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La bonne odeur avait donné faim a la jolie elfe. « Hum tout cela à l’air bien appétissant, bon appétit messieurs. »Puis apercevant le clin d’œil du chevalier : « Mon amour je suis désolée mais ma cuisine ne sera pas aussi bonne que celle d’Améiko, j‘espère que tu ne m‘en tiendras pas rigueur. »Dit la belle elfe tristement. « Heureusement que je savais que tu plaisantais quand tu disais que tu aurais dû demander Améiko en mariage mon ange. Je sais que tu me seras fidèle comme je le serais envers toi. » La sublime elfe embrassa amoureusement son fiancé. Modifié par un modérateur dimanche 28 août 2011 11:01:26(UTC)
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Bido se régalait en mangeant la nourriture qu'on lui avait servit. « Ah ! Y a pas à dire ! J'ai jamais aussi bien mangé ! Mon voyage m'aura au moins apporté une chose de bonne » Un rire lui échappa et il se remit à manger. Il but une gorgée d'eau, regarda ses compagnons de table. « Autrement j'ai une question sur ce qui c'est passé dans le cimetière. Pendant ces sept jours j'ai retourné cela dans ma tête, mais avait vous fait des découvertes sur la profanation ?Je ne comprends toujours pas pourquoi quelqu'un à voulu ce cadavre ! »Il savait que cela allait faire retomber la joie des retrouvailles et l'annonce du mariage. « Je suis désolé de vous reparler de cette histoire mais cela me hante depuis ce jour. »Modifié par un utilisateur samedi 27 août 2011 21:11:07(UTC)
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« Ne t'en fais pas mon amour... Ce que je veux c'est être avec toi... Pas que tu me fasses à manger... » répondit le jeune homme en l'embrassant. A la question de Bido, Méliandre se tourna vers son voisin. « Non, rien du tout. Tout avait été piétiné et le trou en train d'être rebouché... Qualindra a fait des recherches là-dessus. Je n'ai pas souvenir des détails mais il me semble qu'il y a plein de rituels possibles... Arracher au mort ses secrets par exemple... »Le chevalier se tourna vers la belle elfe comme s'il voulait s'assurer qu'il n'avait pas dit de bêtise. Modifié par un modérateur dimanche 28 août 2011 11:03:08(UTC)
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La jolie elfe poussa un soupir de désolation. « En effet, en lisant les ouvrages, j'ai découvert qu'un cadavre pourrait servir pour plusieurs rituels. Comme l'a dit Méliandre l'un d'eux permettrait de parler avec le mort, un autre permettrait de devenir une Liche. Ensuite une secte du nom de La Voie du Murmure se servirait de cadavres humains pour leurs rituels et enfin Orphilas pourra peut-être nous le confirmer, la déesse Urgathoa aime utiliser des corps pour ses rituels. Pour l'instant c'est tout ce que j'ai trouvé. Mais il y en a d'autres que je n'ai pas eu encore le temps de consulter. »L'ensorceleuse espérait que ce qu'elle venait de dire aiderait le groupe a trouver le pourquoi du comment. La magicienne s'était rapprochée du chevalier, car rien que de repenser à ce qu'elle avait lu la faisait frissonner de peur, de rage et de colère. Modifié par un modérateur dimanche 28 août 2011 11:04:04(UTC)
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Discrètement, Méliandre pris la main de l'ensorceleuse dans la sienne. Il savait que cette histoire de profanation mettait extrêmement mal à l'aise sa compagne. Le chevalier caressa tendrement le dos de la main de Qualindra pour la soulager. Modifié par un modérateur dimanche 28 août 2011 11:04:36(UTC)
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La caresse et le contact de la main du chevalier avaient peu a peu calmés la jolie elfe. Une fois son calme retrouvé, la magicienne laissa sa main dans celle de Méliandre. L’ensorceleuse déposa un petit baiser sur la joue du chevalier et frôla les lèvres du jeune noble. « Merci mon amour, je vais mieux maintenant grâce a toi. »Modifié par un utilisateur mercredi 7 novembre 2012 16:52:38(UTC)
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 Améle Orphilas allait répondre en acquiesçant à ce que venait de dire Qualindra lorsque la porte du Dragon rouillé s'ouvrit avec force faisant rentrer avec une bourrasque de vent quelques feuilles d'arbres d'un rouge automnale suivies de cris et de pleurs, d'un homme, d'une femme et de leur enfant. Tous se rappelèrent avoir croisé le gamin qui était venu saluer les aventuriers le jour de la fête du Machaon, même si certain ne se souvenait plus de son nom ou de celui de son père qui claqua la porte derrière lui après que sa femme qui portait le gamin dans un bras et un bébé dans l'autre. Orphilas les connaissait encore mieux, car la famille Barnett habitait la maison juste à côté de la sienne, à deux pas d'ici. Cette dernière jouxtait le Dragon rouillé et était en fait coincée entre l'auberge et la maison familiale des Cornuire.  Aéren Améle Barnett était dans tout ses états et semblait terrifiée quand au petit Aéren il hurlait à la mort comme s'il venait de croiser le diable de Pointesable revenu des enfers pour venir le prendre. Le père de famille Alergast avait les yeux écarquillés et n'en menait pas large non plus. Seul le bébé, une fillette qu'ils avaient nommé Vérah, regardait tantôt ses parents, tantôt son frère d'un air qui semblait vouloir dire : "Mais qu'elle mouche a bien pu vous piquer" mais on devinait qu'il ne faudrait pas longtemps avant qu'elle accompagne de cris perçants tout ce beau monde !  Alergast Le prêtre d'Iomédaé se souvenait qu'Amèle était venu voir son père quatre ou cinq jours après le festival. Durant l'attaque le gamin avait vu un gobelin mettre le feu à un chat et se réjouir devant sa dépouille encore fumante, c'était d'ailleurs Orphilas qui avait transpercé de part en part ce gobelin sadique de son épée avant de venir en aide à Ameiko. De cette expérience le gamin en avait récupéré que des terreurs nocturne et ses rêves étaient maintenant hantés de gobelins cauchemardesques. Le père Cornuire en bon dévôt d'Iomédaé avait confié au gamin un petit symbole d'Iomédaé en bois pour lui donner du courage et avait demandé aux parents d'autoriser leur chien pétale à dormir au pied du lit, mais cela ne semblait pas avoir fonctionné car la nuit dernière, alors qu'il priait dans la chapelle, Orphilas avait entendu le gamin geindre une fois de plus. Mais cette fois il s'était passé quelque chose de différent Aéren avait les mains et la chemise couverte de sang ! Le père se dirigea vers la tablée, un peu perdu et dit : « Mon gamin a égorgé son chien !!! »Modifié par un utilisateur dimanche 28 août 2011 13:08:19(UTC)
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En voyant la famille arrivée, la jeune elfe fut un peu effrayée à la vue du sang sur la chemise de l‘homme. « Ne restez pas debout venez vous asseoir. » Dit Qualindra d’une voix douce qui se voulait rassurante, elle fit un sourire à l’enfant et la femme qui portait le bébé. En écoutant le récit du père, elle serra un peut plus la main de Méliandre. « Je crois que nous ne serons pas tranquille tant que cette énigme ne sera pas résolue. Croyez-vous que nous devons nous attendre à une autre attaque de gobelins ou d‘autres créatures ? »Modifié par un utilisateur jeudi 19 juillet 2012 23:35:37(UTC)
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Bido reconnu le jeune garçon qui venait de temps en temps voir ses cabrioles, il fut surpris de le voir tâché de sang et quand il entendit le père dire qu'il avait égorgé son chien et l'elfe parler de gobelins, il cracha ce qu'il avait dans la bouche pour intervenir. « Ola ! Pourquoi pensez vous que ce jeune garçon à tué son chien ? »Puis en s'adressant à l'elfe il ajouta : « Vous pensez que le fait d'avoir vu un gobelin tuer un chat, lui aurait donner l'idée de tuer son chien ? »Il regarda le jeune garçon essaya de le réconforter et lui tint ces mots. « Alors tu te souviens de moi ? Tu peux me faire confiance dis moi ce qui c'est passé avec ton chien ! C'est un accident ? »Te faut-il un jet de dé ? Si oui dit moi le quel. Je pense à diplomatie  Allez je le fais et tu le prendras en compte si tu en as besoin :- Diplomatie : 1d20-1 donne [5] - 1 = 4
Modifié par un modérateur dimanche 28 août 2011 18:11:16(UTC)
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Méliandre s'était tourné en entendant les cris, l'air visiblement surpris. Le jeune homme resta un instant interdit avant de réagir à la pression de Qualindra sur sa main. « Je l'ignore mon amour... » fit-il en se levant de table. Le chevalier s'approcha de l'homme, ne pouvant s'empêcher de regardé l'enfant taché de sang. Il a l'air sauf... C'est déjà ça... pensa-t-il alors que Bido tentait de parler à Aéren. Il posa sa main sur l'épaule du paysan, l'invitant à discuter à l'écart. « Calmez-vous. Que s'est-il passé exactement ?? » demanda-t-il d'un ton seigneurial. Son but était d'utiliser son statut pour provoquer un électrochoc chez cet homme du peuple pour qu'il lui raconte ce qu'il avait vu et pas ce qu'il avait cru voir ou ce qu'il pensait qu'il s'était passé sans cris, pleurs ou autres. - Diplomatie : 1d20+7 donne [11] + 7 = 18
Modifié par un modérateur lundi 29 août 2011 08:03:37(UTC)
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Pendant que Bido s’occupait de l’enfant et que Méliandre parlait avec le père de famille, la jeune elfe alla parler tout naturellement avec la maman. « Comment allez-vous madame ? Pouvez-me raconter ce qui c’est passé ? Si vous avez besoin de quelque chose pour vous ou vos enfants n’hésitez pas à ma le demander.
Rassurez-vous madame, vous ne craignez rien ici. » Dit Qualindra d’une voix très douce. La belle elfe regardait de temps en temps comment se passaient les discussions de Bido avec l’enfant et de Méliandre avec Alergast. - Diplomatie : 1d20+3 donne [14] + 3 = 17
Modifié par un utilisateur jeudi 19 juillet 2012 23:36:54(UTC)
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Béthana ne savait pas trop quoi faire face à cette situation et la présence des aventuriers ce soir fut pour elle une aubaine car le groupe sut tout de suite prendre les choses en main pour tenter de calmer la famille Barnett dont elle ne savait en fait pas grand chose si ce n'est que le père était ébéniste et qu'il fabriquait majoritairement les cercueils pour la ville. L'halfeline alla juste chercher derrière le comptoir une bouteille d'eau de vie en terre cuite pour en servir un gobelet à Alergast... Le gamin était évidement traumatisé et en état de choc, autant Bido parvînt à calmer ses cris et à réduire ses pleurs à quelques chouinements, autant Aéren ne pouvait réussir à prononcer le moindre mot, tant il était affecté par ce qui venait de se passer chez lui... En regardant la chemise tâchée du jeune garçon le halfelin remarqua qu'il n'y avait pas de projections sur celle-ci mais juste des traces de doigts ou de main. Un peu plus loin Alergast se prenait la tête entre les mains en essayant de comprendre ce qui pouvait arriver à son gamin et ce qu'il devait faire pour qu'il le sorte de cette impasse. Alergast Le père raconta rapidement l'histoire du chat et du gobelin lors du festival ainsi que l'intervention d'Orphilas avant de poursuivre sur les obsessions devenues journalières de son fils : « ... depuis Aéren n'est plus le même ! Au début tout allait bien, le petit était plus impressionné par la manière dont vous et quelques autres aviez repoussé l'attaque des gobelins mais il y a trois jours ont commencé pour lui les cauchemars. A ce moment les rumeurs allaient bon train sur le fait qu'il puisse rester des gobelins en ville et je pense que c'est cette idée qu'il lui ait resté dans la tête. Le fait que nous ayons été cambriolé y a sans doute été pour beaucoup aussi. C'est notre cellier qui a littéralement été saccagé ! J'ai tout de même fouillé la maison de fond en comble pour le rassurer mais chaque nuit depuis, ses hurlements réveillent la maison. Nos prières à Iomédaé n'y ont rien changé tout comme le fait de laisser Aéren dormir avec son chien... Hier c'est un de mes ciseaux à bois qui disparait et aujourd'hui ! ...Je crois que mon gamin devient fou, il voit des gobelins partout mais je n'ai pas envie de l'emmener au sanatorium de Habe ! Il est beaucoup trop jeune... Je ne sais plus quoi faire. »Améle De son côté Qualindra tentait elle aussi de comprendre ce qui c'était passé cette nuit et essayait d'apaiser Améle qui devant la détresse de sa famille ne put retenir une larme de chagrin et d'impuissance. Elle serrait son bébé sur sa poitrine comme si elle craignait que la petite Vérah puisse elle aussi être affectée par tout cela. « Hier Alergast a menacé Aéren d'aller le faire dormir dans la remise s'il ne pouvait pas apprendre à être un homme et à dormir sans raconter d'histoires mais cela n'a rien changé et au début mon mari n'est pas aller calmer Aéren lorsqu'il a commencé à avoir son accès de terreur nocturne. Mais quelques instants plus tard. Nous avons entendu le pauvre Pétale hurler de douleur et les cris d'Aéren sont devenus hystériques... Quand nous sommes arrivés dans la chambre le chien était mort, Aéren était au-dessus de lui avec le ciseau à bois dans les mains ! »Modifié par un utilisateur lundi 29 août 2011 08:54:45(UTC)
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Encore estomaqué par le drame s'étant déroulé chez ses voisins, Orphilas mit un certain temps à rassembler ses pensées. Tout la scène lui revenait, ponctuée d'un étrange sentiment. De la culpabilité ? Il se rappelait bien le petit Aéren, un petit plein d'énergie, assez turbulent et insolent, mais ayant bon fond. Pas du tout le genre d'enfant que l'on imagine capable de tels actes de barbarie. La scène de l'attaque des gobelins lui revenait en mémoire. De loin, il n'avait vu que le gamin et le gobelin ricanant et avait bondi sur la créature, pensant l'enfant en danger. Il n'avait remarqué le cadavre du chat qu'après. Son acte aurait-il contribué au traumatisme du petit ? Il n'osait répondre à cette question. Non, de toute évidence, si l'enfant était traumatisé, c'est d'avoir vu ce saloperie de gobelin torturer un chat sous ses yeux !! Ou peut être était-ce l'ensemble de la scène qui... Pourtant ce gobelin aurait fini par attaquer Aéren !! Orphilas le savait au fond de lui. Le savait au moment de fondre sur la créature maligne tout du moins. Maintenant il en était moins sûr... N'aurait-il pas dû trouver une autre solution ? Se contenter d'assommer la créature ? Utiliser un sort pour l'incapaciter ? Ou simplement passer plus de temps avec le jeune enfant pour le rassurer ? Non, non, Ameiko était assaillie, et s'il avait quitté la scène, c'était pour sauver la tenancière. Peut-être au prix de la santé mentale d'Aéren... Non cela ne semblait pas crédible, un gamin plein de vie comme ça aurait dû résister à ce choc. A moins que... Perdu dans ses pensées, il intercepta au vol le récit d'Alergast. « Excuse moi Alergast, je suis désolé pour ce qui t'arrive. Mais tu dis que tu as été cambriolé après l'attaque ? On a volé quelque chose ? »Puis, entendant le récit d'Améle, il retourna à ses pensées. Ce n'est pas possible !! Ça ne peut pas être Aéren ça. Il n'aurait jamais tué son chien, il adorait son chien ! Non, Aéren ne pouvait pas se comporter comme ça, il n'avait pas pu être traumatisé ce point par l'attaque des gobelins. Ni par l'intervention d'Orphilas, ce n'était pas possible. Iomédaé n'aurait pas armé son bras contre ces satanés gobelins si cela aurait coûté son esprit à un jeune enfant innocent. La déesse aurait trouvé un autre moyen de le faire intervenir, tout aussi honorable, mais sans dégât sur l'enfant. Et si... « Améle, regarde moi. Quand tu as été dans la chambre d'Aéren, est-ce que les fenêtres étaient fermées ? »Modifié par un utilisateur lundi 29 août 2011 15:00:00(UTC)
| Raison: beathe little post, breathe
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La belle elfe était restée assise a coté de la maman. Elle essayait de la réconforter, comme elle le pouvait avec des mots, lui tenant la main pour la rassurer et elle lui souriait, par instinct ou par politesse la jeune femme lui rendait ses sourires. Avant d‘attendre la réponse à la question d‘Orphilas la jeune elfe demanda : « Madame, vous n’avez pas vu votre fils tuer son chien ? Il a peut-être assisté à son meurtre et par instinct, comme tous les enfants curieux, il aurait ramassé le ciseau à bois, ce qui explique pourquoi il avait le ciseaux à bois dans ses mains, s'il avait tué son chien il n’aurait peut-être pas hurlé. Qu’en dites-vous ? » La douce elfe avait gardé sa voix toute douce et apaisante, elle regardait le bébé qui pleurait toujours dans les bras de sa mère. « Comment s’appelle cette jolie petite fille, puis-je la porter ? » Comment seront nos enfants ? Mon amour.Modifié par un utilisateur jeudi 19 juillet 2012 23:39:28(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Améle Dit la jeune femme avant de poursuivre et répondre aux autres questions. « Je n'ai pas fait attention... mais il est vrai qu'il faisait assez froid dans la chambre d'Aéren. Vous pensez qu'un gobelin ait pu effectivement vouloir s'en prendre à mon petit ? »Alergast de son côté semblait perplexe : « Je ne sais pas je suis un peu perplexe en tout cas je ne pense pas que ce soit bon pour le gamin qu'il retourne dormir ce soir dans sa chambre... Je vais payer une chambre à l'auberge et tu y resteras cette nuit avec les enfants Améle. Je vais aller enterrer le chien de notre fils et nettoyer le sang. J'en profiterai une fois de plus pour inspecter les moindre recoin de la maison...
Alergast Après un instant de réflexion, il revînt sur le cambriolage et le sac de son cellier il y a trois jours. « Il est vrai que le vol dans notre réserve correspond au moment ou Aéren a commencé à avoir peur et à faire des cauchemars mais les jours suivants on ne nous a rien volé. Le voleur n'est pas revenu après cela, le cadenas que j'ai mis à la porte n'a pas été forcé ! »Modifié par un utilisateur lundi 29 août 2011 15:43:48(UTC)
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Bido écouta tout ce qui ce passait autour de lui tout en continuant de calmer le pauvre garçon, quand tous eurent fini de parler il prit à son tour la parole. « Je crois que mes amis ont raison, si vous regardez bien votre fils n'a pas d'éclaboussure de sang, ce qui devrait être le cas si c'était bien lui qui avait fait cela à son chien. Je pense que dame Qualindra à raison et qu'il à dut prendre l'arme pour essayer d'aider son ami canin. »Puis il s'adressa au père. « Je pense monsieur sauf votre respect que nous allons allez voir chez vous si vous nous le permettez ! Je pense que quelqu'un ou quelque chose ce trouve ou se trouvait chez vous il y a peux ! »Il regarda ensuite ses compagnons pour savoir s'ils étaient d'accord avec lui. Modifié par un modérateur lundi 29 août 2011 15:42:57(UTC)
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La jolie elfe porta le bébé et elle le posa contre elle, ce qui lui fit du bien car Vérah arrêta de pleurer tout doucement la belle elfe commença a bercer l’enfant qui s’endormit dans ses bras. « Vérah, c’est un très jolie prénom, moi je m’appelle Qualindra Ystoria. » Bientôt Madame d’Ascalon. Si Méliandre me voyait avec ce bébé que penserait-il ? Elle ne pouvait pas voir si son fiancé la regardait, elle, le regardait que de temps en temps car elle devait s’occuper de la jeune mère et de son bébé. « Ne pensez plus a ce meurtre Madame, reposez-vous si Vérah se réveille je m’occuperais d’elle ou je vous appellerais, soyez sans crainte. » La rassura la douce elfe. En entendant les paroles du mari, elle ajouta : « C’est une bonne idée de faire dormir votre famille ici mais vous ne devriez pas retourner chez vous seul. » Méliandre, mon amour si tu y vas, soit prudent ma première nuit sans toi mon ange, je vais trembler pour toi mon cœur.La magnifique elfe berçait toujours le bébé endormi dans ses bras en lui chantant de douces berceuses, comme elle l’avait plusieurs fois fait avec Méliandre quand elle s'occupait de lui, mais lui était plus grand. Modifié par un utilisateur jeudi 21 mars 2013 15:16:32(UTC)
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Orphilas se retourna vers le jeune enfant effrayé. « Aéren, du calme. C'est moi, Orphilas, tu me reconnais ? Tu sais, ton voisin, celui avec le symbole bizarre sur la joue qui te faisais rigoler quand tu étais petit. Tu ne risques rien ici, et on est là pour t'aider. Dis moi ce qui est arrivé à ton chien, tu te souviens de ce qu'il s'est passé ? »Peu habitué à calmer de jeunes enfants en état de choc, il avait peur que sa tentative ne soit vaine, mais il souhaitait avant tout faire parler l'enfant. Peut être arriverait-il à obtenir un indice sur son état émotif réel. Était il effrayé parce qu'il avait vu la nuit dernière, ou était il devenu fou au point d'avoir pu assaillir sauvagement son animal de compagnie ? - Diplomatie, pour calmer Aéren : 1d20+0 donne [18] + 0 = 18
- Psychologie pour comprendre l'état émotif du gamin : 1d20+6 donne [13] + 6 = 19
Modifié par un modérateur mardi 30 août 2011 23:27:40(UTC)
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Méliandre eut l'air pensif. Une image s'était faite dans son esprit : celle de l'attaque des gobelins. Les petites brutes avaient commencé leur attaque en tuant les chiens... Apparemment, ces saletés semblaient détester d'avantage les chiens que les hommes... « Hum. Alergast c'est ça ? Écoutez-moi... Voilà ce que nous allons faire... Je vais vous accompagner chez vous et ensembles, nous jetterons un œil à votre maison. Ça vous va ? »Ce disant, Méliandre releva la tête et aperçu Qualindra avec le bébé. Un sourire discret naquis sur ses lèvres à ce spectacle. Le jeune noble se tourna une nouvelle fois vers l'ébéniste. « Allons-y... Votre famille est bien entourée... Avec un peu de chance nous serons rentrés avant qu'ils n'aient eu le temps de s'en apercevoir... »Modifié par un modérateur mardi 30 août 2011 19:20:52(UTC)
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Ayant entendu les paroles de son fiancé, la belle elfe le retint. « Mon amour attend, soit très prudent, c’est ma première nuit sans toi et je vais trembler pour toi, fait attention je t‘en conjure mon ange. »La magnifique elfe s’avança vers le jeune noble toujours avec le bébé dans les bras, et l’ensorceleuse lui donna un vrai baiser. « Je t’aime, ne l’oublie pas mon cœur. ». Elle le regarda partir puis revint près d’Amèle, « si vous voulez dormir un peu, demandez a Améiko de vous montrer notre chambre. Vérah dort toujours, je m'occuperais d'elle et votre fils ne risque rien il est entre de bonnes mains. » Mon amour que nos Dieux et que nos Déesses te protège, vous protèges tout les deux.Modifié par un utilisateur mardi 30 août 2011 20:45:53(UTC)
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