La jeune elfe avait les yeux qui pétillaient de malice et d’amour. La belle avait un petit sourire coquin en regardant son chevalier dans les yeux. Elle ne disait rien, la magicienne ne faisait que sourire, elle devenait irrésistible et elle le savait. Mon sourire est l’une de mes armes secrètes.

L’ensorceleuse et le beau cavalier arrivèrent dans la chambre, Qualindra avait de nouveau tremblé de désir sous les baisers de Méliandre, mais elle avait réussi avec du mal a garder son calme. « A ton avis mon ange, crois-tu que tu vas pourvoir me faire redevenir une tigresse avant que l’eau arrive ?  » demanda la sublime elfe en riant.

A son tour, la jeune femme embrassa fougueusement et amoureusement son fiancé.

Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 11:37:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

La belle elfe aimait les baisers du chevalier ainsi que ses caresses. Le baiser de son fiancé dans le cou avait commencé à faire l’effet qu’elle redoutait, son gémissement venait de trahir son état d’esprit. La douce elfe essayait de résister au désir, elle avait envie de sentir et de caresser le corps du cavalier qui était pratiquement couché sur elle. Je n’en peut plus c’est trop dure de résister à ses baisers.

L’ensorceleuse essaya sans trop le vouloir de repousser le beau chevalier mais elle n’avait ni la force ni l’envie de le faire. La magicienne ne pouvait plus résister, à travers sa robe elle sentait le corps chaud et le souffle de son amour sur elle. La gentille elfe parvint à libérer ses bras et elle passa ses mains sous la chemise du chevalier, elle commença par lui caresser le dos et tout doucement elle fit passer ses ongles le long du dos de son amour, de bas en haut et de haut en bas, cela procurait des frissons au jeune cavalier. « Alors mon amour, qu’est-ce que tu penses de mes griffes ?  »

La jeune femme regardait son fiancé dans les yeux toujours avec une étincelle de désir et de malice. « Je vais bien finir par te dévorer mon ange. La tigresse est de retour mais sauras-tu la dompter cette fois ? Grrrr !  »

La splendide elfe se teint sur ses coudes, elle avait toujours son regard dans celui de son compagnon, elle le fit rouler sur le dos et se plaça au dessus de lui, elle lui plaqua les bras de chaque côté de sa tête et elle commença ses baisers, elle embrassait tout sur son visage tout en descendant dans le cou, sans lâcher les poignées de son cher et tendre. Elle savait qu’il pourrait facilement prendre le dessus quand il le voudrait mais pour le moment il se laissait faire.

« Ça fait quoi de se faire dompter par une tigresse mon amour ?  »Dit Qualindra en riant « Tu veux que je continue mon cœur ? »La jeune elfe affichait un regard et un sourire aux qu'elles personne ne pouvait résister pas même Méliandre.

« Je t’aime mon tendre amour. » ‘Lindra ôta la chemise de son fiancé et toujours en reprenant appui sur les poignées de Méliandre, elle lui caressait, l’embrassait et faisait passer sa langue sur le corps du jeune homme et ses longs cheveux noirs chatouillaient gentiement eux aussi le torse musclé du fort chevalier.

« Tu vois que je suis sage, je sui encore habillée et pas toi mon cher amour. » La belle ensorceleuse espérait bien que l’homme qu’elle aimait allait réagir avant qu’elle ne réagisse elle-même.

Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 11:41:59(UTC)  | Raison: Non indiquée

La bibliothèque n’allait pas tarder à fermer ses portes, la jeune elfe reposa les livres et sortie. La belle elfe n’avait pas envie de rentrer directement à l’auberge. Je vais passer par l’écurie, j’en profiterais pour savoir comment vont les chevaux et en plus je verrais si mon amour est revenu. Il me manque.

L’ensorceleuse entra dans l’écurie, « Bonjour mes beaux, vous allez bien ? Trompe-La-Mort n’est pas encore rentrée à ce que je vois. »La magicienne caressa l’encolure des deux chevaux et les embrassa chacun sur le front. « Je vais attendre un peu avec vous le retour de Méliandre avec Trompe-La-Mort. »

La douce elfe alla s’asseoir sur une botte de foin. Pauvre Orphilas, je ne peux pas rester avec ma robe rouge , il faut vite que j’aille me changer. Ne tarde pas trop mon ange, sinon on se retrouvera a l’auberge.. La jolie elfe resta plongée dans ses pensées.

Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 11:43:31(UTC)  | Raison: Non indiquée

La jeune elfe était tellement perdue dans ses pensées qu’elle n’avait pas entendu Trompe-La -Mort rentrée, ce ne fut que la douce voix de son chevalier qui la fit réagir. La jeune elfe rendit son sourire au chevalier. « Te voilà mon amour, a dire vrai, je ne sais pas depuis combien de temps je suis ici, j’étais perdue dans mes pensées, je t’attendais. Et oui tu m'as terriblement manqué mon chéri. Nous devrions retourner à l’auberge mon cœur, Orphilas va avoir besoin de notre amitié. En plus je ne peux pas rester en robe rouge, même si j’adore cette couleur elle est un peu trop voyante pour un enterrement. »

La magicienne retourna près des chevaux, tapota l’encolure des trois chevaux. « A bientôt mes beaux. »

La douce elfe prit la main de son fiancé et l’embrassa avant de se diriger vers l’auberge. « Tout c’est bien passé mon ange ?  »

Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 11:45:11(UTC)  | Raison: Non indiquée

Bido était heureux de ne rien avoir trouvé, s'il avait bien fait son travail cela voulait dire qu'il n'y avait pas d'autre Gobelin en ville. Quand il rentra au dragon rouillé, il demanda pour prendre un bain et se prépara pour la cérémonie d'Orphilas.

Une fois prêt il se dirigea vers la chapelle, plus il s'en approchait, plus la tristesse lui submerger la coeur. Il revivait la mort de ses parents, malgré qu'ils étaient mort d'une maladie il comprenait la douleur du jeune prêtre. Perdre un parents était toujours très dur.

Modifié par un utilisateur jeudi 6 octobre 2011 10:33:12(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le père Zantus avait annoncé que le bûcher funéraire de Verenan de Cornuire serait érigé devant la cathédrale, en hommage à un grand homme de foi de la ville. La cérémonie aurait lieu au zénith. Lui et Orphilas avaient veillé une bonne partie de la nuit pour s'assurer que tout serait prêt. En fin de mâtinée, Orphilas retourna chez lui. Il voulait aider sa mère pour les derniers préparatifs, et s'occuper un peu de sa famille. Mais plus que tout il voulait éviter le regard des premiers badauds, et de ceux arrivés en avance. Le corps de son père reposait dans un cercueil de bois simple aux bords bas. Il avait été lavé et habillé de ses habits de cérémonie. Sur ses bras croisés, Orphilas avait déposé son épée, celle que son père lui avait donné en même temps que sa Charge de Bravoure. Celle qui lui avait manqué face au gobelin maudit. Le jeune prêtre voulait que ce qui appartenait à son père parte avec lui. Quelque part, il voulait également se débarrasser de cette arme qui porterait à jamais le fardeau de ne pas avoir été dans les mains de celui qui en avait besoin cette nuit-là. Il avait déjà acheté sa remplaçante chez le forgeron.
15 po décomptés

Peu avant l'heure, il sorti vers la chapelle, vêtu en habits de procession, pour retrouver ceux qui venaient pour la petite procession funéraire. Des proches, et ses compagnons d'arme. Il demanda à Méliandre s'il acceptait de l'aider à porter le cercueil. Le chevalier et le prêtre ne s'était pas très bien entendus, mais Orphilas lui reconnaissait une bravoure hors du commun, et son comportement revêche semblait s'adoucir de plus en plus aux cotés de Qualindra. Et Méliandre avait vengé la mort de son père en tuant le gobelin fiélon.

La procession se dirigea vers la place, où les attendait Zantus, les autres ecclésiastes de la ville et une foule étonnante. Orphilas y reconnu entres autres les fidèles de la chapelle, Ameiko et, plus étonnant, le vieux Quinck. L'ermite qui n'avait pas bougé un poil lors de l'inauguration de la cathédrale avait décidé de sortir de son repère pour rendre un dernier hommage au père du jeune prêtre, chose qui toucha Orphilas plus qu'il ne le laissa paraître.

Zantus pris en premier la parole, louant la dévotion, la piété et la bonté de Verenan de Cornuire. Puis Orphilas pris le relais. «  En ces temps troublés, je sais que nombre d'entre vous ont eu à déplorer la perte d'un être cher. Et dans ces circonstances, la présence dévouée et déterminée de gens comme le père Zantus ou mon père, Verenan de Cornuire, a toujours été source de repos et gage de sûreté. Aujourd'hui nous assistons à plus terrible encore : une de ces sources de repos, un de ces gages de sûreté a été tué, lâchement, alors qu'il priait et était désarmé. Je prie donc Iomédaé la Très Sainte d'accueillir dignement l'âme d'un de ses plus fidèles serviteurs. Et de nous donner, à chacun d'entre nous, la force et la détermination pour que ce trépas ne soit pas inutile et pour que justice lui soit rendu. Qu'Iomédaé nous garde. » Ceci dit, il brandit sa nouvelle épée, et laissa une canalisation d'énergie emplir ceux qui l'entouraient, conformément à la tradition.

Sa mère s'approcha alors avec la torche qui embraserait le bûcher. «  Adieu, mari aimant. Puisse ton âme représenter Iomédaé dans l'après vie avec la même ferveur qu'elle l'a représenté de ton vivant. Ton souvenir sera à jamais dans nos cœurs. Qu'Iomédaé te garde. » Puis elle mit feu au bûcher, et les flammes s'élevèrent rapidement sur la place, et bientôt le cercueil et le corps de son père qui en dépassait ne furent qu'une forme d'ombre se découpant au cœur du brasier. Orphilas, se dirigeant vers sa famille eu un mot pour ses compagnons, qu'il chuchota dans les crépitements des flammes. «  Mon épée a le nom du chef de ces gobelins fiélons gravé dans sa lame.
Merci d'être venus »

Puis le retourna auprès de sa famille, serrant sa mère, son frère et sa sœur contre lui. Ses yeux se braquèrent vers le brasier dont les hautes et chaudes flammes emportaient en volûtes rouges et orangées l'âme de Verenan de Cornuire, prêtre d'Iomédaé, citoyen reconnu de Pointesable, mari aimant et père exemplaire.

Modifié par un modérateur samedi 8 octobre 2011 08:27:20(UTC)  | Raison: Non indiquée

Alors que la cérémonie touchait à sa fin, Orphilas surpris le regard mélancolique de Méliandre. Il semble en avoir gros sur le coeur. Comme si ce bûcher lui rappelait des deuils passées Puis son regard glissa sur Qualindra, et il intercepta bien malgré lui un regard du chevalier vers sa fiancée. ou futurs.

Un peu plus tard il se rapprocha du couple. « Méliandre, depuis ce drame je n'ai pas eu le temps de vous remercier personnellement d'avoir occis ce gobelin maudit. Une petite partie de ma raison regrette qu'on ait pas pu l'interroger. Mais tout le reste de mon âme vous est redevable d'avoir vengé mon père et puni son assassin. »

Modifié par un modérateur samedi 8 octobre 2011 08:28:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

La douce elfe posa sa tête sur l’épaule du jeune homme et resta ainsi le reste de la cérémonie. Lorsque le prêtre alla vers eux, la jolie elfe releva sa tête et en une fraction de seconde elle aperçut le regard mélancolique de son chevalier. La magicienne prit la main de son doux cavalier et la serra dans la sienne.

« Toutes mes condoléances Monsieur Orphilas, si vous ou votre famille avez besoin d’aide n’hésitez pas à me le demander. C’est moi qui ai donné le dernier coup au gobelin sans même penser qu’on aurait pu l’interroger. J’avais peur pour nos vies. Je ne sais pas quoi vous dire, sinon vous demander pardon. Comme Méliandre j’aurai aimé sauver et connaître votre père. » La belle elfe avait toujours ses yeux embués de larmes et au moindre clignement de ses yeux, elle savait que des larmes commenceraient à couler. Une fois le prêtre éloigné,l’ensorceleuse se tourna vers le jeune noble et le regarda dans les yeux.

« Mon amour, qu‘est-ce qui ne vas pas ? Je vois bien que tu as quelque chose, ton visage et si mélancolique mon ange, parle-moi. Penserais-tu à l’enterrement d’un être cher ? Comme Orphilas tu as perdu ta maman, confie toi à moi, je suis là et avec toi pour t’aimer, pour t’écouter et pour te soulager des tes souffrances, si tu as envie de pleurer alors ne te prive pas, ce n’est pas une marque de faiblesse pour moi. » La magicienne était en pleur. Elle n’avait pas lâché la main de son fiancé.

Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 11:51:34(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliandre se tourna vers la jeune elfe.

« Ca va mon ange... Comme tu l'as remarqué, je pensais à ma mère... Mais ça va, je te rassure... » dit-il en faisant un sourire un peu forcé avant de serrer 'Lindra contre lui.

Le chevalier ne voulait pas parler de ses sombres pensées concernant leur futur. Il s'était déjà ouvert sur le sujet et ne voyait pas l'intérêt de rebattre les oreilles de Qualindra avec le même sujet. « Mais quelque part cet événement tragique a eu du bon... Il m'a permis de te connaître... »

Modifié par un modérateur samedi 8 octobre 2011 08:29:57(UTC)  | Raison: Non indiquée

Bido n'aimait pas ces cérémonie funèbre où les gens brûler leurs morts, il préféré celle ou on enfermé les corps dans des tombeau. Mais il n'allait pas contre les croyance de chacun et leur façon de faire. Pendant les paroles d'Orphilas et de sa mère, ses pensées avaient étés à ses parents, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas été sur leur tombe.

Il adressa quelques mots au prêtre. « Mes meilleurs pensées vous accompagnes ainsi que votre famille, puisse nos dieux vous aider dans ce périple ! » Il retenu ses larmes et reprit. « Si vous avez besoin d'une épaule pour vous reposer ou d'une oreille pour vous écouter, je serais présent !  »

Puis il le laissa continuer et se tourna vers le reste de ses compagnons. En voyant leurs visages triste il comprit que cet évènement allait changer leur vie, c'était dur à penser mais cette mort allée les unir autour d'une cause commune.

Modifié par un utilisateur vendredi 7 octobre 2011 11:35:14(UTC)  | Raison: Non indiquée