de Janderhoff. A-t-il réussi ? »

Il fit le tour de la charrette pour voir si elle était pleine ou si elle avait été vidée. Il chercha potentiellement des traces autour de la carriole, puis alla aider à enterrer le marchand

Alex opine à la réflexion du noble, il était certain que les voleurs n'était pas venue que pour le marbre, surtout d'après les prédictions ...

Il récitât une petit prière à l'attention d'Hector, espérant l'aider à rejoindre sa divinité. Il n'était pas vraiment au courant des rites de passage de la région, mais cela ne coutait pas grand chose.



Pendant le voyage il discutât volontiers avec le soldat des royaumes fluviaux, il était toujours intéressé par les histoires et légende de tout un chacun. Cependant il essaya aussi et surtout de cerner le personnage de Lucrum, il lui posa quelques question sur sa famille, les raisons de son voyages et tentât d'en apprendre plus sur ses motivations.



Alex prit lorsqu'il le pouvait une chambre personnel, un minimum de luxe ne faisait pas de mal ! Il observât le vétéran se vider la bouteille avec circonspection. Il n'était pas contre l'alcool et la fête, mais il y avait des moment pour mieux l'apprécier. Il soupira et lançât un regard de reproche lorsque l'homme se blessât. Il lui lançât un sort de soin dans le doute pour éviter toute complication.



Malgré la fatigue il sentis ses forces revenir à la vue de la capitale et à l'idée qu'il pourrait bientôt profité d'un luxe bien mérité !

Cependant il reconnut un des gardes a la porte, il était garde royale auparavant, qu'avait il pu bien se passer ?! Il tentât de se rassurer intérieurement en se disant que cela n'avait peut être rien avoir avec sa cousine ...

Inquiet, il fut tenter de se précipiter pour demander ce qu'il en était au garde, mais celui ci pouvait le reconnaître et il n'avait pas envie de se faire remarquer.

Il fit juste un commentaire pendant qu'ils se rendait jusqu'au gardes, puis attendit qu'un des autres compagnons s'enquérissent de la situation. Tout en prenant soin de cacher son visage.

«  Quelque chose semble étrange ...  »

Fait les jet nécessaire à ma place, si besoin

Modifié par un modérateur mardi 22 mars 2016 10:40:55(UTC)  | Raison: Non indiquée

Alexite parvient à faire parler Lucrum pendant le voyage. Le chevalier évoque Iléosa sans jamais prononcer son nom mais vous êtes tous capable de faire le rapprochement avec sa description. A la place il la nomme "Belletrouvée". Il dit venir à Korvosa pour lui donner une dernière chance de satisfaire volontairement à ses engagement et accepter le mariage avec l'époux qui lui a été choisi sans quoi il la confrontera à ses obligations. Il dit que de telles mesures sont nécessaires afin que l'honneur de la dame et de sa famille soit conservé. Il décrit "Belletrouvée" comme une gamine pas méchante dans le fond mais très frivole et fugueuse ce qui pour faire justice à Lucrum était plutôt dans le vrai au moins à l'époque où on la lui promise.

Quand à son histoire personnel, en dehors des terribles scène de guerre qu'il a vécu à la plaie du monde, Alexite n’apprend rien qu'il ne savait déjà. C'est un miracle que l'homme ait conservé un semblant de santé mental.

L'ex garde royal ne s’embarrasse pas des même subtilités que Quaïs, il reconnaît votre groupe et ne se prive pas de le faire remarquer comme s'il espérait se faire remarquer en retour.



« Je suis en effet autorisé à vous laisser entrer Sir Bhrenit... mais avant de pénétrer en ville il faut que vous sachiez que Korvosa a été mis en quarantaine et que de l'autre côté les gardes ont pour ordre de ne laisser sortir personne. » - Le soldat se penche vers l'elfe comme pour lui faire une confidence. - « Korvosa subit les malheurs d'une épidémie que le temple de Sarenrae peine à endiguer et je crois bien que votre soeur est enfermée en ville. »


Apercevant les camarades de Quaïs, l'ex garde royal poursuit à l'intention d'Alexite :

« J'espère que vous parviendrez à parler à votre cousine, mes collègues de la garde royal et moi-même ne sommes pas sûr d'aimer notre changement soudain d'uniforme ; et pour être franc je ne suis pas sûr que Korvosa ne gagne au change. »




« Je ne suis pas sûr de comprendre, votre cousine ? Vous avez de la famille à Korvosa, pardonnez moi j'avais cru avec votre accent que vous étiez fraîchement débarqué du Cheliax. »






D'abord étonné par la méprise du chevalier, le soldat s’esclaffe en fronçant les sourcils :

« C'est une manière de voire les choses la cousine du... » - Puis comme réalisant qu'Alexite tente de cacher son visage il continue sur un ton plus neutre - « ...sa cousine est tisserand, elle confectionne les uniformes des gardes. »



Le soldat n'est pas bon menteur et Lucrum semble pour la première fois se douter de quelque chose mais il préfère ne rien laisser paraître. Le garde continue :

« Alors, vous voulez toujours entrer en ville ? »

Que faites-vous ?

Modifié par un utilisateur jeudi 24 mars 2016 00:10:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Quaïs était resté coi quelques secondes à l’évocation de sa sœur, le temps pour Alexite de prendre la parole et de négocier l'entrée en ville ... Il fît néanmoins une pause à hauteur du garde « Que vous me reconnaissiez, pourquoi pas, mais que vous fassiez le lien avec ma sœur ... permettez-moi de m'inquiétez, y a t il quelque chose que je devrais savoir ? »

Après avoir remercié le garde, il rejoint Alexite dans la ville ...« Merci de votre sollicitude Alexite, elle est en effet des êtres qui me sont chers ... retrouvons nous au château, c'est entendu ...  » et le magicien d’éperonner sa monture en direction de l'enclave elfe ...

Le soldat écarquille les yeux en rehaussant sa main le long de sa lance.


« Si vous insinuez ce que je crois alors je vous rassure tous de suite j'ai appris l’existence de votre sœur il y a seulement de ça trois jours. Elle est venue aux portes du château en pensant vous y trouver et j'étais alors encore en poste. Je lui ai dis que vous n'étiez pas à l'intérieur et elle a rebroussé chemin. Elle se fait en sang d'encre pour vous avec cette épidémie, apparemment cela fait quelque temps que vous ne vous êtes pas vu. La quarantaine a été mise en place quelques heures après et cela m'étonnerais qu'elle soit sortie ; pour ce que j'en sais elle est toujours en ville en train de vous chercher. Au moins elle n'avait pas l'air malade quand je l'ai vu. »





La réaction de Lucrum ne se fit pas attendre. Dès qu'Alexite lui révéla son identité il pu lire la rage dans le regard de son interlocuteur.


« Arhhh... Les Arabastis ! Que vous ai-je donc fais pour que vous preniez plaisir à me torturer à ce point. Si je ne projetais pas d'épouser votre cousine dans l'heure je vous ouvrirait en deux ici même. J'avais réussi à oublier cette satanée Iléosa et les frasques de votre famille et je ne m'en portais que mieux. » - Le chevalier fait les cents pas vers le château et il devient difficile de suivre son rythme fusse-t-il en harnois complet. - « La seule raison pour laquelle ma présence est requise est l'incompétence de votre cousine à gérer correctement un royaume ; cette épidémie est la preuve de ce que j'avance ! »



Lucrum congédie ses deux homme à la plus proche taverne et poursuit ses reproches inlassablement tout au long du trajet jusqu'au retour de Quaïs et de Lloreth.



Quaïs reconnaît à peine le quartier. Il découvre avec stupeur que la garde de la ville s'est mis à patrouiller en masse ici plus que nul part ailleurs en ville. Quaïs apprend qu'il y aurait eu des altercations entre malfrats locaux et elfes les premiers jugeant les deuxième comme responsable de l'épidémie et les second n'ayant pas hésité à répliquer avec violence. Si les rumeurs sont corrects les elfes seraient immunisés contre la maladie et ils font donc de parfait coupables désignés. On lui confirme qu'aux dernière nouvelle Soumral se portait bien malheureusement elle est introuvable pour le moment.



Llloreth de son côté ne trouve pas non plus Erriga au surplomb. Il se souvient alors qu'il avait croisé Erriga à Harse sur la route de Kaer Maga. Quand à Myralie elle ne se trouve pas sur les tuile, mais son taudis n'est pas vide pour autant. Lloreth y trouve Iosif à moitié assoupi. Il se réveille peu à peu avec la marque de l'oreiller bourré à la paille sur le bord de la joue. Le bretteur remarque tout de suite le filet de sang rouge qui lui a coulé au coin de l'oeil ; son camarade est vraisemblablement atteint par le mal qui ronge la région.



« Mumm... pas un pas de plus croque mort, je suis encore vif. » - Il tousse un bon coup, et poursuit avec plus d’enthousiasme alors qu'il semble reconnaître Lmoreth. - « Ah c'est toi, je ne pensais pas qu'on se recroiserait un jour vielle canaille. Si tu cherches Myralie elle a eu la chance de partir à Kaer Maga avant que tous ça ne dégénère. »




Lloreth lui posa alors ses questions et Iosif. D'après Iosif personne ne sait grand chose de la maladie à part que les soins magiques ne font que retarder le maladie et que les temples sont débordés par les souffrants. C'est Ileosa qui a décidé de renvoyer tous les gardes royaux pour les remplacer par des mercenaires qui se font appeler les vierges grises. Ce sont guerrières venues de tout horizon mais la plupart d'entre elles sont des vétérans de la garde déçus par la maréchale Kroft. Iosif a passé le plus clair de ses derniers jours à dormir ici pour échapper à la garde qui l'accuse d'avoir fait passer des Korvosiens en dehors de la ville. Il n'a entendu parler d'aucune cargaison de marbre noire. A propos de l'allée du Ratelier Iosif ne sait pas grand chose, il sait seulement que les croque-morts volontaires du nord de la ville se sont mis à y déverser des chariot entier de corps plutôt que d'aller les conduire à la grisaille. Il pense qu'il s'agit pour eux de toucher leur paye sans devoir se casser le dos à transporter les cadavres jusqu'au cimetière.



Enfin regroupé devant le château, le groupe a la désagréable surprise de constater le changement radical de ton de la nouvelle "garde royale". Les vieux soldats couverts de décorations font désormais partie du passés. Ils ont laissé la place à un contingent d'amazones en armure de plaque. Ces guerriers ont le casque vissé sur la tête et la main gantée négligemment posée sur le pommeau de leurs épée prête à en découdre avec le premier venu. Il est impossible de détailler tous leur équipement tellement il est hétéroclite : l'une d'entre elle porte une arbalète alors que l'autre manie un pavois, etc... mais elles ont deux points commun visible. Tout d’abord elle sont toutes vêtu d'un manteau gris qui bas au vent et ensuite elle portent toutes au moins un ruban de couleur rouge.

Celle qui semble être la donneuse d'ordre a relevé la visière de son heaume pour repousser les passants qui s'approchent trop prêt des marches du château à son goûts. Son visage autoritaire est couvert de cicatrices disgracieuses qui lui fige les traits dans un rictus haineux.




« Personne n'est autorisé à pénétrer dans le château. Gravir l'escalier malgré les sommations des vierges grises sera considéré comme un acte de trahison et le prix du sang sera payé ! »




Certains membres du groupe aurait objectivement pu faire plus de chose pendant le temps de la séparation, c'est un choix de gameplay que j'assume. J'ai en effet considéré que la première rencontre avec les vierge grises devait être vécu en groupe entier même si Alexite aurait en toute logique du les rencontrer seul.

Modifié par un utilisateur mardi 29 mars 2016 04:39:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

La vierge dévisage Alexite de la tête au pieds pendant plusieurs minutes avant de se saisir dans sa main gauche d'un étrange instrument de bois et d'acier fixé sur sa cuirasse et de montrer son interlocuteur avec. La partie métallique à l'avant de ce curieux engin est creusée... voilà une baguette magique bien bizarre.

Alexite reconnaît une arme à feu dans la main de la femme. Celle là est trop avancée pour avoir été fabriquée en Avistan et elle provient très probablement de la nation lointaine d'Alkenastre. Ce genre d'arme a le désavantage de ne tirer qu'un coup avant de devoir être rechargée mais elle perce même les meilleurs armures. Difficile d'estimer son prix dans cette partie du monde.

« Je sais qui tu es ! Ce que je ne sais pas par contre c'est où as-tu laissé traîner tes bottines pour qu'elle aient accumulés autant de boue.

Sa majesté n'a pas cessé de faire ton éloge de ta bonté mais tu sais ce que je crois moi ? » - La soldat avance brutalement sa tête en avant comme pour accuser Alexite. - « Je crois que ça fait de toi quelqu'un de suffisamment faible pour aller se contaminer au chevet des malades et répartir répandre la maladie. Essaye une fois encore d'approcher la reine toi et tes doigts contaminés et je te jure que je fais exploser ton joli minois ! »


Les vierges grises sont au nombre de cinq et un éventuel combat parait certes risqué mais envisageable. La chef qu'Alexite a devant lui a une épée longue dans la main droite et un pistolet dans la main gauche, les autre ont respectivement : un falchion et un arc long, une épée à deux main et une arbalète lourde, une épée bâtarde et un écu, et enfin deux kukris. Elle sont toutes en harnois plein et elles ont toutes dégainé leurs épées (comme décris précédemment).

Question subsidiaire, êtes-vous toujours à cheval, et si non, où avez vous parqué vos chevaux ?

Modifié par un utilisateur jeudi 31 mars 2016 02:07:45(UTC)  | Raison: Non indiquée

Lloreth revint un peu déçu car ses renseignements n'allaient pas beaucoup les faire avancer. En arrivant au château, ils purent constater que la garde avait également changé, et que ces "femmes" étaient beaucoup moins sympathiques que les anciens...

Tout en lissant sa moustache, il attendit le résultat des tentatives de l'elfe et du jeune.