Cette fois c’était à Skaldor d’avoir la part belle. Les jeunes nains étaient à l’extérieur du Kraal. Ce dernier avait fini par se refermer après quelques instants, selon une mécanique lourde et ancienne mais encore bien fonctionnelle. Une fois la double porte de pierre fermée et verrouillée, il devenait bien difficile de remarquer le passage au fond de cette ravine en forme d’impasse, depuis l’extérieur. L’œil avisé du nain remarquait cependant un léger façonnage du rocher-porte et en passant les doigts sur la pierre, on finissait par remarquer la fissure séparant les deux battants au centre. Si on ne connaissait pas l’endroit, le hasard ne permettait pas de trouver un tel refuge. Le groupe se rendit à la sortie de la ravine, passant de part et d’autre de l’amoncellement qui s’était formé en milieu du passage, comme si on avait voulu dresser une pierre pour bloquer l’entrée. Cette fois le spectacle devenait époustouflant. Les yeux des nains embrassèrent les sommets recouverts du blanc manteau neigeux, laissant apparaître quelques pans de roche bleu sombre granitique au fur et à mesure des reliefs, un paysage déchiqueté qui s’élevait toujours plus haut dans un entrelacs de crêtes et des ravines qui jouaient avec les nuages pourtant haut dans le ciel mais qui parfois étaient plus bas que certains sommets éclairés par le splendide soleil faisant apparaître des myriades de scintillements tandis que les rayons solaires se reflétaient sur la neige, la glace ou les pans de roche. Une fois sortis de la ravine, il devenait difficile de savoir quel chemin prendre, difficile mais pas impossible pour un nain. Ces derniers se retournèrent vers l’entrée du passage, remarquant par là même que sur le pan de rocheux de droite, la pierre était d’une composition différente. Certes à l’œil nu, elle paraissait aussi bleu-grisâtre que les autres, mais à la vision nocturne des nains plus à même de distinguer les nuances de chaleur, celle-ci gardait la chaleur accumulée par les rayons solaires de midi un peu plus longtemps que les autres, comme une sorte de latence avant de retrouver la froidure hivernale de la haute montagne. Du coup pendant un très bref instant, la roche à cet endroit devenait plus pâle à la vision nocturne, dessinant ainsi une rune qu’ils connaissaient bien maintenant : le symbole du Kraal. Encore une fois, il fallait savoir que cet endroit existait et se trouvait dans ce passage et enfin il fallait vraiment chercher par tous les moyens que connaissaient les nains pour apercevoir le phénomène. Bref on ne tombait pas dessus par pur hasard.

Skaldor embrassa le paysage du regard, balayant l’horizon, regardant chaque relief, chaque cassure, ravine, à-pic rocheux, ombre, nuance de lumière en raison d’une inclinaison ou d’une pente différente, afin de mémoriser plus ou moins une sorte de carte en trois dimension de leur environnement puis après de longues minutes d’observation minutieuses, il pointa du doigt dans une direction – « Par là ! » – Avant de s’élancer en tête du groupe pour leur ouvrir le chemin, enfin si chemin il y avait sous cette épaisse couche de neige. Le groupe se mit donc en route, progressant lentement car ils s’enfonçaient profondément dans la neige et devaient résister à la morsure du froid ainsi qu’aux rafales de vent qui pouvaient se lever d’un seul coup, soulevant des nuages de fine poudreuse glacée et pénétrante. Ils n’avaient ni luges, ni raquettes pour faciliter le mouvement et donc cela devint rapidement laborieux. Naturellement, le groupe se mit en file indienne, une attitude confortée par Skaldor qui proposa même de se mettre en cordée pour le cas où l’un d’entre eux ferait un faux pas et viendrait à glisser et tomber ou encore de voir le sol se dérober sous ses pieds après avoir marché sur une fine couche de glace recouverte de neige qui dissimulait une crevasse ou une faille encore plus profonde. Bref les dangers de la haute montagne étaient nombreux et dangereux, les nains n’avaient pas le droit à l’erreur. Selon Skaldor, la descente allait prendre un bon moment, deux voire trois heures suivant les difficultés du terrain. Ils arriveraient dans une ravine large et profonde qui devrait être la Passe de Rombre. C’était la plus grande faille qu’il avait repérée en contrebas et devait être carrossable pour les chariots nains. Il espérait intérieurement ne pas s’être trompé surtout… De ce qu’il avait aperçu depuis les hauteurs, il avait réussi à dessiner une sorte de route basse qui serpentait dans les vallées que formaient les montagnes et si certaines restaient fermées, très encaissées ou inaccessibles, la Passe de Rombre devait permettre de traverser sans avoir besoin d’escalader, même si au final un groupe de convoyeurs nains était capable de hisser un charriot par quelques moyens que ce soit pour escalader des élévations rocheuses qui leur barrait la route. Une longue descente allait donc commencer…

Ordre de marche et :

@tous : 2 tests d’Endurance (JdS Viguer DD15) et 1 test de Survie (DD15) et faire quelques tirages <ICI>

Modifié par un utilisateur mercredi 10 février 2016 23:25:15(UTC)  | Raison: quelques petites corrections en tout genre

Aucun des membres du groupe ne souhaitait traîner sa barbe dans ce manteau neigeux plus que nécessaire. Skaldor, en trappeur aguerri, commença à tracer virtuellement le chemin le plus agréable pour tout le groupe. Othair mit toute sa foi pour l'aider d'abord en appelant sur le guide et le reste du groupe les yeux de Torag.
Puis ce mettant au niveau du rôdeur, il commença à scruter de comparse le paysage découpé par les cimes enneigées. Le prêtre était peu rompu à ce genre d'exercice mais il fit honneur à l'inspiration de son dieu et discuta avec Skaldor et Dovahkroc de la topographie. Ils tombèrent rapidement d'accord sur le plus court chemin à emprunter.
Sans attendre le groupe se mit en marche. Tout le monde ne savait que trop bien le cauchemar que pouvait devenir cet environnement hostile. Othair résistait pour le moment plutôt bien aux morsures répétées du froid. Mais combien de temps le groupe pourrait-il encore tenir dans ces conditions ?
Ces sombres pensées arrivaient à Othair par intermittence. Il les chassait en redoublant d'intensité dans ses prières et dans sa foi.
Naturellement, le guerrier bien équipe contre le froid et muni de sa vouge comme sonde ouvrait la voie. Suivit Skaldor, le rodeur. Il anticipait les mouvement de chacun, donnait des conseils sur le franchissement des zones difficiles, s'assurait que personne ne tombe, réglait la vitesse de marche.
En fin de cordée, Othair veillait sur le groupe en le soutenant par ses paroles. Ses encouragements allaient notamment vers le jeune Robco. Sous ses minces vêtements, Othair devinait qu'il résistait encore plus mal que les autres au froid.
« Torag, le forgeron créateur a placé le feu primordiale en chacun de nous,
Il brûle aujourd'hui en vous d'un force nouvelle,
Nourri par tous les espoirs du vaillant peuple d'Heaume,
Il ne saurait s'éteindre car le devoir et la foi nous guide. »

• Survie : 1d20+3 donne [19] + 3 = 22
• Vigueur 1 : 1d20+4 donne [14] + 4 = 18
• Vigueur 2 : 1d20+4 donne [3] + 4 = 7

je lance Assistance Divine sur tous les membres et j'utilise le bonus sur le test de Survie. Si c'est possible je refais ça pour les tests de Vigueur pour résister au froid mais comme c'est un test sur la longueur je sais pas si c'est possible. Bonus comptabilisé pour Survie mais pas pour Vigueur 1 et 2. RP à suivre en fonction des résultats.

Modifié par un utilisateur mardi 31 mars 2015 21:21:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

Embrasser le panorama du regard et décider d’une route étaient une chose… Rentrer au cœur des vallées, ravines, défilés, corniches et autres agréments d’une descente des montagnes en était une autre et très vite il fallait de très nombreuses fois s’arrêter pour décider du chemin à emprunter sans perdre l’objectif principal : la faille qu’avaient repérée les nains lorsqu’ils étaient en haut. La descente promettait d’être longue et difficile, mais rien d’insurmontable pour un nain. Chaque obstacle devenait un contretemps couteux en force et énergie, une faille, une crevasse, un défilé, il fallait se jouer des plaques neigeuses instables qui pouvaient provoquer des avalanches à tout moment, des pièges que la neige dissimulait, un rocher qui pointait, un trou, les pentes raides qu’il fallait prendre de biais, la couche nuageuse qu’il fallait traverser comme si on se retrouvait tout à coup en plein brouillard, une zone dangereuse pour ses vents, ses pluies verglaçantes soudaines et ses orages intempestifs, sans oublier la température qui baissait sans arrêt et brutalement lorsqu’on se retrouvait à l’ombre des montagnes avoisinantes et encore moins le rayonnement du soleil sur la neige qui déformait les perspectives et brûlait les yeux. Ce n’était pas là une promenade de santé et il fallait être organisé et équipé pour une telle descente.

Encore une fois, ce fut Dohvakrok qui prit l’ascendant sur le groupe et décida de l’ordre de marche de la cordée ainsi que son organisation. Il semblerait que le guerrier des tunnels se soit retrouvé petit à petit à avoir la confiance ou le respect de ses comparses lors des situations difficiles. Il s’imposait petit à petit certes, mais indubitablement vers le rôle de chef de groupe. Avait-il plus de charisme ? Ses décisions étaient-elles plus sages ? Ou était-ce parce qu’il frappait le plus fort ? Quoi qu’il en soit il eu le dernier mot pour l’organisation et le groupe se mit en marche, lui en tête afin de sonder la neige avec le manche de sa vouge. Chaque pas était une difficulté pour les nains qui s’enfonçaient dans la poudreuse. Sans raquettes ni équipements adéquats, la montagne était un environnement difficile voire mortel comme ils purent le constater à de nombreuses reprises. Il fallait rester vigilant à chaque instant, à chaque pas, à chaque respiration qui condensait devant leur nez gelé ou leur barbe raidie par le froid qui transformait la transpiration en glace. Les corps souffraient, la descente était laborieuse, mais jamais les nains ne baissèrent les bras. Lorsque l’un d’eux faiblissait par fatigue ou plutôt par le froid, alors les autres ralentissaient le pas et se rapprochaient de lui pour lui redonner un peu de chaleur et de temps pour récupérer, ce fut le cas très vite pour ceux qui n’avaient pas de vêtements appropriés. Ce fut le cas très vite pour Robco qui n’avait pas de lourds vêtements chauds. Le maître des pièges n’avait qu’un équipement souple et léger afin de lui laisser une grande liberté de mouvements lors de ses recherches et activités liées aux mécanismes. Il fut la première victime du froid et Ohtair qui fermait la marche dut avertir les autres que la peau de Robco commençait à perdre sa teinte terreuse pour une teinte plus pierre bleue congelée. Il grelottait et ne parvenait pas à s’arrêter, tétanisant rapidement ses muscles qui ne lui permettaient plus de réaliser pleinement l’effort pour continuer à marcher. D’un commun accord, le groupe s’arrêta avant de traverser les nuages bas afin de rester au soleil, le temps d’une petite pause. N’ayant pas emporté de quoi allumer un feu, ils se rapprochèrent les uns aux autres autour due Robco pour le réchauffer, lui tapant sur les bars, les jambes, le dos, le torse pour faire circuler le sang. La manœuvre leur fit perdre une bonne demi-heure avant que le maître des pièges commence à se détendre et à ne plus être frigorifié. Le groupe put reprendre sa progression cette fois à travers les nuages…

Ce fut là un épisode difficile. Marchant comme dans un brouillard, ils étaient exposés à une pluie glacée qui les giflait violemment à cause des rafales de vent, ils étaient dans la tempête d’une météo changeante et hostile, au cœur des nuages ? Par ailleurs, ils empruntèrent plusieurs fois des passages qui n’aboutissaient pas, il leur était impossible de s’orienter dans une telle tourmente et ils perdirent beaucoup de temps. Mais ils marchèrent toujours et encore, quittant les orages et les tourbillons de vent, pour retrouver la montagne, ses vallées, ses corniches et ses défilés. Ils quittèrent plusieurs fois le couvert des nuages, alternant les zones dégagées et ensoleillées des grands défilés en pente raide qu’ils devaient traverser en biais pour ne pas tomber et les zones sombres et froides des ravines ou tout simplement à l’ombre d’un pan rocheux, d’une falaise ou d’une montagne. Ces passages étaient peu joyeux, l’humeur des nains allait avec les périodes sombres et ensoleillées et la progression à l’ombre des montagnes n’était pas sans rappeler l’ombre qui s’étend désormais sur la vallée de Sombre Lune de l’autre côté des Monts des Cinq Rois, l’ombre du Creuset de Droskar !.. Mais il ne fallait pas céder au désespoir du Sombre Forgeron, après tous les tumultes et les épreuves traversées, ils avaient encore beaucoup de chemin à parcourir, beaucoup de choses à voir, beaucoup d’expériences à réaliser, non ils n’allaient pas baisser les bras. Le groupe s’enfonçait à présent dans une vallée, suivant le cours d’une rivière gelée. A mesure qu’ils progressaient, les premiers sapins apparurent, devenant de plus en plus nombreux et denses, formant une forêt certes encore très peu dense. La neige s’accumulait aux pieds des arbres, formant des élévations montant parfois jusqu’aux premières branches, le sol devenait plus dur et plus praticable au bord de la rivière qui par endroit avait une couche de glace moins épaisse. Plus tard et plus bas, la rivière parvenait à craqueler la glace et l’eau s’écoulait en surface en son milieu, car sur les bords, la neige et la glace avaient pris place. Voilà plus de deux heures maintenant que les nains descendaient la montagne. Étant donné les pauses qu’ils avaient dû faire et les contretemps et aléas dus à la météo et aux conditions difficiles de survie en montagne, ils estimèrent qu’ils avaient perdu presque une heure et que c’était globalement ce qu’il leur restait pour atteindre la Passe de Rombre. A présent, ils ne s’orientaient pus par rapport aux vallées et reliefs en contrebas, mais par rapport aux sommets et crêtes qu’ils voyaient à travers les nuages bas. La seconde partie de la descente avait apporté son lot de souffrance à tout le groupe hormis Dohvakrok qui s’en sortait plutôt bien grâce à sa tenue polaire. Mais pour Robco, Othair, Thrôrir et Skaldor, tous les quatre accusaient la fatigue en raison des efforts aussi bien pour progresser que pour résister aux attaques incessantes du froid. Tôt ou tard il faudrait faire une halte et un feu, s’ils parvenaient à faire brûler des branches de sapin ou de bois mort…

Mais pas lorsqu’on entend un son de cor, pas lorsque Dohvakrok et Skaldor entendent des bruits qui annoncent de la visite. Le guerrier et le rôdeur se tournèrent vers le sud-ouest, là où ils avaient localisé les bruits. Rapidement, ils repérèrent des ombres courir entre les sapins, empruntant des passages à couvert tandis qu’ils se rapprochaient, puis finalement ils furent déjà là, sur l’autre berge avec visiblement la ferme intention de traverser de force que ce soit en sautant ou tentant leur chance sur la couche de glace, mais pas avant de tenter leur chance à l’arc… Ils en dénombrèrent une demi-douzaine, des maraudeurs, des humanoïdes mesurant 6 pieds de haut, trapus, la peau allant du vert au gris, une épaisse chevelure noire poisseuse et graisseuse la plupart du temps tirée en arrière, des grossières peintures de guerre sur leur visage bestial et monstrueux qui voyait leurs crocs saillir de leur gueule, leurs vêtements était un assemblage de fourrures dans les tons verts et beige, tout comme leur cape, ce qui leur permettait sans doute d’être asses discrets dans les milieux forestiers. Leurs jambes et leurs pieds étaient recouverts de fourrures attachées par des lanières de cuir. Leur équipement guerrier se composait d’un arc court avec un carquois de jambe et enfin d’une sorte d’épée lame longue à un seul tranchant qui s’élargissait vers la pointe. Certains avaient aussi des poignards ou coutelas impressionnants passés à leur ceinture. Ces orcs là étaient différents de ceux que les nains connaissaient. Ils n’avaient pas de lourde armure en acier, de grands écus à pointes ou encore de hache à simple ou double tranchants ou encore leurs fameuses doubles haches. Par contre l’éclat de haine et de colère dans leurs yeux devait être dans leur sang, à six contre cinq nains, ils ne montraient aucune peur.

Tous sauf Dohvakrok sont fatigués en raison du froid. Cet état perdure tant qu'ils ne se seront pas réchauffés avec des vêtements et près d'une source de chaleur pendant 1H. Fatigué signifie : -2 en Force et en Dextérité (impact sur tous les jets associés).

Pas de round de surprise, Dohvakrok et Skaldor ont réussi leur perception et ont donc prévenu les autres. Vous avez une action de mouvement gratuite le début du combat, puis le premier round commence dans l'ordre des initiatives.

Un son de cor, il n'en fallait pas plus à Skaldor pour réveiller ses sens. Etaient-ce les peaux vertes qui venaient à eux? Le froid avait engourdi ses muscles mais pas ses oreilles et ça le rassurait quelque part. L'action et l'adrénaline va redonner un peu d'énergie et de chaleur aux membres.

« Hardi les gars, tous à couvert, vite, vite vite! », lança Skaldor à l'attention des autres nains tout en sortant son arbalète. Il espèrait que cette fois, elle ne lui ferait pas défaut.

Déplacement en S14, couché, arbalète en main

Modifié par un utilisateur jeudi 2 avril 2015 15:38:17(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orques !

Dès le moment ou ses deux compagnons eurent avertit le reste du groupe, le regard de Robco se fixa sur la menace imminente:
6 étrons verts, teintés de marron et qui plus est, armés d'arcs.
Malgré son corps fatigué et refroidi, le sang de Robco ne fit qu'un tour, il se rua vers l'arbre le plus proche pour se mettre à couvert.
Arbre qu'il atteignit de justesse avant que le combat ne commence a faire rage.
Il avait déjà souffert du froid, inutile d'y ajouter une blessure par flèche.


déplacement en V17

Allongé au sol, Dovahkroc n'attendait qu'une seule chose : que les orques viennent à leur rencontre. Il ne pouvait, pour l'instant, pas sortir de sa cachette sans risquer de se prendre une flèche. Le combattant des tunnels resta donc au sol, tentant d'observer les peaux-vertes sans s'exposer. Il entrera en action le moment venu...

Je retarde mon action.

Ce n'était pas l'envie qui l'en démangeait, mais le jeune nain devait renoncer a un affrontement direct avec les orques, du moins pour le moment. Afin d'obtenir une meilleur position, à couvert.

Il se releva, et atteint en vitesse l'abri des arbres, pas mécontent de sortir ça face de la neige.

debout, déplacement en V17

Les peaux-vertes avaient franchi le ruisseau, mais deux archers restaient encore en retrait. Il fallait leur donner l'impression que le nains étaient aux abois : un ennemi confiant est un ennemi imprudent. Il chuchota son intention à Othair puis se leva en mettant au supplice ses membres douloureux, et passa prestement dans la ligne de vue des orcs en poussant un « HHAAAA LES ORCS SONT SUR NOUS ! » affolé, puis se retourna, à l'abri de l'arbre suivant, prêt à faire face.

Thrôrir se lève et se déplace en Z19 (mouvement de 2 cases vers le sud puis 2 vers l'est).
Test de bluff (faites place pour l'artiste, ahem)

• compétence Bluff : 1d20-1 donne [3] - 1 = 2

Etat :
- Bonus d'altération sur marteau [+1 attaque / +1 dégâts] durée une minute
- Fatigué : -2 force/ -2 dex => -1 pour toucher / -1 aux dégâts / -1 à la CA / -1 à l'initiative



A Skaldor de jouer.

Modifié par un utilisateur mercredi 8 avril 2015 18:50:27(UTC)  | Raison: Non indiquée

Skaldor fit un signe de tête en direction du guerrier pour lui dire qu'il avait bien compris la consigne. Seulement, dans sa précipitation de trouver un abri, il n'avait pas spécialement fait attention aux branches basses des sapins, qui certes le protégeaient, mais lui obstruaient la vue sur les orques qui arrivaient. La fatigue sans aucun doute. Il pesta intérieurement de bon nombre de noms d'oiseaux, dont certains étaient très exotiques et entreprit de se relever. Il se déplaça sur la droite du guerrier, arbalète en main, carreau préparé. Les branches du sapin offraient un abri précaire mais il espérait que les dieux assureraient sa survie. Néanmoins, il espérait avoir plus de réussite face à ces peaux vertes que face aux squelettes. Il avait une réputation à assurer au sein du groupe. Il vise alors l'orque qui était certes le plus loin, mais qui était le moins protégé par ces saletés de conifères.Ah, parlez-moi d'un bon mur de pierre! Au moins, ça ne vous fouette pas le visage en traître! Si j'en touche pas un cette fois-ci, je n'aurai plus qu'à me mettre au point de croix.... Il ferme un oeil, assure sa prise, et décoche son carreau.



Se relever. Déplacement en T14. Tir sur l'Orque 5.
Etat Fatigué : -2 force/ -2 dex => -1 pour toucher / -1 aux dégâts / -1 à la CA / -1 à l'initiative
Bonus de +1 (Assistance Divine)
Bonus de +1 (Haine des orques)

Modifié par un utilisateur vendredi 10 avril 2015 14:46:45(UTC)  | Raison: Non indiquée